THE KING'S WHORE

Disclaiming : Tous les personnages appartiennent à JKR.

Couple : Harry Severus, Harry Drago, Harry Voldemort (qui apparait dans le troisième chapitre)

Inspiration : Le film la putain du Roi en anglais the King's Whore. Il a été réalisé par Alex Corti. Le roi est joué par Timothée Dalton. Valeria Golino joue la putain.

Résume : Harry se marie avec Severus et part vivre en Angleterre. La bas, il rencontre le Roi Voldemort. Qui semble bien décidé à s'emparer de Harry sous les yeux de son époux.

WARNINGS: Ce chapitre n'a pas été corrigé le je publie comme cadeau de Halloween et pour vous faire patienter avant la publicaion prochaine de Un Roi Sans Royaume ! Je ne sais pas si je terminerai cette fic mais elle a deux autres chapitres prets. Donc, si elle vous plait je peux la continuer !

Voilou Gros Bisous et JOYEUX HALLOWEEN

Chapitre 1 :

- Pourquoi ne puis-je aller faire la guerre comme Sirius? S'écria un jeune homme Brun aux yeux verts brillant de rage dans une diligence qui le conduisait à Paris.

- Harry, j'ai déjà perdu Sirius contre les Prussiens. Je ne veux pas te perdre aussi. Répondit ce qui semblait être la figure paternel. Il avait portait une perruque blonde qui ne seyait pas à ses yeux saphirs. Il portait un pourpoint bleu symbole de son appartenance à la noblesse.

- Laisse-moi venger mon frère, en m'engageant. Insista le plus jeune.

- Il suffit Harry. Tu n'as pas a discuté mes ordres.

Harry sut aux regards fermés de son père que la discussion était close. Tenter de faire fléchir son Père ne ferai qu'envenimer la situation. Il poussa un soupir agacé pour, souligner son mécontentement. Il s'installa plus confortablement dans la diligence en s'affalant. La tête appuyée sur le rempart de bois couvert de velours, laissant apparaitre les deux émeraudes qui mangeait tous son visage brillé de larme de rage, les mèches éparpillées de ses cheveux noirs faisant ressortit le rosé de ses joues. Il sentit le regard de son Père sur lui, ce n'était pas un regard qui se voulait rassurant. Harry le savait calculateur comme celui du père de son meilleur ami, qu'il était sur de retrouver. Il savait parfaitement pourquoi il allait à Paris alors que son père l'avait toujours tenu éloigné des manigances et sulfureuse histoire de la cour. Mais à présent, il n'avait pas le choix, il était le nouvel héritier de la famille Potter, le dernier. Normalement, en tant que cadet, il aurait du s'engager dans l'armée, son père l'avait formé à cela des sa naissance. Mais aujourd'hui cela était différent. Il savait qu'il ne saurait pas gérer un domaine et certainement pas un domaine aussi vaste que celui des Potters. Son père avait du se résigner au mariage. C'est pour cela qu'il ne voulait pas se rendre à cette réception donnée en l'honneur de l'illustre maison Potter et de la perte de Sirius. Harry ne voulait pas voir tout ses regards scrutateurs sur lui. Il savait parfaitement à quoi s'en tenir sur la cour française à son époque son père et défunt frère ayant été suffisamment clair. Le pire de tout cela, c'est qu'il devait se résigner à épouser un homme. Ce qui était extrêmement rare et accepté que dans des situations exceptionnelles avec l'accord du roi. Harry espérait sans réel espoir que le Roi refuse cette requête. Toutes les personnes présentes ne seront en réalité présentes que pour le juger, insensible à la véritable douleur qui est la perte d'un être cher. Au fond, Harry espérait qu'il dusse partir à l'étranger. Il refusait de rester au côté du Roi pour le défendre, alors qu'il avait mené Sirius à la mort.

