Faux pas

Je me trouvais là, devant cette frêle humaine, refoulant mes instinct si précieusement garder en moi. Et comme cela pouvais être dur de lutter contre une nature si sauvage et une proie si charmante. Jouant de moi avec tellement de légèreté que cela en devenais un jeux mortel. Une fois de plus elle me demanda de la mordre, je fis tout mon possible pour évaser ma réponse, ne sachant que trop bien que le peut de volonté que j'avais fasse a la tentation qui me ronger ne tarderais pas a céder si je la laissait jouer avec ma véritable nature.

Elle s'approcha de moi et posa sa tête délicatement contre mon épaule, son odeur… si enivrante, sa peau a la couleur si obsédante, la chaleur de sa joue sur ma peau froide. Je sentis sa main a la peau si douce frôler mon bras, remontant jusqu'à mon épaule, cherchant la peau de mon cou avec provocation. Serrant les dents je la regardas tentant de lui cacher le désir qui me rongeais. J'avais pourtant déjà ressentie le désir de planté mes crocs dans la peau douce d'une jeune femme. Mais jamais je n'avais voulus tenter de parcourir son cou pour y savourer le plaisir coulant sur sa peau.

Comment aurais t'elle pus le savoir? Comment pouvait-elle deviner que mon cerveau se jouait de moi me faisant miroiter des images que je n'aurais jamais dus imaginer. Elle se levas sans que je ne le voie , trop plonger dans mes pensées. Elle s'essaya sur mes genoux et passa ces bras autour de mon cou, me déposant un léger baisser sur le coin des lèvres. Le contact brûlant sur ma peau de marbre m'électrifia.

La raison qui m'empêchais encore de laisser parler ce que j'enfouissait en plus profond de moi disparus en une seconde. Je me relevas et la regardas presque horrifier sachant déjà ce que j'allais faire. Y survirait-elle? Le désirait -elle? Je me rapprocha d'elle presque menaçant, m'arrêtant si proches d'elle que je pouvais la frôler. Je me penchas en avant et passa ma main dans son dos, pris son menton entre mes doigts et la fit relever la tête. Je pouvais lire dans ces yeux la crainte et le désir, ce doux mélange réveilla en moi plus l'homme que le monstre.

Je la tiras vers moi la collant a mon corps avec fermenter. Comprenant ce qui lui arrivais-je crus lire sur ces lèvres l'ombre d'un sourire de victoire. Elle posa sa main sur mon épaule et parcourus mon torse avant de venir déposer le bout de ces doigts sur ma bouche. Je fermis les yeux savourant la chaleur sur mon visage. Quand je sentie la caresse chaude et humide de sa langue sur mes lèvres. Tout deviens flou autour de moi. Je la saisie presque violemment par la taille et la serra contre moi en plaquant fermement mon bras dans son dos.

Dans un mouvement elle enserra ma taille de ces jambes et plus vite qu'elle ne pouvais le prévoir je nous plaqua contre le mur. Malgré l'état qui prenais possession de moi je pris soins de ne pas oublier qu'elle était humaine mesurant ma force autant que mon désir me le permettait. Elle poussa une cris entre douleur et plaisir qui finis de me faire rendre les armes, je plongea mon visage dans son cou le parcourant avec ardeur. Passant ma langue sur sa clavicule savourant l'arome si subtil de sa peau dans ce moment d'excitation. Ma main parcourus sa cuisse avant de remonter vers sa fesse que j'agrippa fermement la fessant haleté.

D'un geste rageur je pris son haut dans ma main et en déchirant facilement le tissus dévoilent sa poitrine. Jouant de ma langue sur sa peau se soulevant a un rythmes effréné. Ma bouche glacée de semblas en rien la déranger, passant ces bras autour de mon cou, tentant de planter ces ongles dans ma chère morte depuis bien longtemps. Ne pouvant lutter contre ma nature, je risqua mes lèvres sur le tissus de son dessous, avec retenue pour ne pas stopper ce moment je m'amusa a lui mordre les tentons a travers la seule barrière entre mes crocs et sa chaire si tendre.

Elle poussa un soupir et agrippent mes cheveux qui me fit relever la tête. Je la vis alors les yeux clos, la respiration saccadée, le front perlé de goûtes de sueur alors que tout son corps était plaquer au mieux. Elle prononça mon nom avec un désir qui me fit perdre pieds, je saisie son menton entre mes doigts et la regardas avec rage, elle me dévisagea et observa mes yeux avec attention. Portant sa main a mon visage elle caressa ma tempe murmurant d'une voix a peine audible

- « tes yeux! … si noirs! … pourquoi? » comment pouvait-elle encore poser cette question?

A cause d'elle bien sur, sa personne si tentante réveillas en moi plus de colère que jamais. Je saisie ces mains et les plaqua contre le murs les emprisonnant dans ma main; la fixa dans les yeux. Avant de faire courir ma langue dans son cou insistant avec hargne sur l'endroit que j'aurais voulus meurtrir de mes dents. Je descendis une fois de plus vers ses seins en arrachant d'un geste le dessous. Saisissant avec envies les bouts que je recouvras de mes baisers. Lâchant ces mains je descendis encore plus bas, laissant sur sa peau les marque de mon envies de la posséder entièrement.

Arriver au niveau de son nombril je me joua d'elle et passa ma langue sur son ventre descendant a une lenteur qui la fit gémir de tant d'attente. J'asséna un cou de croc, sans plus de préambule a la ceinture de son jeans dévoilant le dernier rempart m'empêchant de laisser libre cours a mon désirs pour cette fragile créature. En attrapant les pants déchirés je le fis descendre lentement en caressant la peau des ces cuisses devenus brûlante d'impatience. Je relevas la tête pour l'admiré, elle se cambrais sous le désir que j'avais fait naître en elle, plaquant ses mains sur le murs cherchant désespérément a agripper quelque chose dans ces mains vide de ma présence.

Je déposa un baiser sur l'élastique retenant ce tissus me provocant, mes dents griffa la peau de son bas ventre déchirant d'un geste le mince bout de tissus. Je descendis encore plus bas jouant du bout de ma langue sur l'endroit de son corps le plus chaud. Gardant a l'esprit sa faiblesse de mortel, retenant mes instinct, mais savourant le goûts de damnation qui coulais sur le bout de ma langue avec ferveur. Quand je l'entendis prononcer dans un soupir la seule phrase qui me ramenas a la réalité.

Dans un murmure elle me demanda de la mordre. En un mouvement je me redressa plaqua mes mains de chaque coté de son visage la fessait pousser une cris de surprise la regarda avec une violence qui l'effraya et disparus de sa chambre sans un mouvement de rage...

A suivre ...