Les personnages de Charmed ne m'appartienne pas. Je ne suis propriétaire que de Ph?nix. Ceci s'applique à tous mes chapitres.
Le sorcier lança son couteau sur Paige qui se téléporta pour l'éviter et réapparut au même endroit. Phoebe se précipita sur le sorcier et utilisa son pouvoir de lévitation pour donner un coup de pied au visage de l'assaillant. Il alla fracasser la porte et tomba du haut des escaliers. Phoebe se tourna et vit que Paige s'était agenouillé à côté e Piper qui avait reçu une boule d'énergie sur l'épaule. Phoebe appela Léo qui apparut et alla soigner Paige. C'est à ce moment que le sorcier réapparut, mais Piper le fit exploser.

-Ça fait le quatrième en une semaine, dit Piper, irritée.

-On dirait que les démons s'acharnent encore plus sur nous que d'habitude, si c'est possible, rajouta Paige.

-J'en ai parlé aux anciens et ils m'ont dit que les démons avaient redoublés d'efforts et les vendeurs de pouvoirs se sont vidés, renseigna Léo.

-Les vendeurs de pouvoirs ? questionna Phoebe.

-Ce sont des démons qui tuent des sorcières et d'autres démons et qui ont le pouvoir de recueillir les pouvoirs de leurs victimes. Ils les mettent dans des bouteilles et les vendent. Donc, les vendeurs sont en rupture de stock, ce qui veut dire que les démons ont de nouveaux pouvoirs qui ne seront pas écrits dans le livres de ombres, ajouta Léo, mais j'ai expliqué aux anciens que quelque soit votre pouvoir, vous serez sûrement surchargés et ils ont été d'accord.

-Les anciens ont été d'accord avec nous sur quelque chose ? C'est nouveau, dit Piper, sarcastiquement.

-Piper, les anciens ne sont pas nos ennemis. Ils ont juste plus confiance en vos pouvoirs que vous n'en avez. De toutes façons, les anciens ont dit qu'ils vous apporteraient de l'aide.

-Tu peux préciser ? demanda Paige.

-Ils ne m'ont rien dit de plus.

Ils se dirigèrent vers la porte pour descendre dans la cuisine quand une lumière blanche apparut derrière eux. Quand ils regardèrent, ils virent que leur mère et leur grand-mère étaient venu leur rendre une visite, mais avant que quelqu'un puisse dire quelque chose, les deux femmes se mirent à réciter une incantation.

À travers temps et espace

Quand le mal menacent

Les anciennes reviennent Pour aider les siennes

Tout en récitant, les deux femmes firent signe à leur descendance de réciter le sort et bientôt, les cinq femmes chantèrent le sort. Alors un grand vent se leva et les deux femmes cessèrent de briller et eurent l'apparence de femmes normal.

-Mais qu'est-ce que ça veut dire, demanda Paige.

-Les anciens nous ont envoyés pour vous aider, répondit Patty, la mère des filles.

-Vous deux ?

-Non, nous trois, répondit Penny, la grand-mère des filles, en faisant un pas de côté pour montrer la femme qui se tenait derrière elle. Immédiatement, Piper se mit à pleurer et Phoebe la suivit. Les deux s?urs se jetèrent sur la femme et les trois s'étreignirent longuement en pleurant. Léo murmura à l'oreille de Paige, qui ne comprenait pas : -C'est Prue.

À ce moment, Prue se dégagea et regarda Paige avant de l'étreindre aussi. Ainsi les quatre s?urs plus leur mère et grand-mère s'étreignirent en pleurant. Léo décida de les laisser seules un moment, donc il quitta la pièce et se téléporta chez les anciens ou il les remercia infiniment de sa part et de celles des s?urs. Quand il revint, les six femmes étaient assis dans le salon et Piper amenait un plateau avec des tasses et du thé ainsi que des petits biscuits. Quand elle le vit, elle lui dit : -Léo, tu arrives juste à temps pour entendre ce qui c'est passé.