Lorsqu'Harry parvint à Versailles, il ne put s'empêcher d'être ébloui par la beauté des lieux. Le cocher leur ouvrit la porte, son Père sortit avec la prestance du à sa condition suivit par son fils. La, un valet nommé Ron Weasley qui travaillait pour les Potters, et que Harry aimait beaucoup les conduisit dans une chambre pour qu'il se prépare pour la réception de ce soir. Harry était content que ce soit un de ses amis qui s'apprêtait à l'aider à se préparer. Il faisait partit du peuple, mais Harry l'aimait beaucoup, il se demandait si il pouvait le garder une fois marié. Le Brun se gifla pour cette réflexion, il avait déjà accepté l'idée u mariage.

Il prit les vêtements apportés avec lui, que son père avait spécialement acheté pour l'occasion tout en se dirigeant vers la salle de bain. En entrant, Ron l'y attendait déjà, avec un sourire sincère :

- J'ai prit l'initiative d'indiquer aux autres domestiques que vous vouliez de l'au brulante Mr le Comte.

- Je te remercie Ron.

Harry laissa glisser sa main à la surface de l'eau, dans un geste qui paraissait sensuel. L'eau à sa convenance le Brun commença à enlever son pourpoint bleu, puis commença à déboutonner sa chemise blanche. Quand, il entendit un déglutissent, il se rappela qu'il n'avait pas donné congé au roux. Il se tourna vers lui, pour voir le visage de son ami aussi rouge que ses cheveux.

- Ron, j'ignorai que la couleur rouge vous seyait aussi bien au teint. Dit-il joueur.

Ron, rougit davantage, ce qui fit franchement rire son jeune maitre.

- Vous pouvez disposez mon ami. Vous savez bien que je n'aime pas que des personnes soit présentes quand je me lave. Surtout que cela vous incommode autant qu'a moi semble –t-il.

- Non…non Mr le comte…je. Bégaya le roux en triturant ses mains.

- Allons calmez vous ce n'est pas un reproche. L'informa Harry, alors que sa chemise glissait le long de ses épaules, avant de descendre jusqu'au sol.

- N'hésitez pas à m'appeler si vous avez besoin de quoi que ce soit. S'écria Ron extrêmement vite avant de partir en courant de la salle d'eau.

Harry le regarda surprit. Il n'était pas sur d'avoir saisi ces derniers mots, mais en supposait le contenu. Il se demandait pourquoi son serviteur c'était enfui aussi vite. Il fallait bien avoue que c'était pour ca qu'il l'appréciait autant. Il était pareil tout deux, incapable de se contenir, agissant par instinct. C'est ce qui lui fallait dans un lieu aussi protocolaire que Versailles. D'ailleurs, il se demandait bien s'il était capable de se comporter convenablement, en accord avec son rang. Il poussa un soupir, en enlevant son pantalon et sa culotte dans un même mouvement. Avant de se diriger vers la baignoire, c'est alors qu'il croisa son reflet dans le miroir à pied face à la baignoire. Il se détailla de la tête au pied, un corps fin, avec quelques muscles saillants, la peau blanche, des hanches fines, il comprenait à présent pourquoi son père doutait de sa capacité à aller au combat. Pourtant, même si son physique jouait en sa défaveur cela était différent pour le maniement à l'épée. Comme tous les nobles l'escrime faisait parti de son apprentissage, mais son père l'avait toujours trouvé trop mou, favorisant l'élégance à la force. Alors que, Sirius, était l'héritier parfait « beau grand et fort » disaient les jeunes filles croisant son chemin. Il vit une larme couler sur sa joue, le visage impassible. Qu'allait-il devenir sans son frère ? Il interrompit ses pensées, il n'avait pas envie de voir entrer Ron pour lui apporter de l'eau, alors qu'il était sur le point de se laisser aller sa peine.

Harry se leva ses larmes se mélangeant à l'eau. Il devra rester impassible tout à l'heure, ne laisser voir aucune faiblesse. Il plongea dans l'eau retenant sa respiration, et lorsqu'il en ressortit son regard avait changé. De perdu il était passé à déterminé.

Il était nu immobile figé comme une statut, insensible au froid et au regard dérobé de son serviteur. Celui-ci lui fit mettre son pantalon, et lorsqu'il croisa le regard de son maitre en relevant la tête, il fut surpris par la froideur qu'il se dégageait de lui. Il lui fit mettre sa chemise et en attachant ses boutons, il ne put s'empêcher de trouver cette action sensuelle, mais il cru qu'il allait déchirer la chemise quand la voix de son maitre brisa le silence.

