Coucou Chers Lecteurs Adorés ! [Nymphadora Burd : « N'en faisons pas trop, ils nous croirons pas après »]

Quelques One-Shot rien que pour le plaisir de vos yeux !

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Ammara : « Nous sommes enfin de retour. »

Psykedelikworld : « Pour vous ecrire des mauvais tours. »

Jénova : « Afin de préserver le monde de la gryffondorisation. »

Nymphadora Burd : Afin de rallier tous les peuples à notre nation.

Ammara : Afin d'écraser l'amour et la vérité.

Psykedelikworld : Afin d'étendre notre pouvoir jusqu'à la Voie Lactée.

AngelRyetdevilDray : AngelRyetdevilDray.

Nymphadora Burd : Nymphadora Burd

Psykedelikworld : Psykedelikworld.

Ammara : Ammara

Jénova : Jénova

Sebarrya : Sebarrya

Jenova : La Malfoy Team plus rapide que la lumière.

Sebarrya : Rendez-vous tous ou ce sera la guerre.

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Moonlight Serenade

Le vent souffle dans mes cheveux et j'aperçois les lumière de la ville au loin. La Lune brille tel un diamant opalescent sur le velours de la nuit. Je sens le pouvoir que m'ont légué mes ancêtres danser dans mes veines. Je me sens fort en cet instant et je sais que mon aimé dort en dessous de moi. J'imagine ses cheveux éparpillés sur l'oreiller, la Lune allumant des reflets bleutés dans le jais de sa chevelure, J'imagine sa peau dorée et douce. J'imagine les long cils sombres qui ombrent ses paupières fermées et caressent ses joues délicatement rosées, et derrière l'écrin de ses paupières j'imagine ses magnifiques orbes, plus belles que la plus belle des émeraudes. Et là moi, Draco Lucius Malfoy, sang-pur par excellence, je pense à une chanson moldue. Une magnifique chanson, Je ne me rappelle plus l'auteur mais les paroles dansent dans ma tête.

I stand at your gate and the song that I sing is of moonlight I stand and I wait for the touch of your hand in the June night The roses are sighing a Moonlight Serenade. Et je pense encore à mon ange endormi, je pense à son corps fin et délicat reposant entre les draps immaculés du lit qui laissent son dos et ses reins découverts. Je l'imagine s'agitant à cause du songe qui trouble son sommeil et un soupir s'échappe de ses lèvres purpurines. Et sa main se tend vers mon oreiller, ne rencontrant que des draps froids. Je me demande comment un être si pur, si bon a pu me choisir, moi à l'âme blessée et si longtemps salie. Mon père était bon pour moi, il m'aimait.

Mais le Lord Noir me l'a prit lorsque ma mère lui a apprit qu'il ne voulait pas que je devienne un mangemort. Alors, j'ai décidé d'entrer dans l'Ordre, afin que le sacrifice de mon père ne soit pas vain. Et alors, que tous me battaient froid et me dévisageaient avec méfiance et circonspection, lui m'avait simplement sourit, de ce sourire si doux et si beau. The stars are aglow and tonight how their light sets me dreaming. My love, do you know that your eyes are like stars brightly beaming? I bring you and I sing you a Moonlight Serenade. Il m'avait sourit, à moi le fils de mangemort qui l'avait tellement insulté durant notre scolarité. Et j'avais sentis un poids quitté mes épaule. Et je m'étais sentis léger et pardonné. Et j'avais compris à cet instant qu'il était mon Salut, mon absolution, mon espoir et ma vie aussi. Mon ange aux yeux d'Espoir...

