Hello vous tous !

Comme promis, je vous poste le prologue de ma nouvelle fic, qui, je l'espère, vous plaira.

Quelques précisions avant tout : Jane ne fait pas partie de la BPD (elle est quand même une flic, après tout, c'est ça qui nou fait craquer chez elle :p). Korsak et Frost font équipe ensemble. Maura vient à peine de rentrer en tant que médecin légiste à la BPD. Jane et Maura sont des lesbiennes assumées.

Aussi, je ne connais pas du tout le langage de la police, ni sur ce qui se rapporte aux enquêtes, mais je vais essayer de faire de mon mieux pour faire quelque chose de bien et de cohérent. Merci d'avance pour votre indulgence.

Je vous souhaite une bonne lecture (j'espère ^^), et attend vos avis pour améliorer la suite et ma manière d'écrire !

P.S : Le prologue est court, mais le reste sera plus long. Je ne sais ni la longueur des chapitres, ni combien en comportera la fic, j'avance à l'aveuglette. J'essaierais d'être la plus cohérente possible.


Rizzoli & Isles


Prologue :

Une ombre passa furtivement dans le faible faisceau du seul lampadaire encore debout de la ruelle, toute vêtu de noir, la faisant se stopper. Son souffle se coupa, son cœur s'emballa et de la sueur froide coula le long de sa colonne vertébrale, alors qu'elle resserrait sa prise sur les bords de son manteau.

Elle expira, reprenant petit à petit son souffle, laissant s'échapper une volute de fumée blanche qui s'éleva lentement dans les airs, avant de se dissiper dans la légère brise qui commençait à se lever.

Elle pensa que c'était son imagination qui lui jouait des tours. Elle avait toujours été ainsi, légèrement peureuse et paranoïaque sur les bords, s'imaginant mil et un scénarios morbide.

Elle arrangea une mèche de ses cheveux blonds secouer par le vent qui lui passa devant les yeux.

Enfonçant ses mains congelées au fond de ses poches, elle rentra à demi son cou dans la chaleur de sa veste et reprit sa marche, les yeux fixant droit devant elle, calmant les battements furieux de son cœur.

Malgré cela, elle ne pouvait s'empêché d'avoir peur. Une peur sourde lui nouant l'estomac, lui tordant les tripes, lui donnant la nausée, résonnant comme une alarme dans son cerveau qu'elle essayait de refouler dans un coin de sa tête.

Malgré cela, elle ne pouvait empêcher la peur de lui ronger le corps entier, la faisant légèrement trembler. Essayant de se convaincre que c'était du au froid, elle continua de marcher, pensant à la chaleur de sa couette, et au réconfort que lui apporterait une tasse de café bien chaud devant la télé.

Seuls les battements sourds de son cœur dans ses tempes et le claquement réguliers de ses talons sur le bitume brisaient le silence de cette nuit glaciale.

Des échos à ses pas se firent entendre à quelques mètres derrière elle. Son sang se glaça, et son visage exprima la plus pure des terreurs. Elle essaya de faire comme si elle n'avait rien entendue, espérant fortement que ce soit une mauvaise blague ou juste un promeneur tardif.

Les pas se rapprochaient, à une allure régulière, comme le ferait un joggeur.

Une forme noire la dépassa rapidement, la faisant sursauter violemment, et s'éloigna d'elle, disparaissant dans l'obscurité de la nuit. Elle reprit son souffle, secouant la tête, se désolant elle-même de sa peur ridicule, et se remit en marche.

Au moment où elle relevait la tête, elle sentit un choc violent sur son visage, lui faisant voir les étoiles, puis quelque chose s'enroulant autour de son cou, avant de sentir une ficelle serrer sa gorge, lui coupant la respiration.

Elle commença à se débattre quand elle s'aperçut de ce qu'il lui arrivait, essayant de passer ses doigts sous la ficelle lui rentrant dans la chaire, lui vidant les poumons de tout air.

Elle ouvrit la bouche pour crier, ou appeler à l'aide, mais aucuns sons autre qu'un gargouillis ne put s'échapper d'entre ses lèvres.

Elle envoya ses mains en l'air, tentant désespérément de se soustraire à la poigne d'acier de l'homme, brassant l'air dans le vain espoir de lui faire assez mal pour le blesser et se sauver. Elle sentit ses ongles s'enfoncer profondément dans la chaire de son agresseur, lui sortant un grognement de douleur.

Malheureusement, cela ne fut pas suffisant, puisqu'il lui asséna un violent coup de coude dans la pommette, l'assommant un peu plus.

Elle arrêta peu à peu de se débattre, sentant l'air quitter ses poumons. Sa vue se brouillait, puis ce fut le noir total. Son corps s'écroula telle une poupée de chiffon sur le goudron humide et glacial.

La forme noire glissa la ficelle dans sa poche et tourna les talons, s'éloignant d'une démarche nonchalante et calme.


Je suis pas tellement satisfaite de ce prologue. Je voyais quelque chose de plus long, mais n'étant pas une psychopathe, je suis dans l'incapacité de faire mieux. Pourtant j'ai essayer, je vous assure !

Merci à lilo122 pour son aide, ce qui m'a permit d'ajouter quelques détails.

Donnez-moi vos avis pour que je puisse faire mieux dans les prochains chapitre !

A bientôt.