Note de l'auteur : Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien. Je vous arrive avec une fiction inspirée du Maze Runner. J'espère qu'elle vous plaira.

Disclaimer : Personnages ne m'appartiennent pas mais l'histoire, si.

Warning : Gore.

Prologue

Encore un soir de fin de mois, encore cette sensation de mal-à-l'aise qui revient perpétuellement. Ce soir encore, tous allaient être rejoints par un nouvel amnésique pommé dans ce monde inconnu, dans cette étendue d'herbe et d'arbres entourée de murailles déconcertantes.

La pénombre c'était levée dans l'entre de la mort, encore un silence insoutenable, une anxiété reconnaissable, la même que le vingt-huit du mois précédant, et de celui d'avant, et d'encore avant.

Les portes du labyrinthe se fermèrent comme chaque soir, avec sa consonance particulière du vingt-huit, celle qui annonce le début d'un problème, ou celui d'une solution, nul ne sait encore, mais tous sauront bientôt.

Une légère brise se fit entendre au milieu des arbres, un léger frisson s'installa dans la troupe de jeunes gens. Encore ces bruits de brindilles crissant sous les pas de fantômes encore jamais présentés.

Une machinerie s'enclenchât au centre de la clairière et un bruit strident d'engrenages commença à se faire entendre. Un nouveau plateau remonta avec un nouveau corps, peut-être mort.

Le nouveau cadavre à peine vivant qui venait de surgir avait un visage plutôt beau. Bien que tout son corps était trempé, un léger parfum de jasmin s'échappait de sa chemise moulante, on y devinait une musculature bien formée.

Son visage était plutôt fin, ses joues se creusaient dans une symétrie incroyablement parfaite, une légère cicatrice trônait derrière le lobe de son oreille droite, surement celle d'une ancienne boucle.

Après vingt-cinq minute, son corps restait enore vile et inanimé. Chacun avait une théorie différente sur la question mais beaucoup pensaient au pire, beaucoup pensaient que son heure était arrivée durant sa remontée dans le bloc. Le seul signe qui le rattachait à la vie était ces larmes perpétuelles qui coulaient sur sa joue, les une après les autres tant bien que sa joue en était trempée.

Son front se mit à se crisper brusquement et ses yeux s'écarquillèrent en un fragment de seconde. A peine les habitants du bloc avaient réalisé se brusque réveil, que le nouveau hurla d'une voix terrifiée un prénom incompris à la première écoute, mais très fluide lors de la deuxième, celui de Téréza.