Disclaimer : Les personnage de teen wolf ne nous appartiennent pas (nda même si moi j'prendrais bien Derek xD), l'histoire elle en revanche nous est propre ainsi que tous les personnages fictifs qui apparaîtrons dans cette fiction ( y en aura pas des masses non plus hein xD)
\\\! Ceci est une fiction contenant des relations homosexuel HxH, homophobes passe leurs chemins. !/
Raiting : M
Note des auteures : on se retrouve en bas de page pour plus de blabla xD place à l'action !

Prologue :

« Ouais, à ce propos mec, je crois que je sais ce que t'es ... »

5 jours plus tôt

Il fait froid. Ça fait longtemps que le soleil est couché, et la lune est haute dans le ciel. La silhouette d'un jeune adolescent ce découpe dans la nuit, il tente de conserver un équilibre plutôt précaire, essayant de maintenir son rythme sans s'étaler lamentablement sur le bitume glacé.
Il a du mal à garder les yeux ouvert, le vent lui fouette le visage et, l'alcool aidant, ses yeux se ferment d'eux-même.
Le silence règne en maître dans la ville rapidement déchirer par les cris stridents de la sirène de police et le crissement des pneus de la voiture à ses trousses.
Sans aucuns signes avant coureurs, - aucuns vacillement indiquent une chute imminente -le fuyard s'étend de tout son long sur le trottoir .
La voiture s'arrête, l'agent de police en descend, claquant la portière avant. Le son résonne dans la ruelle où la course effréné du jeune homme a pris – élégamment – fin .
Le policier l'attrape sèchement par le col, et le porte presque jusqu'à la voiture de patrouille avant de l'y jeter sans douceur sur la banquette arrière.

Le voyage jusqu'au poste de police ce fit dans le plus grand des silences, et pour cause, le passager clandestin n'était pas très -voir pas du tout- bavard.

L'agent de police, jeta le jeune homme sur son épaule et l'emmena jusqu'à l'accueil,il le présenta au shérif qui grimaça:
«Scott, soupira-t-il résigné, Qu'as-t-il fait cette fois ? Demanda-t-il, à l'intention de l'agent de police.
- Dégradation de bien publics sous état d'ébriétés avancé répondit celui-ci. »

Conformément a la procédure habituelle, le shérif se dirigea vers son bureau afin d'y appeler la mère du jeune homme, indiquant a l'agent de porter celui-ci jusqu'à la cellule de dégrisement ou se trouvais déjà une personne qui allait, sans le savoir, bouleverser le cours de sa vie.

POV Scott

Les ténèbres épais qui m'entouraient s'estompe progressivement, me laissant découvrir le lieu où je me trouvais. L'incompréhension laissa rapidement place à une douleur lancinante au niveau de mon nez bien vite remplacée par l'orchestre qui avait décider d'élire domicile sous mon crâne, en gros je suis actuellement en train de me taper une putain de gueule de bois, et je sais même pas comment je suis arriver là. En relevant les yeux du sol, je vis que je n'était pas seule ici, et au vu du froncement de sourcils de mon acolyte, je n'étais pas le seule à avoir passer une sale nuit.

L'homme à qui je donnerais 20 ans environ se tenait fermement le bras, cachant une sorte de tatouage noir, aux motifs étranges.

« Jolis tatouage, dis-je pour engager la conversation » mais le regard qu'il me lança, me dissuada de toute nouvelle remarque, et je me mit à penser que ce type et moi n'étions probablement pas inculpé pour les mêmes raison, dans son cas, je dirais qu'il était là pour avoir tuer une femme, et avoir bouffer son chien, bordel je commence à penser comme Stiles.

Il s'apprêta à réponde, à la suite de quoi je serre les dents -et les fesses, vous connaissez tous le coup de la savonnette, on est jamais trop prudent- :
« joli tee-shirt ! »

Je retire ce que j'ai dit, avec un sourire c'est encore pire, ce mec a vraiment une gueule de psychopathe.
C'est seulement maintenant que ses paroles atteignent mon cerveau, je jette donc un œil au dit t-shirt, lequel est maculé de fine trace de sang, probablement due à ma – classicisme – chute dans la ruelle un peu plus tôt. Ce mec, trouve, que le sang est attrayant ?! Ok, faut vraiment que je me tire d'ici ! (NDA's : Oui, Scott est con. Qui est pour qu'on l'envoi en stage de rémission pour attardés mentaux ?! Levez les mains haut dans le ciel .. si vous l'avez fait, on vous offrira une place à vous aussi xD .)

J'allais répondre – si si j'allais le faire- mais malheureusement -ou pas – le shérif Stillinski vint me chercher pour me conduire à la salle d'interrogatoire, un deuxième chez moi en somme.

Je m'assis donc -avec classe bien sur- sur la chaise en face de la table vide et le shérif me regarda et sortit en soupirant, car je savais déjà qu'il reviendrai seulement quand moman serait arrivée.

