Disclaimer: Je ne sais pas combien de fois va encore falloir que je vous le dise, et surtout en quelle langue xd Hetalia appartient à Himaruya. Les nations vous le certifient. (profitez-en, elles ne se chamaillent pas pour ça)

Donc voilà ma nouvelle fic à chapitre, pour l'instant elle n'en contient que trois (le troisième n'est pas encore fini par contre) L'histoire se passe au temps de la Rome Antique, donc il n'y aura que les chibis nations latines: Espagne, Grèce, Égypte, France, OC Portugal (Paolo) et les deux Italies ^^ Ainsi que leur papa Rome (Aquillius, ça veut dire aigle en latin) et les mamas Grèce Antique (Hélène) Égypte Antique (Kemet, nom que les anciens Égyptiens donnaient à leur pays) Gaule (Huctia) et Ibéria (Gabriela)

Voilà maintenant que les présentations sont faites, je vous laisse lire la fic en espérant qu'elle vous plaise ^^

Lost In the Eternal Town

Chapitre 1 : Seuls

Ça avait bien commencé pourtant, pour une fois tous les enfants de Rome et leurs parents respectifs se trouvaient dans la grande demeure de l'Empire. Aquillius avait décidé d'organiser une petite semaine en famille. Toutes les nations étaient là, Grèce, Égypte, Gaule et Ibéria. Et bien sûr leurs enfants étaient là aussi, et passaient leur temps à jouer. Mais après deux jours, les nations adultes en eurent assez de rester enfermer.

- Nous pourrions aller faire un tour dehors avec les enfants. Un peu d'exercice ne nous fera pas de mal. Proposa Huctia.

- Avec les enfants ? Mais ils sont bien trop jeunes, nous risquerions de les perdre.

- Voyons Hélène, ne soit pas si pessimiste. Si nous les surveillons, il ne leur arrivera rien. Souri gentiment Gabriela, soucieuse de détendre l'atmosphère.

- La ville n'est pas un endroit sûr pour des nations aussi jeunes. Croyez-en mon expérience.

- T'es obligé de prendre un air aussi hautain. J'ai l'impression que tu prends pour un être supérieur.

- Mais je suis supérieur ma chère, Grèce prit un air noble, je suis une civilisé moi. Mais je comprends que tu ne puisses pas entièrement comprendre. Elle secoua ses longs cheveux châtains.

- COMMENT ÇA ! Qu'es-tu en train d'insinuer ! Rugit la blonde.

- Allons les filles, vous faites peur aux enfants. Les temporisa Égypte.

En effet, les petits attirés par les cris se tenaient tous derrière Kemet qui était en train de les surveiller. La jolie jeune femme aux cheveux noirs et aux yeux maquillés avec du khôl regardaient les trois autres nations d'un air un poil autoritaire.

Grèce avait des cheveux très long lui descendant jusqu'aux genoux. Elle portait une robe blanche faisant très Grèce antique. Elle ressemblait vraiment à une riche femme de son pays. Huctia et Gabriela faisaient un peu plus « barbare » La première portait une robe à la gauloise, avait des cheveux ondulés qu'elle réunissait dans deux nattes. Ibéria elle portait une longue tunique lui recouvrant tout le corps. Seul ses mains, son visage et ses cheveux bruns apparaissaient.

- Pourquoi nos mamans se disputent ? Demanda la petite voix quasi féminine de Féliciano.

Dissimulé derrière tous ses grands frères, le petit dernier de la famille ne semblait pas avoir plus de deux ans. Il était rapidement devenu le protégé de toute la famille. Au grand détriment de Lovino, trois ans. Comme le petit Paolo. Francis lui avait l'air d'avoir à peine 4 ans. Héraclès et Gupta en avait 5. L'aîné enfin, était Antonio, 6 ans.

- Ne t'en fait mon chéri, ce n'est rien. Fit Huctia d'une voix réconfortante.

- Vous n'allez pas vous fâcher ? On va pouvoir continuer à jouer ensemble ?

- J'ai tout entendu, Aquillius arriva dans la pièce, Hélène je trouve que cette idée de se promener dehors est excellente. J'ai fini ce que j'avais à faire.

