Disclamers : The Vampire Diaries et tous les lieux, personnage ect.. qui y sont liés ne m'appartienne pas et je ne gagne aucun argent avec cette histoire.


Caroline Forbes avait seize ans, et elle devait s'inquiéter pour le lycée, les garçons (surtout Matt Donovan, pour qui elle avait un faible mais qui sortait avec Elena – sa meilleure amie) et tout autres problèmes qu'une adolescente de son âge pourrait rencontrée. Lorsque ses parents lui demandèrent de s'assoir avec eux dans le salon, elle sentie que quelque chose allait mal tournée. En soi être avec ses parent dans le salon n'était pas bizarre, c'est juste que depuis des mois ses parents usait de tous les stratagèmes pour ne pas rester longtemps dans la même pièce.

« Caroline, tu sais qu'entre ta mère et moi ça ne va pas fort. » Son père était nerveux, et ça ce n'est pas normal. « Il faut que tu sache qu'il y'a quelques mois, avec ta mère, on n'a décidé de divorcer. Aujourd'hui le divorce a été prononcer. Je vais quitter la maison et aller vivre à Richmond, plus près de mon travail. On a pensé qu'il serait préférable pour tes études que tu restes vivre ici, avec ta mère. »

Elle ne s'attendait vraiment pas à ça. Et pourtant, elle avait une imagination très fertile. Le choc fut visible sur son visage et dans sa voix :

« Pourquoi ?! »

« Je… J'ai rencontré quelqu'un d'autre… Il s'appelle Steven. »

Ok. Pourquoi pas. Son père avait décidé que lui annoncer leur divorce, sa remise en couple et son coming out dans la même soirée était une idée judicieuse. Ils ne pensaient pas qu'elle aurait besoin d'un peu de temps pour accepter leur séparation avant de devoir faire face a l'idée qu'ils puissent refaire leur vie, chacun de leur côté ?

Il lui fallait du temps. Elle devait sortir d'ici. En une seconde elle était debout, elle se précipita hors de la maison et se mit à courir. Elle entendit sa mère crier son nom, mais le bruit fini par s'arrêter. Soit elle c'était trop éloigner soit ils lui laissaient de l'espace. Elle espéra que ce soit la deuxième solution, elle avait besoin d'être seul.

Elle ne su pas combien de temps ce fut écoulée quand elle s'arrêta, elle était dans la forêt bordant Mystic Falls, près des ruines de l'ancienne église. Elle s'assit au pied d'un arbre et regarda les étoiles, les larmes coulant librement sur ses joues. Elle enfonça ses mains dans les poche de son gilet et serra ses bras autour de sa poitrine. Elle passa les prochaines minutes à pleurer, parce que sa famille allait être briser. Sa mère passait déjà beaucoup de temps au travail mais maintenant… Caroline connaissait sa mère, elle se plongerait dans le travail pour oublier que son mari l'avait quitté pour un autre homme.

Son père, lui, avait carrément décidé de fuir… Décidément, ce n'était clairement pas des problèmes qu'elle avait envie d'affrontée en ce moment.

Elle voudrait être ailleurs, vivre une vie ou elle n'aurait pas à faire face à tout ça… Vivre quelque part ou elle pourrait aimée et être aimé en retour. Les gens prétendent que l'on a une âme sœur, ses parents n'en était pas sinon il ne se serait pas séparé… Steven était-il l'âme sœur de son père ?

Je ne veux pas vivre ça, passer 20 ans auprès de quelqu'un que je crois aimer pour me rendre compte que l'on est pas fait pour êtres ensemble… Je voudrais le rencontrée, l'homme fais pour moi, le rencontrée et vivre une vie heureuse avec lui… Savoir qu'il ferait tout pour moi comme je serais capable de n'importe quoi pour lui… Pensa Caroline en fermant les yeux.

Elle ne fit nullement attention a l'étoile filante qui coupa le ciel, ni au tombeau remplis de vampires desséché qui était sous elle. Pourtant, dans une ville comme Mystic Falls, il faut faire attention a ce que l'on souhaite.

