Prologue.
Si un jour on m'aurais dit que je tomberais éperdument amoureuse d'un être comme toi au point de mourir, j'aurais détruis sur le champs la personne en déclarant que je n'aimais pas son humour noire. Mais je t'ai connue, toi si seule mes pourtant entourer de tes frères et sœur, tu était un solitaire tout comme moi et le destin t'avait rit au nez comme il l'avait fait pour moi. On était deux inconnue face au restes du monde perpétuellement seule. Comment faire pour ne pas succomber a ton charme ? Maintenant je sais ce que j'ai a faire. Je n'avait jamais penser qu'un jour mon existence prendrait fin, j'avais toujours pensée vivre éternellement comme la plupart de mes compatriotes. Mais c'était une bonne idée de mourir pour toi, la seule personne qui avait fait renaître mon cœur de pierre. Je savais que tu allait énormément souffrir et qu'une fois de plus la vie s'acharner sur toi. Mais que veux tu je ne voulais pas qu'il t'arrive quelque chose. J'était blazer de la vie et je ne voulais pas qu'il ne t'arrive la même chose que moi. Je n'était pas une fille pour toi, et je voulais encore moi que tu gâche ta vie pour moi. Tu devait la vivre comme si je n'avait jamais exister. Je me retrouvais la devant ceux qui allait détruire. Je n'avait pas peur, je m'était déjà préparer au pire. J'avait fait faux bond a mes protecteurs. Ils ont était hors de question que ma nouvelle famille se retrouve mêler a cette histoire. J'en assumait entièrement les conséquences et personne ne devait payer pour le crime que j'avait commis. Ils étaient là a me regarder avec une tel haine que je savait que j'allais souffrir avant de mourir. Mon destin n'avait sans doute au grand malheur jamais entendue de la paix ou du bonheur a moins qu'il n'y avait une de ses lois physique interdisant trop de bonheur d'un coup. J'avait passer la plus belle année de ma vie avec toi et eux. Maintenant je devait passer la main a quelqu'un d'autre. J'en avait tellement eu que je devait mourir, peut être était le prix a payer. Qu'importe, j'accepter encore une fois ce dernier en m'avançant vers ceux qui avait mon existence entre leurs mains avec un grand sourire sur mes lèvres. Un sourire si beau et si sincère que sa les déstabilisa. Un sourire d'adieu, car rien me ferrât reculer maintenant...
