Salut Salut !

lecteurs : Oh non pas elle !

Oui oui, je sais ! J'accumule un retard monstre sur des fanfictions à peine débutée, et j'en commence quand même une autre ! Ça va, on va pas en faire tout un plat !

Opta*: Et dans quel univers cette fois ?

Après Crow Zéro, Naruto et Harry Potter (cherchez le lien ! Un film japonais (je n'ai vu que cette version et non le manga), un manga et un best-seller mondialement connu (parce que oui, y'a des best-sellers qui sont inconnus des states)) Ben du coup, après tout ça, je me lance dans une fanfiction sur le monde de One Piece ! Je prends le contrôle du corps d'Opta, et je nous propulse dans le manga.

lecteurs : Tu vas encore nous faire des personnages férus de puissance ?

Il y a des chances qu'Iyallis soit comme à son habitude (non, c'est pas ma faute .) une férue de puissance mais un peu plus en décalé cette fois, donc avec un pouvoir que j'ai perfectionné au cours de nombreux rôle-plays (oui, je rôle u.u) et pour ça, je voudrais remercier Akemi, Juju, Emmy et tous les autres pour m'avoir fait combattre contre eux en me servant de mon précieux dôme et en m'aidant à en repérer les failles. Ensuite tout particulièrement Jackal pour ses précieux conseils et bien entendu Opta pour me laisser les commandes et avoir combattu contre moi. Opta, je connais tes goûts, je t'offre ton fruit du démon favori, et avec, toutes les attaques que tu aimes, dans cette fanfiction, tu tiendras le rôle que tu t'es souvent attribuée quand nous rêvions ensemble, donc grosse dédicasse à toi ma belle ! Je t'aime foooort ! (Ne t'en fais pas, on va se taper de gros délires… je crois)

lecteurs : Dans ce cas, on attend la suite… *gros soupire*

Dites que je vous désespère, je ne vous dirai rien !

lecteurs : Tu nous désespère

Je ne vous permet pas !

Opta: Bon allez, je lance le chapitre, sinon ils ne le feront jamais. Bonne lecture !


Chapitre 1 : Je suis prête à me battre pour toi !

Bien au chaud dans leur lit respectif, deux silhouette étaient profondément endormies, plongées dans des rêves merveilleux. [Blood (l'auteur) : Dans rêve merveilleux, comprenez rêves de batailles sanglantes.] Le soleil venait frôler leur doux visage dans une douce et chaude caresse, passant à travers les rideaux à moitié ouverts. La chambre qu'elles partageaient était simple. La chambre s'étirait en longueur. À droite de la porte, siégeait une commode massive où trônaient des vêtements sales, des mangas, des romans, deux ordinateurs, et une lampe de chevet. En face de cette commode, en parallèle, avait été posé un des lits dans lesquels dormaient les silhouettes. À sa droite, (de la commode) la fenêtre aux rideaux bleus à demi fermés, et juste à côté de celle-ci, perpendiculairement, se présentait le deuxième lit. En face, à la gauche de la porte, une armoire, plus massive encore que la commode. Une vieille armoire sculptée comme on en trouvait dans les vieilles familles.

Lorsque le réveil poussa des cris stridents, la silhouette reposant dans le lit perpendiculaire à la fenêtre étira le bras et le saisit mollement. Enervée d'avoir été réveillée au beau milieu de sa bataille, le bras lança l'objet. La silhouette n'avait pas sortit la tête de son cocon, dans un brouillard monstre. Dans le deuxième lit, la silhouette sursauta et se redressa violemment lorsqu'un ovni bruyant lui atterrit dessus sans crier gare. La jeune fille qui venait d'émerger de sous la couette bleu nuit parsemée d'étoiles rattrapa maladroitement l'objet toujours en train de brailler qui avait sauter dans son redressement violent. Lorsqu'elle comprit enfin ce qu'elle tenait entre ses mains, la jeune fille tiqua. Sur le coup, elle détesta bien comme il fallait le réveil, et le balança sur le coin de la commode où il s'éparpilla en dizaines de pièces. Elle soupira, soulagée par le silence qui s'installa alors dans la pièce.

Du lit perpendiculaire s'éleva alors une voix étouffée :

"- Ah ben bravo.

- Ta gueule Iris. Si le réveil n'avait pas atterrit sur mon lit, il aurait subi le même sort, juste un peu plus tôt."