- Ron, comment est la vie à la cours ?

- Par…pardon ? Parvint-il à bégayer.

Harry chercha son regard avant de se répéter.

- Quel est le comportement des gens à la cour ?

- Eh bien…c'est-à-dire … Bégaya Ron se figeant.

- Pourquoi, hésites tu donc ainsi ?

- Mr le Comte, me demande une chose délicate… Commença Ron enchainé à ce regard vert si profond.

- J'ignorais que ma requête te paraitrait aussi incongrue. Mais je ne puis demander à d'autre. Je te fais confiance et ceux depuis petit…Tu n'as jamais hésité a donné ton avis avec franchise comme un véritable ami. Alors une nouvelle fois, mon ami je te le demande : dois-je me méfier des courtisans ? Harry le regardait droit dans les yeux pour lui montrer qu'il était sincère. Il savait d'où venait cette réticente à son égard. Lorsque son père l'avait vu se battre avec Ron le fils de la cuisinière, il avait sévèrement puni son ami. Harry vainement essayé de lui expliquer que c'était innocent que c'était un jeu. Cependant, cela ne fit que décupler la colère de son père. Il avait fouetté Ron devant Harry, en hurlant qu'il ne devait pas se mélanger à ces gueux et que Ron ne devait plus jamais se montrer aussi familier. Cela remontait il ya 11 ans mais les séquelles étaient encore la.

- Pourquoi…pourquoi continuer à me considérer comme votre égal ? Nous savons tout deux que cela ne rends que les choses plus difficiles… Expliqua Ron.

Harry posa ses mains sur les siennes et le regarda droit dans les yeux pour être certain que son ami pensait ce qu'il disait. Il vit dans ce regard noisette la lassitude et l'impassibilité. Il retira lentement les mains de son ami de sa chemise.

- Tu peux disposer. Je vais me débrouiller seul. Ordonna Harry d'une voix impassible.

- Qu…quoi, mais, pourquoi ? Si je vous ai offensé, je …

- Pourquoi discutes-tu ? Ne te suis-je pas supérieur ? Demanda Harry d'une voix glaciale.

Au regard glacé de son maitre et à sa voix, il sut que le Comte était profondément énervé. Il su qu'il avait fait une erreur, et que cela ne serai pas sans conséquences.

- Oui, Monsieur le Comte. Je vous souhaite tous mes vœux de bonheur. Murmura Ron en s'inclinant.

- Adieu. Dit Harry. Ron releva la tête surpris.

Harry lui tourna le dos pour terminer de s'habiller et expliqua :

- J'espère bien quitter la France. Je choisirai quiconque me permettra de quitter ce pays, ou les gens perdent espoir, n'ont plus la force de se battre, se laisse asservir. Pourtant en lisant ses philosophes que l'on nomme « lumière », j'ai cru voir une étincelle. Je suis si déçu. Il faut se rendre à l'évidence l'image de l'héroïsme et du gentilhomme a laissé la place aux roués, et aux désabusés qui ne croivent pas même en eux. La Noblesse a été éduquée en ayant pour principe de montrer la voix à la plèbe si vulgaire. Alors, lorsque je vois l'image que nous vous donnons, j'ai pensé que peut être le peuple français se battrait pour des idéaux qui furent les nôtres autrefois. Mais, je dois me rendre à l'évidence nous sommes bien trop lâche. Je dis « nous » car moi-même, je fuis. Je pourrai ouvrir la voie, à un nouvel ordre mais je préfère fuir loin. Oui, nous avons tous et toujours le choix, mais nous sommes tous bien trop lâches.

