Bien le bonsoir chères lecteur, me revoici avec une nouvelle histoire parlant comme promis de Harold s'enfuyant avec Krokmou, et créant un village, ou plus... Cette histoire est très particulière comme vous le verrez dès son commencement, si vous ne le comprenez pas c'est normal j'ai fait un début très mystérieux ? Je vais faire référence à des symboles assez souvent pour vous donner une idées de ce à quoi ils devraient ressembler, imaginez que c'est du Galifréyin de doctor who, mélangé à du Norse, et à de l'écriture Cunéiforme. Je publierais tous les Dimanches sauf si j'ai un empêchement, si c'est le cas j'essayerais toujours de vous prévenir avec une petite note. Bon voilà sur ceux je vous souhaite une bonne lecture !
Prologue : Prologue à une légende
« Je m'appelle Rider, mais ce n'est qu'un nom parmi tant d'autre, Le sauveur d'esclaves, Le dragon boy, L'explorateur du nord, Le Maître forgeron... Et plus encore, mais il y a deux noms que seul moi et ceux à qui je fais le plus confiance dans ce monde connaisse... Le premier étant Harold Horendous Haddock le troisième, nom que j'essaye d'oublié depuis longtemps dans ce monde si diversifié, et en perpétuel changement... »
« Plusieurs espèces, et plusieurs civilisations habite ce monde. La première et la plus ancienne étant l'espèce humaine, vivant sur ce monde depuis des milliers d'années ils ont bâtis bon nombre d'empires incroyables. Ensuite il y a les elfes le peuple des foret, ayant une espérance de vie de deux cents ans, ils ont également bâti de grande civilisations, et des techniques légendaires. Puis il y eut les nains une espèce petite par sa taille, mais grand par leur force, et leurs caractère. Creusant sous la terre afin de créer leurs civilisations , et leurs richesses ils ne sont pas une espèce à prendre à la légère. Et enfin la dernière grande espèce aussi vielle que celle des humains... Les dragons ces divers reptiles cracheurs de feu ne pouvant bâtir de ville ce sont regroupé en nid titanesques, avec une puissance de feu, et une adaptabilité sans égale... Toutefois d'autres espèce intelligentes vivaient sur cette planète en plus petit nombres... Enfin en général... »
« Comme vous le voyez j'ai vécu dans un monde très étrange, et dans une phase très étrange également. Peu avant ma naissance certains nains et elfes commençaient à venir vivre avec les humains et vice versa. Toutefois il semblait que la guerre contre les dragons était éternelle... Mais bon là n'est pas le sujet, je suis là pour vous contez une histoire, mon histoire... Comme toutes les histoires elle a un commencement, mais ce que les gens savent moins, c'est que le commencement est une sorte de fin... Ceci est comment débute mon histoire... »
Japon, cent cinquante trois avant J.C.
Sur les toits traditionnel japonais d'une petite ville, deux ombres se battaient deux ninja surentraîner. Ils portaient tous les deux l'habit classique des ninja c'est à dire un pantalon noir avec des chaussures renforcé par du métal, une veste également noir avec une ceinture rouge terne sur laquelle pendait plusieurs couteaux, shurikens, et autres instruments de guerre. Ils portaient tous les deux une capuche et un foulard ne laissant voir que leurs yeux tout les deux bleu. Ils se combattaient à coup de katana qu'ils avaient dans leurs mains. Ils combattaient avec une légèreté, et un style incroyable sautant, virevoltant de toits en toits afin d'échapper à un coup de l'adversaire, où de lui en infliger un. Cette danse de l'épée était aussi impressionnante que silencieuse vue que personne ne semblait l'entendre. Toutefois malgré le talent des deux ninja ils s'étaient déjà blesser au vue des coupures suintant le sang sur leurs costumes. Sautant sur le toit d'un temple les deux ennemies s'immobilisèrent, se regardant dans le blanc des yeux et se menaçant de leurs armes. Soudain l'un de deux parla :
« Aller je le répéterais pas une fois de plus Trois, donne moi le morceau de notre passé, et tout ce terminera ! », déclara dangereusement l'homme alors qu'il mit son katana en face de ses yeux, on pouvait apercevoir sur son épaule gauche à nu après avoir reçu un coup de sabre auparavant, un étrange symbole ne ressemblant à aucune langue connu. Enfin aucune l'autre combattant savait très bien ce que signifiait ce symbole, et aux mots de celui qui le porter il fonça vers lui bloquant leurs sabres ensemble avant de dire d'une voix venimeuse :
« Pas dans cette vie Sept... Toutefois tu as raison... Tout ce terminera ce soir ! », et sur cette phrase le combat repartit de plus belle une nouvelle fois. Non loin de là une autre personne avait entendu le bruit du combat et tentait d'aller le stopper. Il était grand, la peau bronzé, mais il était pas japonais, les traits de son jeune visage d'une vingtaine d'année, montrait qu'il venait plutôt d'un pays chaud telle l'Arabie, il avait les cheveux d'une couleur noir charbon prononcé avec des yeux bruns. La caractéristique la plus prononcé de son visage était l'étrange tatouage sur sa joue droite ressemblant à un symbole comme celui sur l'épaule d'un des combattant. Il portait un pantalon marron auxquels il y avait accroché divers couteaux, shuriken, et un arsenal de fléchette avec une sarbacane. Il portait également une tunique à manche longue marron sur laquelle il y avait un manteau marron foncé avec une capuche qui était baisser actuellement. L'homme avait dans ses mains une grande hache à double tranchant d'un qualité sans égale, et sur son il en avait encore une autre attaché solidement.
