La colère, la colère, c'est un sous-produit de la tristesse quand on y pense. De la colère nais tout car elle est née de tout. C'est forme délicate de souffrance. Nous ne pouvons nous battre avec, nous ne pouvons nous en défiler. La colère entraîne tant de chose, il est difficile de la défier, malsain de s'en débarrassé. Tentez de briser la chaîne des émotions en en oubliant une, elles disparaîtrons toutes.
Mais bon, mon histoire débute par une simple émotion. La colère. Je ne tentais pas de la fuir, à cet instant. Je ne cherchais même pas à me la cacher, à me la refouler. Je me noyais littéralement dedans. Ce n'était pas de la joie, de la tristesse, pas de la peur, du dépits, mais un stupide mélange de tout. Et j'étais coincé au centre.
J'en ai encore froid dans le dos, rien que d'y pensé. Être prisonnière d'un tel sentiment, un sentiment qui t'enroule de ses chaînes et te prépare à de lourds épreuves en t'attachant les mains et les pieds pour te mettre plus de bâtons dans les roues que tu ne peuvent endurer. J'étais à terre, en fais. J'avais 14 ans à l'époque. J'avais deux parents, deux frères, deux plus jeunes. J'habitait une grande maison à un étage avec un large terrain et un vieil arbre au centre où des roucouls et des Nirondelles venait souvent se percher.
Nous habitions en banlieu de Rougebelle, la «grande ville» des environs. Notre propre petite ville s'appelait Chataigne, comme la noix, et c'était adorable. Le climat était toujours très printanier et les hivers était doux, ce qui favorisait une très grande population de fleurs et de plantes sur tous les terrains. Il y avait ainsi une très grande population de pokémon plantes, ce qui était le renom des environs. J'ai grandit dans cette ville presque depuis mes plus vieux souvenir, mais j'aurais vaicu 1 ans, avant, à Rougebelle, où habitait avant ma mère. Mon père, lui, venait de plus au sud, dans une ville dont j'oublis souvent le nom. Nous n'avons rarement rencontré les membres de la famille de mon père, une fois, plus exactement.
J'avais 10 ans à l'époque et ils s'était déplacé pour fêter la fête de mon père. Mon grand-père s'était déplacé ainsi que ma tante, s'était tout. Mon grand-père m'avait un peu effrayé, vu son air légèrement austère et sérieux, et ma tante ne m'avait même pas regardé une fois. Ils n'eut l'air heureux de voir mon père une fois, ne parlèrent presque pas.
Ma mère, elle, n'avait que sa mère encore vivante. J'avais appris que mon père également avait encore sa mère en vie, mais elle ne s'était pas déplacé pour venir chez nous. Ma grand-mère maternelle habitait à Rougebelle et était exactement le genre de personnage gateau que tout le monde aime. Douce, encore belle à son age, avec ses cheveux argentés et ses bras frêles. Elle nous rendait visite tous les dimanches. Elle nous amenait un gros gateau encore chaud ou des petits muffins aux carottes.
Ma mère était une femme très délicate, très douce. Elle était très active dans la maison et s'avait la rendre merveilleusement propre, et ce malgré la présence de 3 enfants en ses quatre murs. Mon père était plutôt renfermé. Il ne parlait jamais de lui, de son travail ou de sa vie privé. Il évitait tout sujet en parlant de manière plutôt dérisoire et légère de sujet sans importance. Il était pourtant un homme très intéressant, dont l'emplois était plutôt flou. Il travaillait pour la ligue pokémon activement, créait de nombreux concept de gyms, de ligues, de compétitions, de concours. Il était lui-même un «supposé» (je le site) très très très grand dresseurs de pokémon. On voyait parfois sont Noctali à la maison, mais le reste de ses bestioles à lui, on en avait mot.