Ronald Weasley, avait regardé et écouter son maître avec attention et se sentit bien honteux. Il soutenait comme tout le peuple ces philosophes et ces groupuscules révolutionnaires. Mais, il se contentait de les approuver de loin. Il n'avait jamais pris conscience de sa lâcheté. Harry, était peut être un couard, mais la différence était qu'il le savait. Voila, pourquoi les nobles à moins que ce soit que Maitre Harry étaient supérieurs. Tous disait que les nobles se croyaient supérieurs grâce à leur privilèges, mais à présent il avait la certitude que si leur ordre avait su se maintenir si longtemps et dans chaque pays. Cela était parce qu'ils étaient beaucoup plus réalistes qu'ils ne le paraissaient. Ils n'étaient pas tous perdu dans des complots ou dans orgueilleux raisonnement que l'oisiveté leur fait percevoir comme subversif. Oui, ils avaient encore à apprendre de la noblesse avant de pouvoir les surpasser pour créer un nouvel ordre.

Harry était prêt. Il était devant la salle de réception de Versailles et s'apprêtait à faire son entrée dans le monde. Il portait un pourpoint bleu marine qui accentuait les reflets bleutés de ses cheveux, des arabesques étaient cousues de fil d'argent le long du col et sur les manches. Ses cheveux étaient attachés en catogan, il ne portait pas de perruque et ne s'était pas poudrés. Sa peau semblait être en porcelaine, ses traits inspirés des antiques statues grecques, ses lèvres carmin semblaient se battre avec les émeraudes brillantes pour la dominance de la couleur.

Il s'avança vers la salle et attendit que le Chambellan l'annonce.

- Monsieur Harry James Potter Comte de Bretagne.

Aussitôt, la foule se tut et s'avance vers les marches afin de voir l'héritier Potter. Celui, descendait l'escalier avec un maintien parfait, un regard altier une démarche souple et élégante. Personne, n'aurait imaginé que cadet devenu ainée de la famille serai aussi…surprenant. Cela était inattendu. Un jeune Homme que toute la cour ne connaissait que de nom, à part le dauphin et le Marquis de Malefoy. James Potter, avait très bien joué ces cartes. Il avait peut être perdu une perle en Sirius mais avait trouvé un diamant brut en Harry. Le jeune Monsieur Potter, semblait si différent et pourtant dans son élément. Il n'avait pas suivit les codes vestimentaires de rigueur à la cour et cependant semblait parfaitement à sa place. Il semblait authentique alors que tous ne vivaient que grâce aux apparences. Beaucoup, se sentirent un instant gêné, il s'était tous attendu à un de ses extravagant et beaucoup n'était venu que pour le tourner en ridicule Tous s'attendait un provinciaux qui part ses nombreux impairs allaient les faires rire. Mais, Harry n'était rien de tout cela, même si le mariage du même sexe avait exceptionnellement obtenu l'accord du Roi ou plutôt du Prince qui avait convaincu le Roi il ne ressemblait en rien à ces homme ayant les manières d'une femme. Certes, le jeune homme avait un air androgyne mais il était définitivement masculin.

Personne n'osait s'approcher, ne voulait faire cesser l'impression que donnait L'Héritier Potter. Mais, le Marquis de Malefoy s'avança :

- Bonsoir, Harry. Tu es ravissant ce soir. Dit-il en lui faisant le baise main.

Ce qui fit rougir Harry et donna de l'espoir à la salle. Il sembla plus accessible et plus désirable à son arrivé on commençait plus à se dire qu'il était un Homme si hors du commun qu'on ne pouvait que l'idolâtrer. En effet, il paraissait alors inaccessible. Mais, en cet instant tous les invités, pensèrent qu'il leur fallait parler à Potter et plus si affinité.

- Bonsoir, Drago. Tu peux me rendre ma main à présent. Déclara Harry en essayant de reprendre contenance.

- Pourquoi cela ? Je veux que tous comprennent que tu es à moi et qu'ils n'ont aucune chance. D'ailleurs, ils n'avaient qu'à agir plus vite. Expliqua Drago d'un ton bougon.

- Ne cesseras-tu donc, jamais d'agir comme mon Mari ?

- Mais c'est que je compte bien le devenir. Lui Rappela Drago avec un sourire éblouissant.

- Tu es mon meilleur ami et je sais que tu es incapable de t'établir dans une relation sérieuse ou d'être fidèle. J'ai besoin de quelqu'un de fiable. Déclara Harry agacé. Il ne vit pas la lueur blessé qui traversa le regard de Drago.

- Tu penses que je ne pourrais pas te… Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que l'arrivée du Roi fut annoncée.