Il se déplaçait rapidement malgré son arsenal il tentait de trouver son chemin dans la ville, afin de rejoindre le combat d'altitude le plus rapidement possible. Toutefois quand il arriva finalement au temps il pouvait voir les deux adversaires à bout de souffle sur le toit avec énormément de blessures. Ils se regardaient une fois de plus dans le blanc des yeux, avant de finalement foncer l'un sur l'autre le katana en avant. Et ce qui devait finir par arriver, arriva... Ils s'embrochèrent mutuellement stoppant net leurs courses à l'horreur de l'homme en contre bas qui avait ses yeux rivé sur l'homme qui n'avait à première vue aucun tatouage. Les deux anciens ennemies finirent par tombé du toit à cause du manque de force dut à leurs blessures. Sans perdre plus de temps l'homme du désert fonça pour attraper son ami, laissant le combattant tatoué touché le sol le tuant sur le coup. L'homme cependant s'en fichait royalement alors qu'il regardait son ami mourant dans ses bras, il ne put s'empêcher de le sermonner :
« Crétin qu'est ce qui t'as pris d'affronter Sept en combat singulier de nuit ? Tu n'as pas le droit de mourir maintenant espèce d'abruti, car sinon qu'est ce que je vais dire aux dix autres hein ? Que même étant frère jumeaux vous vous êtes étripez ! Je te dis même pas la honte que vous allez avoir ! Alors non tu reste avec moi ! », déclara-t-il avec des larmes se formant dans ses yeux. Soudain l'homme qu'il tenait avec difficulté enleva sa capuche et son foulard. Descendant par la même légèrement sa tenue sur son épaule gauche montrant un autre de ces étranges symboles tatoué. Ses cheveux noir charbon flottaient légèrement dans les airs, son visage japonais se crispait à la douleur qu'il ressentait, néanmoins il se força à parler :
« Quatre... Tu dois me promettre... Me promettre quelque chose... », disait-il en tressaillant un peu dans les mains de son ami. Il n'en avait plus pour longtemps à vivre, cela même l'homme du désert dénommé Quatre le savait. Donc même si le larmes coulaient désormais sur sa joue, il savait qu'il devait rester fort pour les derniers instants de son ami telle qu'il le connaissait :
« Oui Trois... Vas-y je t'écoute... », bafouilla légèrement Quatre à cause du flot d'émotion le traversant actuellement. C'était dur même s'il savait que ce n'est pas vraiment une mort en soi, mais plus une renaissance. C'était dur à regarder et ça tout ceux ayant vue un telle spectacle seraient d'accord avec lui :
« Prends le... Le coffret en originel... Une fois que je serais mort... Retrouve mon nouveau moi... Apprends lui tout ce qu'il doit savoir... et remets lui le coffret, il sera le seul à pouvoir l'ouvrir... », disait-il avec de plus en plus de difficulté tout en prenant un petit coffret brillant comme l'arc en ciel, à cause de l'originel dans lequel il était forgé. Avec difficulté il souleva le coffret et le mit dans la main de Quatre, ses mouvements devenaient de plus en plus incertains et tremblant comme il referma la main de Quatre sur l'étrange coffret qui avait la même marque que sur son bras gauche. Puis finalement la main de Trois retomba doucement alors que son dernier souffle était libéré dans les airs. Quatre pleurait, il pleurait la mort de son ami comme il serra plus fort le coffret dans ses mains en promettant avec une voix triste :
« Je te le promets... Je te le promets Trois... Même si je passe le reste de cette vie à essayer de te retrouver, je le ferais... Je te le promets... », termina-t-il en serrant étroitement la main de l'homme mort dans ses bras, avant de pleurer une fois de plus sur son corps mort.