La silhouette du lit de la dénommée Iris se redressa encore dans le brouillard dans un grognement. La jeune femme qui en émergea était petite, plus que son homologue et arborait des cheveux bleus clairs, coupés assez courts, un peu au-dessus de ses épaules. Elle leva sur l'autre silhouette un regard gris clair et blasé. Son nez était droit, ses yeux un peu en amande, et ses lèvres, fines et légèrement rouges. Elle fixa sa soeur adoptive. Celle-ci était un peu plus grande, les cheveux bleu nuit presque noirs coupés plus court encore que ceux de la plus jeune. Elle se passa les mains sur le visage, dévoilant des lèvres aussi fines que celles de sa soeur, des yeux plus en amandes et d'une couleur grise presque noire, et un nez qui semblait avoir été cassé plus d'une fois. Elle avait une cicatrice à l'arcade sourcilière, au coin de la lèvre supérieure et une autre sous l'oeil, moins visibles que les premières. [ Blood : J'ai vraiment ces cicatrices, alors qu'on ne me dise pas qu'il y en a trop !] La jeune fille âgée sûrement d'environs dix-sept ans poussa un profond soupire et sortit les deux jambes de son lit, tandis que sa soeur adoptive faisait de même.

Ces deux adolescentes étaient soeurs adoptives et le savaient, mais se considéraient depuis longtemps comme de vraies soeurs. Si au début la plus vieille avait semblé détachée et froide, elle n'en tenait pas pour autant moins à sa petite soeur ainsi qu'à sa nouvelle famille. Elle avait neuf ans lorsqu'elle avait été adoptée par la famille Stern, mais elle avait déjà un vécu que tous ignoraient hormis deux ou trois personnes. Elle était mature pour son âge et avait peur de s'attacher aux gens, effrayée par la possibilité de les perdre. Elle estimait avoir déjà trop souffert et n'avait pas encore l'arrogance pour tenter le diable. Pourtant, à son adoption, elle avait été secrètement euphorique, heureuse d'avoir une nouvelle famille. Le couple Stern et leur fille s'étaient montrés très gentils et agréable. Elle s'était alors promis de les protéger à son échelle, et de prendre soin d'eux. De devenir leur fille, comme si ils partageaient les liens du sang, sans savoir que de leur côté, c'était déjà fait. Elle s'était efforcée de demeurer loin le plus possible, en étant distante et en jouant les solitaires, mais ça n'avait prit qu'un temps, et tout son petit stratagème s'était effondré lorsqu'ils l'avaient surprise en larme, dans son lit. Ils s'étaient occupés d'elle, l'avaient consolée, rassurée, et elle avait tout laissé tomber. Elle avait utilisé les mots "Papa", "maman", et "petite soeur". Elle avait alors définitivement intégré la famille.

Désormais, si elle était toujours aussi froide avec les gens, elle laissait tomber le masque lorsqu'elle s'adressait à sa famille. Elle ne pouvait pas supporter un instant l'idée de les faire souffrir en arborant avec eux un ton froid et distant. Mais ils étaient les seuls à bénéficier de cette exclusivité, avec le directeur de l'orphelinat où elle avait vécu pendant un an, et celle qui s'était occupée d'elle pendant cette longue année. Maria. Cette dame était aujourd'hui en maison de retraite et Iyallis venait souvent la rendre visite, discutant joyeusement avec elle.

Iris, quant à elle, avait été un peu surprise par la décision de ses parents que d'adopter une autre fille. Elle avait, au départ eu très peur que ses parents ne la trouve plus suffisante, mais ils avaient démenti, en affirmant que c'était un choix qu'ils avaient dû faire à cause de la stérilité d'Olivia Stern qui s'était déclarée peu après la naissance de la jeune fille aux cheveux clairs. Elle avait alors voulu faire plaisir à ses parents en accueillant sa nouvelle soeur chaleureusement. Si elle avait été rebutée par la froideur de sa grande soeur, elle s'était acharnée, et avait acquit en plus d'une soeur, une meilleure amie et une confidente. Elle aimait depuis profondément sa soeur qui la protégeait toujours des garçons. Car oui, Iris était effrayée par les garçon depuis toujours, sans que ni elle ni ses parents ne sachent pourquoi. Cela avait souvent été un problème au court de sa scolarité, jusqu'à ce qu'Iyallis ne décide d'intervenir. Sa précieuse petite soeur se faisait souvent embêter par les stupides garçons de leur âge, jusqu'à ce qu'elle ne pose le holà et ne décide d'affronter ces garçons, peu important les risques et le nombre de ses assaillants. C'était alors presque devenu un jeu pour elle, tant elle parvenait à prévoir leurs gestes et leurs déplacements. Un jour sans un affrontement n'était alors plus un bon jour. Elle se mettait alors souvent, pour sa soeur, dans des situations dangereuses, d'où son nez plusieurs fis cassé, car au fur et à mesure qu'elles grandissaient, la force des garçons aussi, et la violence de leurs affrontement, de même. Se servant de ça, elle s'était mise aux jeux de tactique et de réflexion, ainsi qu'aux sports de combats, s'imprégnant au possible d'un sens de la stratégie hors du commun et de puissantes techniques. De même, pour que sa soeur puisse se défendre en son absence, elles avaient appris ensemble à leur douze ans l'emplacement des nerfs du corps humain, pour pouvoir immobiliser quelqu'un sans effort, et sans bruit. C'était donc devenu un de leurs passe-temps.

