Voici une pitite fic toute mignonette sur le ton de l'humour (enfin j'ai essayé --").

Disclaimer : Pazamoi...riendutout...

AVERTISSEMENT : FIC CLASSÉE M et c'est pas pour rien ! VA Y AVOIR UN LEMON...(pas maintenant hein ? Mais bientôt...)

DÉDICACE : A Delanne, sans qui cette fic n'aurait jamais existé et à Fleur, à Crazy, à Mumu, à Sly', à Amm' et à toutes les filles du fofo qui passent par là ! ^^BISOUS LES FILLES !

Le sujet du défi :

Dood, voici une idée qui respecte tes contraintes :

Lucius, Narcissa et Draco ont changé de camp et sont sous la protection de Dumbledore.
Les Dursley se sont fait buter et Harry n'est plus protégé par la maison, il ne peut aller vivre au 12 square Grimmaurd car la maison a été découverte par les mangemorts.
Evidemment Dumbledore fait des siennes et oblige les Malfoy à héberger Harry car c'est le manoir le mieux protéger (se sont pas des Malfoy pour rien XD).
A partir de là t'as compris l'idée bien sur, ils doivent cohabiter etc, etc
(Si par miracle tu relève ce défi, est-ce que tu pourrai faire Lucius/Narcissa pire que des lapins PTDR j'adore quand ils se sautent dessus XD)

Bonne lecture.


Chapitre 1 :

Encore un mois à passer chez les Dursley. pensa Harry en posant sa malle sur le plancher de sa chambre.

- Potter ! hurla Vernon du rez-de-chaussé. Viens-ici.

Harry sortit de sa chambre et vit que son oncle l'attendait en bas des escaliers.

- Oui oncle Vernon ? demanda poliment Harry, s'empêchant de grimacer.

- Dudley a invité des amis à dîner, je ne veux pas que tu sortes tes affaires de ta…malle. gronda t-il. Et tu vas me faire le plaisir de sortir ta bestiole de cette maison pendant ce temps-là.

- Hedwidge est une chouette. répliqua Harry.

- PEUT IMPORTE ! s'écria le gros bonhomme.

- Vernon, ta tension. se précipita Pétunia.

Harry allait remonter quand sa tante ajouta :

- Et on ne veut pas t'entendre c'est compris ? Les amis de mon Dudleynouchet n'ont pas besoin de savoir pour ton anormalité. Tu vas éviter de lui faire honte n'est-ce pas ?

Le Dudleynouchet était en train de regarder la télé en mangeant un paquet de chips « exceptionnellement » avait dit Pétunia.

C'est vrai qu'il ne faudrait pas qu'il devienne encore plus gros…pensa Harry en observant son cousin de profil. Si c'est possible.

- Tout est possible Harry. lui souffla la voix de Dumbledore.

- Qu'est-ce qui te fait sourire ? grogna Vernon. J'espère que tu ne penses pas à faire des anormalités ? Parce que tu sais que tu seras viré de ton collège pour monstruosités…

Harry n'écouta pas la suite et puis il l'a connaissait par cœur. Il retourna dans sa chambre sous le cri indigné de Vernon, et s'allongea dans son lit. Le cri d'Hedwidge dans sa cage le fit sursauter et il entendit :

- FAIS LA SORTIR DE MA MAISON !!! crié par Vernon.

Harry soupira et se releva de son lit. Il ouvrit la cage de sa chouette et lui murmura :

- Désolé ma belle mais tu vas devoir rester toute la nuit dehors. Je ne pense pas que Vernon acceptera de t'entendre rentrer en pleine nuit.

Hedwidge hulula et s'envola par la fenêtre ouverte où le soleil déclinait à l'horizon.

Harry souffla et une pensée lui traversa l'esprit.

Ça m'étonnerait que Dudley et ses copains restent bien sagement dans la chambre.

Il jeta un regard sur sa malle contenant toutes ses affaires de Poudlard et se baissa pour l'ouvrir. Les livres de son année passée reposaient bien sagement dans un coin. En voyant celui de DCFM il se demanda quel timbré ils allaient avoir l'année d'après.

