Bonjour, cette histoire était à l'origine un devoir français, mais je vais la publier pour que ma chère M-Yana puisse la lire.
Il y a pleines de fautes, j'apprécierais toutes corrections :)
Amusez-vous :)
Kappa, Huc Huc
Assis sur une chaise dans le balcon de sa chambre, Pierre, un jeune lycéen, récemment transféré au lycée Oradour, contemplait la parfaite forme ronde de la lune moitié voilée par les nuages. Le vent caressait ses cheveux à peine arrivés aux épaules et le fit frissonner. Cependant, il était si Impressionné qu'il n'accordait aucune importance au froid. Il voulait juste examiner la noirceur de ce splendide tableau de l'au-delà toutefois légèrement éclairé par la grande lune. Il était réjoui en pensant que c'est le même ciel qui va le réunir avec ses amis le lendemain, car ils comptaient aller camper au bord d'une rivière pendant trois jours.
Juste avant d'aller au lit, Pierre alla vérifier les provisions nécessaires pour cette excursion : Des pyjamas, des habits pour la pêche, sa brosse à dents, le cellulaire pour appeler sa famille en cas de danger, une torche, son calepin, et voilà! Sa valise fut prête pour le lendemain. Pierre alla dormir, il se couvrit bien au chaud et il s'est immédiatement laissé gagner par le sommeil, où il rêvait des plus excitants moments de sa vie.
Le jour est venu! Le jour du camping que Pierre avait tant attendu. C'était pour lui sa première sortie vu qu'il n'en a jamais profité d'une de toute sa vie!
A l'aube, au quai de la cité, il s'est réuni avec ses amis : Jean le radieux du groupe; Arthur, le plus âgé et responsable, et Hugo le plus jeune mais l'organisateur de toutes sorties. Ils attendirent ensemble le train correspondant à leur destination.
Une fois arrivé au camp, ils se dépêchèrent à monter leur tente au bord du fleuve avant que les sombres voiles au loin ne descendent vers l'horizon.
Après le dîner quand la lune était complètement cachée derrière les nuages, les jeunes garçons se sont réunis, assis, les jambes croisées, à chacun sa torche. Il s'asseyaient autour d'un tout petit feu qu'Arthur avait allumé pour une atmosphère plus ou moins agréable et favorable pour raconter des histoires d'horreur. Chacun d'eux s'était préparé pour cette soirée précise pour cet environnement où les ruissellements du fleuve et le son du vent qui passait à travers les branches ainsi que le chant des criquets formaient le seul bruit distinguable, et l'étincelle du feu était la seule source d'éclairage.
« Vas-y, Hugo » dit Jean, « Tu es le plus doué à débuter ce genre d'histoire, commence et nous continuerons! »
« Ouais, Vas-y! » Les autres insistèrent
« Bon, je n'ai pas de choix on dirait! » acquiesça Hugo cette demande. Il fit une mine horrible et alluma sa torche sous son menton de manière où son visage soit ombré tel qu'un véritable fantôme.
Il commença: « C'était l'époque où les gens se méfiait le plus des esprits. Certains paysans avaient l'habitude de se retrouver chaque soir auprès d'un lac ruisselant. Dans le but de convoquer les âmes avec des charmes que personne n'avait tenté de comprendre. Ces charmes sont toujours mystérieux jusqu'à présent, car la plupart des paysans craignent que les esprits ne viennent pour de vrai, de la même façon qu'ils venaient auparavant: en se faufilant entre les branches des buissons, et en les entourant, mettant leurs tentacules sur leurs épaules, s'asseyant derrière eux et chuchotant » Hugo éteignit la torche.
Soudainement, le vent souffla si fortement que les vagues de la rivière battait puissamment les rives. Les branches des plantes bruissaient en un frisson rapide à glacer le sang. Et le pire de tout, le feu s'éteignit.
« Bou! » Chuchota Hugo à l'oreille de Jean, qui son souffle a été coupé par la peur. Hugo gloussa.
« Ha! Le vent souffle en ta faveur, Hugo! » Dit Jean un peu gêné. « Ecoute, cesse de raconter un moment et laissez-moi vous montrer le vrai sens de la terreur » Continua-t-il d'un air confiant.
« Ah, mais c'est plutôt marrant d'être la cause de vos expressions effrayées, surtout celle de Pierre » Hugo ricana en se tournant vers le jeune qui était en détresse, 'C'est ta première fois ici, tu aimerais être le suivant narrateur après Jean?» lui demanda-t-il amicalement, allumant sa torche pour éclaircir la vue.
« Évidemment, c'est le moment le plus attendu! » Répondit Pierre.
« Bref, Écoutez-moi.. » Jean commença son rôle d'auteur, avec le même visage terrifiant qu'Hugo fit, tout le monde éteignit sa torche. Il continua: « Alors que ces malveillantes créatures s'assirent auprès des campagnards, ils leur racontèrent à propos de tous les crimes qu'ils ont commis, de toutes les maisons qu'ils ont hantées, des écoles qu'ils ont attaquées, et sur quels déserts ont-ils régnés.»
Jean furtivement entra sa main dans sa poche vestimentaire, et retira quelque chose.
Il continua : « Ces créatures portèrent comme preuves de cruauté et d'agressivité, des parties inestimables du corps humain. »
