Chapitre 1 : Guerre

PDV Externe

Il était une fois, au Japon, sur l'île Andromeda, à Lévioz, une ville ayant été ravagé par la guerre, une jeune fille,qui devait avoir dans les huit ans qui se baladait. Elle était sur un cheval noir, et possédait des longs cheveux verts, des yeux bleus, azur comme le ciel, et une peau pâle proche de la lune.

Son visage était simple, et souriant. Elle respirait la générosité, et la sympathie, cependant, elle semblait être assez timide. Ses vêtements étaient composés d'une teeshirt blanc, d'une veste de sport noire, d'un jean bleu et d'un bandana rouge sur le bras.

Le cheval qui l'accompagnait, était une jeune jument, ayant une robe noire et des yeux d'une couleur pistache.

Elle se baladait avec sa jument dans la ville, et derrière, il y avait deux caisses dans un chariot. Quand elle passait dans la rue, les habitants se poussaient à son passage. Comme si ils avaient à faire à une princesse, ou une noble.

Ils baissaient leurs têtes, tentant de ne pas se faire remarquer. Pourtant, la jeune fille ne semblait pas être une personne de haute hiérarchie. Elle paraissait ressembler à un habitant commun malgré son apparence qui pourrait prétendre le contraire. Le regard de la jeune fille, (qui était quand même une jeune personne), était d'une extrême simplicité, comme si elle était habituée à ce genre d'action à son égard.

Après quoi, elle dirigea sa jument, vers la sortie de la ville, qui menait à un château splendide. L'architecture, même vu de loin, semblait magnifique. Le blanc éclatant de la façade apportait une lumière éclatante sur la ville, ce qui fit pousser plus rapidement, les récoltes dans les champs aux alentours de la ville.

Puis, la jeune fille sortit de la ville toujours avec son chariot ayant les deux caisses en son sain. Elle traversa alors les prairies et les champs la séparant du château. Il y avait des paysans travaillant la terre dans ses vastes terres. Tous eurent la même réaction que les habitants du village. Même, il y a qui s'en allaient dès l'avancée de la jeune cavalière.

Cependant, cela ne semblait pas la gêner, elle avançait toujours. Toujours avec une once de fierté. Au bouts de longues minutes d'un trajet long, et sous le soleil, elle arriva à ce qui semblait être, la fin des champs du peuple.

Une personne restait à la fin de ces champs, elle restait là-bas pour éviter de travailler avec des gens par. Un homme d'une quarantaine d'années, possédant une tenue de paysan simple ayant de courts cheveux grisonnant au vent qui traversait la pleine brûlante. Il possédait également un chapeau de paille simple

Quand, le vieil homme aperçu la jeune fille, il leva les yeux vers elle, ayant son chapeau de paille au niveau du front, il le souleva doucement et dit :

« Tiens, c'est la princesse ! Comment ça va ?

La jeune cavalière descendit de sa jument, doucement, s'approcha du vieil homme et répondit avec un grand sourire :

-Salut Jonnas. Je vais bien, en effet. Et toi ? Tu arrives à travailler avec le climat brûlant des champs ?

L'homme sourit à son tour, dévoilant des dents blanches crèmes et dit :

-Je vais bien. De toute façon, il faut bien gagner sa croûte avec les temps qui courts... »

Il regarda alors la jument, et ce que tirait cette dernière et demanda :

« Dis…Juvia semble bien être traitée depuis que je suis parti. Qui s'en occupe ?

La jeune fille mit quelques secondes, avant de lâcher :

-Hé bien, depuis que tu es parti, Père a essayer de trouver le meilleur Palefrenier pour s'occuper de Juvia, mais son geste a fait chou blanc. Donc, c'est moi qui m'en occupe. »

L'interlocuteur éclata de rire, s'approcha de la jument et caressa la joue du cheval, qui hennit doucement au geste du vieil homme. Puis il dit :

« Euh, que traîne Juvia ?

Elle s'approcha alors et rétorqua :

-Vu les temps durs comme tu dis...Je dois faire les courses de la famille. Au grand désagrément de Juvia qui a eut du mal au début…Enfin bref, je vais devoir te laisser, on m'attend.

Jonnas hocha la tête, s'écarta et lâcha :

-Hé bien, on se voit demain, hein, princesse ? »

La jeune fille, hocha la tête remonta sur Juvia et la fit avancer, tout en faisant un signe de main au vieux Jonnas.

Elle arriva au bout d'un moment, devant le château, où elle s'arrêta un moment, avant de descendre. Puis, elle observa le château. Il était très grand, possédant des tours blanches aussi pures qu'un ange. Cependant il resta dans la simplicité, et quand la jeune fille s'avança avec son destrier, un garde l'observa et hurla :

« LA PRINCESSE EST RENTREE ! ABAISSEZ LE PONT ! »

Sans qu'elle ne commente, le pont se baissa, et finit par faire une plateforme pour la jeune fille qui rentra dans la cours du château.

Quand elle fut dedans, une jeune fille sortait du château, courra à la vue de la protagoniste, lui sauta dans les bras et dit :

« Ouah ! Grande Soeur ! Tu es rentrée ! Tu m'as manqué !

Avec la main de la jeune fille qui traversa les cheveux de celle qui parlait, elle ajouta :

-En effet. Toi aussi tu m'as manqué Shoko. Allons rentrons. »

En déchargeant la jument, elles rentrèrent à l'intérieur et allèrent dans la cave, là où elles allaient entreposer les victuailles achetés quelques heures auparavant.

Les parents des deux jeunes filles étaient en haut, dans la salle du trône ayant des discussions avec les citoyens qui venaient se plaindre pour diverses problèmes. Mais le Comte, avait un mauvais pressentiment. D'après son messager personnel, les troupes qu'il avait envoyé aux combats se seraient toutes faits décimés par un ennemi inconnu. Il murmura à sa femme :

« Femme j'ai un mauvais pressentiment.

Cette dernière hocha la tête et dit :

-Moi aussi...Je me demande quand Shun et Shoko seront là... »

Cave – PDV Shun

Je descendais avec Shoko dans la cave, chacune de nous portant une caisse de victuailles pour les mettre en bas.

Quand, finalement, on les entreposa, Shoko me regarda et dit :

« Shun-nee…Tu as vu comment réagissaient Père et Mère ses temps-ci… ? J'ai peur...Cette guerre...nous change tous... »

Elle se mit alors à pleurer, je lui dis alors en la prenant dans mes bras :

« Shoko...Calme-toi. Tout ira bien. Juste ça ira... »

Malheureusement, ma sœur n'avait que 6 ans. Malgré mon âge assez jeune, j'étais assez mature, donc je fis de mon mieux pour la consoler.

Puis d'un seul coup, il y eut un tremblement de terre. J'agrippais ma sœur qui hurlait. Je lui dis :

« Reste calme ! Ne me lâche surtout pas ! »

En dépit de mes mots, elle continua à paniquer, malheureusement, cela empira. La terre trembla de plus en plus, et finalement, il y eut une explosion près de nous. Le plafond s'effondra, et la dernière chose que je fis, est que je poussais Shoko de la direction et me prit un morceau du plafond sur la tête.

J'entendais alors, un dernier cri horrifiée de ma sœur qui m'appellait :

« SHUN-NEE ! »

Je perdis conscience, mon monde se brouilla alors sous les dernières paroles de ma sœur :

« GRANDE SOEUR ! »

A suivre.