Sa sixième année s'était bien déroulée. Dumbledore avait eu de Snape qu'il accepte les Efforts Exceptionnel dans sa classe, et lui et Ron avaient pu retourner en cours même si ils s'en seraient passés mais si lui voulait devenir auror, il fallait bien en passer par là.

Mais leur professeur de DCFM bien qu'il ne soit pas aussi timbré qu'Ombrage, était lui aussi à la solde du ministère. Pourtant ses cours s'étaient plutôt bien déroulés et ils avaient appris plus de choses que lors de leur cinquième année. Mais il essayait de les retourner contre Dumbledore en leur racontant des horreurs sur sa jeunesse.

- Tout le monde peut faire des erreurs Harry. Même moi. Et je ne suis pas très fier de ses erreurs là. lui avait avoué le directeur lors d'un de ses entraînements en Occlumencie.

Car Dumbledore avait décidé de remplacer Snape dans ces cours et cela s'était déroulé beaucoup mieux et Harry avait appris beaucoup plus vite. Il ne faisait plus de cauchemars et il arrivait à rejeter l'esprit de Voldemort.

Mais leur nouveau professeur fut la seule victime tuée de l'attaque de Poudlard par des mangemorts en fin d'année. Dumbledore réussit à empêcher la catastrophe de s'aggraver mais il ne put empêcher les blessés et surtout, il ne put empêcher la défiguration de Bill par Greyback.

En plus de ça, les Malfoy avaient retourné leur veste et étaient passé dans le camp de l'Ordre du Phoenix. Lucius leur avait donné plein d'informations sur les ennemis qui avaient été bien utiles à l'Ordre. C'est pour cela qu'ils étaient bien protégés actuellement dans leur manoir.

- C'est un des plus anciens d'Angleterre et il est encore mieux protégé que le square Grimmaurd. leur avait dit Hermione après l'avoir lu dans un livre.

Mais cela n'empêchait pas Malfoy d'être toujours le même petit con arrogant.

- Cela cache surement quelque chose. lui avait dit Hermione. Il n'a plus de raisons de te haïr. Regarde, il ne m'insulte plus sur mon sang ni sur le peu d'argent qu'a la famille de Ron. Il y a quelque chose de plus profond derrière ce sentiment de haine.

Mais la jeune fille n'avait rien trouvé durant l'année même si avant de le quitter sur le quai du Poudlard Express à Londres, elle lui avait dit :

- A mon avis il ne te hait pas.

Harry n'avait pas compris comment Hermione en était venu à cette conclusion. Si ce n'était pas de la haine, qu'est-ce que c'était ?

En entendant la sonnette de la porte d'entrée, il referma sa malle et lui jeta un sort de réduction. Un des seuls sorts que les sorciers non majeurs de premiers cycles pouvaient lancer sans se faire repérer. Il réduit donc sa malle après y avoir mis la cage d'Hedwidge et la rangea dans sa poche de pantalon.

Bien lui en pris car quelques minutes plus tard, des pas se firent entendre dans les escaliers et sa porte de chambre s'ouvrit en grand sur Dudley, Piers et Malcolm.

- Alors cousin, qu'est-ce que tu fais de beau ? sourit narquoisement Dudley en jetant des regards dans la pièce avec ses yeux de porcinets curieux.

- Je m'apprêtais à lire un livre. Mais bien sûr tu ne sais pas ce que ça signifie Big D. le nargua Harry.

Dudley fronça les sourcils de colère mais avant d'avoir pu répliquer, sa mère les appela pour manger.

- T'as de la chance ce coup-ci.

Il referma violemment la porte de la chambre et descendit pour aller manger.

Harry soupira et s'installa à la fenêtre.

La soirée se passa plutôt bien, si ce n'est les coups que sa porte recevait à chaque passage des trois abrutis.

Finalement ils s'en allèrent sur les coups de vingt-trois heures et peu après, la maison se fit plus calme. Quand il entendit la porte de la chambre de son oncle et sa tante se fermer, il laissa échapper un soupir de soulagement.

