Bonjour

Disclamer : Les personnages, les lieux ne m'appartiennent pas et sont la propriété de J.K. Rowling.

Rating : M.

Résumé : Il n'avait jamais eu connaissance de cette salle. Et elle lui avait pourris la vie en réalisant son plus grand souhait. Mais qui aurait put penser qu'il souhaitait revenir en temps qu'élève de Gryffondor ?

Faites un voeu professeur

1.

Severus se baladait dans les couloirs de Poudlard, tournant en rond, les pans de sa robe de sorcière volant autour de lui, lui donnant un réel air de prédateur. Son regard sombre voyageait à travers la pénombre à la recherche de proie peu maligne en pleine exploration nocturne. Depuis que l'homme au caractère peu aimable avait rencontré deux adolescents aux hormones en ébullition, il ne supportait plus le terme d' ` exploration nocturne ´ même si ce terme allait le mieux pour ce genre d'activité.

Une proie rentra alors dans son champs de vision. D'après la petitesse, la silhouette fine, la démarche décontracté, la main déterminé tenant la baguette qui éclairait le chemin, Severus put deviner que Potter était une nouvelle fois prit d'insomnie ou de somnambulisme - d'après ses dires en troisième années - choses qu'il n'avait malheureusement pour le Gryffondor jamais cru.

Severus marcha à un rythme calme et lent, mais ne perdant pas sa proie du regard, mettant une distance juste suffisante pour ne pas être vu ni entendu. Le Serpentard se félicitait d'avoir trouvé le sort qui le rendait invisible à toute entité comme le parchemin des Maraudeurs - Remus avait fini par avouer quand Severus lui posa la question après avoir malencontreusement mis du Véritasérum dans sa tasse de thé - et qu'il savait parfaitement que Potter l'avait en main comme à chaque sortie nocturne.

Le professeur de Potion refusait que le Gryffondor s'aperçoive tout de suite de sa présence. Il voulait tout d'abord connaitre la raison de cette sortie quelque peu hors règle scolaire. Ainsi, il fut emmené jusqu'au septième étage et devant une tapisserie étrange. Il vit Potter passer trois fois devant l'horreur accroché au mur avant qu'une porte n'apparaisse sous les yeux incrédules de Severus qui vit son élève disparaitre dans une pièce inconnu. Il voulut le suivre, mais la porte disparu dès qu'il toucha la poignet.

Il réfléchit quelques secondes, son cerveau aux performances supérieur au commun des mortels trouvant facilement la solution. Il passa trois fois devant la tapisserie, mais rien ne vint. Il soupira, fit les cent pas, réfléchissant. Puis une pensée anodine vint perturbé ses réflexions. ` Pourquoi ne suis-je plus un de ces étudiants ? Tout était simple à ce moment là. Je voudrais seulement revivre une année à Poudlard en tant qu'élève sans Black, Lupin et compagnie !´

Severus ouvrit grand les yeux et la bouche lorsque la porte apparu, se reprenant avant de franchir le seuil, annonçant d'une voix clair, basse et mielleuse à souhait. Des accents menaçant franchissant ses lèvres.

- Monsieur Pot ...

Severus regarda la pièce dans lequel il se trouvait. Aucune trace de Potter. Seulement une grande machine dans une pièce vide. Il sortit sa baguette, près face à la menace que doit représenter la machine. Il lança plusieurs sorts à la chose métallisé. Il vit alors un panneau, apparaissant devant son regard à la suite de son interrogation muette face à la nature de cette machine.

` Votre plus grand souhait est près à être réalisé,

Monsieur Severus Snape, montez et faites un avec la machine,

Votre plus grand vœu est à votre porte.´

Severus n'hésitait pas. Il avait une force en lui, un courage faisant honte à sa maison l'habitant sans cesse. Severus Snape était un homme fort qui savait pertinemment que tout dans sa vie était raté, que sa vie se résumait à des suites d'erreur. Une de plus ? Qu'importe après tout. Personne ne serait triste de sa disparition. Mais son plus grand souhait ? Qu'elle est -il ?