Mes plus jeunes frères ne s'en intéressait pas encore, mais moi, je me posais souvent des questions sur mon père, venant d'un endroit lointain dont on ne savait presque rien en dehors de la maison. Je crois que ma maman en savais beaucoup, elle, mais elle refusait de nous soufflé mot de cela.
Elle, elle travaillait dans une pharmacie à Rougebelle. Elle était une belle femme, au long cheveux vert dont les pointes bouclais légèrement. Elle les nouait toujours ou les tressais, mais je la trouvai merveilleux de n'importe quelle façon. Je comprenais mon père d'avoir parcouru je ne sais combien de kilomètre pour s'établir avec elle, loin de sa famille.
Mais trêve de bavardage, commençons donc cette histoire, dans la petite ville de Châtaigne. J'étais assise dans ma chambre, sur mon lit sans drap et je regardais le mur d'en face. Il devait être 10 heure du soir, et j'étais complètement épuisé par ma journée d'aujourd'hui, et je ne savais pas quoi faire, honnêtement. La seule chose qui me venait à l'esprit, s'était de tirer à bout de bras mon miroir de chambre, mais je savais que cela n'arrangerais rien les choses. C'est le plus frustrant, être bloqué à une colère inapaisable.
Mon père devait s'absenter à l'étranger à cause de son travail, dans une ville beaucoup plus à l'est, beaucoup trop d'ailleurs. Il partait pour plusieurs mois, donc, et ma mère, ayant appris cela, avait tout de suite décidé de l'accompagner. Ma mère n'est pas capable de quitter mon père plus de 2 jours. Ainsi, mes parents ont décidé de nous traîner avec eux. Soit! Au départ, cela ne me dérangeait pas. Puis un de mes ami m'a parlé d'un futur match pokémon qui se déroulait à Rougebelle mettant en vedette un de mes dresseurs préférés, arrivant dans 5 mois. J'ai donc demandé à mes parents si ils pouvait exceptionnellement revenir ici le temps du combat, mais malheureusement, ils le leur étaient impossible d'un quelconque retour avant au moins 8 mois.
Ce match, malheureusement, je ne pouvais pas le manquer. J'ai continué à argumenter avec eux, et finalement nous nous sommes entendu pour que je reste ici le temps de leur voyage. Ce n'était pas la liberté absolu, je tiens à préciser; je devais appeler ma grand-mère une fois par jour, elle venait me visiter deux fois par semaine, et au moindre pépin, je sautais dans le premier autobus et je les rejoignais. Ils partirent donc un matin.
Cette semaine fut particulièrement active de mon côté. J'étais toujours partie en fête. Puis la suivante fut tout aussi euphorique, mais beaucoup moins active, puis la troisième fut terrible. J'étais tellement seule et blasé…
La quatrième semaine fut le commencement de mes ennuis. J'avais une amie particulièrement pro-environnement. Comme moi, elle avait passé toute sa vie à Châtaigne et elle avait toujours été fière de son côté fleurit et naturel. Et puis il y avait cette industrie, pas nécessairement grosse, qui s'était implanté au nord de la ville. Ce qu'elle fabriquait n'était pas très clair, mais se que nous savions, s'était qu'elle polluait l'ai ambiant et légèrement l'eau de la ville.
Les habitants du village s'étaient ligué, une fois, contre cette battisse pour tenté de la bannir de Châtaigne, mais malheureusement, faute de preuves concrète, la demande avait été rejetté. Nous avions par la suite découvert que l'industrie en question, faisait partie d'une plus grosse chaine, donc avait bénéficié de sa protection durant le procès.
Ainsi je m'ennuyais ce jour là et cette amie à moi, totalement révolté par l'industrie en question, la Caysi Corp., m'avait parlé un matin de son désir d'entré, une nuit dans la bâtisse. Elle m'avait expliqué qu'une rumeur circulait que la Caysi Corp utilisait des pesticides toxiques qui s'écoulait dans nos eaux et pouvait intoxiquer les pokémons plantes qui s'abreuvait dans les ruisseaux. Ces pesticides ne serait pas toxique pour les êtres humains.
