The card game companian
- le compagnon de poker -
texte original de Donkerblauw Fluweel
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1 – la proposition
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Il me parlait, mais le bruit ambiant qui régnait dans les vestiaires couvrait la majorité de ses phrases. On pouvait quand même distinguer, parmi ce brouhaha, des garçons qui discutaient et riaient à gorge déployée, ainsi que le doux chuintement de la douche. Cependant un mot en particulier se fit entendre malgré les nuisances sonores.
Je fixai mon regard dans celui, sombre, de Token et répétai :
_Au poker ?
_Oui, au poker, (il haussa un sourcil), tu sais y jouer hein ?
_Oui, oui bien sûr ! Répondis-je rapidement, je n'aimais pas le regard qu'il venait de me lancer, alors c'est pour quand ?
_Dans un mois et demi environ. On veut pouvoir s'exercer ce week-end, pour voir comment on joue ensemble et comment travailler en équipe pour battre West Park.
_Ok, ça marche. Après l'entraînement de foot ?
_Oui, chez moi. À vingt heures.
_D'accord. Qui d'autre participe ?
Token poussa un soupir :
_Eh bien pour l'instant, toi, moi, Cartman, Clyde et Jason. Ils seront là aussi.
_Ok, c'est cool. Je hochai la tête et le regardai s'en aller.
Le problème, c'est que je ne savais pas jouer au poker. Pas du tout. Rien que de savoir que Cartman serait là et se moquerait de mon jeu merdique, me rendait très nerveux et me mettait mal-à-l'aise. Hors de question que ce soit lui qui m'apprenne à jouer. Malheureusement il y avait peu d'autres personnes qui pourraient m'apprendre, surtout maintenant que j'avais dit à Token que je savais déjà jouer. Mais je connaissais bien quelqu'un qui maîtrisait le jeu. J'avais conscience qu'il fallait que je me mette à se recherche le plus vite possible. Je fermai mon casier et sortis à toute vitesse, j'avais dore et déjà ma petite idée quant à l'endroit où il était.
Et j'avais raison : je le trouvai dans le coin des Gothiques, avec eux. Il flemmardait sur l'un des bancs et fumait une cigarette. Il aimait bien traîner avec les Gothiques, mais il était ainsi : amical et tolérant envers tout le monde. C'était l'une des raisons pour lesquelles les gens appréciaient Kenny.
_Salut vieux. Dis-je.
Il me fit un grand sourire.
_Hey, Stan ! Quoi d'neuf ?
_J'ai besoin que tu m'aides pour un truc, je peux te parler ?
_Bien sûr.
Il se leva et jeta sa cigarette par terre.
_À plus les gars !
Il salua les Gothiques d'un signe de la main mais ceux-ci l'ignorèrent.
_Alors, Stanley, mon gars.
Il me mit un petit coup dans le dos tandis que nous nous éloignions.
_Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?
Il me fit son sourire malicieux, comme si je venais de lui demander une faveur sexuelle. Mais c'était ainsi qu'il souriait à tout le monde, je le savais très bien.
_Il faut que j'apprenne à jouer au poker. Tu sais jouer au poker toi, pas vrai? Demandai-je. Si lui ne savait pas, je ne voyais pas qui pourrait bien m'aider.
_Mais absolument ! S'exclama-t-il, d'un façon que l'on eût dit que l'idée même qu'il ne sache pas jouer au poker était ridicule.
_Alors, tu peux m'apprendre ? Mon équipe de foot va jouer contre West Park dans six semaines et je veux vraiment être un bon joueur.
Il acquiesça et passa la main dans ses cheveux blonds.
_Je vois que tu as déjà ton plan tout fait. Tu es libre ce soir ?
_Oui, j'ai d'abords prévu d'aller réviser chez Kyle, mais peut-être vers vingt et une heures ? Chez moi ?
_Ca marche (il me tira vers lui pour me serrer brièvement dans se bras) il faut que j'y aille, je dois rejoindre Bebe dans une demi heure.
Son comportement volage non-dissimulé me fit sourire. Je me souvins qu'il y avait seulement un mois il fréquentait Red.
_Cool, à ce soir.