Severus prit place dans la machine, il allait le découvrir. Il actionna l'objet de métal et ferma les yeux sous la demande vocal. Il se vida l'esprit et sentit des fourmillements dans ses membres. Severus ferma les yeux, redoutant de les rouvrir, ne sachant pas ce qu'il souhaitait et donc les conséquences de son acte. Lorsqu'il comprit que tout était fini, il grimaça. Son plus grand souhait n'était pas de mourir, car il était vivant, ou cette machine était simplement bidon. Cette pensée rassurante en tête, il se leva et se figea en se rendant compte qu'il avait rapetissé. Il voulut ardemment un miroir et un apparu face à sa tête. Il recula avant d'hurler d'une voix qui muait toujours.

Dix sept ans. Il ne devait pas avoir plus de dix-sept ans maintenant. Il repensa à la phrase qu'il s'était dit lorsque la porte apparaissait. Faire une année à Poudlard en tant qu'élève et l'année venait tout juste de commencer, la veille en réalité. Il était dans la merde. Jusqu'au cou. Il se revoyait, ses cheveux bruns un peu plus court qu'adulte, dix centimètres en moins - tout le monde riait de lui et il n'avait fait qu'une grande poussée de croissance vers dix-neuf vingt ans - ainsi il n'atteignait même pas le mètre soixante et onze !

Son teint était pâle, cadavérique à cause de l'horreur de la situation mais au moins il avait toujours une chose que l'âge lui avait donné et qui était resté. La froideur et la haine dans son regard onyx.

Severus sortit précipitamment de la salle, rejoignant le bureau du directeur Dumbledore à trois heures du matin pour lui annoncer qu'une machine dangereuse était entrée dans sa vie et qu'il serait surement un sale gamin boutonneux pendant un certain temps et qu'il ne pouvait donc pas enseigner dans des conditions pareils.

Albus Dumbledore, le plus grand des mages, se retrouva donc avec un Severus de dix-sept ans irrité aux côtés de lui, le réveillant par des cris outrés. Albus, dans sa grande gentillesse et bonté lança un sort de mutisme au professeur qui attrapa sa propre baguette pour défaire le sort et hurler une nouvelle fois sur son supérieur.

- JE NE SUIS QU'UN SALE GAMIN BOUTONNEUX ! QU'ATTENDEZ VOUS ! CHANGEZ CET ÉTAT DE FAIT IMMÉDIATEMENT OU JE VOUS JURE QUE JE VOUS ...

- Qu'est ce qui vous a mis dans un tel état Severus ? Mon bon ami, je ne peux vous aider sans en savoir un peu plus.

Et Severus narra sa virée nocturne et tout ce qui s'était passé. Au final, Dumbledore avait un sourire malicieux et des yeux pétillants, Severus avait un mal de crâne et un pur sentiment de honte.

- Je vois que la solution est simple. Vous allez faire partis des étudiants. Lorsque votre plus grand souhait changera, car il changera lorsque vous aurez accomplis ce que vous aviez voulus, vous pourrez revenir en tant qu'adulte.

- Comment pourrais-je être ... étudiant ! On me reconnaitra à coup sûr !

Dumbledore sortit sa baguette de sous son oreiller et l'agita, changeant l'apparence de Severus. Ainsi le jeune homme qu'était devenu le maître des potions ne changea pas de taille mais ses cheveux bruns se raccourcissaient, son nez prit une taille tout à fait normal, gardant tout de même son apparence crochu, son teint prit une couleur plus doré, ses yeux changeant en un marron virant sur le rouge en une pâle imitation de ceux d'un lord noir vaincu un an plus tôt. Seul le regard remplit de haine aurait pu mettre la puce à l'oreille de quelqu'un.