- On va faire un tour ! S'extasièrent les enfants.

- Aquillius, c'est une mauvaise idée !

- Tout se passera bien Hélène. Lâcha Ibéria d'un ton doux.

- Mais…

- Me dit pas que t'es jalouse parce que le chef des emplumés est d'accord avec une « barbare » comme moi ? La titilla la Gauloise.

- Moi, jalouse ? Pas du tout. Je suis juste consciente des risques que nous prenons.

- Voyons ma douce, si nous restons ensembles, il ne nous arrivera rien. Vous savez toutes vous battre à ce que je sache.

La Grecque se rendit enfin, arguant qu'elle ne s'inclinait que parce que Rome le voulait. Les petits furent préparés pour la ballade et on leur fit moult recommandations. Lorsqu'ils furent fin prêt, Francis glissa sa petite main dans celle de son père.

- Dit papa.

- Oui ?

- Quand je serais grand, je pourrais avoir une douce ?

… Non mais c'était quoi cette question au juste ? France ne songeait tout de même pas à son mariage. Il n'avait même pas dix ans d'âge physique. C'était trop tôt. Non, il se faisait des idées. La question du petit France ne pouvait être qu'innocente.

- Nous verrons cela plus tard, beaucoup plus tard, va rejoindre ta mère.

Le petit blond souri et se précipita vers sa mère qui portait déjà le petit Italie du Nord. Le cadet de la fratrie, bien que sachant à peu près marcher, préférait rester dans les bras de Gaule. Les autres eux, étaient accrochés aux robes de leurs mamans respectives. A les voir, on aurait dit une simple famille d'humains normaux. Prenant simplement du bon temps. Bon, on pouvait se demander pourquoi il n'y avait qu'un seul homme avec autant de femmes et d'enfants. Mais on ne s'y attardait pas trop.

- Mama, on peut aller voir le cirque Maximus ? Demanda le petit Espagne.

- Oh oui ! Maximus ! Maximus ! S'écria Paolo en secouant ses petits bras.

- C'est quoi un cirque ? Demanda Féliciano.

- C'est un endroit où on voit pleins d'animaux avec de grandes dents. Ils vont te manger tout cru. Roaaaaaaarr. Répliqua le futur Égypte en imitant tant de bien que de mal un lion.

- Ouiiiiiiinnnnnn ! Veux pas me faire manger ! PAPA !

- Ah c'est malin, il pleure maintenant. Grogna le deuxième Italie accroché à la main d'Hélène.

- Allons mon chéri, le consola Gaule, ne pleure pas comme ça. Les vilaines bêtes seront enfermées, elles ne te verront même pas. Il ne t'arrivera rien.

- Ouinnnnn ! Sniff… C'est vrai ? Féliciano essuya ses petits yeux pleins de larmes.

- Puis au besoin, les emplumés seront là pour nous protéger. Hein mama ?

Gaule frotta les cheveux de son aîné, amusée qu'il prenne la même expression qu'elle pour désigner les légionnaires. Ils marchèrent encore quelques minutes, puis arrivèrent enfin au cirque. Pas encore rassuré, Féliciano se colla immédiatement à Francis quand sa mère le déposa sur le sol. Les adultes demandèrent aux enfants de se tenir par la main et de ne surtout pas se lâcher.

- Antonio, c'est toi le plus âgé de tous. Je compte sur toi pour surveiller tes frères et nous prévenir si quelque chose ne va pas.

Le petit brun aux yeux verts secoua la tête, tout content. Son père, le plus grand empire du monde, venait de lui confier une mission. Et il comptait bien la remplir. Il surveillerait ses petits frères. Gupta bougonna un peu, arguant qu'Antonio risquait de faire des bêtises. Puis les sept petites nations suivirent tant bien que de mal leurs parents. Soudain, il y eut une bousculade. Et Antonio perdit les adultes de vu.

- Papa ! Maman ! Crièrent les petits effrayés.