Louis XV accompagné du Dauphin arrivait à l'opposé des marches par un appartement qui d'après les oui dire était lié à la chambre du Dauphin. Leurs vêtements n'étaient qu'un débalement de richesses. Le Roi avait revêtue son manteau d'hermine bleu et blanc avec les fleurs de Lys cousu de fil d'or sur le dessus : le symbole de la royauté française. Tous surent que cette soirée revêtirait un aspect solennel et sacré. Soudain, on vit James Potter derrière le Dauphin. Harry sentit son sang ce glacé à cette constatation. Le Dauphin, était un ami sa laideur physiques n'avait pas de grande importance pour Harry. Mais, sa future condition de Roi mettra Harry au premier plan. Ce que celui ci voulait à tout prit éviter. Son père n'était qu'un vil manipulateur, lui et Lucius Malefoy était finalement de la même trempe.

Le Roi s'avança vers Harry, celui-ci attendit que le Roi lui adresse la parole pour pouvoir se relever et lui présenter ses hommages.

- Bonsoir, Harry, votre présence à ce bal nous ravit.

- Je vous remercie votre Majesté de l'honneur qu'elle me fait. Déclara Harry en redressant la tête. Ces émeraudes troublèrent un instant le Roi

- J'espère que vous trouverez …comment dit-on « chaussure à votre pied ».

Harry ne répondit pas. Il avait peur de laisser échapper sa rancœur. Heureusement, le Roi prit cela pour de l'humilité.

- Passez une agréable soirée mon ami. Termina le Roi en s'éloignant, et se dirigeant vers son trône.

Harry les suivit du regard avant de croiser celui furieux de son père. Si son impolitesse avait été mal interpréter par le Roi, elle ne l'avait pas été par son père. D'ailleurs, celui-ci s'avançait déjà vers lui. Mais, il se figea comme toute la salle ce qui permit à Harry de s'esquiver avant de tourner son regard vers la source de ce vacarme.

Un homme venait de pénétrer dans la salle de bal par la force. Il devait pleuvoir dehors puisque celui était trempé, il portait une longue cape avec une capuche noire. Les femmes se mirent à crier, puisque seul un brigand aurait forcé la porte et surtout risqué la mort en ne respectant pas le protocole. C'est-à-dire, arrivé après le Roi. Les invités beaucoup trop choqués pour réagir, laissèrent l'homme s'avancer vers le Roi. Harry se précipita vers l'Homme sortit son épée et la dirigea dans le cou de l'homme.

- Monsieur, veuillez décliner votre identité. Ordonna Harry.

Les invités retinrent leur souffle. L'homme se dégagea brusquement, sortant sa propre épée. Les deux épées s'entrechoquèrent, ce qui fit glisser la capuche de l'Homme.

Le temps sembla avoir arrêté sa course. Les deux adversaires se fixaient immobiles. Harry ne pouvait quitter les yeux onyx de son adversaire qui semblait le sonder. Il avait des cheveux long et noir détachés dont les mèches mouillé lui collaient au visage. Il avait le teint pale, des traits pointu mais qui n'altérait en rien la beauté du visage. Au contraire, ce visage avait beaucoup de charme que le côté mystérieux de l'Homme me gâchait pas. Par sa prestance, Harry su que l'Homme était de la noblesse et l'air altier qui se dégageait de sa personne, ne faisait que renforçait cette hypothèse. Soudainement, il prit conscience que l'Homme le détaillait un sourire aux lèvres, ce qui le fit rougir.

- Allons mes amis. Baissez vos armes.

Les deux Hommes sans rompre le contact visuel s'exécutèrent. Ce qui n'échappa pas à Drago qui s'avança.

- Voila un comportement qui n'est pas digne d'un gentilhomme Monsieur…Déclara Drago d'une voix glaciale.

L'Homme quitta enfin, Harry des yeux et jeta un regard glacial au Blond avant de se détourner. Lui faisant clairement comprendre qu'il ne l'intéressait pas. Or, si il y a une bien une chose qu'un noble, un français et un Malefoy de surcroit détestait c'était bien d'être ignorer. Drago leva sa main prêt à gifler l'Homme devant lui pour provoquer un duel. Mais, une main ferme saisit son bras avant l'impact.