Il s'assit sur un fauteuil et Piper vint s'asseoir sur ses genoux.

-Voilà ce qui c'est passé en résumée, commença Prue, quand je suis morte, je suis monté au paradis où j'y ai trouvé Maman et Grand-mère ainsi qu'Andy. Ils m'ont tout expliquer et ils m'ont appris ce que je devais savoir. Je suis souvent resté à vous regarder et vous soutenir jusqu'à l'arrivée de Paige. Alors, j'ai su que tout irait bien, mais j'ai quant même continuer à vous regarder de temps à autre et puis aujourd'hui, les anciens m'ont appelés ainsi que maman et grand-mère et ils nous ont dit que le mal grossissait et que vous auriez besoin de nous. Alors, ils nous ont ressuscité. J'ai récupéré mes pouvoirs et Paige a gardé le sien. Maintenant, c'est le pouvoir des quatre. Maman et Grand-mère ont décidé de ne pas garder leurs pouvoirs et à la place, qu'elles seraient plus capable avec les sorts, les potions, etc.

-C'es génial. J'ai hâte de pouvoir te connaître, Prue, dit Paige.

C'est ainsi que pendant un mois, Léo fut occupé à réintégrer Prue, sa mère et sa grand-mère dans la société puisqu'elles étaient sensés être mortes, mais avec l'aide de Darryl et des anciens, il put finalement dire que les trois femmes n'étaient pas mortes. Pendant ce temps, les six femmes n'arrêtèrent pas de parler pendant des heures entre elles et les filles prirent même des congés pour pouvoir passer la journée avec leur famille.

Aujourd'hui, les six femmes et Cole et Léo étaient réunis dans le grenier et s'amusaient un peu avec les sorts du livre.

-Je vais en choisir un, dit Phoebe en prenant le livre et en allant s'asseoir parterre avec sa famille, tiens si on regardait à quoi notre futur ressemble ?

-Ça nous a déjà créé des problèmes avant, rappela Piper.

-Piper, maintenant c'est moi la grande s?ur et c'est mon travail de vous protéger, remarqua Prue.

-Personne ne doit protéger personne. Nous sommes tous capable de nous protéger les uns les autres. Alors Phoebe, l'incantation, dit Paige.

Phoebe fit comme on lui demandait et récita l'incantation. Soudain, une lumière jaunâtre apparut et laissa derrière elle quatre adolescents.

-Bon, je vous avez dit que c'était aujourd'hui, mais personne ne veut m'écouter, dit un adolescent.

-C'est pas croyable, dit une des trois adolescentes en voyant les six femmes assises ainsi que les deux hommes un peu à l'écart. Elle allait courir vers eux, mais le seul adolescent l'arrêta.

-Deux minutes. Bon, vous avez récité un sort pour voir ce que vous réserve le futur et nous sommes venus. Nous sommes vos enfants. Je m'appelles Philip, je suis ton fils, Piper. Ici, nous avons Patricia, la fille de Prue. Pénélope est la fille de Phoebe et Précillia, la fille de Paige. Nous ne pouvons vous dire qui sont les pères même si Maman le sait déjà. Nous sommes au courant pour le pouvoir des trois, etc. Nous ne pouvons rien vous révéler d'important sur le futur, mais on peut vous parler de nous et de votre vie en général. Quand se sera le temps, nous devrons repartit, mais le quand ça je ne sais pas. Je vous dis parce que les vous du futur nous ont averti que nous irions dans le passé et que vous nous poseriez plein de question.

-Un fils, je croyais que dans notre famille, nous ne pouvions avoir que des filles, demanda Piper.

-Vous êtes le pouvoir des trois ou des quatre maintenant et vous avez l'habitude de faire des choses impossible, dit Philip

-Bon, venez vous asseoir, nous allons parler pour un bout de temps, dit Paige.

Les adolescents s'assirent et Prue posa la première question.

-Est-ce que vous avez hérité de notre magie ?

