EN APPESANTEUR
Auteur : sganzy
e-mail : (envoyez moi des commentaires please !)
disclaimer : pas à moi, pas de sous (ni de MGM, ni de calo)
spoiler : sans pete de préférence
genre : heu…..ship…enfin….bizarre
résumé : un homme, une femme, un ascenseur, une montre, et une chanson
note de moi : c'est court, mais ne dit-on pas « les plus courtes sont les meilleures ? » je sais que cette chanson a déjà fait l'objet de plusieurs fic, mais quand je l'ai entendue j'ai pas pu résister…
bisoux : à tout les membres du SLT (Shippeuses Liées et Tarées (pour devenir membre envoyez moi un petit mess (y a même des cartes de membres :b ))), aux belettes, à tout le gentil people du forum d'SG1france
bonne lecture ! et feedez moi pitié !
Le colonel o'neill entra dans le complexe de cheyenne moutain.
Il sourit devant l'air étonné des gardes. Eh oui , pour une fois il était à l'heure, même en avance d'ailleurs…
Il n'était que 7h30 du matin, un lundi matin de retour de vacances, qui plus est, et pourtant, lui, mister retard, était déjà là.
Lui même s'épater.
Mais il n'avait presque pas dormi.
Il ne pouvait pas dormir. Il était trop pressé. Ça faisait plus de deux semaines qu'il ne l'avait pas vu.
A cause de daniel et de son bras cassé, de teal'c et de ces maudits rebelles jaffas, le général l'avait mis en congé.
Il venait de passer plus de quinze jours dans son chalet dans le minnesota.
Loin d'elle.
Trop loin d'elle, trop longtemps.
Elle lui manquait, il fallait qu'il la voit.
Voilà donc la raison de son avance. elle en était la raison. car il savait qu'elle serait déjà là.
Il aperçu les portes de l'ascenseur qui allaient se refermer, au bout du couloir.
J'arrive
à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
Elle
me dit "quel étage"
Et sa voix me fait quitter
la terre ferme
Il tourna la tête vers elle. C'était bien elle.
Il lui sourit. bon sang ce qu'elle était belle.
Comment avait-il pût survivre sans la voir pendant aussi longtemps, une éternité lui semblait il.
S, répondant à son sourire : bonjour mon colonel. comment se sont passées vos vacances ?
Jack resta un instant sans rien dire, perdu dans la contemplation de cette femme qui, pour lui, était la plus parfaite.
Elle attendit un moment sa réponse, puis, remarquant qu'il la fixait, rougit et détourna la regard.
Il se gêna de s'être ainsi fait prendre dans sa fascination. Il détourna le regard en murmurant un « bien….bien ». son regard se fixa sur le cadran au dessus de la porte.
Alors
Les chiffres dansent
Tout se mélange
Son regard ne put s'empêcher de dévier vers la jeune femme à côté de lui. ils étaient là. Seuls tout les deux.
Je
suis en tête-à-tête avec un ange
Qu'il était bien là, à ce moment, avec elle….
En
apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En
apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls
Dans cet ascenseur
D'un regard en biais, il observa la main de la jeune femme se lever, pour aller se glisser entre ses mèches blondes…
Elle
arrange ses cheveux
J'ai le cœur juste au bord des yeux
Quand elle relaissa tomber sa main, celle-ci frôla celle de son supérieur. Pourtant elle la laissa là où elle était, à quelques millimètres de cet homme interdit.
La cabine était grande, pourtant ils étaient presque collés, épaules contre épaules, l'un à côté de l'autre.
Et
sans la regarder je sens la chaleur
D'un autre langage
L'homme fit un demi-pas sur le côté, naturellement, se rapprochant un peu. Les battements de son cœur, déjà rapides, accélérèrent un peu plus.
Il tenta de se concentrer du mieux qu'il pouvait sur ces chiffres qui défilaient…beaucoup trop rapidement à son goût….
Alors
Les yeux rivés
Sur les étages
Pourvu que
rien n'arrête le voyage
En
apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En
apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Dans cet ascenseur
Le ding signalant l'arrivait de l'ascenseur à l'étage du colonel les fit sursauter. Il fit un pas en avant, se retourna, lui sourit presque tristement et sortit de l'ascenseur.
Ça y est le voyage était fini.
Il devait de nouveau s'éloigner d'elle pour aller….au mess ?
Au diable le mess et tout le reste ! la seule chose qu'il désirait, c'était elle
Le colonel se retourna alors et avança presque en courant.
J'arrive
à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
S, étonnée : mon colonel ?
J : finalement une ballade en ascenseur est beaucoup plus agréable que celles dans les couloirs. Et puis….au moins je suis en bonne compagnie.
Elle lui sourit. un de ces sourires surnommés les « spécial jack », et ce dernier se sentit mieux qu'il ne l'avait été depuis longtemps. En fait, il ne s'était pas senti aussi bien depuis….plus de deux semaines.
L'ascenseur repartit emportant deux officiers se souriant béatement.
En apesanteur
En
apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Pourvu que les secondes soient des heures
En
apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls
Dans cet ascenseur ….
Merci à tous d'avoir lu ! et si possible, dites moi ce que vous en pensez y a qu'à cliquer là :