- Monsieur, vous parlez de me comportement, mais vous êtes incapable de contrôler le votre. Un gentilhomme qui désobéit au Roi et va jusqu'à provoquer un duel devant sa Majesté alors que celui-ci l'a interdit, mérite-t-il encore ce titre ? La voix de l'homme retentit pour la première fois. Elle était caressante mais contenait une pointe de menace. Cependant, ce n'était pas ce qui frappa le plus Harry. Ce fut l'accent de l'Homme, un accent qui lui avait donné des frissons. Ainsi, c'était un étranger. Cependant, devant le regard furieux de Drago, il crut bon d'intervenir.

- Certainement Monsieur. Mais, le débordement dont il a fait preuve n'avait pour but que de canaliser le votre. D'ailleurs, vous vous permettez de nous critiquer et nous ne connaissons pas même votre nom.

L'Homme, se tourna vers Harry ce qui figea Harry. L'Homme avait accroché son regard au sien à nouveau mais à cette fois c'était différent. La première fois, c'était presque une analyse scientifique mais, cette fois c'était différent. Il avait l'impression que cette fois le regard qui le détaillait, obéissait à une impulsion différente. L'analyse s'arrêta, lorsque Drago dégagea brusquement son bras attrapa celui de Harry et s'éloigna.

Plus tard, l'Homme fut présenté comme Ambassadeur du Royaume Uni. Harry n'eut pas le temps d'entendre son nom, qu'il fut trainé à l'écart des autres derrière une colonne. Il s'apprêtait à renvoyer ce malotru, mais n'osa faire un geste quand il croisa le regard furieux de don père. Celui-ci, n'hésita pas il gifla avec force son fils dont la tête heurta la colonne sur laquelle il était appuyé. Harry fut groggy quelque instant qui suffit à on père pour se saisir de l'épée de son fils à son ceinturon. Il la mit sous la gorge de son fils.

- Comment as-tu pu nous déshonorer à ce point.

- Je n'ai pas…Commença Harry. Mais, se tut quand la lame s'enfonça davantage dans sa gorge le faisant glapir.

- Je t'interdis de me répondre. Je ne t'ai demandé qu'une chose ne pas me faire honte et tu n'a même pas su t'y tenir.

-Mais père, j'ai cru que sa Majesté courrait un danger.

Je t'ai dit de te taire ! Tu sais que les duels sont interdits !S'écria James Potter en faisant couler le sang de son fils. Harry sentit la lame transpercer légèrement sa gorge. Il n'eut pas la force de crier ou même de gémir. Il fixait on père abasourdi. Il savait que son père était disons brutal, mais il ne l'avait jamais cru capable d'aller aussi loin. A cet instant, il jura de se venger.

- Écoute-moi bien mon fils. Tu va parader à cette fête, et leur montrer à tous qu'écarter les jambes c'est ce que tu fais de mieux. Et ne te fais pas d'illusion, la seule chose qui te donne de la valeur outre ton nom c'est ton apparence. Alors utilise-la.

Sur ces mots, James lâcha l'épée se son fils, qui tomba dans un bruit sourd. Celui-ci ne bougea pas, même quand son père lui tapota deux fois la joue, avant de le laisser. Harry resta quelque instant immobile, avant de baisser le regard er regarder l'épée. Il sentit les larmes lui monter aux yeux à la vue de l'épée. Il su pourquoi Sirius, l'avait toujours éloigné de leur père en le remplaçant. Il n'avait pas voulu qu'il sache qu'elle Homme il était ? Un homme qui avait jeté l'épée de son défunt fils comme il aurait fait avec un chiffon. Harry s'accroupi et la ramassa, la lame en argent était taché de son sang qui tranchait avec la brillance du métal. Comment son père n'avait-il pas reconnu cette épée ? Elle était unique son pommeau était d'or blanc incrusté de pierre précieuse et elle avait appartenu à Godric Gryffondor le meilleur escrimeur qui n'avait jamais existé. Il se redressa, serrant l'épée contre lui. Il n'allait pas obéir à son père. Il refusait de croire qu'il ne valait rien. Toutes ces années Sirius s'était arrangé pour qu'il soit entrainé par les meilleurs et qu'il sache manier les arts libéraux avec talent. Il essuya l'épée de son mouchoir, avant de la remettre dans son fourreau. Il appuya sa tête contre la colonne et sentit couler un liquide chaud le long de sa gorge, mais n'en n'avait cure. Il avait besoin de faire le point. Il ne sortit de ses rêveries que lorsqu'il sentit un tissu doux appuyé contre sa gorge. Il ouvrit les yeux prêts à voir le regard orage de son ami mais ce fut l'Onyx qu'il vit. Harry se figea l'Homme dont il ne connaissait toujours pas le nom était en train de le soigner. Il tenta de s'échapper, mais l'Homme raffermit sa prise sur la blessure.