-Pas totalement. Dans le futur, vous nous avez enseigné tous sur la magie et les forces du mal, mais vous avez dit que nous recevrions nos pouvoirs quand nous aurions atteint un certain degré de maturité. La seule personne qui ait ses pouvoirs, c'est Philip. Il est soi-disant plus mature que nous tous, dit Patricia.

-C'est pas ma faute si je suis plus intelligent que vous tous réunis, rigola Philip.

-Je vais t'arracher la tête, cria Patricia et sauta à la gorge de son cousin.

-Bon, on va continuer sans eux. Ça risque de prendre du temps avant que l'un ou l'autre se calme, informa Précillia. Comme Philip le disait. Il est le seul à avoir reçu ses pouvoirs. Bien que ça m'énerve de le dire, il le mérite. Depuis qu'il sait lire, il n'a pas arrêté d'apprendre les sorts et les démons dans le livre des ombres. Il connaît beaucoup plus de choses que nous. Il a hérité du pouvoir de geler le temps, faire exploser les choses, se téléporter et soigner les blessures, mais il paraît qu'il va développer un pouvoir à lui seul qu'il va transmettre à sa progéniture s'il y a une femme assez folle pour l'aimer.

-Pourquoi le détestez-vous autant ?

-C'est un gars. Il est stupide et agit comme un bébé quelque fois. Un jour, quand il avait treize ans, il a caché des rats dans chacun de nos lits et on s'est couché avec sans le savoir jusqu'au beau milieu de la nuit quand Pénélope a crié. Ce jour-là, par contre, il a été puni de sortie pendant deux semaines. On a trop ri, raconta Précillia.

-Il est si terrible que ça ? dit Paige.

-Ce n'est qu'une partie des âneries qu'il a faite, mais maintenant c'est autre chose. Maintenant, il n'arrête pas d'inviter des filles à la maison sans vous le demandez et il peut rester des heures dans sa chambre avec la fille. Quand il fait ça, vous êtes obligés d'aller voir dans sa chambre toutes les dix minutes pour vous assurer qu'il ne fait pas des choses pas trop catholiques, continua Précillia.

-C'est trop tard, nous autres, on sait déjà qu'il avait perdu sa virginité à l'âge de quinze ans, murmura Pénélope en s'approchant des femmes pour ne pas se faire entendre par le garçon qui se battait toujours avec sa cousine aînée.

-Seigneur, dit Piper.

-C'est pas le pire, il ne peut pas garder une petite amie plus de deux semaines et il ne reste jamais seule. Les filles raffolent de lui et dès qu'on apprend qu'il a quitté une fille, des dizaines d'autre le collent pour la remplacer. C'est éc?urant, dit Précillia.

-C'est pas vrai. C'est pas éc?urant du tout. Si tu pouvais juste te trouver un gars, tu verrais que le sexe, c'est super, n'est-ce pas, Patricia, dit Philip tout en roulant parterre avec sa cousine qui essayait de l'étrangler.

-Quoi, Patricia, tu l'as déjà fait ? demanda Pénélope, interloquée.

-C'est pas vrai, répliqua Patricia.

-Oui, c'est vrai. Tu avais dit aux adultes que tu partais dormir chez une amie, mais tu es allé voir le beau Alec et tu as passé la nuit avec lui, dit Philip en roulant au-dessus de sa cousine.

-Comment tu sais ça d'abord, interrogea Patricia en roulant par-dessus son cousin.

-Alec est un de mes amis et quand vous vous êtes séparés, il m'a dit que tu avais été excellente, dit l'adolescent en roulant sur sa cousine.

Patricia resta figée un moment avant de crier et de pousser Philip de sur elle par-dessus sa tête. Il alla s'écraser à plusieurs mètres sur le dos. Patricia se releva et dit :

-Le salaud a dit ça ? Je vais le tuer quand on va rentrer. En passant, combien de fois tu l'as fait toi ? demanda-t-elle en parlant à son cousin qui essayait de se relever.

-Plusieurs fois avec plusieurs filles. J'aime varier.

