Bijour tout le monde ! Ceci est ma première fic alors svp soyez indulgent. Excusez moi si je fait des fautes d'orthographes mais je n'ai que 14 ans alors le français et moi ça fait deux.
Titre : La menace Ts'liche
Auteur : Bah c'est moi, évidemment ! Kitsune77 !
Résumé : Petit crossover entre Fullmétal Alchemist et Ewilan. Si vous ne connaissez pas Ewilan ce n'est pas grave. Quand les frères Elrics se retrouvent dans un monde completement différent du leur et où ils vont découvrir que des personnes créent des choses sans tenir compte du principe de l'échange équivalent.
Disclaimer :
Moua : Je dois vraiment le dire ?
Ed : Oui t'es obligée !
Al : allez fait un effort faut juste que tu le dise une fois par chapitre.
Mustang : Si tu ne le fais pas je claque des doigts !
Moua : Bon d'accord les persos de FMA et le monde de Gwendalavir n'est pas à moi (j'aurai bien aimé pourtant ! BOUH !). Par contre Mme Niorma, Ludivine et Mélanie sont à moi ( ouais j'ai des persos à moi !). Je ne suis pas payé pour faire cette fic ( dommage ! Lol ).
Bon bah je vais vous laisser lire. Bonne lecture !
Les écritures en italique sont les pensées des personnages.
Ch'tite version corrigée au revoir les fautes merci ma ch'tite maman !
Chapitre1 : Une mission pas très officielle
Edward et Alphonse Elric se tenaient dans le bureau du colonel Roy Mustang. Ils venaient de rendre leur rapport sur un alchimiste qu'ils avaient dû arrêter parce qu'il avait transformé du plomb en or, chose interdite. Mustang le parcourut rapidement des yeux et déclara :
- Très bien, je vous félicite Fullmétal c'est du très bon travail. Pour un ...
- Ah ah ah ! Et bien colonel je ne savais pas que vous pouviez mettre autant de compliments dans une seule phrase, coupa le jeune homme aux cheveux d'or.
- Je disais donc pour un si petit enfant c'est vraiment extraoooordinaire que tu aies pu l'écrire avec moins de 50 fautes d'orthographe par lignes ! Répliqua le colonel en appuyant bien sur le mot "petit".
Ed devint tout rouge (ndla : oh non il va bientôt exploser ! Ecartons nous un peu )
- C'EST QUI QUI EST SI PETIT QU'IL POURRAIT CHEVAUCHER UNE PUCE ? Hurla Ed
- Ed calme-toi, conseilla Alphonse en esperant retenir son frère.
Mais comme Al avait son armure, il risquait d'ettouffer son frère en le prenant dans ses bras pour contenir sa fureur et il était bien trop gentil pour lui faire le moindre mal.
- Oui, calmez-vous Fullmétal ou sinon vous ressemblerez bientôt à une tête brûlée au sens propre du terme, menaça Mustang en levant ses doigts prêts à faire feu mais intérieurement il s'amusait comme un fou à provoquer Ed et à le menaçer ensuite.
Ces mots eurent l'effet d'une bonne douche froide, Ed se calma et demanda :
-Vous vouliez me proposer quelque chose ?
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Lui répondit Mustang
- Lorsque vous avez quelque chose à me faire faire de manière pas très officielle vous me menacez toujours de me brûler vif, affirma Ed de manière décontracté
- Bonne déduction, bon, passons aux choses sérieuses : j'ai enfin un rendez-vous qui va marquer ma vie, elle est super jolie et un caractère d'ange !
- Euh colonel on s'en fout un peu de votre vie amoureuse !
- Tu ne devrais pas et plutôt prendre l'exemple sur moi !
Un toussotement se fit entendre.
- Hum, hum, hum, ...
Riza Hawkeye était devant la porte depuis longtemps mais n'avait pas oser les interrompre pensant qu'ils parlaient de choses importantes puis comprenant enfin le sens des paroles de Roy, elle chassa Ed et Al et hurla au colonnel, son revolver pointé sur sa tempe :
- Vous n'avez pas honte de racontez des choses complétement inintérressantes au lieu de faire votre travail !
