Yellow. Vacances. Les filles sont partie une semaine. YOUPI. Bref.
Récit une peu…spécial aujourd'hui. Ceci ( en dessous de mon blabla ) va être ma première fic' à chapitre. Et vous allez en apprendre un peu plus sur les deux folles avec qui je partage ma tête ^^ Je tiens à signaler que je ne suis pas emballer par mon début, y a des trucs qui me déplaisent toujours, y sera peut-être modifier en cours de route.
Je remercie toujours ceux qui laissent des petites reviews, je vous adore tous !
Et je vous souhaite une bonne lecture.
Je me répète, mais les personnages d'Aventures ne sont pas à moi, ni le Cratère d'ailleurs. En revanche, l'histoire est de moi, et pas de copitage please !
« L'oiseau du Paradis »
Jeune, j'ai beaucoup voyagé
J'ai voulu tout connaître, tout voir.
Des planètes les plus idylliques à leurs dessous sordides.
La mort fut souvent ma compagne, et je finis par ne plus la craindre.
Cependant, il arriva un jour où je lui en voulu.
Toutes vie est destinée à s'éteindre un jour, mais ce n'étaient pas leur heure.
Ce n'étaient l'heure d'aucun d'entre eux.
Leur histoire, je vais vous la conter.
Le récit de l'Oiseau du Paradis.
Imagine-toi les catacombes il y a 293 ans anime-les : remplies ces couloirs sombres et gris de bruits, de cris de désespoir, de hurlements de souffrances, de rires gras, de soupirs, et de chaleur humaine. Fait disparaître les os blanchis par le temps, les cadavres avachis dans les geôles, et les fantômes qui y règnent, et remplacent les par des humains bien vivants, pour la plupart.
Le Cratère était secoué par la grande chasse aux démons organisé par l'Église de la Lumière Paladins et inquisiteurs zélés capturaient sans distinction les élémentaires, les demi-démons, les mages, où même toute personne suspecte, ce qui faisait un bon paquet d'innocents enfermés pour le bon plaisirs des fanatiques. Les catacombes, lieu oubliés de la capitale, étaient toutes désignées pour garder les centaines « d'hérétiques » que les serviteurs de l'Église ramenaient chaque jours.
Un beau matin donc, tandis que résonnaient les plaintes des suppliciés, un puissant « SILENCE VERMINES » vint encourager les lamentations des prisonniers déjà à bout de nerfs. Un bon vieux remue-ménage, un peu comme quand un nouvelle élève se pointe en permanence parce qu'il a été viré, agita les geôles remplies à craquer de pauvres bougres.
Le claquement d'un fouet résonna dans les immenses couloirs, donnant un aspect chaleureux à l'arrivée d'un des gardiens. Le grattement désagréable qui l'accompagnait permis à ceux qui ne le voyaient pas encore de savoir qu'il était accompagné d'un nouvel invité, qui plus ai sans doute amoché, étant donné qu'acoustiquement parlant, on pouvait deviner que ce « grattement » était le bruit que faisaient les bottes du nouveau venu en traînant su le sol.
Les prisonniers virent pour la plus part passé une ombre bleu, tiré sans vergogne par un col boueux tenu par le bourreau. Toutes les cellules avaient déjà au moins 4 occupants, l'Eglise de la Lumière ne s'inquiétant pas, trop occupé dans son simulacre de guerre sacrée, d'un vulgaire problème de place : la promiscuité était monnaie courante et beaucoup en mourrait. Toutes les geôles étaient pleines à craqué, à l'exception d'une : celle devant laquelle l'homme au fouet s'arrêta, gêné.
« Suis d'solé m'amzelle, mais y'a plus place nul part » marmonna-t-il en ouvrant la grille pour y jeter son fardeau. Son air fébrile sembla étonné un peu les autres pensionnaires, peu habitués de telles marques de respect envers un détenu qui plus ai cette cellule là leur avait toujours semblé vide...
Le geôlier repartie en en quatrième vitesse, visiblement secouée par la visite qu'il venait de faire. Un silence assez étrange le suivie sur son chemin.
Dans la semi-obscurité de la cellule, une ombre parmi les ombres, était amusée : voilà longtemps que personne ne lui avait rendu visite. Et qu'elle sympathie à son égard ! Elle en aurait presque rit.
Glissant vers la masse informe allongée, ses yeux bleu marine scrutèrent son nouveau colocataire :
« Allons donc, qu'avons nous aujourd'hui ? »