XXX
_Donc en gros, cette grève a causé une réaction en chaîne qui a mené à – Stan, tu m'écoutes ?
Je levai les yeux de mon manuel scolaire qui était toujours ouvert, à une page sur l'Histoire d'Europe et rencontrai le regard brun clair de Kyle.
_Oh, désolé vieux. Tu disais ?
Il me lança un regard dubitatif.
_Tu as été dans la lune toute la soirée. Qu'est-ce qui va pas ?
Il retira ses lunettes et se frotta les yeux.
_Je sais pas. J'ai pas trop apprécié de voir Wendy et Clyde ensemble aujourd'hui.
Cette image m'avait cloué sur place au milieu de la cantine. Wendy et moi avions rompu il y avait des mois, mais même avant cela, nous nous disputions pas mal depuis ces six derniers mois. Mais cela ne voulait pas dire que la voir avec un autre mec ne me foutait pas à l'envers.
_Écoute (il frictionna gentiment mon bras), ça ne va pas durer.
Je poussai un soupir moqueur et déposai mes livres dans un coin. C'était vraiment une réponse de super-meilleur-ami.
_Non, vraiment (il me tapota l'épaule) je ne veux pas qu'un truc te rende si triste. Tu t'es trop accroché à elle pendant trop longtemps, tu sais.
_Ouais je sais, je...
Nous fûmes coupés par un bruit sourd. Je regardai par la fenêtre, source du bruit, et vis le visage souriant de Kenny. Ses cheveux blonds étaient aussi emmêlés que d'habitude. Il agita joyeusement la main comme il le faisait toujours et ouvrit la fenêtre.
_Salut les mecs ! Je n'interromps pas votre rendez-vous, pas vrai ? Demanda-t-il en grimpant à l'intérieur.
_Kenny ! Qu'est-ce que tu fais là ? Demanda Kyle, surpris.
_Oh c'est vrai ! Pardon ! Je me fis presque une facepalm. Je regardai le réveil sur ma table de nuit, celui-ci affichait 21 : 11. J'avais complètement oublié de dire à Kyle que je devais également voir Kenny ce soir.
_Eh ben c'est super gênant ! Dit Kenny, une lueur amusée dans les yeux, la maîtresse rencontre l'épouse.
Kyle éclata de rire. Kenny se laissa tomber sur mon lit, aussi naturellement que s'il était chez lui. Je me tournai vers Kyle :
_Désolé vieux. J'ai oublié de te dire que Kenny devait m'apprendre à jouer au poker ce soir.
_À jouer au poker ? Répéta Kyle en fronçant les sourcils.
_Ouais, l'équipe de football va participer à une rencontre de poker contre West Park et il faut que j'apprenne à y jouer.
_Tu crois vraiment que c'est une bonne façon d'employer ton temps libre ?
Il parlait comme ma mère, mais je savais comment faire avec Kyle quand il se comportait ainsi.
_Oh allez vieux !
Je passais doucement mes doigts dans ses cheveux, un geste d'affection. Il était très sensible de la tête et il adorait qu'on lui caresse les cheveux.
_On a révisé tous les soirs cette semaine !
_Ouais, Ky, ajouta Kenny, laisse-le se reposer pour un soir. Je te jure que je te le rendrai comme neuf.
Kyle eut un petit rire et ferma son livre. Je sus que nous avions gagné.
_Ça va.
Il rangea ses livres dans son sac à dos et remit ses lunettes. Kenny et moi nous levâmes et lui fîmes un petit câlin pour lui dire au revoir. J'adorais Kyle, avec son côté autoritaire et studieux. Il était mon meilleur ami depuis des années, nos caractères se complétaient bien. J'arrivais même à contrer ses manières strictes avec ma façon plus émotionnelle de gérer les choses.
_Je t'en prie ne m'en tiens pas personnellement responsable ! Lança Kenny depuis le lit, ça ne nous embête pas que tu restes.
Il attrapa Kyle et le força à venir sur le lit. Kyle poussa un cri de surprise lorsque Kenny le serra contre lui.