Mais le colonnel avait encore quelque chose à dire au Fullmétal et il se précipita en évitant le bras de Riza qui menaçait de lui donner une paire de claques :
- Edward !
L'interpelé se retourna :
- Quoi qu'est-ce qu'y a encore ?
- J'ai une mission à vous confier.
- Ouais je vous écoute.
- Non pas ici.
Il regarda de tous les côtés et ses yeux se posèrent sur la penderie.
- Dans cette pièce.
- Mais non cette une armoire.
- Tant pis.
- Quoi ?
Ed, Al et Roy entrèrent tant bien que mal dans la penderie. Al prenait au moins les trois quart de la place disponible.
- Alors c'est quoi cette mission ? Encore un truc super naze ?
- En fait il s'agit d'un endroit où il y a eu plusieurs disparitions suspectes.
- Colonnel pourquoi n'est-ce pas une mission officielle il n'y a aucune raison à ce que ..., demanda Al
- Si, l'affaire a été étouffé.
- Comment le savez-vous alors ?
- Mon amie d'enfance habite là bas et il y a peu de temps, elle a disparu elle aussi.
- Pourquoi n'y allez-vous pas, vous ?
- Le généralissime me surveille et, comme c'est un homonculus, je prefère me tenir à carreaux. Donc je vous recommande la plus grande couverture vous direz que vous allez chez des amis.
- D'accord, Monsieur, affirma Al.
- Eh attendez un peu est-ce qu'on sera payé pour cette mission ? demanda Ed.
- Cela dépendra de l'épaisseur et du contenu de votre rapport, répondit Roy un sourire en coin.
- PutBIP ! Vous êtes vraiment le mec le plus chiBIP de toute cette putBIP d'armée de merBIP ! hurla Ed (ndla : cette partie à été censurée ! Lol !).
- Ed s'il te plait.
Al essaya encore de calmer Ed mais une fois de plus il ne réussit qu'à moitié.
- J'en ai marre je me casse, déclara le blondinet en sortant du placard et en claquant la porte sous le regard surpris des quelques officiers qui passaient par là.
- Désolé, s'excusa Al auprès du colonnel Mustang.
- Ce n'est rien j'ai l'habitude.Ouais c'est surtout que j'adoooore le provoquer, il est trop marrant quand il s'enerve !
Ed était assis sur les marches devant le QG de l'armée quand son frère le retrouva. Celui-ci l'observa. Ed n'avait pas beaucoup grandi depuis qu'il était devenu alchimiste au service de l'état : avec sa cape rouge, il ressemblait au petit chaperon rouge. Al sourit en pensant à cette comparaison, si son frère l'avait entendu il lui aurait hurler dessus en entendant un certain mot.
Ses cheveux blonds étaient attachés en une natte mais quelques mèches rebelles s'étaient libérées et flottaient au grés du vent. Ses yeux dorés fixaient un endroit invisible. Le benjamin des frères Elric fut éblouit par le reflet du soleil sur la montre à gousset en argent de Ed. Sur celle-ci était gravé un lion, symbole de l'armée et des alchimistes d'état. Elle se terminait par une chainette attachée au pantalon de Ed.
Cette montre a été la cause de beaucoup de nos malheurs, à cause d'elle nous avons connu les horreurs que l'armée faisait, Scar nous a poursuivi parce qu'on avait cette montre, et enfin ce sont les homonculus qui voulait notre peau et ils la veulent toujours d'ailleurs, pensa Al.Mais en même temps c'est grâce à cette montre que nous avons connu Nina, le colonnel Mustang, le lieutenant Hawkeye, et tous les autres, elle nous a aussi permis d'avoir de l'argent ... Cette montre nous a fait aussi beaucoup de bien.
Le lendemain, les frères Elrics étaient à la gare et allaient prendre leur train pour la cité de Viar quand tout à coup quelqu'un se précipita vers eux en hurlant :
- Il y a le feu à la salle des machines ! Un feu gigantesque ! Le train va exploser, vite faites quelque chose, j'ai entendu dire que vous étiez le Fullmétal Alchemist, dit-il en se tournant vers Al.
- Non, non le Fullmétal c'est lui mon grand frère Edward Elric, répondit Al.