Je me mit à regarder le plafond,que je connaissais déjà par cœur quand d'étrange bruits me parvinrent, des cris étouffés, des insultes ,des coup de feux...

Des coup de feux ?! Pourquoi ?!

Mon questionnement intérieur dû se stopper là, car un homme, tout de noir vêtu, entra dans la pièce en volant suivi de près par mon ancien camarde de cellule, que j'avais affectueusement décidé de surnommer le psychopathe mangeur de chien.

Le premier gars, qui était entré en volant, me sauta dessus sans que j'ai rien demandé, et, par réflexe, je lui assenais une droite. Droite qu'il me rendit avec une force inhumaine. Je tombais donc en arrière quand mon pied butta contre la chaise sur laquelle je pris appui et je l'empoignas avant de la balancer sur le gars, Règle numéro 1/ en cas de bagarre, les objets solide sont tes amis.
Je me battais comme un lion, si tant est que le lion en question ait pour adversaire un putain de tiranosorus rex croisé à Hatila le Un (NDA's : … Scott, la proposition tiens toujours .. xD), autant dire que c'était un combat perdu d'avance.
Le psychopathe mangeur de chien avait disparu de la pièce, comme envolé, probablement enfui après avoir vu que son adversaire -ou collègue- m'avait pris pour cible, lui laissant donc le champ libre.
J'aurais sûrement tenté de me défendre si je n'avais pas ressentis une douleurs lancinante au niveau de l'abdomen. Je releva lentement mon regard vers l'inconnu qui venait seulement alors, de me transpercer l'estomac avec des espèces de griffes accrochées à ses gants, elles ressemblaient étrangement aux griffes de Wolverin . J'aurais pu trouver ça cool, si ça n'avait pas été planté dans mon ventre à l'heure actuelle.
Il desserra lentement sa prise sur mon bras, seul maintient que j'avais pour ne pas m'effondrer au sol. Il tourna sensiblement son poignet, augmentant d'autant plus la douleur déjà insupportable qui vrillait mes entrailles, me donnant l'impression d'étouffer. Il finit quand même par retirer complètement sa main et accessoirement ses griffes de mon ventre maculé de sang, laissant place à quatre trous béants. Quelques lambeaux de chairs s'échouèrent au sol suivi de près par mon corps – que je sentais de plus en plus lourd-, qui acheva sa chute dans un bruit mât.

Mon bourreau, s'agenouilla près de mon corps sanguinolent, et sembla me sourie, me narguant .C'est à ce moment seulement, que je remarqua qu'il portait un masque cachant seulement la partie supérieur de son visage, cependant j'aperçus une sorte de lueur dans ses yeux : Il s'amusait, il trouvait sa drôle, j'allais mourir, je n'avais que 17 ans, et lui, il prenait son pied.
Il finit par partir, me laissant là, gisant dans une marre de mon propre sang. J'avais froid, et surtout, j'avais peur. J'étais mort de trouille, je pouvais pas mourir comme ça ! J'avais encore tellement de choses à faire, à dire ! Je devais me remettre avec Alison, je devais passer mon diplôme, je devais m'excuser auprès de ma mère …
C'était triste, tellement triste, parce que j'avais beau me dire que j'allais me battre, je savais déjà au fond de moi, que la vie me quittait, et que je ne pourrais rien y faire, rien y changer.
Je sentais les battement de mon cœur ralentir, bientôt il s'arrêterait, ne laissant de moi qu'un corps inanimé, une enveloppe vide, dont on ne souviendrait que les frasques.
C'est ce moment que choisit le psychopathe pour réapparaître, il me regardait comme si il était désolé, désolé d'un crime qu'il n'avait pas commis, d'un crime qu'il n'aurait pu empêcher. Pourquoi était il revenu ?
Je senti que la douleur s'amenuisait quand il posa sa main sur mon bras. Bientôt tout me parut flou et lointain, je le senti quand même quitter mon chevet, et dans un dernier effort, je lui agrippa la manche, avant qu'il ne fut redresser :

« Ai-aide m-moi, je toussais recrachant le sang qui menaçait de m'étouffer, j-je veux pas mourir »
Inconsciemment je savait qu'il ne pourrait rien y faire, rien y changer, et soudain l'idée de la mort se fit moins oppressante, moins douloureuse.
Alors je repensa à ma mère, à son rire si particulier, à Alison ensuite, et à ses lèvres, toujours si douces, puis je me mis à penser à Stiles, mon frère de cœur, avec qui j'avais tout vécu.
Il me manquerait, ils me manqueraient tous.
Un sourire naquit sur mes lèvres, probablement le dernier, et je laissait fermer mes yeux.
Une unique larme glissa sur ma joue, tel le dernier adieu que je lançait à ce monde.
J'entendis un juron avant qu'une douleur ne vienne me déchirer le bras, à croire que le court moment de répits qui m'avait été accordé venait de s'achever.
Le noir m'envahit, et je me sentis partir.