Et alors qu'elle s'endormait, la magie des lieux répondit à son souhait si plein de désespoir, et dans un flash de lumière blanche, Caroline disparue des ruines de la vielle église.


Lorsque Caroline ouvrit les yeux, il faisait jour. Elle se releva d'un bond, paniqué à l'idée d'avoir passée la nuit dehors. Sa mère allait la privée de sortit pour les 50 prochaines années. Pourtant, quelque chose clochait… Les ruines… Elles avaient disparue. Plus aucune trace.

Elle passa la main dans ses cheveux, et se figea. Il y'avait deux nouveaux élément à prendre en compte : ses cheveux étaient lâcher, alors qu'elle était sûr qu'hier il était attaché, et ses vêtements. Elle portait une robe, une longue robe marron serrer à la taille et au manche longue. Pas du tout le jean/t-shirt avec gilet qu'elle portait hier soir.

« Sakna Caroline, ég er fús til að finna þig »(1)

Elle regarda l'homme qui accourait vers elle avec les yeux écarquillés. Elle avait reconnu ce qu'elle croyait être son prénom mais il sonnait si différemment qu'elle n'en était pas sûr. En voyant son expression il s'arrêta incertain, puis son visage s'éclaira de compréhension.

« Því miður, sakna Caroline, ég gleymdi. »(2)

Il lui sourit et lui tendit un morceau de parchemin. Qui utilisait encore du parchemin ? Et pourquoi cet homme parlait-il une langue qu'elle ne connaissait pas ? Elle décida que lire le parchemin l'aiderais peut-être à comprendre.

« Bonjour, Caroline. Je suis Ayana, je suis celle qui t'envoi Helgi, l'homme qui t'a fourni ce parchemin. Je sais que tu voudrais avoir des réponses à tes questions et je pense être la seule personne à pouvoir te les fournir. Suis Helgi, il te mènera à moi, je te dirais tous ce que tu veux savoir une fois que nous nous verrons. »

Résumons la situation : Elle s'était réveillée dans un endroit qu'elle ne connaissait pas, dans des vêtements qu'elle ne connaissait pas, près d'un homme qui semblait la connaitre mais qu'elle ne connaissait pas et qui voulait l'emmener chez une femme qui, apparemment, la connaissait mais qu'elle ne connaissait pas ! En bref, elle ne connaissait pas grand-chose de la situation actuelle.

S'il y'avait une chose que Caroline détestait plus que tout c'était de ne rien contrôlée et, on ne contrôle pas ce que l'on ne connait pas. Alors Caroline fit quelque chose que beaucoup aurait considérer comme stupide : elle sourit, hocha la tête et suivit cet homme pour qu'il la même jusqu'à cette Ayana. Peut-être qu'elle, elle pourrait l'aider à comprendre.

Bientôt, la sorte de calèche sur laquelle elle était montée s'arrêta dans un village. Caroline avait compris qu'elle n'était pas à Mystic Falls mais, en voyant les maisons/cabanes dans lesquelles les gens de se village vivait… Elle comprit qu'elle n'était même pas dans un endroit moderne. Elle chassa bien vite l'idée qui lui traversa l'esprit, c'était bien trop invraisemblable.

La hutte devant laquelle ils s'étaient arrêtés s'ouvrit et une grande femme noire en sortit. Elle portait le même style de robe qu'elle mais en orange et était coiffée de dreadlocks géante.

« Ayana, ég kem með þig gestur þinn. »(3)La voix de son chauffeur retentit à côté d'elle.

« Þakka þér, Helgi. »(4)La femme avait une voix douce mais légèrement grave. Elle se tourna vers Caroline et lui sourit. « Bonjour mon enfant, je suis Ayana. Entre donc dans mon humble demeure, je suis sûre que nous avons beaucoup de chose à nous dire. »

Ayana surprit Caroline parce que, contrairement à son chauffeur, elle parlait sa langue, en plus il n'y avait presque pas d'accent dans sa voix et ses mots était cohérent. Elle descendit de sa « calèche », remerciant son chauffeur d'un signe de tête et entra dans la maison en saluant Ayana dans un chuchotement.