- Cesser donc, de vous agiter. Vous allez aggraver votre blessure.

- Laissez-moi. S'écria Harry en se débattant.

- Vous étiez moins combattif face à votre père. Constata l'Homme.

Harry se figea, et se dégagea comme brulé. Il fixa l'Homme droit dans les yeux, le regard brillant de colère contenue.

- Je vous interdis de parler de ça. Cela ne vous concerne pas. La décence n'est-elle donc, pas enseignée aux nobles en Angleterre ?

- Je pensais, comme la demande de votre père s'adressait à toutes les personnes présentes, que mon avis ne sera pas de trop. Je voulais simplement, vous dire que votre physique éphèbe est certes attirant, mais ce caractère impulsif est très intriguant.

Harry frissonna à cette phrase et il était sur que ce n'était pas que l'accent. D'ailleurs le sourire en coin de l'Homme ne faisait que confirmer ses dires.

- Que voulez vous dire ? Le sourire de l'Homme s'agrandit, alors qu'il se penchait vers l'oreille de l'héritier Potter.

- Que je m'apprête à vous faire la cour. Murmura-t-il.

- Quoi ! S'écria Harry en s'éloignant de ce souffle chaud

- Je suis certain que vous m'avez compris. Je m'apprête à vous faire une cour des plus assidus et vous épouser. Déclara-t-il en profitant de sa proximité pour noué un mouchoir au cou du jeune homme qui était trop abasourdi pour réagir.

- Vous êtes bien présomptueux ! S'exclama-t-il en dégageant ces mains. Je ne vous connais pas et vous pensez que je vais vous épouser.

- Mais je compte bien me servir de cet avantage. Devant l'air étonné de Harry, il ajouta. Vous ne me connaissez pas, vous avez donc l'espoir que je serai différent de …de ces français.

- Je suis fier d'être français. S'exclama Harry mais néanmoins très intéressé par la vision que pouvait lui exposer cet Homme de leur coutume.

- Je suppose que vous le devez. Dit-il pensif. Mais, nous savons tout deux que vous ne pourrez vous épanouir dans cet environnement. Votre insolent ami Blond, en est un bon exemple, vous ne pourrez jamais aller ensemble, il est bien trop conformiste aux valeurs françaises.

- Vous pensez que le flegme anglais me seriez mieux au teint. Railla Harry, que la discussion commençait à énerver.

- Certainement. Votre esprit combattif s'est formé à l'encontre de cette noblesse, elle ne peut donc, s'accorder qu'avec un de ses représentants.

Harry regarda l'Homme comme si c'était la première fois qui le voyait.

- Quel est votre nom ? Demanda Harry d'un ton suave. L'Homme hésita un instant surpris de ce changement d'attitude.

- Severus Rogue Lord de la province de Manchester. Dit-il d'un ton neutre.

- Bien, Lord Rogue je vais être le plus clair possible. Dit Harry un sourire calculateur aux lèvres. Il s'avança d'une démarche féline vers Rogue. Le saisit par le col le tira vers lui et lui murmura à quelque centimètres de ces lèvres. It's none of your business.

Harry le relâcha avant de se détourner. Mais, il avait eu le temps de voir le sourire de Severus Rogue. Un sourire de prédateur.

Note de Harry- Gold- Child :

J'espère que cette "suprise"vous a plu.

N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez

Bisous à tous