Certaines personnes avait tenté de faire faire des analyses, mais malheureusement, les labo n'avait jamais renvoyer de résultats, sûrement à cause de la puissante firme anonyme qui était derrière la Caysi Corp. Mon amie, donc, souhaite infiltrer la bâtisse de nuit et prendre quelques clichés compromettant de l'endroit. C'était risqué, mais c'était également l'opportunité que j'attendais pour me bouger le cul, un peu. Catherine, mon amie, m'avait donc donné un rendrez-vous un mercredi, à 11 heures, sous un lampadaire de la rue adjacent à la Caysi Corp.
J'attendais se jour avec impassience. Cette journée parut presque la plus longue de toute ma vie. Je me suis préparé trop à l'avance, j'avais tellement hâte. L'adrénaline de sortir la nuit, bien qu'encore plus forte quand tes parents sont là, est une des plus beau baume à l'ennuis. Je m'étais originalement habillé avec t-shirt noir, des jeans sombres, des souliers de course le plus foncé possible et une tuque sur mes cheveux blonds, juste pour pouvoir les cachés légèrement, leur couleurs pouvant ne pas être masqué dans le noir.
J'ai pris un appareil photo également, au cas où Catherine n'est pas le siens. Je partis également trop tôt, et j'attendai au moins une demi-heure sous mon lampadaire, qu'elle arrive. Catherine s'était plus ou moins habillé comme moi. Elle avait noué ses cheveux bleus en chignon et les avait caché sous une casquette, dans son cas. Elle souriait et durant le cour trajet que nous parcourûment, elle parla grossièrement de la planète, de la planète, d'industrie et d'écologie. Je dois avoué que son discourt était fort «pompant» et qu'une fois arrivé, j'étais fin prête à sauver la terre. Catherine avait une épingle tordu dont elle se servit pour débarrer la porte principale. Elle inspecta le portique à la recherche d'alarmes silencieuses et n'en voyant pas, elle me glissa :
«Si la police arrive, on saura qu'il y en avait!»
C'étais une plaisanterie, mais je commençais à trouver le tout beaucoup moins drôle, soudainement. Je venais de réaliser que si je me faisais arrêter, non seulement je me faisais tuer par mes parents, mais en plus, je perdais toute chance de pouvoir aller à mon match, dans 4 mois. On se déplaça a tâtons, d'abord. Ni l'une, ni l'autre nous ne savions où aller, et nous n'osions parler.
«Sakia, d'après moi, c'est au sous-sol que sa se trouve, c'est plus près des tuyauteries, où ils pourraient déverser leur merde.» me dit-elle.
Je trouvai l'idée très bonne et je décidai de la suivre à la recherche d'un escalier. Finalement, suivant les indications des panneaux sur les murs à la lueur de la lampe de poche de Catherine, nous trouvèrent une porte verrouillé indiqué «sous-sol» avec une flèche partant vers le bas.
Mon amie commença à déverrouiller la porte avec son épingle, mine de rien, et nous nous glissèrent rapidement dans le sombre escalier qui cliquetait sous nos pas doucement. Ce dernier aboutissait dans un vaste corridor chargé d'une ranger de portes toute semblables. Je ne dis rien, mais dans ma tête, j'étais complètement découragé. Pas Catherine! Je ne l'avais jamais vu aussi motivé.
«Sens-tu cette odeur, Sakia? me murmura-t-elle. Ça sens les produits chimiques forts à plein nez!»
C'était vrai, ça sentait fort. Je me laissé guider d'abord, mon amie dans mon dos, et cherchez sur toutes les portes, un nom qui puisse nous aider. Ils se ressemblaient tous, vague et étrange: «Salle des tests d'eau», «Salle de quarantaine», «salle de chocs.