Ayana la suivit à l'intérieur après avoir remercié l'homme qui l'avait accompagnée ici. Elle lui désigna une peau de bête sur le sol avant de s'assoir sur celle qui lui faisait face. Avec une certaine appréhension, elle s'assit dessus, et c'était plus confortable que ça n'en n'avait l'air.

« Je suis sûre que tu as des centaines de questions mais, laisse-moi d'abords t'expliquée ce que je sais d'accord ? » Elle attendit que Caroline hoche la tête avant de continuer. « Il y'a quelque mois, les esprits m'ont contactée, ils m'ont appris ta langue et m'ont dit quand et où tu arriverais. Ils ont refusé de me dire pourquoi tu avais fait ce voyage mais… Ils m'ont dit que tu n'étais pas de ce temps : tu viens de plus de mille ans dans le futur. »

Caroline encaissa le choc. Elle ne savait pas pourquoi elle croyait cette femme sur parole, elle dégageait une sorte d'aura de sagesse, une sorte de présence réconfortante, et l'on savait toute suite que l'on pouvait lui faire confiance.

« Où suis-je ? Comment est-ce que je peux rentrer chez moi ? Pourquoi… Pourquoi moi ? »

Ayana se pencha vers elle et lui prit la main.

« Caroline, les esprits n'ont pas parlé d'un retour… »

Les yeux de Caroline s'écarquillèrent. Pas de retour ? Alors elle allait devoir vivre mille ans dans le passée, entouré de gens qu'elle ne connaissait pas et qui ne parlait pas sa langue ?

« Caroline, nous allons devoir prendre des mesures. J'ai déjà dit aux autres membres du village que tu étais la fille de l'une de mes amis d'enfance. Que ta mère eût épousé un homme d'une contrée éloignée et qu'elle était partit y vivre avec lui. Ainsi serait expliquer ton manque de connaissance envers notre langue et nos coutumes. Ils pensent que tu viens vivre avec moi parce toute ta famille est morte… La fille de mon amie Esther, Rebekah, à accepter de m'aider à t'apprendre notre langue, nos coutumes et notre cuisine. Je sais que ce sera dur pour toi… Je suis désolée que tu es à vivre cela. »

Caroline ferma les yeux et serra ses paupières très fortes, dans l'espoir de retenir ses larmes. Un espoir vain. Mais bientôt la détermination vient se mêler à la tristesse. Elle était Caroline Forbes : rien ne pouvait l'arrêter, pas même un voyage incontrôlé dans le temps. Elle allait devenir la parfaite petite femme au foyer du Xème siècle !

« Ayana, ou somme nous ? Dans quel ville… Enfin village ? » Sa voix sonnait plus faible qu'elle ne l'aurait voulue mais, après tout, Rome ne s'était pas faite en un jour.

« Ici, nous somme dans ce qui deviendra Mystic Falls. »

Donc, dans un sens, elle était toujours à la maison.


(1) : Mlle Caroline, je vous ai trouver.

(2) : Désolé, Mlle Caroline, j'ai oublié.

(3) : Ayana, je vous amène votre invitée.

(4) : Merci, Helgi.

Alors, j'ai utilisé de l'Islandais parce que c'est la langue la plus proche du vieux norrois (langue utilisée par les viking). Bien sûr, je ne parle pas un seul mot d'Islandais donc, je l'avoue, j'ai utilisé Google Trad. Si l'un d'entre vous parle Islandais (ou mieux : le vieux norrois) je serais très heureuse de savoir si j'ai fait des fautes et si oui, lesquelles ? Je serais très heureuse de les corrigés. J'espère que vous avez apprécier ce premier chapitre et qu'il n'y'a pas trop de faute, j'ai fait une relecture mais sait-on jamais. Ce n'est que le début bien sûr, mais j'espère que quelqu'un lira (et appréciera) cette histoire.

Dans tous les cas, que vous aimiez ou détestiez. Laissez-moi un mot, une review ou un message privé, pour me dire ce que vous en pensez. Bye, Lily-Jolie Evans Potter.