_Ken- Kenny ! Protesta-t-il, son visage écrasé contre le torse de Kenny. J'éclatai de rire à la vue des bras longs et maigres de Kyle qui s'agitaient en l'air sans résultat. Kenny me fit un sourire.
_Kenny arrête de le harceler. Pouffai-je. Kenny poussa un soupir exagéré.
_Ok.
Il relâcha Kyle, qui prit une grande bouffée d'air et retomba en arrière sur le lit.
_Bon sang Ken.
Le blond se contenta de sourire à notre ami roux. Celui-ci remit ses lunettes en place et se leva.
_À demain les gars.
Il saisit son sac en toile et, après m'avoir tapoté l'épaule une dernière fois puis fait un sourire à Kenny, il quitta la pièce en fermant la porte derrière lui.
_Alors (Kenny se leva et fit glisser son manteau d'un coup d'épaule), par où on commence ? Qu'est-ce que tu sais sur le poker ?
_Euh... ( je m'assis sur ma chaise de bureau) rien, rien du tout.
_Hum, c'est bien ce que je pensais.
Il se redressa pour prendre appuie contre la tête du lit. Il sortit de la poche de son jean usé et un peu déchiré, un paquet de carte, taché et crasseux.
_Viens t'asseoir. (Il tapota le matelas), je veux que tu sois détendu pendant qu'on fait ça.
Je me levai et vins m'asseoir à côté de lui.
_Enlève tes chaussures, au moins. Grognai-je, avisant ses converses rouges sales. Il défit ses lacets et les retira d'un mouvement de pied. Il se rapprocha de moi et se mit à battre les cartes. J'observai ses mouvements rapides et me rendis compte que je ne passais pas beaucoup de temps seul avec Kenny. Nous étions systématiquement accompagnés de Kyle ou de Cartman. Nous avions tous les deux un emploi du temps très chargé, je traînais pas mal avec Kyle et passais énormément de mon temps à jouer au football, lui travaillait à mi-temps au Café Monet et traînait avec des tonnes de gens durant son temps libre.
Kenny était populaire, il fallait l'admettre, même si ça ne m'enchantait pas. Plus populaire que moi et je savais que j'étais déjà plutôt apprécié. Ceci dit, d'un certaine façon, je ne pouvais pas rivaliser avec Kenny.
Toutes les filles de South Park se pâmaient d'admiration pour ses cheveux blonds sauvages et ses incroyables yeux bleus. Son sourire en coin faisait son petit effet, aussi. Mais ce que les gens préféraient chez lui c'était son charme : il s'intéressait toujours aux autres, de manière sincère, il les écoutait et riait à leurs blagues. C'était également la raison pour laquelle j'appréciais autant Kenny, il était toujours honnête et se préoccupait véritablement de ses semblables. Sa voix vînt interrompre le fil de mes pensées.
_La première chose que tu dois savoir, c'est qu'il y a différentes façons de jouer au poker. Bon, je suppose que vous jouerait la bonne vieille règle du ''Texas Hold 'em''[1] mais il faudra que tu vérifies ça pour moi. Et on pourra s'assurer que je ne t'enseigne pas le mauvais jeu.
Il commença à m'expliquer quelques règles de base tandis que je focalisai mon regard son visage joyeux. Je me rendis compte que j'avais vraiment envie que nous nous amusions et que ça nous conduise à traîner plus souvent ensemble, seuls tous les deux. J'avais le sentiment que nous nous étions un peu éloignés et le fait qu'il m'apprenne à jouer au poker nous donnait une chance de nous rapprocher.
Lorsqu'il eut finit de m'expliquer les règles de bases, nous passâmes en revue plusieurs trucs qu'il venait de m'apprendre. Il distribua quelques cartes, qu'il posa sur le lit.
_Ça, c'est... ? Demanda-t-il, pour m'encourager. Je regardai les cartes : trois 10 et deux 8.
_un Brelan ? Tentai-je.
Il sourit.
_Presque, c'est un Full.
_Ah oui, un brelan et une paire.
_Exact.
Il retira une carte et en posa de nouvelles, toute du même symbole, sur le lit. Je reconnus immédiatement cette combinaison :
_C'est une Quinte.