La dernière porte attira plus particulièrement mon attention : «Salle d'entreposage». Je la pointé à mon amie et lui elle hocha la tête. Elle se glissa plus en avant et, de son habile coup d'épingle, débarra la porte.
Nous nous glissâmes à l'intérieur et, une fois la porte refermé, j'allumez l'interrupteur juste à côté de moi.
Nous eûmes le souffle coupé.
Empilé sur des caisson, les murs et même le plafond était couvert de pokémon. Ils étaient tous parfaitement cordé l'un à côté de l'autre et l'on pouvait apercevoir, à l'intérieur de certaines d'entre elles, des pokémons qui semblait endormis. Ils étaient tous installé sur un petit pied et en-dessous, il y avait une petite plaque avec un numéro d'inscrit.
Je m'approché de l'une d'elle et la regardé attentivement. «48» et à l'intérieur, il y avait, je crois, un mimitoss qui dormait. Mes pauvres connaissances pokémon apprisent à l'école me permit de l'associer à son numéro et nous compriment qu'ils y avaient presque toutes les races de pokémon existant dans cette pièce. Je ne dis rien. Catherine commença à prendre quelques clichés de l'endroit et puis me regarda, après s'être saisit d'une pokéball.
«C'est presque impossible, pourquoi auraient-ils réuni tous ces pokémon»
Elle jeta son pokémon par terre. Un saquedeneu se matérialisa sous nos yeux. Ils nous contempla, effrayé, puis sauta dans sa pokéball sans attendre. Catherine la replaça.
«C'est tentant d'en ramasser quelques-uns, mais je préfère que l'on ne prennent que des clichés»
Je m'approchai, curieuse, des pokéballs associer au pokémon légendaire, 150, 151, 250… Évidemment, elle était vide. Après quelques minutes encore, je fis signe à mon amie que nous devrions poursuivre et nous sortîmes de la pièce. Je scrutai la porte en face de celle où nous nous trouvions : «Salle d'expérimentation». Je lui fit signe et elle s'approcha pour la débarrer. Surprise, elle n'était pas verrouillé.
Sans être trop rassuré, je me glissai derrière Catherine et nous pénétrâmes la pièce. Elle était éclairé et dans un état plutôt pitoyable. À vrai dire, il n'y avait rien qui était à sa place. Il y avait des feuilles partout, des documents qui jonchait le sol et surtout, des éprouvettes et des fioles éparpillé sur toutes les tables. Les chaises étaient renversé et plusieurs ampoules accroché au plafond ne fonctionnaient même pas.
Tout était silencieux.
Nous commençâmes à inspecter les lieux. Je m'approchai des documents, lisant surtout les gros titres, mais cela semblaient simplement être du gros charabia scientifique. Catherine regardait le nom des produits, cherchant probablement quelque chose d'incriminant. Je crois que nous avons réalisé que quelques choses clochaient à cet instant. Il y avait ce cliqueti dans l'autre pièce, celle qui était adjacente à nous. Je fis signe à mon acolite et nous nous déplacâmes dans cette direction. Elle débarra cette pièce et nous l'ouvriment avec précotion. Et cette fois-ci, je crois, ce fut la pire découverte de la nuit.
Au centre de la pièce, dans une cage en acier, il y avait une étrange et terrifiante créature. Au début, je croyais qu'il s'agissait d'un Tenefix, mais je réalisai qu'il était beaucoup trop gros pour en être un. Puis à force de le regardai, je réalisai qu'il n'avait pas une forme exactement «Tenefix» mais plutôt…. Plutôt difforme à vrai dire.
Quand il nous vu, il nous observa quelques instants, puis se jetta sur la cage et commença à la marteller. Il gesticulait désespérément. Cet à cet instant que je compris. Il avait une forme humaine. Ses bras plus long, sa tendance à se tenir debout. Le Tenefix, finalement, au comble du désespoir, ouvrit la bouche et murmura «….aidez-moi!». Ce fut à cet instant que, m'entraînant, Catherine partie à courir. Elle ferma la porte violemment et me traîna vers la sortie, courrant à toute jambe, paniqué.
