Je ne sais pas s'il y a toujours des fan d'Harry Potter qui écrivent et lisent des fanfictions, mais voila ce qu'un manque irrationnel (ou pas) du monde magique en un après-midi sans rebondissements a donné.
Je m'excuse d'avance de mes erreurs d'orthographe et autre, ma beta m'a abandonné (sad story of my life).
Enjoy!

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Des touristes venant d'un peu partout dans le monde s'arrêtaient devant un des plus hauts et plus imposant gratte-ciel de New York s'émerveillant de son architecture, mais surtout de son immensité. Quelques-uns se mettaient même à genoux et soulevaient leurs appareils-photos vers le ciel pour pouvoir documenter la réussite de l'Homme à marquer la Terre comme sienne.

Cependant, leurs appareils n'étaient pas assez développés pour voir la scène qui se passait au tout dernier étage du gratte-ciel. Au milieu d'un vaste bureau, un homme de grande taille faisait les cent pas. Il avait sur le visage une expression de concentration intense, ses traits d'habitude si beaux tirés par le grand effort de la réflexion. D'une main, il défit avec peu de délicatesse la cravate du costume noir qu'il portait et s'en pris ensuite aux deux premiers boutons de sa chemise blanche. Ses gestes peu raffinés aurait horrifié son tailleur si ce dernier avait été présent.

En face de lui, sur un fauteuil acajou, s'asseyait un homme âgé dont la longue barbe lui arrivait presque à la taille. Il portait une robe bleue nuit qui ne s'accordait nullement à la mode New Yorkaise et des lunettes en demi-lune sur son long nez aquilin. Ses yeux bleus d'habitude si pétillant de savoir et de sagesse, semblaient être peinés de voir son jeune ami ainsi torturé par ses propres pensées.

"Vous saviez déjà que cela allait arriver, j'ai peur que ce soit inévitable" Dit le vieil homme d'un ton triste.

"Depuis le temps, je pensais pouvoir trouver une solution" Répondit le concerné en passant sa main dans ses cheveux bruns.

"Je sais, mais croyez-moi, il n'y en a pas" Albus Dumbledore se leva pour faire face à l'âme torturé de William.

"Je ne peux pas la laisser aller comme ça, elle mérite bien plus."

"Je sais." Dumbledore mit sa main sur l'épaule de William d'un geste réconfortant.

"Je l'aime tellement. Je pensais pouvoir la sauver" Une larme s'échappa des yeux bleu-gris de William. Une larme remplie de chagrin, de regrets, mais surtout, une larme remplie d'amour.

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Je sais que c'est vraiment court, mais ceci n'est qu'un essai - un petit prologue if you will- pour voir si ça vaut la peine de continuer.
Qu'en pensez-vous? Devrais-je me mettre à écrire la suite?
Yes? No? Maybe so?

~ Emoti0nallyUnavailablE