- Vous serez répartit demain ou plutôt ce matin, laissez moi dormir encore un peu, merci mon vieil ami et surtout ne dites rien à personne !

Severus grogna et s'en fut. Comme si il allait dire quoique ce soit à quelqu'un ! Soudain, le Serpentard se souvint de Potter. Il l'avait perdu de vue ! Que faire maintenant ? Il ne pourrait même pas lui enlever des points car il avait perdu son statut de professeur -provisoirement heureusement.

Quelques heures plus tard, les couloirs de Poudlard étaient remplis d'élèves pressés. Severus Snape qui n'était pas un grand matinal resta au creux de ses draps, dans les cachots. Il regarda avec dépit le tas que formait les vêtements d'étudiants que lui avaient apportés Dobby sous l'ordre de Dumbledore. C'était simplement injuste ! Severus se leva, grelotant sous le froid du sol de marbre, s'habillant hâtivement.

Il rejoignit la Grande Salle justement lorsque Dumbledore se levait pour annoncer l'arriver d'un nouvel étudiant qui venait d'Allemagne et qui était arrivé hier soir à cause d'un problème survenu lors de son transport. Malheureusement il n'était arrivé un jour au retard et allait donc se faire répartir pour finir ses études à Poudlard en septième année.

Lorsque les paroles furent épuisés, des murmures s'élevèrent parlant du nouveau qui était d'une beauté hors du commun. Ce n'était pas une bombe, non, mais il était attirant avec ses yeux rougeâtre, son teint finement doré, ses cheveux bruns tombant dans sa nuque à la manière du chanteur japonais moldu du groupe Sid.

Severus vit les regards appréciateurs sur sa personne et il cacha au mieux sa gêne comme le parfait Occlumens qu'il était. Il traversa alors avec grâce la Grande Salle comme à son habitude pour s'assoir cette fois sur le tabouret où un choixpeau allait décider de sa maison.

- Severus Snape ! Cria le choixpeau dans son esprit, silencieux pour le reste de la salle. Joli apparence ! Je pense que pour le choix de la maison tu te doutes de laquelle ?

- Mettez moi à Serpentard et on n'en parle plus, siffla méchamment mentalement le jeune potionniste.

- Mais tu n'iras pas à Serpentard ! J'ai toujours dis que tu avais ce courage, CE courage ! Celui que seul un Gryffondor peut avoir. Tu as la mauvaise fois des Serpentards, oh oui et les plans tordus aussi mais tu ne peux pas vivre sans connaitre la folie Gryffondorienne !

- Tout mais pas ça ! paniqua Severus, son visage se crispant. Je ferais tout, mais pas Gryffondor.

- J'avais déjà hésité la dernière fois et c'est à cause de tes supplications que je t'ai laissé aller à Serpentard mais aussi parce que je savais ce qui se passerait si je ne t'y mettais pas. Mais tu n'as plus de paternel jouant de ceinture alors ...

Un silence de plomb se fit entendre, la Grande Salle se demandant pourquoi le nouveau avait l'air de vouloir assassiner le choixpeau et que le bout de tissus qui n'avait apparemment pas prit sa décision encore, semblait très fier de lui.

- GRYFFONDOR, hurla le Choixpeau.

Severus se jura de lui faire payer alors qu'il se dirigeait vers la table des Gryffondors où une foule d'élève applaudissait en hurlant leur bonheur, un saleté de rouquin lui faisant de la place pour qu'il s'assoit à ses côtés et en face ... de Potter et Granger ! NOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNN ! Severus voulut se taper la tête contre la table ou plutôt taper la tête de Ronald Weasley -son cher voisin de table- et l'écraser contre la paroi en bois. Ce serait bien plus agréable. Severus s'était résolut à cette option quand la voix de Potter s'éleva jusqu'à lui.

- Snape n'est pas là. Vous pensez qu'on pourrait échapper à son cours ?