- Ah bon c'est lui l'ainé on dirait pas avec sa taille.
- QUI C'EST QUE TU TRAITES DE PETIT !
- Euh frangin on fait quoi pour le train ?
- Bah vu comment il m'énerve je crois que je vais rien faire ...
- Mais on a besoin de ce train, dit l'armure.
- Ah oui merde j'allais oublier bon j'y vais.
Il se précipita vers l'avant du train et éteignit le feu en créant un tuyau qui partait jusqu'au fleuve le plus proche et revenait en rapportant l'eau.
- Merci, monsieur l'achimiste sans vous on était cuit, sans vouloir faire de jeu de mots.
- Ouais c'était plutôt moi qu'étais cuit si Mustang avait appris qu'on avait pas pu prendre le train.
Pendant le voyage, qui dura quelques heures, les deux frères se reposèrent et récupérèrent la nuit qu'ils avaient manqué en se levant à trois heures pour prendre le train qui était à quatre heures et demi. Arrivés à la cité de Viar ils s'étonnèrent de ne voir personne dans les rues.
- Ils n'ont tout de même pas tous disparus ? Demanda Ed
- Je ne sais pas, peut être que si.
A ce moment là Ed apperçut la tête d'une fillette qui regardait à travers la fenêtre.
- Non, nous ne sommes pas tout seul.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Lui demanda Al
- Regarde la fenêtre à ta droite.
- Oh ! Coucou ! S'exclama Al en faisant des grands gestes avec ses bras.
La fillette le regarda un instant et s'en alla. Mais peu de temps après la porte de la maison s'ouvrit et une vieille femme apparut sur le seuil.
- Bonjour madame nous sommes des voyageurs et ...
- Oui, oui entrez donc, répondit la vieille.
- Ah, merci.
Les deux frères s'installèrent autour d'une table et la petite fille qu'ils avaient vu par la fenêtre se precipita vers eux :
- Bonjour je m'appelle Mélanie mais tu peux m'appeler Lanie si tu veux
- Bonjour moi c'est Ed et lui l'armure, c'est Al mon petit frère.
- Ouah ! Il est plus grand que toi ton petit frère !
- Ed calme-toi elle pensait pas à mal, dit Alphonse.
- Je suis calme ! Repondit Ed quoiqu'étant un peu rouge.
La vieille femme qui leur avait ouvert la porte s'avanca en boitillant. Elle ressemblait étrangement à mamie Pinako avec ses cheveux gris tirés en arrière.
- Alors les jeunes que faites-vous donc dans ce lieu perdu ?
- Euh nous venons voir une amie, elle s'appelle Ludivine Niorma, répondit Ed.
Ludivine était l'amie du colonnel Mustang qui avait disparue dans des circonstances supectes.
- Mais Vivine s'est perdue dans la forêt ! S'exclama Lanie.
- Ah bon ? Demanda Al
- Oui, pas plus tard qu'il y a une semaine Ludivine est allée dans la forêt et n'a plus jamais reparue,expliqua la vieille femme.
- Oh mais c'est affreux il faut aller la retrouver ! S'ecria Al
- Tout ceux qui sont entrés dans la forêt ne sont jamais revenus, déclara la vieille
- Oh fait, excusez-nous, nous ne nous sommes pas présenté. Je suis Edward Elric et voici mon frère Alphonse. Nous sommes des amis du colonnel Mustang.
- Je m'appelle Georgette Niorma, je suis la grand mère de Ludivine, et Mélanie est la cousine de Ludivine.
- Mustang ? Roy Mustang ? L'ami de Vivine ? Demanda Lanie
- Oui, répondit Al.
- Pourquoi il est pas venu tonton Roy ?
- Il pouvait pas, dit Al.
- C'est ton oncle ? S'ecria Ed surpris.
- Non.
- Ouf !
- Bon est-ce que vous avez faim les enfants ? Demanda Mme Niorma.
- Je meure de faim ! S'ecria Ed.
- Faites attention mon frère est un vrai estomac sur pattes ! Avertit Al à la grand mère
- Je pense que j'aurai assez.
A peine quelques minutes plus tard, Ed avait déjà finit son assiette et en demandait encore.
- Je vous avait prévenu madame, il a un trou noir à la place de l'estomac.