Elle sortie de la pièce, courut jusqu'à l'escalier, enjamba les marches et, sans même prendre le temps de barrer la porte, ou même de la refermer, elle se précipita vers la sortie et, à toujours derrière elle, nous nous enfuirent.
Arrivé dans un parc désert, un peu plus loin, elle me regarda droit dans les yeux, la panique encore lisible dans son regard.
«Tant pis pour l'environnement, je ne remet plus jamais les pieds dans cet endroit»
Je lui proposai de venir prendre un café chez moi, mais elle déclina l'offre et nous nous séparâmes à ce point, partant chacun de notre côté.
J'étais moi-même encore sous le choc, après cette escapade et ne réussi pas a trouver le sommeil de la nuit. Le lendemain fut une autre histoire. À la une du journal local, on nous apprenait que des voleurs s'étaient introduits dans la Caysi Corp pendant la nuit. J'étais un peu paniqué et je lut l'article au complet, cherchant quelques indices sur cette enquête ou sur les suspects du moment, mais rien.
Puis, vers la fin de la journée, Catherine me passa un coup de fil. Elle me parla sèchement et rapidement, sans même me laissé le temps de répondre: «Sakia, la Caysi Corp m'a contacté se matin… Ils m'ont dit savoir qui nous étions. Ils m'ont menacé et m'on dit que si nous racontions se que nous avions vu à qui que se soit, il nous arriverait malheur…»
Elle m'avoua également être terrorisé et me confia qu'elle s'était sentit épié depuis le début de la journée. Le lendemain, ainsi que le surlendemain, je n'eu pas de nouvelles. Puis, samedi, finalement, le téléphone sonna. La seule chose qu'elle me dit, ce fut «Quitte la ville!». À vrai dire, je ne la pris pas au pied de la lettre d'abord. Puis, deux jours plus tard, sa mère m'appela pour me demandé si j'avais vu Catherine, qu'elle n'était pas rentré depuis 2 jours. Je compris. Je compris immédiatement que j'étais dans la marde et qu'il fallait que je parte d'ici au plus vite. C'est là où j'en étais, ce soir là, assise sur mon lit à m'insurger contre la merde de Caysi Corp. J'avais fait développer les clichés prisent cette nuit et avait été surprise d'avoir photographié le Tenefix en question. Je les glissai donc dans une enveloppe et l'adressai à la ville.
Je ne savais pas trop si la compagnie me savait la seconde «voleuses» de l'autre nuit, mais elle ne m'avait pas encore fait de chantage. Je ne m'en rassurai pas pour autant et, calculant qu'il restait environs 4 mois avant mon match tant attendu, je décidai de quitter Châtaigne pour quelques temps. J'avais fait mon petit paqueton et me préparai à quitter ma demeure quand on sonna à la porte. Je collai ma tête à la fenêtre de ma chambre et regardai vers l'entré, surprise. La surprise était mauvaise, je vous l'assure. Dehors, il y avait 5 types plutôt bien bâtit, habillé grossièrement de vêtements sombres. Leur voiture était garé dans mon entré et ils ne m'inspirèrent aucune confiance. Quand ils virent que personne ne venait ouvrir, ils commencèrent à scruter les fenêtres de ma demeure et je crois que le plus costaux des 5 essaya de forcer ma porte d'entrer.
Je n'hésitai pas la moindre seconde. Je grimpai sur mon lit et atteint la fenêtre du mur opposé, celle qui donnait sur le côté de la maison, l'ouvrit et, m'aidant des branches du petit arbre qui y était collé, descendit au sol. À cet instant, en refermant ma fenêtre de chambre, je me sentis bien. Terriblement bien.
Je fuis.