_Très bien. Et si les cartes se s'étaient suivies ?
_Une Quinte royale ? Mais... ça, ça ne marche que quand la carte la plus haute est un As, non ?
_Eh ben ! T'apprends vite !
Il me fit un clin d'œil et me donna un coup du poing pour m'encourager. Je sentis le rouge me monter aux joues. Je n'étais pas encore complètement habitué à son fleurt. Mais cela ne voulait pas dire que ça me déplaisait, recevoir des marques d'attention était toujours agréable.
_Je ne comprends pas pourquoi Wendy a rompu avec toi.
Cette remarque me donna la sensation que mon estomac venait de se retourner. Cela dut se voir sur mon visage car Kenny se pencha vers moi et saisit mon épaule, avec sa seule main libre.
_Hey. Il me regardait d'une façon rassurante. Ce n'était pas de la pitié mais de la réelle sympathie.
_Je suis désolé d'avoir abordé ce sujet comme ça, j'aurais dû savoir que c'était encore un peu douloureux.
_Non, non. Ça va.
_Tu as conscience qu'il n'y a pas qu'à Kyle que tu peux parler, hein ?
Je plongeai mon regard dans le sien, bleu vif et m'aperçus, choqué, que je m'étais accroché à lui. J'étais quelqu'un d'émotif d'habitude, dans mon esprit, chacune pensée était potentiellement magnifiée mais houleuse. Comme une fille, même si c'était difficile à admettre. Et la seule personne à qui je confiais les choses vraiment intimes, c'était Kyle.
_Je... je sais, dis-je avec hésitation, c'est juste que, tu sais...
_Ouais, je sais. Tu as plus l'habitude de dire ce genre de trucs à Kyle.
J'acquiesçai. Les cartes posées entre nous avait été oubliées.
_Tu es au courant que l'école toute entière pense que vous couchez ensemble, pas vrai ? Ajouta-t-il, ses yeux reflétaient une certaine hilarité. Je levai les miens au ciel suite à sa remarque.
_Ouais je sais. Ça commence à dater, juste parce qu'on est amis, ça veut pas dire qu'on a envie se voir à poil.
_Ah bon ? Demanda-t-il, apparemment surpris, comme si lui, il avait vraiment envie de nous voir tous les deux, Kyle et moi, nus. Cette fois je pus accepter son attitude séductrice un peu mieux. J'en rougissais quand même encore un peu.
_Non, dormir dans le même lit me suffit, merci.
_J'avais oublié que vous faisiez encore ça. Donc tu me dis qu'il ne s'est jamais rien passé entre vous alors que vous étiez allongés, pressés l'un contre l'autre ?
_Quoi ?! NON !
Pour je ne sais quelle raison, l'idée m'horrifiait.
_Hum, non, je suppose que non (il me fit un sourire en coin) je parie que tu préfères les cheveux bruns plutôt que roux de toute façon. Ou blonds.
Il me fit un clin d'œil. Cette fois-ci je ris moi aussi. Il ramassa les cartes et les mélangea de nouveau.
_Tu veux qu'on fasse encore quelques parties d'entraînement ?
_Oui, mais s'il te plaît cette fois te moque pas de moi quand je foire complètement.
_Je n'oserais pas, Stan. Okay, c'est parti.
Il distribua les cartes et nous nous mîmes à nous exercer : savoir quand suivre sans miser ou au contraire relancer, quelle mains étaient vraiment trop mauvaises pour pouvoir en faire quelque chose ou lesquelles étaient suffisamment bonnes pour tenter sa chance. Le déroulement général d'un partie m'apparut rapidement clair, grâce à l'implication de Kenny et à ses explications patiemment délivrées, et je me sentis un peu plus confiant lorsqu'à la fin je réussis même à gagner quelques manches.
Au bout d'un moment, je jetai un œil au réveil sur ma table de nuit, il était déjà dix heures et demi. Kenny le remarqua aussi et ramassa les cartes.
_Je pense qu'on devrait s'arrêter là pour ce soir, on s'est pas mal exercé et ça fait pas mal à assimiler. Mais je t'ai apporté quelques notes pour que tu les lises.
