MA FOLLE HISTOIRE
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Par : TorryLexa

Dédié à : Tous les fans de la série

Basé sur : la réalité, un rêve et un peu beaucoup de fiction

Rien ne m'appartient, je ne ferai pas d'argent et blablabla sauf mon vrai moi !
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Journal 14 mai 2006

Ce soir, assise dans mon lit entrain de regarder la rediffusion de la semaine d'un épisode de l'émission mutant X, l'idée d'écrire m'envahis. Non je n'avais pas envie de poursuivre mes autres fics déjà commencés. J'avais envie de devenirs ces héros mutants. Puis l'idée m'est venu de me mettre dans la peau de l'un d'entre eux et de vivre une aventure qu'il ou qu'elle aurait vécu. Ensuite je me suis demandé, qui je voudrais vraiment être. Alors pour répondre à cette question et pour répondre à cette envie si soudaine, j'ai décidé d'écrire une mini fic dans laquelle je deviendrais l'espace d'un chapitre l'un d'entre eux. À chaque chapitre je change de personnage pour pouvoir être chacun d'entre. Voilà donc ce que mon histoire a donné…

Note : Le personnage que j'incarnerai dans chaques chapitres est inscrit près du chiffre du chapitre en question suivit du titre du chapitre.

Note : Les narrations sont là pour vous situez un peu dans l'histoire

UNE JOURNÉE HORS-DE-L'ORDINAIRE

Chapitre 1-Shalimar- : Un match parfait

Narration : La journée venait de commencer et pourtant tous semblait occuppé. Lexa était partie déposer des fleurs sur la tombe de son frère, Jessie naviguait encore sur le web, Brennan s'entraînait près du panier de basketball et Shalimar l'observait.

Narration : L'histoire commence dans la pièce où sont Brennan et Shalimar

Brennan : Alors que comptes-tu faire aujourd'hui ?

Moi : Je ne sais pas trop. J'avais prévue d'aller me balader un peu cet après midi, mais avec ce temps grisâtre, je crois qu'il vaut mieux que je repporte cela à un autre jour.

Bren : C'est vrai que cette température commence à devenir ennuyante…

Moi : Il me faudrait un peu d'action, c'est mort ici depuis un mois, je m'ennuie !

Bren : Bah en attendant sa te dirait de disputer un match de basket contre moi ?

Je souriai face à cette remarque et j'aclattai de rire.

Brennan vexé : Quoi ! Je ne vois pas ce qu'il y a de si drôle. Bon, tu perdrais d'accord, mais au moins il y aurait un peu d'action !

Moi toujours en riant : Mais qu'est-ce que tu racontes Brennan, c'est toi qui perdrais. Tu ne te rappel pas la dernière fois… ?

Bren : la dernière fois je t'ai laissé gagné.

Moi : Menteur !

Bren : Mais oui, je t'assure.

Moi : Je suis plus forte que toi et tu le sais très bien. D'ailleurs, je vais te le prouver à nouveau. Le premier qui marque 5 fois d'accord ?

Bren : C'est d'accord.

Brennan prit le ballon et me le lança

Bren : À toi l'honneur de commencer, tous les coups sont permis. Mais attention, interdiction d'utiliser nos pouvoirs.

Je commencai à dribler.

Moi : Pourquoi, tu as peur de perdre ?

Suite à ces mots, une étonnante partie s'engagea. Au bout d'une quizaine de minutes, la partie se retrouva 4 à 4. Brennan s'empara du ballon pour marquer le dernier point et me bouscula un peu sans le vouloir. Je tombai face contre terre et je me mit à gémir de douleur.

Bren : Shal, sa va ?

Moi : Ma cheville, elle me fait souffrir. Je crois qu'elle est cassée.

Brennan se pencha vers moi

Bren : Attends, laisse-moi voir ?

Je profitai de ce moment pour m'appuyer sur son dos et m'emparai du ballon rapidement pour le lancer au panier. Je perdis l'équilibre et je tombai assise au sol, morte de rire.

- J'ai gagné; 5 contre 4, qu'est-ce que tu dis de sa?

Brennan se releva et me pointa du doigt

Bren: C'est pas du jeu

Moi: Si! On avait dit que tous les coups étaient permis sauf l'utilisation de nos pouvoirs. Je ne les ai pas utilisés.

Brennan fit une moue de petit garçon triste.

Bren: T'as profiter de moi! Tu as fait croire que je t'avais blessé.

Je lui lançai un petit sourire.

Moi: Je n'ai pas profité de toi, j'ai profité de la situation. Eh puis, je ne t'ai pas menti, j'ai vraiment mal à ma cheville, dis-je plus sérieusement.

Brennan redevint sérieux et vint m'aider à me relever. Il m'aida à m'asseoir sur une chaise qui était tout près.

- Sa va aller me demanda t-il?

J'acquiesçai d'un signe affirmatif.

Bren : Attend je vais jeter un coup d'œil.

Il s'abaissa à mon nouveau et me retira avec précaution mon espadrille gauche ainsi que mon bas. Je me retins pour ne pas hurlé de douleur.

Bren : Ce n'est pas très beau à voir. Bon allez on va au labo.

- Quoi, dis-je en riant?

Bren : Oh que si et dans ton état, tu ne devrais pas marcher.

Il s'empressa de me prendre dans ses gros bras musclés. J'éclatai de rire à nouveau.

Moi : Brennan arrêtes, je ne suis pas handicapé, Brennan…

En remontant vers le labo, nous croisâmes Jessie.

Jess : Qu'est-ce qui se passe?

Bren : Shal c'est blessé à la cheville et je l'amenais à l'instant au labo pour que tu lui jettes un œil.

Jess : Très bien, dans ce cas allons-y!

Moi : Brennan….

Bren : Tu dois suivre les conseils du bon docteur.

Moi : Quoi? Jessie docteur, tu te moques de moi là?

Bren : Non, pas du tout.

Jessie échappa quelques éclats de rire qu'il cachait derrière son sourire taquin.

Moi : Qu'est-ce que tu as toi, lui dis-je?

Jess : Moi?

Moi : Bah oui toi?

Jess : Oh, mais rien, mais rien.

Moi : Ben allé, crache le morceau.

Jess : Mais quoi? J'ai rien fait!

Sur ce les deux hommes éclattèrent de rire.

Moi : C'est sa, moqué vous de moi.

Au labo

Jess : Très bien dépose-là ici, dit-il en désignant le lit d'examen à Brennan.

Brennan me déposa enfin et les garçons retrouvèrent leurs sérieux. Jessie se mit à examiner mon pied.

Moi : Aille!

Jess : Désolé! Tu as de la chance elle n'est pas cassée. Cependant, tu as une très vilaine entorse et je n'aime pas du tout ça! Donc, interdiction de marcher ou de t'appuyer sur ton pied avant deux jours minimum. Je veux que tu te reposes et que tu mettes de la glace sur cette cheville. J'aimerais qu'elle désenfle et qu'elle perde ses vilaines couleurs. Si tu respectes tous ça, dans deux jours tu pourras te remesurer à Brennan.

Bren : Et elle va respecter tout cela, j'y veillerai!

Brennan me reprit dans ses bras et me porta jusqu'à ma chambre. Il me déposa dans mon lit et m'emmena de la glace que je déposai sur ma cheville. Ensuite, il s'assit sur une chaise près de moi.