Et puis je me souviens des longues soirées passées en sa compagnie à élaborer des plans contre Voldemort et je me souviens que ses soirées finissaient toujours dans le rire. Et je me délectais du son cristallin qu'il laissait échapper comme les trilles d'un rossignol ou des clochettes d'argent tintinnabulant dans le vent. Je suis poétique ce soir. Et toujours cette chanson. Let us stray till break of day in love's valley of dreams. Just you and I, a summer sky, a heavenly breeze kissin' the trees. Et puis, nos rapports avaient changés. D'abord, c'était de simples effleurements, éphémères et anodins. Des genoux qui s'entrechoquent. Des coudes qui se frôlent des doigts qui s'effleurent. Une rougeur qui apparaît sur nos joues. De longs regards échangés. Puis, des mains qui se perdent dans des cheveux lorsque l'on croit l'autre endormis.

Et les baisers, chastes et tendres, et qui pourtant emplissent le cœur de bonheur. Et enfin, la première fois que l'on se perd dans le corps de l'autre. Je me souviendrais toujours de cette nuit là. Il était tard, le sommeil me fuyait et j'avais donc décidé de me lever. Une pluie diluvienne s'abattait au dehors, me donnant l'impression d'être seul au monde. Je marchais dans les couloirs lorsque j'entendis de légers sanglots provenant de la chambre de Harry. J'avais ouvert doucement la porte et découvert un spectacle qui m'avait lacéré le cœur. Il pleurait, assis sur son lit, ses bras entourant ses genoux. Il y avait tant de détresse dans son regard , tant de douleur. Alors, je m'étais approché doucement pour ne pas l'effaroucher.

Et je m'étais assis sur son lit. Et je l'avais pris dans mes bras. Il avait levé ses yeux vers moi et m'avait demandé de l'embrasser. Notre innocent baiser était vite devenu plus passionné et nos mains s'égaraient de plus en plus sur le corps de l'autre. Mais j'avais peur de profiter de lui. Sentant mon hésitation, il planta son regard forêt dans le mien et lu la question silencieuse qui y était présente. Il hocha la tête, sourit et me donna un profond baiser. Je l'allongeais alors doucement sur le lit tout en continuant à l'embrasser. Plus vite qu'il ne faut pour le dire, nos vêtements volèrent à travers la pièce tant nous étions avides de nous sentir peau contre peau.

Je plongeais mon visage dans son cou, léchant et suçant sa peau sucrée, apposant ma marque sur lui. Je descendis plus bas, titillant les boutons de chair qui pointaient vers moi tandis qu'il se cambrait en gémissant mon prénom et qu'il fourrageait dans mes cheveux. Je descendis encore plus bas, jouant avec son nombril sensible et mes mains caressaient ses hanches, ses cuisses, son visage voulant être partout à la fois. Puis, je m'occupais de son membre dressé, soufflant et léchant, enivré par son odeur de paradis et par ses gémissements qui étaient la plus belle mélodie du monde. Je portais ensuite mes doigts à ma bouche, les humidifiant, avant de m'approcher de son antre.

Je le préparais doucement, m'arrêtant lorsqu'il avait mal. Puis, j'avais pris possession de lui tendrement et lui avait fait passionnément l'amour et... Deux bras fins s'enroulèrent autour de ma taille, interrompant mes délicieuses pensées. -A quoi penses-tu, mon amour? -A toi, bien sur. Désolé de t'avoir réveillé. -Rassures toi, tu n'as fais aucun bruit c'est juste que je me sentais seul. Je me tournais vers lui, il avait enfilé une de mes chemises blanches, qui sous les rayons de la Lune semblait translucide. Je serrais contre moi ce corps infiniment désirable puis esquissant les pas d'un slow, je fredonnait doucement le reste des paroles de la chanson qui tournait en boucle dans ma tête et dont je me souvenais du titre Moonlight Serenade. Tout irait bien à présent, mon ange était dans mes bras.

So don't let me wait, come to me tenderly in the June night. I stand at your gate and I sing you a song in the moonlight A love song, my darling, a Moonlight Serenade.

Fin

Pskydelikworld

NOTE : La chanson est Moonlight Serenade de Frank Sinatra

PS : Qu'est-ce que vous en avez pensé ? Des idées à nous donner pour de prochain OS ? Surtout n'hésitez pas ...