Soulagement qui ne fut que de courte durée car le bruit d'une poubelle qu'on renverse le fit se redresser aux aguets. D'habitude Privet Drive était plutôt calme en été et les seuls voyous étaient son cousin et sa bande.

Il ouvrit la porte de sa chambre en silence et les ronflements de son oncle le rassurèrent. Il descendit donc les escaliers le plus discrètement possibles serrant sa baguette dans sa main.

Il avait un mauvais pressentiment. Bien qu'il se sache protégé, Privet Drive n'était pas intouchable à toutes attaques mangemoriennes. Un coup d'œil par la fenêtre de la cuisine lui confirma ses doutes.

Trois mangemorts traversaient la rue en direction de sa maison. Mais ce n'était pas possible hein ? Il était protégé à Privet Drive ?

Quand les mangemorts se postèrent devant la maison, il put entendre leur voix :

- C'est bien ici ?

- Tu sais lire Avery ? répondit méchamment son collègue.

- Et toi ? répliqua Avery.

- Ça suffit vous deux !

Harry sentit des frissons lui remonter la colonne vertébrale quand il entendit cette voix. C'était elle : Bellatrix Lestrange.

Ce qu'elle avait fait subir à Sirius restait gravé dans sa mémoire.

Une dose d'adrénaline monta en lui mais une voix le retint :

- Ne laisse pas la vengeance nourrir ta haine. lui avait dit un jour Dumbledore.

Harry respira profondément et murmura :

- Vous avez raison professeur.

Il se leva et se précipita dans sa chambre pour récupérer toutes ses affaires cachées qu'il réduit et rangea dans sa malle. Quand des coups sourds se firent entendre à la porte, il se figea et la peur remplaça son courage.

Il entendit son oncle se levait en grognant et Harry alla à la porte de sa chambre pour le retenir :

- Oncle Vernon n'y va. Ce sont des…

- Toi tu te tais et tu retournes dans ta chambre…

En voyant la baguette d'Harry sortit, il fulmina :

- Et range-moi ça tout de suite !

Ensuite il descendit pour aller ouvrir la porte mais avant de l'atteindre, celle-ci vola en éclat sous le rire de Bellatrix.

- Qu'est-ce que c'est que ça ? demanda t-elle en voyant Vernon devenir aussi rouge qu'une tomate face à leur tenue et à leur baguette.

- Vous ! Sortez de ma maison bande de dégénérés ! hurla son oncle.

- Pardon sale moldu ? gronda Bellatrix en pointant sa baguette sur Vernon.

Harry était en train de murmurer à son oncle de fuir :

- Ne reste pas là oncle Vernon, fuis !

- Ne pointez pas votre machin sur moi ! Vous…ne put terminer Vernon qu'il fut happé par le sort de la mort de Bellatrix.

Le bruit avait finit par réveiller sa tante et son cousin qui sortirent de leur chambre.

- Retournez dans votre chambre. les supplia Harry. Ne vous montrez pas où ils vous tueront.

Mais sa tante s'écria en voyant le corps sans vie de son mari :

- Vernon !

- Maman ! appela Dudley.

Il suivit sa mère et la dernière chose qu'Harry entendit avant de sauter par la fenêtre de sa chambre fut le rire démoniaque de Bellatrix.

Il se tordit la cheville en se recevant au sol et poussa un petit cri de douleur.

- Il faut que j'aille chez Mrs Figgs. s'encouragea Harry en boitant.

Arrivé de l'autre côté de la rue le plus discrètement possible, une explosion le fit mettre à terre dans le jardin des voisins, ce qui probablement lui sauva la vie. Car les trois mangemorts s'arrêtèrent devant lui et Harry ne put qu'observer leur bas de robe noire.

- Finalement l'information était fausse. Le maître va être furieux. constata Avery.

- Je me charge personnellement de faire payer à cet incapable de Mondingus Fletcher. Quand j'en aurais fini avec lui, il ne mentira plus du tout. rit Bellatrix.

- Il n'empêche, cela fait la troisième maison qu'on détruit et toujours aucune trace de Potter. remarqua le troisième mangemort.