Les humains commencèrent à courir dans tous les sens, puis des légionnaires débarquèrent pour tenter de remettre de l'ordre dans cette pagaille. Les petits furent inexorablement poussés vers l'extérieur. Il y avait tellement de cris et d'agitation, que les deux Italie et Portugal prirent peur et s'enfuirent en courant.

- Féliciano !

Sans réfléchir, France se lança à la poursuite de son petit frère. Il n'entendit pas les appels de ses trois aînés lui ordonnant de revenir. Le petit blond courût longtemps à la poursuite de ses trois cadets. Ils coururent pendant un long moment, puis enfin les petits s'arrêtèrent. Essoufflés d'avoir autant courût.

- Où sommes-nous ? Interrogea Féliciano.

- On est perdu ! C'est ta faute, crétin !

- Vééé… T'es méchant Lovino…

- Ah non, tu ne vas pas te remettre à pleurer !

- Vééé…

- Où est Antonio ? S'inquiéta Paolo.

Les quatre petits étaient seuls. Leurs grands frères ne les avaient pas suivit. Terrifiés, ils se serrèrent les uns contre les autres. France surtout paniquait, parce qu'il réalisait peut à peu que maintenant c'était à lui de prendre en charge ses petits frères. C'est ce que Rome aurait voulu, mais il ne s'en sentait pas capable. Il avait une grosse envie de pleurer.

- Il ne faut pas, snif, il ne faut pas rester là. Allez, il prit la main de Féliciano dans la sienne, on va essayer de les retrouver.

- Et comment ? On ne sait même pas où on est, imbécile. Et eux non plus ils ne doivent pas savoir ! Je veux maman !

-Vééé… Grand Frère fait quelque chose… Italie se colla contre Francis.

Toujours serrés les uns contre les autres, les enfants commencèrent à avancer. En cherchant leurs aînés du regard. Mais nulles traces d'Antonio, Gupta ou Héraclès. L'angoisse des petits ne fit qu'augmenter de minutes en minutes. Mais où étaient leurs grands frères ? Et leurs parents ? Ils ne pouvaient pas être bien loin.

- Dit Francis, t'es sûr qu'on est proche du cirque ?

-…

- CRETINO !

Lovino manqua de piquer une énième crise. Féliciano et Paolo eurent de nouveau les larmes aux yeux. Soudain, les enfants virent un chariot collé contre un petit bâtiment. En grimpant sur le chariot et en faisant la courte échelle à l'un d'entre eux, ils pourraient peut être localisé le célèbre cirque. Les quatre petits grimpèrent sur le chariot.

- Bon, voilà ce qu'on va faire. Paolo tu vas grimper sur mes épaules. Lovino tu grimpes sur celles de Paolo. Et toi Féliciano, tu iras sur celles de Lovino. D'en haut, tu essaieras de localiser le cirque. Vous avez compris ?

- Vééé… Mais Francis, je vais être tout seul en haut.

- On t'attendra en bas. Ne t'inquiète pas, Francis souleva Féliciano et le posa sur les épaules de Lovino, allez Italie va sur les épaules de Paolo. Ça va aller Paolo ?

- On va retrouver nos parents ?

- Si Féliciano arrive à localiser le cirque, oui.

Le petit Portugais se baissa, et les minutes qui suivirent ne furent qu'une longue série de plaintes et de hurlements de peurs. Italie du Nord s'était accrochée de toutes ses petites forces aux cheveux de son frère qui avait pesté. Puis le même cinéma recommença lorsque se fut au tour d'Italie du Sud de monter sur les épaules du futur Portugal. Lors-qu'enfin, la courte échelle fut formée. Francis mis un bon moment avant de trouver le bon équilibre. A la grande frayeur de ses frères.

- CRETINO ! Arrête de bouger !

- Vous êtes lourds !

- Francis ! Hurla Féliciano plus terrifié que jamais.

Le petit blond fit un énorme effort et se projeta en avant. Il faillit tomber du véhicule, mais réussit à se retenir à temps au mur. Féliciano leva bien haut les mains, et s'accrocha au toit de la maison. Avec l'encouragement de ses aînés, il parvint à grimper sur le toit. Il faillit se mettre à pleurer, mais se reprit.