Sans aucun doute, pensa amèrement Snape. Il eut alors un sourire diabolique. Il allait savoir tout ce que ces abrutis disaient sur lui et leur ferait payer plus tard ! Un rire pouvant faire trembler le Lord Noir lui même dansa dans son esprit.

- Qui est Snape, demanda t-il détestant sa voix à peine mué.

- Un gros connard, ricana Ronald.

- Ron ! Souffla Hermione. Ne parle pas ainsi de ton professeur ! Le professeur Snape nous enseigne les potions et n'a pas une façon très pédagogique de le faire. Il effraie les élèves et je pense qu'il cherche plus à leur prouver qu'il est quelqu'un de mauvais qu'à leur apprendre quelque chose. Et il fait preuve d'un grand favoritisme pour les Serpentards car il est directeur de cet maison. Et ce n'est pas une raison pour l'insulter ainsi Ronald Weasley !

Potter rit et cela irisa les poils de Severus qui se souvenait enfin du nom et prénom que Dumbledore l'avait affublé.

- Tu t'appelles comment déjà, souffla Harry laissant ses deux meilleurs amis se crêper le chignon.

- Stefan Sick.

Harry opina trouvant mignon le nouveau, surtout avec son regard rougeâtre et cet expression ! Cela ressemblait à du dégout mélangé avec de la haine, de la peur, de l'indifférence et de la curiosité. Il avait l'air d'un chaton perdu et il se promettait de l'aider ! Harry lui sourit.

- Bien ! Ah ! Voilà ton emplois du temps ! Hermione et Ron étaient ... occupés quand le directeur voulait le leur remettre alors il me l'a passé pour toi. Tu as exactement les même cours que moi alors tu pourras me suivre et je te montrerais où se trouve les cours !

Severus pensa à deux choses simultanément. Albus avait su qu'il finirait à Gryffondor de un, de deux, il devait faire semblant de ne pas connaitre les emplacements des salles et donc il devrait suivre Potter comme un toutou à sa mémé.

- Tu me montreras une seule et unique fois. J'ai une bonne mémoire, je n'aurais ainsi pas l'obligation de te suivre sans cesse.

Severus avait du mal avec le tutoiement surtout en pensant que c'était à Potter qu'il parlait ainsi. Et curieusement, il vit la tristesse parcourir les traits du jeune homme qui opina. Car Harry avait espéré que le jeune homme le suivrait, resterait avec lui, lui faciliterait la possibilité d'être un ami, voire plus ? Les hormones du brun à lunettes étaient en ébullition en ce moment et surtout depuis qu'il s'était rendu compte qu'il était gay. Et le fait de n'avoir même pas embrassé une seule fois un garçon l'exaspérait. Il voulait se trouver quelqu'un de beau, intelligent, fougueux et près à lui apprendre tout en matière de péché de chair. Malheureusement, un futur amant parfait n'était pas facile à dégoter. Et il espérait secrètement que ce super amant était face à lui. Mais petit problème ! Il pouvait ne pas être gay et être non intéressé par le sale gamin qu'il était ! Et Harry ne voulait pas d'un amant qui ne le voyait que comme le Survivant-qui-avait-enfin-sauvé-le-monde-comme-sa-destiné-lui-avait-prédit.

- Oh, je ... comme tu veux, bafouilla Harry. Si tu as besoin d'aide ...

Harry se leva, le visage défait. Severus, curieux comme ce n'était pas décemment permis, lu dans son esprit son souhait d'être ami avec lui et même plus. Ami ? Severus y pensa comme une possibilité puis ...définitivement hors de question. Il était impossible que lui et Harry - POTTER - soient associés d'une manière différente que pires ennemis !

- On commence avec Potion, siffla Severus, tu m'y emmènes ?

Harry lui sourit heureux et opina, laissant Hermione et Ron qui allaient surement se refaire une séance bécot avant d'aller en cours.