- Il n'empêche qu'il a vécu probablement ici durant son enfance, Fletcher nous l'a avoué sous veritaserum. Il n'est pas assez puissant pour résister à cette potion. dit Avery.

- Au moins maintenant on sait où il doit être. révéla le deuxième homme.

- Poudlard. gronda Bellatrix.

Les gens commencèrent à sortir de leur maison et les trois mangemorts transplanèrent.

Harry commençait à avoir peur après ce qu'il venait d'entendre. Il n'y avait pas beaucoup de maison où il pouvait être.

Il observa les alentours et dans l'attroupement de la foule, reconnu celle chez qui il voulait se rendre.

- Mrs Figgs ! l'appela t-il.

Elle se retourna et le soulagement apparu sur son visage.

- Oh Harry ! J'ai eu si peur. J'ai prévenu Dumbledore quand j'ai vu l'explosion, il ne devrait pas tarder.

Effectivement, une voix se fit entendre.

- Harry quel soulagement.

Les deux se retournèrent pour voir Dumbledore et Rémus s'avançaient vers eux.

Le lycanthrope alla le serrer dans ses bras puis recula en s'excusant :

- Je suis désolé Harry mais j'étais tellement soulage de te voir en vie après ce qu'Arabella nous a dit.

- Si vous voulez bien très chère Arabella, nous pourrons aller discuter chez vous ? proposa Albus.

- Mais bien sûr Albus. Venez-donc.

- Tu es blessé Harry ? s'inquiéta Rémus en le voyant boiter.

- J'ai du me tordre la cheville en sautant de ma fenêtre. répondit le survivant avec un sourire contrit.

- De la fenêtre ? s'exclama Rémus.

- Harry nous expliquera tout ça bien au chaud. N'est-ce pas mon garçon ? dit le directeur.

Harry hocha la tête et Rémus l'aida à marcher jusqu'à la maison tout au bout de la rue.

Une fois à l'intérieur, Harry se posa sur le canapé avec un soupir de soulagement. Entouré de Dumbledore et de Rémus, il se sentait en sécurité.

Mrs Figgs leur apporta du thé et Dumbledore demanda à Harry de raconter ce qu'il s'est passé.

- Je suis navré pour ta famille Harry. avoua Albus.

Harry hocha la tête sans rien dire. Il ne voulait pas paraître ingrat, mais sans vouloir la mort des Dursley, il avait toujours souhaité partir de chez eux le plus tôt possible.

- Mais professeur ? demanda Harry en relevant la tête. Un des mangemorts a dit que c'était la troisième maison qu'ils détruisaient ? Qu'est-ce que ça veut dire ?

Le regard que s'échangea le directeur et Rémus fit blanchir Harry.

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? s'inquiéta le survivant en regardant alternativement les deux hommes.

- Une troupe de mangemort à attaquer le Terrier. avoua finalement Rémus.

- Les Weasley ils…paniqua Harry.

- Calme-toi Harry. Ils vont bien. Tous. Ils ont pu s'enfuir avant qu'il ne soit trop tard.

- Par contre ils ont capturé Mondingus qui était présent chez les Weasley. J'ai bien peur qu'il ne soit trop tard pour lui. soupira Albus.

Il avait l'air plus vieux tout d'un coup. Ses yeux bleus avaient perdu de leur éclat.

Harry se sentit soulagé.

- Et la deuxième maison ?

- C'est celle de Miss Granger. lui avoua Rémus et il rajouta avant qu'Harry ne parle. Tout va bien. Ils étaient en France au moment de l'attaque. Ils n'ont fait que passer chez eux pour déposer les affaires de leur fille et ils sont repartis tous les trois en France par le train du soir.

Harry sentit la pression qui était sur ses épaules s'envoler.

- Je leur ai conseillé d'y rester jusqu'à la rentrée. J'ai ajouté des sorts de protection sur leur maison en France. Ils sont en sécurité Harry.

- Mais…commença le garçon, Ron se trouve à Grimmaurd ? Je suis obligé d'y aller n'est-ce pas Professeur ?

Un échange de regarde plus tard, Dumbledore avoua :

- Le square Grimmaurd a été découvert.