Je courus de par les rues de la nuit, sans reprendre mon souffle. J'avais terriblement peur soudainement. Je sentais mon coeur qui me déchirait la poitrine, mes poumons étaient en feu, mes jambes me portaient toutes seule. Pourtant, malgré cet état soudain de panique, mon cerveau continuait à fonctionner, à toute allure. Où me cacher? Je rechercher tous les endroits possibles, mais ils me semblaient tous hostile et inadéquat. Catherine s'était peut-être sauvé de chez elle, elle aussi. La bibliothèque, malgré son climat silencieux, ne contenait pas une population assé grande pour me cacher. Le poste de police était beaucoup trop loin, la justification était plutôt délicate... je ne voulais pas d'ennuis, je voulais la paix, le temps de retrouver mes esprits.
Il y avait le centre communautaire.. mais il était également désert et fermait relativement tot... soit dans d'ici une trentaine de minutes. Puis soudainement, une idée brillante me vint en tête. Le centre Pokémon. Il était ouvert très tard, il offrait des chambres abordable pour des enfants, il était bourré à craquer, mais plus encore, il était très bien protégé.
Était cotoyé par une majorité de jeunes, pour la plupart compétitif également; c'était bien entendu un lieu propice à des bagares, du vandalisme, des règlements de compte et même à des deal de drogues ou autre. Les centres Pokémon étaient donc pour la plupart très surveillé par la police et, on pouvait dire que le calme et l'ordre y rêgnait. J'étais particulièrement heureuse de trouver un endroit de la sorte pour me cacher sans attirer l'attention pour autant, et je pouvais y trouvé un endroit chaud et de la nourriture pour un certain temps.
J'enlignez donc ma course vers le centre, ravie, soulagé et surtout terriblement pressé d'arriver. Le centre était à une certaine distance de ma maison et j'eu le temps, avant d'arriver là-bas, d'élaborer les pires hypothèses à propos de mes assaillants. Peut-être allaient-ils bruler ma maison... La seule image de ma maison envahi par les flammes me fit frémir d'horreur. Peut-être allaient-ils s'en prendre à ma famille, ma pauvre grand-maman... peut-être cela se rendrait-il à mes autres grand-parents, à la famille que je ne connaissaient que très peu. Peut-être avait-ils tué Catherine ou pire encore...
Puis je réalisai que ma camarade avait peut-être simplement fait comme moi, elle s'était rendu ailleur pour un certain temps, de peur de se faire agressé par ces étranges personnages. Et puis, aucun membre de sa famille n'avait été blessé ou importuné. Je me faisais des idées, sans doute le manque de sommeil ou le stress des dernière minutes.
Le centre pokémon de Châtaigne n'était pas bien grand. Oh, je ne dis pas qu'il était petit, s'était une vaste bâtisse de deux étages beaucoup plus spacieuse que ma propre maison. C'était une baraque d'une bonne taille, mais comparé aux autres centre pokémon des grandes villes, comme à Rougebelle, se n'était pas un centre spécialement grand. Il était ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, il était même ouvert les jours fériés. C'était, maintenant que j'y pensais, un endroit formidable.
La porte s'ouvrit automatiquement à mon arrivé, et je me félicité de trouvé une quarantaine de dresseurs attablés, deux jeunes intendantes à la réception avec une infirmière qui ne semblait pas avoir une soirée trop chargé à son horaire. Les tables étaient remplis, donc, il y avait un agréable feu qui brulait à la cheminée, une très faible musique d'ambiance en arrière plan et une délicieuse odeur d'épice multiple en fond. Il était effectivement annoncé sur une pancarte placé en retrait : Poulet au Romarin, salade jardinière et Paella. J'avais faim, soudainement.
Je me dirigeai tout d'abord au comptoir du centre où une des deux employées m'aborda.
«Bonjour et bienvenu au Centre Pokémon de Châtaigne. Que puis-je faire pour vous aidez?» me demanda-t-elle d'une voix très douce.