- Alors Féli, que vois-tu ? L'interrogea Lovino.

- Y a trop…

- Trop de quoi ?

- Trop de choses. Je ne vois rien…

- Féli, cria Francis tout en bas, le cirque est un bâtiment rond comme un cercle. Avec pleins de trous. Et il n'y a pas de toits au dessus.

- Vééé…

- Tu ne vois vraiment rien qui ressemble à ça ?

Soudain, la carriole bougea et les trois petits s'affaissèrent dessus. Féliciano courut vers le bord du toit, et vit que la carriole s'en allait. Emportant avec elle ses trois grands frères. Il poussa un cri de peur.

- ME LAISSEZ PAS !

France se dégagea de ses cadets, qui lui étaient tous tombés dessus, et s'aperçut qu'ils s'éloignaient de leur cadet. Et en même temps, ils s'éloignaient sûrement du cirque, de leurs frères et de leurs parents !

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- AU SECOURS ! ANTONIO ! Brailla Paolo, qui était arrivé à la même conclusion.

Les trois petits s'éloignèrent insensiblement de la maison où était perché le jeune frère. Féliciano les regarda s'éloigner, se demandant ce qu'il allait faire. Le voilà tout seul, perché sur une maison immense. Et personne ne savait qu'il était ici. Ses grands frères allaient-ils venir le chercher?

- A l'aide...

Il s'assit sur le rebord du toit et commença à pleurer. Complètement paniqué. Même si quelqu'un venait par ici il n'aurait jamais l'idée de lever les yeux pour le voir. Il était condamné à rester ici pour un long moment. Tout seul.

Pendant ce temps, les trois aînés de la fratrie latine étaient toujours à la recherche de leurs cadets. Égypte avait d'abord voulu retourner auprès de leurs parents. Mais Antonio avait argué qu'ils n'avaient pas le droit d'abandonner des camarades en détresse. Gupta c'était finalement rendu et avait suivi ses deux frères.

- Ils sont allés si loin que ça ? Interrogea-t-il.

Cela faisait un moment qu'ils marchaient, et toujours pas la moindre trace de leurs cadets. C'était à se demander s'ils n'avaient tout simplement pas disparus.

- La ville est grande. Il va falloir du temps pour faire le tour. Nota le petit Grec.

Soudain, Gupta reçu une goutte d'eau sur le crâne. Bizarre, il n'y avait aucuns nuages pourtant. Il s'arrêta et entendit des gémissements. Il regarda autours de lui puis, ne voyant rien, leva les yeux. Il reçu une autre goutte d'eau sur le front puis étouffa un cri de surprise. Comment il était arrivé là lui ?

- Féliciano !

- Vééé, L'Italien arrêta de pleurer et son visage s'illumina en voyant son frère, vééé ! GUPTA !

Ni une, ni deux il sauta de son perchoir et atterrit dans les bras de son frère, qui rouspéta pendant quelques secondes. On avait pas idée de sauter sur les gens comme ça !

- Féliciano, comment es-tu arrivé là-haut ? Demanda-t-il une fois calmé.

Le petit Italien expliqua tout ce qu'il venait de se passer. Pendant ce temps, Antonio et Héraclès, qui n'avaient pas vu que Gupta s'était arrêté, les rejoignirent. Le plus jeune des quatre désigna l'endroit où le véhicule c'était dirigé. Emportant avec lui, ses trois grands-frères. Il fut confié à Gupta, puis le petit groupe se mit en marche.

- J'espère qu'ils ne sont pas allés trop loin…

Soudain, ils entendirent des cris de paniques. Ils reconnurent les voix de leurs frères et coururent vers leur provenance. Ils réussirent enfin à trouver le chariot où se trouvaient les trois petits. Ceux-ci poussèrent des cris de joies lorsqu'ils les virent. Le petit Portugal se mit à encourager Antonio pour qu'il coure plus vite.

- Francis, lance-les nous puis après saute. On va vous rattraper. Cria le futur Espagne.

