HEY ! Devinez un peu qui est ici ? It's me, Mario 8D /SBUUFFF/ (Je fais bien une personne qui se prends une porte, avouez-le.)
Comme vous l'aurez sûrement remarqué, je ne suis pas là ici pour parler de pâtes. (quoi que...) Aujourd'hui, je présente mon petit bébé drama-queen (Coucou Dean): Dream ! avouez ça rends bien comme nom hein ? Ok j'arrête là avant de tuer quelqu'un. C'est du drama, de la romance, bref un mini drama romantique, avec au rendez-vous : Argent, tromperies, fluff, tristeeesse, choix compliqués (parce-que le drama) et compagnies. Il y'a aussi pleins de petits couples qui se forment et se déforme comme... Bah je sais pas en fait. En premier lieu c'est surtout du : SABRIEL, MICHIFER, DESTIEL, et compagnie.
Pour que la lecture soit plus agréable, une douce musique triste est conseillée. Je vous conseille le groupe "Daughter" et "Gregory Alan Isakov", donc foncez connaître leurs chansons !
Enjoy !
DREAM CHAPTER 1.
SAM. 11h30
Douceur. C'est un mot clé lors ce que je suis enveloppés dans ses draps. L'odeur du caramel, de sucrerie, la délicatesse de ses bras qui m'enroulent et son souffle qui expire dans ma nuque. Ses tendres murmures qui me bercent dans les abîmes du sommeil.
-"Laisse-moi me lever Gab..."
-"Reste encore un peu."
-"Mais je dois aller voir mon client dans quelq..."
-"Tu diras à ton client que tu as eu une obligation urgente dans ce cas...Reste..."
L'appel du travail s'en alla loin dans les pensées de mon esprit, s'enfouissant dans un recoin oublié, et je me laissa étourdir par ses enivrantes caresses.
DEAN. 11h40
Une musique d'AC/DC ondule dans la radio. Les fréquences de la guitare endiablé dans ses solos me font chantonner. Je vis dans un petit appartement moisi, dans un petit immeuble moisi, dans une petite ville moisie, avec un petit job moisi. Contrairement, mon frère est avocat, marié à un millionnaire, et vit dans une villa. Mais ça ne m'intéresse pas.J'ai mon Castiel. C'est le mien, mon tout, mon battement de cœur, ma respiration. Une douce odeur de café encercle mes narines, un doux fredonnement d'AC/DC, un adorable sourire innocent. Il a les cheveux encore ébouriffé et sans dessus-dessous. Il est torse-nu, portant simplement un jogging vert de gris. il a deux mug dans ses mains. Il est juste incomparable, c'est mon Castiel. Mon petit ange.
LUCIFER. 12h05
Bien sûr, C'est comme d'habitude, même le dimanche. Michael parle, encore et encore. Comme d'habitude, Michael sors du lit à 6 heure 30 précis. Comme d'habitude, Michael à peur. Peur pour sa réputation. Alors il m'évite souvent la journée. Comme d'habitude, il plie mes affaires et les mets sur le lit.
Mais ce ne sont pas des habits pliés ce dont j'ai envie, c'est de lui.
Alors je me lève, je m'habille. J'envie les autres, surtout en particulier mon petit frère, Gabriel. Il me raconte souvent pendant des heures ce qu'il fait de ses journées, ils rigole et parle lui aussi. Ils parlent tous, alors que tout le monde sait que les mots sont tellement plus facile à voir sur le visage. C'est horrible d'envier ses propres frères, de les jalouser car eux, eux ils peuvent chérir leur amant(e).
Un petit salut de la main. C'est ce dont j'ai le droit le matin.
Michael reprends ses occupations. "Je vous comprends parfaitement, mais vous devez comprendre que ce n'est pas possible..."
Je me fais simplement un café, je me débarbouille le visage, fais mes petits soins du matins. Et j'espère simplement que ce dimanche sera agréable.
SAM. 13h14
Je cours, sprint et galope dans les rues en bousculant les personnes accompagnés d'un "excusez-moi", je détale, me hâte pour que j'arrive à temps à mon bus, arrivant in extremis, la pitié du chauffeur m'ayant laissé passer, je lui laisse un milliard de "merci énormément !" et m'assieds sur un siège au hasard.
Je déteste quand il me prends par les sentiments... A la fin je me retrouve à chaque fois dans des situations comme celles-ci... N'est-ce pas de ma faute d'avoir un rendez-vous le DIMANCHE ? Je regarde ma montre. 13h14. J'espère arriver à temps. Un client plus grincheux que le mien n'existe pas.
Un message.
" Hey petit bonbon au caramel ! Comment s'est passé ta course poursuite du bus ? "
J'aurais aimé ne pas être aussi curieux. Il sait taper là où ça frustre.
" Très bien. "
" Heureux de l'entendre ! Ça te dit une pizza ce soir pour te réconforter ? "
Il est le fils de l'homme le plus riche au monde... Et il me propose une pizza.
" Une pizza ? "
" Une pizza ! "
" Pizza. "
LUCIFER. 17h40
L'hiver.
C'est un vent froid,qui congèle et glace la gorge. Mais ce n'est pas un vent fade, c'est un vent frais. Un vent habituellement réservé au matin. Le soleil se couche caché derrière les impassibles et épais nuages.
Journée habituelle, discours tout aussi fréquent. Les mensonges et les techniques pour amadouer toutes sortes de personnes sont tellement simples, que je les ai apprises dès mes 9 ans.
Mon esprit divague, comme les vagues dans la mer. D'ailleurs ça me rappelle la fois où moi et Michael sommes partis en vacance, ce n'était pas les vacances appât-à-paparazzi comme je les appelles, mais de vraies vacances, nous deux. Nous étions partis à la mer. L'Océan du nord, le large glaciale, la plaine marine fière, l'odeur du sel et le touché des herbes froides et givrés. L'air frais qui transporte toute la nature, la sensation de la roche et les cailloux qui accentuait le voyage au bord de cette mer si sauvage...
" Monsieur, nous sommes arrivés. "
Le soir est un moment tellement agréable entre lui et moi, doux, calme, comme un doux halo de paix qui nous enferme. Une douce odeur de menthe.
Ce moment où le monde arrête de tourner. Ce moment où je suis dans ses bras, où il me chuchote des mots si doux. Ce moment de naïveté, cet éclat qui rend cet horrible monde de menteur plus beau.
J'étais naïf, et tellement sincère avec lui.
Pourquoi j'étais surpris lorsque je l'ai vu ?
Pourquoi j'ai eu mal, pourquoi j'ai ressenti un poignard s'enfoncer dans mon abdomen ? Pourquoi est-ce qu'il fallait obligatoirement qu'il me trompe ?
Je le déteste, mais je l'aime. J'haïs son visage, mais je l'adore tellement.
J'ai claqué la porte. Je suis parti, loin, et seul. Tant pis pour le chauffeur, tant pis pour l'incompréhension, tant pis pour tout.
Allez vous faire voir.
DANS LA PIÈCE. 17H40
" Désolé. " Disait-il, se retirant des bras de Michael, ayant l'air abattu.
"Je ne savais pas que ton frère était homophobe, je te laisse tranquille." Balança Adam, l'air plus triste que gêné.
Alors Michael se retrouva seul, dans cette pièce. Abandonné et délaissé. Et il fondit en larme.
Bon voilà, c'est terminé. Environ 1'000 mots, j'essayerais de faire mieux la prochaine fois.N'oubliez pas, une petite review si ça vous a plu, c'est mon seul salaire. J'vous aime !
-Heziel