C'était tellement cliché et officiel! La jeune femme était d'ailleur vêtu comme sa congénaire, mais ne semblait pas nécessairement trouver ces formalité ennuyante ou répétitive, pourtant, comme l'aurait probablement fait un fonctionnaire, elle semblait y prendre un certain plaisir. Je ne me laissai pas déconcerté pour si peu et enchainé mollement.
« Je voudrais prendre une chambre pour quelques jours ici,» je lui dis. « Je ne suis pas habitué à cotoyer un centre, je ne sais pas vraiment le fonctionnement».
Elle sembla peut-être vaguement étonné. Elle pianota quelques instant sur un ordinateur à côté d'elle et puis se retourna vers moi à nouveau.
« Pourrais-tu me donner ton numéro d'identification sur ta carte de dresseur pokémon,»me demanda-t-elle.
J'hésitai.
« Je ne suis pas une dresseuse de Pokémon » dis-je d'un ton piteux.
La femme arrêta et me regarda, sans dégager d'émotion définie.
« Je suis désolée, dans ce cas, mais tu ne peux pas trouvé asil ici... cet endroit est uniquement réservé aux dresseurs de pokémon. Si tu es mineure, tu dois être accompagné d'un adulte, sinon, accompagné d'un dresseur ayant une liscence valide.»
Cette fois-si, je ne trouvai sa voix ni sympathique, ni chaleureuse; cela n'était peut-être que du au noeud qui venait de se former dans mon estomac. J'aurais peut-être dut insister, où demander plus ample information sur le sujet, mais elle me fit signe distraitement de quitter les lieux, et, sans rien dire d'autre, je sorti de l'endroit.
Dehors, l'air fraît du soir semblait tenté de me remonter le moral, mais malheureusement, il n'y parvint pas. J'allais simplement rebrousser chemin quand je vit passer une voirture devant moi. S'était une voiture de taille moyenne, avec les vitres teinté. Ce ne devait pas être la voiture de mes ravisseurs, mais la panique me gagna et je me précipitai derrière la rocaille le temps qu'elle passe. Je me relevai et, tremblante, cherchai désespérément quelque chose pour m'abriter pour la nuit.
Je crut d'abord être à l'abris, ici, loin de chez moi; puis, dès que j'apperçut une certaine agitation près de là, je paniquai, stupidement. Je reculai contre la cloison de la porte, quand soudain, je sentis une main sur mon épaule.
Je sauté de côté, prète à me ruer sur le premier individu qui tenterais de faire main basse sur moi. Stupéfaction. C'était un jeune homme, un peu plus agé que moi, qui portait un drôle de chapeau et un manteau plutôt... étrange également; un epèce de long poncho fait d'un tissu rigide un peu usé. Il avait des cheveux blonds plutôt long et mal taillé et un regard plutôt sombre, dut à son prohéminant couvre-chef. Il n'avait rien à voir avec les brutes que j'avais apperçut plus tôt.
"Des ennuis?" murmura-t-il. Sa voix n'était pas tellement douce, mais en rien n'était-elle brutale. Je regardai nerveusement vers le sol; je ne savais trop si je devais faire confiance à ce garçon. Et puis en quoi pouvait-il m'aider.
Je hochai lentement la tête.
Il y eu un très court silence. Il regarda le centre quelques instant. "Je ne suis pas une dresseuse pokémon", je dis très rapidement, retenant mon souffle. Il ne bougea pas d'abord, puis me prit le poignet et m'entraina avec lui. Il marchait d'un bon pas et j'eu de la difficulté à le suivre.
Je pénétrai la bâtisse pour la deuxième fois de la journée.
Muuuuu ? Alors vous aimez ça? Si oui, alors bombardez moi de commentaire, sa me ferais énormément plaisir En fait, envoyez moi simplement des messages pour me faire sentir que j'existe :'( Je suis en manque daffection :D