Ayant suffisamment émergé, Iris et Iyallis se levèrent en même temps et se dirigèrent vers la cuisine où elles déjeunèrent rapidement avant de se préparer selon les techniques mises au point pour utiliser une salle de bain à deux. L'une à la douche pendant que l'autre préparait son visage et faisait sa toilette (avec inspection des points noirs et de l'absence de boutons ainsi que brossage de dents), et ensuite inversement. Iyallis avait toujours favorisé sa soeur, c'était dans sa nature. Avec Iris, elle était de nature à faire de nombreuses concessions. En moins de vingt minutes, les deux étaient douchées, et habillée pour l'une, légèrement maquillée pour l'autre. Ensuite, pendant que l'une se maquillait, l'autre s'habillait. Tout était calculé, et réglé à la minute près. ne tardant pas, elles attrapèrent leur sac à dos et l'enfilèrent sur leurs épaules. Iris se saisit d'une grosse veste grise, tandis que sa soeur restait en t-shirt gris avec des ailes taguées dans le dos. Elles quittèrent la maison, leurs parents étant déjà partis et fermèrent la porte à clés. Direction… le lycée. Elles discutèrent longuement sur le chemin, n'ayant jamais tout dit, malgré le fait qu'elles vivent ensemble, et aient une relation exclusive. Elles étaient toujours l'une avec l'autre, et personne ne pouvait s'immiscer entre elles où espérer devenir leur ami.

Lentement, la journée passa, comme toutes les autres. Elles étaient prises dans une routine où elles ne se plaisaient pourtant pas, ne rêvant que d'aventures, de batailles, d'être libres. Toutes ces envies se rejoignaient lorsqu'elles lisaient leur manga favori. One Piece.

L'une en Terminal S et l'autre en première, elles ne se voyaient qu'à dix heures, puis à midi, et enfin lorsqu'elles rentraient et cela ne leur suffisait pas. La présence de l'une manquait toujours à l'autre et la réciproque était vraie. Pourtant, sans qu'elles ne s'en doutent, leur vies allaient basculer de façon… Définitive.


~ Fin de la journée ~

Les deux jeunes filles rentraient, seules dans la nuit, lorsqu'un sifflement retint l'attention de la plus vieille. Elle se redressa, tendue, sachant très bien qu'elle n'allait pas tarder à voir un groupe d'hommes plus ou moins éméché apparaître dans son champs de vision. Et c'est ce qu'il se passa. Elle poussa sa soeur derrière elle et fléchit les jambes. Ils commencèrent à déblatérer des choses dont la bleu nuit ne retint qu'une chose. Ils les draguaient très très vulgairement et le sort qui les attendait si elle ne les battait pas allait les marquer à vie. Elle jeta un oeil à Iris et lui souffla de s'en aller. La plus jeune refusa, repoussant toute idée de laisser sa grande soeur seule face à trois type aussi grand et baraqués. Ce fut alors que, les prenant par surprise, l'un d'eux se lança sur elles. Iyallis lui décrocha un uppercut, puis lança son genou dans son ventre. Elle abattit son coude dans la nuque de l'homme, le sonnant pour un bon moment. Le second subit un sort semblable, mais par un pur coup de chance, puisqu'il trébucha sur son acolyte et se cogna sur le coin d'une poubelle en métal (une sorte de conteneur). Heureusement pour elles, puisqu'Iyallis commençait à s'essouffler. Le troisième chargea, et elle peina à tenir plus de cinq minutes. Il brandit un canif qu'il lui planta violemment dans l'épaule avant de le retirer et de lui assener un second coup, sur la hanche, après que son canif ait entaillé tout le long de son bras à cause d'un coup de coude dans la tempe que son adversaire de dix-sept ans venait de lui porter. Cet imbécile trébucha après avoir porté le second coup de couteau et tomba sur les fesses. Il ne lui fallut qu'un assez court laps de temps pour se relever en prenant en compte son était d'ébriété, mais il fut suffisant pour que les deux jeunes filles ne s'enfuient.

Elles crurent lui avoir échappé, lorsque dans la nuit, une vive lumière les éblouisse. Iyallis ne comprit qu'à la dernière seconde, en croisant le regard de sa suer à qui elle prit la main, que l'éblouissante lumière était celle des phares d'une voiture. Le choc les propulsa loin sur la chaussée où Iris se prit un panneau de signalisation, et sa soeur, le coin d'un trottoir.

"Merde…" fut leur dernière pensée, étrangement identique.