Il sortit un liasse de feuilles pliées en quatre de sa poche arrière. Le papier était froissé. Avec horreur, je remarquai également qu'il était chaud, car Kenny avait été assis dessus. Je pris ses notes.
_Je peux pas trouver ça sur internet ? Demandai-je. Il exulta, faussement outré.
_Est-ce que tu sous-entends que j'ai fait tout ça pour rien ? (Puis il reprit sa voix normale) Oui, tu pourrais. Mais mes notes sont mieux de toute façon.
_Oh, d'accord.
Je ne voyais pas comment c'était possible, mais je décidai de ne pas le contredire. Il empoigna ses chaussures et entreprit de les enfiler.
_Tu voudras qu'on s'entraîne encore, une autre fois ?
_Ouais je pense que c'est le mieux à faire. Je dois jouer contre Cartman après tout.
Il grimaça.
_Oh ! la la ! Ça m'était sorti de la tête pendant un moment. Ouais, faut qu'on te prépare à affronter ça.
Il se tourna vers moi et me tira vers lui pour m'enlacer.
_Je me suis bien amusé ce soir.
_Hum, ouais moi aussi. Marmonnai-je dans son épaule, moi aussi je l'enlaçai. Il me lâcha et ouvrit la fenêtre.
_Vieux y'a une porte d'entrée tu sais. Intervins-je alors qu'il passait une jambe par-dessus le cadre de la vitre, il s'immobilisa mais haussa les épaules et sourit.
_C'est pas comme ça que tous les gens entrent et sortent des maisons à South Park ?
Je lui souris moi aussi.
_À demain, on se voit au lycée. Dit-il. Je le regardai escalader la fenêtre. Ses cheveux blonds virevoltaient dans la brise du soir. Je m'assis sur mon lit et entrepris de lire ses notes. Son écriture emportée était un peu difficile à déchiffrer mais j'arrivai quand même à la lire :
'' Quand c'est ton tour : suivre : tu continues à jouer, c'est tout. Se coucher : tu flippes comme un dingue et tu veux arrêter. Relancer : monter la mise pour que ces enfoirés soient apeurés par ton audace.
Même symbole et différentes combinaisons de même couleur, avec description ci-dessous :
Même couleur : 2 têtes et 3 As : OH PUTAIN appelle moi si ça arrive parce que c'est super rare ! Tu gagnes à coup sûr !''
Je m'allongeai contre l'oreiller et feuilletai encore un peu ses pages de notes, le sourire aux lèvres.
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A suivre
[1] Texas hold 'em (le Texas les tient) est la version américaine du poker, donc la version traditionnelle pour les personnages de cette fiction. Dans cette version du jeu les joueurs ont deux cartes en main tandis que d'autres sont sur la table.
Salut! Cela faisait bien longtemps que je n'avais rien publié. Me revoilà pour une nouvelle traduction à plusieurs chapitres, et cette fois-ci en M. J'espère que vous ne serez pas déçu-e-s de la traduction des lemons vu que je ne suis pas très expérimentée. Le couple, comme vous avez pu le remarquer est Stan/Kenny, je l'ai choisi pour répondre à une demande de traduction qui m'a été faite il y a plusieurs années et que je n'ai jamais pu honorée. Je ne me souviens même plus qui me l'a demandé, donc si tu me lis, lectrice en question, j'espère que ça te fait plaisir ^^
Au niveau du rythme, je garde celui de Who's afraid of Craig Tucker, un chapitre tous les deux mois, si c'est possible tous les mois.
Je voulais aussi vous dire que ma traduction The Kid behind the Counter a été repérée sur le site Ficothèque Ardente, qui recense les fictions ''matures'' de plusieurs sites de fanfictions, dont . Ça m'a fait super plaisir donc allez jeter un œil c'est un excellent index de fanfictions M, avec plusieurs types de couples possible.
Enfin, je fais du bêta-reading depuis un certain temps, je corrige la fiction Beer! So Much Beer (webshow) donc si vous cherchez une bêta-dreadeuse j'aimerais prendre de nouveaux auteurs.
~jusqu'à la prochaine fois
BillySage