Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à J.K Rowling

Et voilà une nouvelle, qui est une réponse à un défi du forum La gazette des bonbons aux citrons, n'hésitez surtout pas à passer la communauté est très sympa. Cette histoire est donc une réponse à un défi qui était de faire un HermioneXSusan, donc homophobes passez votre chemin. Vous savez que j'apprécie certains yuri, bien plus que les yaoi, donc voilà, vous avez une nouvelle fic. Je compte tout publier d'ici le 15 Juin, et le format sera très proche d'Alumna Ignis. Je remercie aussi Nothern pour la bêta-lecture. Ah oui, i passages en italique ds ce chapitre, comme ce sera le cas dans tt les autres, le premier ce passe dans le passé d'Hermione et le second dans le futur, mais c'est pas forçément elle qui sera présente. C'était quelque chose que je voulais essayer, donc dites-moi si ça vous plait. Et surtout n'hésitez pas à me laisser une review et bonne lecture.


Changement

Il n'était pas rare de voir des membres du département de la justice magique s'entre-déchirer lors de procès, en particulier ceux des familles influentes comme les Malefoy ou les Parkinson. Mais tout le monde au ministère évitait deux adversaires : Hermione Granger et Susan Bones. La première défendait ses clients bec et ongles contre n'importe qui, et la deuxième était devenue l'une des collaboratrices de Rita Skeeter à ses heures perdues, officiellement elle ne faisait rien bien entendu, mais officieusement …

Hermione ressortait du troisième jour du procès le plus médiatisé depuis la fin de la guerre : celui de Pansy Parkinson. L'affaire ne semblait pas différente de celles des autres mangemorts, mais l'adversaire de la lionne était justement Susan Bones. Et la poufsouffle savait se défendre, et utilisait la presse à son avantage. Le procès ne semblait pas bien se présenter, et Pansy risquait le baiser du détraqueur. Après la fin de la guerre, beaucoup de condamnations avaient été décidées par simple vengeance. Hermione savait que la vie de Pansy ne tenait plus qu'à un fil. Les jumelles Carrow avaient déjà été exécutée, froidement. Goyle s'était ouvert les veines avec les dents plutôt que de subir le baiser du détraqueur. Et après, ce serait au tour de Pansy, si elle perdait ce procès. Elle n'avait qu'une seule chance, à elle de ne pas la gâcher. En quittant le ministère, elle retrouva Harry et ils transplanèrent ensemble dans le Londres moldu, à un endroit ou personne ne les reconnaîtraient. Ils entrèrent dans un bar de Whitechapel, commandèrent chacun un whisky, et ils s'installèrent à une table. Harry lui dit : « Tu sais, Mione, je crois que tu devrais ralentir le rythme, ces procès à répétition vont finir par te bouffer

-Je ne peux pas Harry, tu as vu ce qui est arrivé aux jumelles Carrow ?

-J'étais là Mione, je ne pourrais jamais l'oublier. »

Le procès des jumelles Carrow avait été l'un des tout premiers à avoir eu lieu après la mort de Voldemort. Hestia et Flora Carrow avaient dut prendre la marque quelques semaines avant la bataille de Poudlard. Elles avaient 14 ans ! Des enfants, voilà ce qu'elles étaient. Elles n'avaient rien fait, mais même leur avocat les avaient enfoncées. Et le jour du verdict, les deux sœurs s'étaient blottis dans les bras l'une de l'autre, refusant de se séparer, refusant de mourir. Lorsque les aurors essayèrent de les séparer, Hestia prit la baguette de l'un d'eux avant d'essayer de s'échapper. Mais elle tomba nez à nez avec un détraqueur, dans le couloir menant à l'ascenseur. Tout ce qu'Hermione et Harry entendirent furent des cris. Et quelques semaines plus tard, Flora fut mise à mort.

Harry dit à son amie : « S'il te plaît Mione, ralentis le rythme, surtout face à Bones. Elle est …

-Tu sais très bien que si je ne fais rien, elle va en envoyer d'autres à l'échafaud.

-Ne t'inquiète pas Mione, le bureau des aurors s'en charge, on finira bien par trouver quelque chose contre elle. Et Kingsley essaye de faire passer une loi pour contrôler les détraqueurs et interdire leur usage dans nos institutions.

-Si tu veux de l'aide, va voir Skeeter.

-Elle ne parlera jamais Mione.

-Dans ce cas rappelle-lui sa condition de scarabée Harry, après elle sera plus coopérante crois-moi.

-Tu es serpentarde Mione.

-Dit la personne qui aurait dû y aller. »

Le lendemain, alors qu'elle sortait du ministère après une nouvelle journée de procès éreintante, elle se fit plaquer contre un mur et sentit ses lèvres se faire aspirer. L'autre personne rompit le baiser et transplana.

« Peut importe pour moi qui était cette sorcière, aujourd'hui, cela n'a plus d'importance. Si c'est grâce à elle, que je me suis découverte, je la remercie. Je suis heureuse, malgré tout ce que j'ai perdu, j'aime la vie que j'ai aujourd'hui.

-Vous avez déjà mentionnée cette personne Hermione, vous est-il déjà arrivée de chercher à découvrir qui c'était ?

-À une époque j'en suis venue à penser que c'était Susie, mais c'est derrière-moi. »

Discussion non-datée entre Hermione Granger et sa psychomage