Je me réveilla avec une sensation de déjà vue, la peur au ventre, et l'orchestre, toujours fidèle au poste, répondant à l'appelle dans mon crâne.
Je papillonnais des yeux, et je remarquait que l'orchestre était en fait un ensemble de voix, affolées et enjouées, toutes plus aiguës les unes que les autres. Quand j'ouvris les yeux pour de bon, la lumière vint m'agresser les yeux, me brûlant la rétine, s'en suivit une odeur forte et désagréable. Du détergent ?
« Scott ? Scott ?! Tu m'entends mon chéri ? Hurla presque une voie affolée à mes côtés »
Je grogna et plaqua mes mains contre mes oreilles en espérant que le bruit se fasse moins fort et surtout, que les voies se taisent.
« Scott ? Qu'est ce que tu as ? Comment tu te sens ? Tu as mal quelque part ? »
La voie se fit pressente, et je ne pus que murmurer un semblant de réponse, dans l'espoir qu'elle se taise :
« Tête, ma tête..
-Ta tête ? Tu as mal à la tête ? Tu es tombé ?
-Arrêtez ! Arrêtez de hurlez !m'écriais-je, accablé par mes sens exacerber »
Ma mère, que je finis par reconnaître à son parfum échangea un regard perplexe avec le médecin présent dans la salle.

On m'avait fait passer un tas d'examens supplémentaire, juste au cas ou. Tout était normal. Ma mère m'avait expliqué que la police m'avait retrouvée dans une marre de mon propre sang -le bilan des blessés s'élevant à 2 blessés graves - , et pourtant je n'avais plus aucune trace d'une quelconque blessure à l'abdomen. J'avais peut-être halluciner ? C'est la seule réponse logique que j'avais trouvé, et pourtant beaucoup de choses me semblaient bizarres, tout d'abord mon ouïe – j'entendais les battements de cœur des gens ! - et mon odorat avait été décuplé. Ensuite, et ça je l'ai remarqué en cours de sport après avoir supplié ma mère de me laisser retourner en cours, je n'étais plus asthmatique, pourtant on m'avait bien précisé que c'était le genre de maladie que tu gardes toute ta vie. Le soir même je racontais tous ça à Stiles, parce que si il y avait bien quelqu'un pour m'aider c'était bien lui. En parlant ensemble, nous en sommes venu à la conclusion que quelque chose en moi avait changer ce jour là, je n'étais plus humain. Restait encore à déterminer ce que j'avais bien pu devenir. Stiles, en bon chevalier servent, m'avait expressément demander de le laisser mener à bien ses recherches, seul, parce que je cite : « te vexe pas Scottie, mais tu vas juste me ralentir ».
Alors voilà où j'en étais, perdu dans mes pensées, quand j'aperçus un gars immobile au bout du parking. Je jurais en reconnaissant le psychopathe bouffeur de chien de l'autre nuit, psychopathe au teint beaucoup moins blafard d'ailleurs. En réalité, je le voyais sous un nouveau jour – une nouvelle lumière même- (NDA's : Merci Scott pour cet incroyable jeu de mot, sponsorisée par carambar... xD ok j'arrête), il avait les yeux vert qui tirait sur le bleu, une barbe naissant de 3 jours -enfin je crois- et il était vachement plus grand une fois debout. En clair, il n'avait rien à envier à un quelconque mannequin sortit tout droit d'un magazine. Il me sourit et murmura une phrase, que je réussi pourtant à capter :
« On doit parler. »
Avant qu'il ait eut le temps de faire le moindre mouvement, je me mis a courir aussi vite que je pus, et sans même m'en rendre compte j'étais arrivé chez moi. Apparemment la vitesse faisait parti de mes nouvelle capacité hors du commun.
Je monta en trombe dans ma chambre, alluma mon ordis et envoya un message à Stiles pour qu'il se connecte sur skype.
« Scott, sa va mon pote, tu tire une tronche de six pied d'long.
-Oui je vais bien, j'ai juste- c'est just-, peu importe, soupirais-je, t'avance dans tes recherches ?
- Ouais, à ce propos mec, je crois que je sais ce que t'es … »
Devant mon mutisme, il soupira et repris :
« Scott, j'crois bien que t'es un loup garou mec . »

Putain .

NDA's : Bon ! Alors pour commencer nous tenons à préciser que, non, Scott n'est pas le personnage principal de cette fiction. Ce sera un personnage important, certes, mais secondaire. L'histoire restera centré sur le STEREK ( YEAAA xD, mesdames ranger vos soutiens gorge ... ok je sors u_u).
On essayera donc de rester fidèle aux caractère des personnages ( dans la limite du possible pour un sterek quoi xD). Âme sensible s'abstenir, y aura du sang, des larme et beaucoup beaucouuuuuup de c** ... Ok bon sa c'est pas vraiment une mauvaise chose xD.
Bien sur, les review sont grandement appréciées, oui même de toi petit anonyme, oui je te vois u_u inutile de te cacher.