Avant qu'il puisse complètement se relever. Patricia lui sauta dessus et le projeta sur le dos tandis qu'elle l'étranglait.

-Toi aussi, tu es un salaud. Tu n'es pas mieux qu'Alec. Tout ce que tu aimes, c'est le sexe. D'ailleurs comme tu as dit que tu aimais varier, je parie que tu l'as déjà fait avec un autre gars.

Philip roula sur elle et se releva et afficha un sourire en regardant sa cousine, parterre.

-C'est vrai. Et même que je l'ai fait avec Alec.

-T'es sérieux ? dit Pénélope, incrédule.

-Bien sûr, je t'ai dit que j'aime varier et Alec est comme moi. On s'entraide juste. Ça veut pas dire que je sui gay.

-Tu l'as fait plusieurs fois avec Alec ?

-Ouais, la dernière fois que j'ai fait l'amour c'était avec lui d'ailleurs.

-Mais tu sors avec Julie. Tu la trompes ? remarqua Précillia.

-Pas vraiment puisque je ne sors pas avec Alec, expliqua Philip en s'asseyant sur un vieux fauteuil, c'est juste du sexe.

-Juste du sexe ? Mais faire l'amour ça représente quelque chose d'hyper important dans une relation. C'est le dernier pas et ça demande de la confiance, dit Précillia.

-Ça paraît que tu es la plus jeune. Tu as encore tes petits idéaux. Le sexe, c'est surtout du plaisir, dit Philip.

-Tu vas me dire que tu as fait perdre à pleins de filles leur virginité, leur innocence juste pour du plaisir ? dit Pénélope.

-Pourquoi tu fais paraître qu'avoir du plaisir c'est mal ? rétorqua Philip.

-Tu le fais au dépend d'autres personnes et tu leur enlèves leur enfance. Quand elle font l'amour avec toi, elle croît que tu es l'âme s?ur, que tu seras là pour eux tout le temps et tu les jettes comme une vieille chaussette quand tu as fini de les utiliser.

-Mais elles savent que je ne m'intéresse pas vraiment à eux. Avec la réputation que je me suis faite, même les profs savent que j'ai plus d'expérience qu'eux. En plus, je suis sûr que Papa et Cole sont de mon côté.

Tous les visages se tournèrent vers les deux hommes qui étaient resté jusqu'à maintenant silencieux.

-Je préfère rester hors de ça, dit Léo.

-Moi aussi, ajouta Cole.

-Non, Cole et Léo, vous allez nous donner votre avis, dit Paige en souriant.

-Euh. Est-ce qu'il y a un moyen pour que je dise quelque chose sans fâcher ma femme, demanda Léo.

Piper fit signe que non et Phoebe fit la même chose pour Cole. Les deux hommes soupirèrent et allèrent se mettre à côté de Philip.

-Il marque un point, dit doucement Léo.

-Quoi, donc tu vas me dire que tu m'utilises toi aussi ? dit Piper.

-Non, je t'aime, tu le sais, mais à l'âge de Philip, il n'a pas rencontré l'âme s?ur et donc il ne connaît pas la valeur de l'amour.

-Donc, tu dis que ça ne te déranges pas qu'il invite des filles au manoir ?

-Pas du tout, dit Philip, d'ailleurs c'est surtout lui et Cole qui m'ont appris le gros.

Les yeux de toutes les femmes présentes s'écarquillèrent et regardèrent les deux hommes. -Quoi au juste, demanda Paige.

-Euh.comment faire pour ne pas me faire prendre tout en profitant du moment.

-Je crois que tu en as dit assez, intervint Cole.

À ce moment, les adolescents se mirent à briller et ils disparurent. Les femmes se levèrent et sortirent sans parler à Cole et Léo. Les dernière, Piper et Phoebe passèrent en disant : -On va devoir parler.

Les deux hommes soupirèrent. Ils allaient en bavée. Souriant soudainement, Léo dit à Cole. -Mon fils est une bête de sexe. Les deux sourirent et descendirent vers la cuisine.