Francis hocha la tête, puis attrapa le petit Italien qui poussa des hurlements de panique. Il ne voulait pas être balancé comme ça ! Il se mit à gesticuler dans tous les sens et hurla encore plus fort quand le futur France le lança dans les airs. Heureusement, il fut rattrapé par Héraclès. Ce qui ne l'empêcha pas de hurler et d'insulter ce « sale crétino d'Antonio »

- Toujours aussi charmant… Ironisa Égypte.

Ce dernier, tenant toujours Féliciano par la main, c'était arrêté à la hauteur de Grèce. Laissant ainsi le temps à son petit frère de reprendre son souffle. De son côté, France avait prit le petit Paulo dans ses bras, et c'était rapproché du bord du chariot. Il avait eut peur pour Lovino, parce qu'il avait crût l'avoir lancé trop fort. Heureusement, Grèce avait été là au bon moment.

- Allez Francis, saute !

- Quoi ?

- Je vais vous rattraper. Saute !

Le petit blond se prépara à sauter, soudain, une des roues passa sur une pierre. Le chariot se souleva légèrement, et les deux petits tombèrent à la renverse. Paolo poussa un cri de peur, mais les deux tombèrent sur Espagne qui c'était rapproché à temps. Paulo fit un gros câlin à son grand frère en riant. Les quatre autres arrivèrent en courant. Les retrouvailles furent joyeuses, ponctuées par les cris de Féliciano et Paulo qui avait bien crût qu'ils étaient perdus pour toujours.

- T'as été supers Francis. Félicita Antonio.

- Va faire nuit… Lovino leva le bras au ciel.

- Il faut qu'on trouve un endroit pour dormir.

Les enfants se prirent par la main, formant une étrange file. Antonio était en premier et menait la marche, Héraclès lui la fermait pour surveiller les plus jeunes.

Pendant ce temps, à la maison de Rome. Les nations adultes étaient complètement paniquées. Ils avaient cherchés leurs petits partout. En vain. Hélène était au bord de la crise de nerf. Elle insultait tout le monde de tous les noms, les accusant de la perte de ses deux fils. Ce qui ne plaisait pas du tout à Huctia. Gabriela et Kemet tentait vainement de les calmer.

- Allons les filles, se disputer ne les fera pas revenir. Argumentait Kemet.

- Si Aquillius ne vous avait pas écouté, nous n'en serions pas là ! Je vous l'avais bien dit qu'emmener autant d'enfants dans la rue était une folie.

- Nous ne pouvons pas prévoir qu'il y aurait un tel désordre au moment où nous allions visiter le cirque !

- Fallait m'écouter !

- Ce n'est pas en restant cloitrés dans cette maison qu'ils apprendront ce qu'est la vraie vie ! Il faut qu'ils sortent. Un jour ils devront se débrouiller seul !

- Ils sont encore TROP jeunes. Le plus vieux n'a que 6 ans !

- Ils ont tous au moins un siècle d'existence ! Ils sont plus âgés que la plupart des humains.

- Mais s'ils se font attaquer, ils ne sauront pas se défendre. Ils ne sont pas aussi forts qu'un adulte normal.

- VOUS AVEZ FINI OUI ! Ça y est, Kemet venait de perdre le contrôle de ses nerfs.

- Je fais confiance à Antonio pour s'occuper d'eux. Il est plus mature qu'il n'en a l'air. Vous devriez aussi faire confiance à vos petits. Se sont des nations, pas des enfants ordinaires. Ils sauront prendre soin les uns des autres. La voix calme d'Ibéria calma les deux antagonistes.

- Elle a raison, Rome qui avait assisté à la dispute depuis le début soupira, vous devriez être aussi calmes qu'elle. Je vais à leur recherche, restez ici au cas où ils reviendraient.


Re ^^ Alors, qu'en pensez-vous? Vous seriez prêt à endurer les chapitres suivants pour savoir si les petits latins finiront par retrouver leurs parents? Comme pour "Identité" je ne sais pas pour combien de chapitres on est partis, mais je ne pense pas qu'on arrive à neuf ^^' On verra, on verra.

A là prochaine, bonne journée/soirée (comme d'habitude rayez la mention inutile)