- Quoi ? Mais c'est impossible, vous étiez le gardien du secret ! s'exclama Harry.

- C'est exact mais il se trouve que Mondingus avait un papier écrit de ma main avec l'adresse du square sur lui.

- L'imbécile ! s'écria Mrs Figgs, ce qui fit fuir ses chats.

- Comme quoi on ne peut pas toujours tout prévoir à l'avance. Mais heureusement personne ne se trouvait encore là-bas à ce moment-là. Nous l'avons su par le tableau de ce cher Phineas que des mangemorts étaient en train de fouiller la maison.

- Mais, où se trouvent les Weasley ? demanda Harry.

- Ils sont partis chez Charlie en Roumanie. répondit Dumbledore.

- Et moi ? Où est-ce que je vais aller ? Chez Rémus ?

Le regard plein d'espoir d'Harry fut vite remplacé par la déception.

- Je suis désolé Harry mais Rémus va bientôt partir en mission. répondit le directeur.

- De toute façon ma maison n'a pas les protections adéquates pour ta sécurité. rajouta le loup-garou.

- Et Poudlard n'est pas un endroit très agréable durant les vacances d'été. Et puis tu connais bien trop de moyen d'échapper à tes surveillants. sourit Dumbledore alors qu'Harry rougissait.

- Mais alors ?

- Pour cette nuit, je pense que tu peux dormir ici sans problème ! N'est-ce pas Arabella ? Rémus va rester avec toi pour plus de sécurité.

Le maraudeur hocha la tête ainsi que Mrs Figgs qui acquiesça avec enthousiasme.

- Bien ! Je vais régler le problème de ta résidence d'été. s'exclama Albus en se dirigeant vers la cheminée.

- A demain.

Il disparut à travers les flammes.

- Au lit ! s'exclama Arabella. Il est tard.

Harry fit mine de se lever mais la douleur de son pied se rappella à lui.

- Oh c'est vrai j'avais oublié ton pied mon garçon. Enlève ta chaussure pendant que je vais chercher de quoi te soigner.

Harry fit ce qu'on lui demandait et Mrs Figgs revint avec de la pommade.

- C'est magique. précisa t-elle en lui étalant sur sa cheville blessée. Heureusement qu'elle n'est pas cassée.

Harry sentit la douleur diminuer jusqu'à disparaître complètement.

- Merci.

- Ce n'est rien voyons mon garçon. Allez maintenant file te coucher. Tu connais la maison. lui sourit-elle.

Harry se dirigea vers ce qui était sa chambre quand les Dursley le laissaient chez leur voisine.

Son inquiétude quand à son lieu de résidence fut vite remplacé par de la curiosité quand il se demandait où est-ce que Dumbledore allait l'envoyer.

Il s'endormit sans s'en rendre compte.

Le lendemain matin, se fut une odeur de bacon grillé et de toast sauté qui le réveilla. Il s'habilla et descendit jusqu'à la cuisine.

- Bonjour ! lança t-il à Rémus et Mrs Figgs.

- Bonjour Harry. fut la réponse qu'il reçut.

Le déjeuner se passa dans une bonne ambiance jusqu'à ce que Mrs Figgs revienne du salon et lui dise :

- Albus ne va pas tarder mon garçon. Va donc chercher tes affaires.

Harry acquiesça et s'empressa de récupérer et de réduire ses affaires.

Arrivé dans les escaliers, il entendit des voix. Celle de Mrs Figg qui chantonnait en s'occupant de ranger la cuisine, puis d'autres au salon. Celle de Dumbledore, puis celle de Rémus et la troisième…

- Ah Harry te voilà. s'exclama ravi le directeur alors que le garçon fixait la troisième personne dans les yeux.

- Mr Potter. salua t-elle.

Harry sortit de sa léthargie et salua à son tour :

- Mr Malfoy.

Finalement il aurait préféré passer ses vacances d'été chez les Dursley. pensa t-il.

à suivre…


Alors, alors ? Que pensez-vous de ce début ? La longueur des chapitres qui suivent varit...donc ne vous étonnez pas qu'il y en ait des plus courts que les autres !

Bizzz