Severus suivit Harry, feintant de ne pas connaitre parfaitement le chemin qui menait jusqu'à ses quartiers. Justement ! Il refusait que le nouveau professeur ne lui prenne ses appartements. Severus vit sans surprise Horace Slughorn prendre sa place en tant qu'enseignant - Albus lui avait expliqué qui allait reprendre sa science. Oh moins, même si Horace était un homme au but douteux, il apprenait des choses aux élèves.

- Bien le bonjour ! Je suis revenu cette année sous la demande d'Albus à la suite d'un accident survenu hier. Le professeur Snape ne peut pas assurer ses cours par conséquent je serais le nouvel enseignant jusqu'à nouvel ordre.

Des cris d'acclamations se firent entendre et Severus se tendit sur sa chaise. Pourquoi ? Il savait pertinemment que personnes ne l'aimait et pourtant, cela faisait mal, un peu.

- Bien ! Mettez vous par deux.

Harry regarda tout le monde se mettre en place, Hermione et Ron ne se décollant pas - ils étaient arrivés juste avant que le cours ne commence, légèrement débraillés - et le brun à la cicatrice légendaire ne savait pas quoi faire. Il prit alors le bras de Severus (Stefan pour les élèves) et le colla sur la chaise à côté de la sienne.

La journée passa ainsi, Harry collant désespérément Severus, Severus se demandant ce qu'il avait fait au bon Dieu, le regard pétillant d'Albus n'aidant pas ainsi que les bécots incessant des meilleurs amis de Potter, Severus était près à exploser.

- Stefan ! J'ai demandé au directeur et il m'a dit que tu dormais dans le dortoir des Gryffons de septième années donc je vais te montrer et ...

Severus se disait qu'il manquait plus qu'il ait le lit à côté d'Harry et il sautait par la fenêtre, essayant de se suicider. Combien d'étages déjà ? Il mourrait à coup sur, génial !

Harry s'arrêta devant son lit et rougit en voyant que le lit de Severus était un lit rajouté donc collé presque au sien. Le brun imagina des scènes qui le firent plus rougir encore. Malheureusement pour lui, il ne se doutait pas que le professeur le plus honni de Poudlard lisait son esprit et reculait de terreur. Il allait se faire violer si cela continuait !

- Mon lit est celui là. Merci pour ton aide, je pense que je pourrais me débrouiller mieux et Seul dorénavant.

Severus avait insisté sur le SEUL et c'est avec ces mots remplient d'amour qu'il se mit au lit, fermant son lit à baldaquin pour ne plus voir le brun peiné à ses côtés. L'ancien Serpentard n'était pas un homme à être inquiet pour les autres mais étrangement, Potter lui avait offert son aide, il n'avait pas rechigné de toute la journée alors qu'il l'insultait presque. Potter l'avait accueillit.

Les rideaux du baldaquin s'ouvrirent et avant que Severus ne change d'avis, il avait soufflé à l'attention de Harry qui était en pyjama :

- Merci. Pour tout. Bonne nuit ... Ha ... Rry.

Cela avait été difficile à Severus de prononcer ce nom mais finalement il avait réussit et le sourire qu'il reçut en retour le gonfla de bonheu... le ... il haïssait cela ! Ainsi, Severus dans sa grande mauvaise foi se coucha ne voyant pas un jeune homme danser presque dans son lit. Et pourtant il l'entendu lui répondre :

- Un réel plaisir, Stefan.

Voilà le début. J'ai déjà écris les cinq premiers chapitres sur l'ordinateur. Je ne sais pas à quel fréquence je les posterais. Je pense que je vais espacer les postes pour pouvoir avoir toujours quelques chapitres d'avance préférant prévoir la possibilité d'avoir un manque d'inspiration.

J'espère que ce chapitre vous a plus et vous donne envie de continuer l'aventure.

Merci à tous.

Occlumensia.