- Je te crois maintenant, dit elle en rigolant.
Et tous se joignirent à elle. Une fois après avoir reprit leur esprit, Georgette Niorma demanda :
- Pourquoi Roy vous a t'il demandé de venir ?
- Pour enquêter sur la disparition des habitants de ce village mais officiellement on vient rendre une visite à une amie.
- Pourquoi officiellement ?
- Le généralissime a éttouffé l'affaire alors le colonnel Mustang nous a demandé d'enquêter.
- Mais vous avez quel âge ?
- J'ai 15 ans et mon frère 14.
- Et vous êtes dans l'armée ?
- Je suis un alchimiste d'état, le Fullmétal Alchemist ! Déclara Ed à peine craneur.
- Oh j'ai entendu parler de toi à l'auberge du village.
- Eh eh ...
- Hum, pourquoi tous les habitants du village sont cachés dans leurs maisons ? Demanda Alphonse
- Ils ont peur que la bête qui dévore les gens dans la forêt ne vienne dans le village, alors ils se cachent.
- Mais c'est vrai cette histoire de bête ? Demanda Al pas très rassuré.
- Bien sur que non, les monstres n'existent pas, tout comme les homonculus, les chimères, les âmes fixées dans un objet ou toute autre choses du même genre !
- Euh pour les monstres je veux bien mais le reste existe et même qu'on le connait bien, chuchota Ed pour ne pas que la vieille femme et Lanie ne l'entende.
La pendule sonna onze coups.
- Ouh là là je ne savais pas qu'il était si tard les enfants ! Déclara Mme Niorma, allez vite vous coucher !
- Eh on est pas des enfants, nous, s'exclama l'aîné des frères Elric.
- Oh Ed ca fait tellement longtemps que l'on ne m'a traité comme un enfant ! S'ecria Al remplit de joie.
- ... (goutte de sueur sur le front de Ed) Bon OK Al on va se coucher comme ça on sera en forme demain matin, céda- t'il finalement.
- Merci, Ed, s'ecria Al en s'empressant de prendre Ed dans ses bras.
- Al ... tu ... m'étouffe ... arrête ... s'il ... te ... plaît ...
- Oups pardon
Le coq venait juste de chanter lorsque Alphonse reveilla son frère. Mais comme d'habitude c'était impossible de le réveiller aussi tôt alors Al lui parla de ce qu'il y avait sur la table du petit déjeuner :
- Au petit déjeuner on va manger des croissants, de la confiture, du pain, des céréales, des gâteaux, des tartes, des bonbons, il y aura aussi du bacon, des oeufs, du jambon, ...
Il finit par cette phrase :
- Si tu ne te réveille pas tout de suite il n'y aura plus rien, on aura déjà tout mangé.
- QUOI ! ATTENDEZ MOI J'ARRIVE ! cria Ed en sortant de son lit précipitamment.
Une fillette rigolait, elle s'était caché sous le lit d'Alphonse pour mieux observer Ed à son insu. L'armure se retourna vers elle.
- Tu vois c'est pas si difficile de le réveiller quand on sait s'y prendre.
Puis du fin fond de la maison retentit une voix :
- Al tu m'as menti y a rien de ce que t'as dit ! Il y a juste du pain, de la confiture et ... beurk ... du lait !
- Et oui frérot c'était le seul moyen de te sortir du lit.
- Traite !
- Et oh on se calme, dit Georgette Niomar.
- Madame, ce matin on aimerait aller dans la forêt, déclara Ed à la grand-mère.
Un bruit de porcelaine cassée se fit entendre. La vielle femme avait laché le récipient où reposait le lait et faisait les yeux ronds aux deux frères. Puis, finalement, elle décida qu'ils avaient une bonne raison d'aller dans la forêt et elle se baissa pour ramasser les morceaux du récipient étalés par terre.
Ouais comme ça y aura plus de lait ! Pensa Ed.
- Faites comme vous voulez, mais si vous disparaissez vous aussi, ne venez pas me dire que je ne vous avait pas prévenu ! Prevint la vieille femme
- Non s'il vous plaît n'y allez pas je ne veux pas que vous disparaîssiez comme Vivine ! S'il vous plaît restez ! Demanda Lanie.
- On est obligé Lanie c'est pour le boulot.
- Et si on disparaît nous aussi tu peut être sûre que nous allons trouver un moyen de revenir et ramener avec nous tous les habitants et aussi Ludivine, lui assura Al.
- Ne t'inquiète pas on se laissera pas faire on reviendra coûte que coûte pour revoir ton beau sourire, rajouta Ed.
- Au fait tu as quelle âge ? Demanda Al
- 8 ans, pourquoi ?
- C'est quand ton anniversaire ? Dit Ed en comprenant ce que Al voulait savoir.
- Le 25 août, pourquoi ?
- Parce que on sera de retour avant le 25 août pour pouvoir fêter ton anniversaire, lui promit Al
La fillette regarda le calendrier accroché au mur : on était le 19 juin.
- D'accord, revenez vite les copains ! Déclara Mélanie en souriant pour cacher ses larmes.
- Oui je te le promet ! Au revoir madame ! Dit Al.
- Salut tout le monde !
Les frères Elric partirent en direction de la forêt, avec un baluchon rassemblant le strict nécéssaire pour pouvoir manger dans la forêt car celle-ci était grande et il leur faudrait du temps pour l'explorer, mais ils ne virent pas l'ombre qui se tenait sous un grand chêne.Un oiseau s'envola de la fenêtre de la maison et atterit près de l'arbre. Ensuite il n'y eut plus d'oiseau mais une silhouette vaguement humaine.
- Alors Envy tu as entendu ce que les deux gamins faisait ici, demanda l'ombre à la silhouette androgyne qui s'aprochait.
- Oui, le Fullmétal nabot et son frère sont venu ici explorer la forêt pour le compte de Mustang, déclara l'androgyne qui se découpait nettement dans la lumière du soleil levant.
Il avait des cheveux long et verts, un corps fin et élégant et un symbole étrange dessiné à l'encre rouge (ou avec du sang) était imprimé sur sa cuisse droite.
- Tout se passe comme l'avait dit Pride, c'est bon signe, dit l'ombre.
- Ouais, mais tu sais très bien que quand tout se passe bien c'est à ce moment là que le minus se ramène et fait tout foirrer, s'exclama le dénommé Envy.
- Je sais, pas besoin de me le rappeler, mais cette fois il y a d'autres créatures avec nous qui risqueront de surprendre beaucoup nos deux frères préférés.
- Pouah ! Nos deux frères préférés ! Tu blagues Lust ! S'étrangla l'androgyne.
- C'était de l'ironie Envy, mais vu la taille de ton cerveau je ne crois pas que tu ais compris la subtilité de ce mot, dit Lust d'une voix calme.
- Qu'est-ce que tu viens de dire à propos de mon cerveau ?
- Juste qu'il était petit.
- Quoi ! Comment oses-tu dire ça ? S'offusqua Envy
- Bon faudrait peut-être que tu te mettes au travail, vas prévenir les créatures au nom imprononçable.
- Ca va pour cette fois mais à la prochaine que tu me diras ça je te ferai la peau ! Renonça-t'il
- Comment peux-tu me tuer, les homonculus sont immortels.
- J'y vais !
Et il courut jusqu'à la forêt.
Edward Elric et son frère avaient pénétré dans la forêt depuis une bonne heure lorsqu'ils avaient aperçu du coin de l'oeil une silhouette qui ressemblait étonnament à un palmier mais il n'eurent pas le temps de discerner ce miracle de la nature, la silhouette avançait trop vite.
Pendant deux jours, ils restèrent dans la forêt en cherchant je ne sais quoi. Ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'ils devaient chercher. Puis un jour ils trouvèrent un panier renversé avec à l'intérieur quelques fruits, des champignons, et plein d'autres chose que quelqu'un avait dû cueuillir. Ils décidèrent de rester là un moment. A midi ils explorèrent les environs, ils arrivèrent à un buisson qui avait été piétiné une bonne centaine de fois. Ils l'écrasèrent à leur tour et tout d'un coup ils disparurent laissant leurs vivres dans la forêt.
Fin du premier chapitre j'espère qu'il vous a plu. A bientôt pour la suite !