« Vous voyez le commencement peut également être une fin... C'est joyeux comme début d'histoire vous trouvez pas ? Mais il faut pas s'inquiéter car comme me l'a dit un jour un grand homme : « Même si ta chanson se termine, l'histoire elle, ne se termine jamais. ». Obscur comme citation, obscur mais pourtant tellement vrai... Enfin bref je suis pas là pour vous dire ça, je suis la pour vous contez mon histoire et d'ailleurs me voici... »
Beurk cent cinquante trois avant J.C
La nuit est tombé sur la petite île au nord de l'atlantique Est, tout est calme en cette nuit les flambeaux sont allumés tout le long des rues et des maisons. Les rares elfes de l'île semblent monté la garde en silence posté sur les différentes tours et catapultes autour du petit village, quelques nains parcouraient également les ruelles leurs grandes haches doubles en main gardant également les ruelles. Puis soudainement un cri retentit, c'était celui d'une femme humaine. Aux cris plusieurs villageois humains, elfes, et nains sortirent de leurs maisons et coururent après quelques minutes de compréhension devant une grande maison sur une grande colline. Les cris venaient de là, et alors qu'une vielle femme accroupie s'aidant d'un bâton pour marcher et une jeune elfe s'engouffraient avec urgence par la porte principale de la maison. Puis plusieurs cris d'hommes cette fois pouvaient être entendu, et après quelques minutes un grand homme roux avec une barbe également rousse, portant un grand casque à corne viking et une sorte d'armure en piteux état sortit de la maison avec difficulté poussé par la vielle femme alors qu'il hurlait :
« Laissez-moi je veux être présent pour la naissance de mon enfant ! Vielle folle laisse moi ! », criait-il avec véhémence, mais cela ne semblait point affecter la vielle femme comme d'un coup de bâton il fit sortir le grand homme de la maison, puis referma la porte avec rapidité. Le grand homme essaya d'ouvrir la porte alors que de nouveau le cri de la femme retentisse au travers des murs de la maison. Le cri fut tellement fort qu'il stoppa net le grand homme dans son effort pour ouvrir la porte, et fit reculer quelques villageois. Un manchot unijambiste aux cheveux blonds avec des tresse et une moustache s'approcha du grand homme roux, les deux avait dans la vingtaine d'années, puis le blond parla :
« Stoick tu connais les lois... Tout vas bien se passer ces deux connaissent bien leurs travail de guérisseur, elles ont mis au monde beaucoup d'enfants, et tous ont survécu... », disait-il à l'homme maintenant dénommé Stoick en osant sa main sur son épaule en signe de réconfort. Stoick cependant était vraiment nerveux surtout à chaque fois que les cris de la femmes retentissaient dans les airs. Il trépignait sur ses pieds comme il répondit à son vieil ami :
« Je sais Gueulefort, je sais, mais la naissance n'aurait pas dut se produire avant encore un mois... C'est cela qui m'inquiète... J'ai peur que le bébé, ou Valka ne meure... », déclarait-il avec une voix plus calme désormais, mais pleine d'inquiétude. Il était tellement concentré sur les cris de sa femme qu'il ne remarqua pas que les villageois qui se trouvaient derrière eux étaient murmurant les mêmes choses entre eux, eux aussi craignaient pour la santé de la femme.
Au bout de plusieurs dizaines de minutes Stoick n'en pouvait plus de regarder la porte de sa propre maison d'où les cris de sa femme s'échapper en discontinue. Donc il se mit à faire des allers retours devant le seuil de sa porte jetant de temps à temps un regard à la dite maison. Après une nuit blanche d'allers et retour devant sa maison il pouvait entendre l'elfe guérisseuse dire à sa femme de pousser encore plus fort. Les cris de sa femmes devinrent de plus en plus fort et douloureux. Cela faisait tellement de peine à Stoick, il plissa les yeux à chaque cri. Il savait qu'il ne pouvait pas entrer, car s'il le faisait i briserait une ancienne tradition, et en plus à cause de son irruption il pourrait y avoir un accident conduisant à la mort de sa famille. Donc il devait rester fort, même si cela était dur...
Soudain Valka cria encore plus fort ce qui effraya Stoick, ainsi que tout les villageois des différentes espèces rassemblés autour de la maison. Le soleil se leva comme un second crie retentit, c'était le cri d'un bébé. Stoick avait un grand sourire qui apparu sur son visage alors que le cri du bébé continuait de troublé le levée du soleil. Gueulefort tapota la dos du nouveau père avec un sourire également, puis finalement la vielle femme ouvrit la porte et fit signe à Stoick de venir à l'intérieur. Ce qu'il fit le plus rapidement possible, une fois à l'intérieur il se dirigea vers la chambre où Valka se trouvait. Une fois à l'intérieur de la chambre il vit sa femme redressé dans le lit portant un petit paquet de fourrure dans ses bras, alors que la guérisseuse elfe nettoyait la chambre. Il regarda intensément le petit paquet de fourrure, avant que l'elfe ne le voit et lui fasse un grand sourire avant de déclarer tout en se stoppant dans le ramassage des fournitures médicales :
« Félicitation chef Stoick vous avez un magnifique fils ! », Stoick était au delà du bonheur en entendant cela, il était père... Père d'un fils... Il avait encore du mal à le concevoir, toutefois il n'eut pas le temps d'avoir plus de réflexion comme Valka lui parla finalement avec une voix fatigué, mais vraiment heureuse :
« Alors Stoick tu ne veux pas voir ton fils. », demanda-t-elle en regardant Stoick avec ses yeux perçant vert, ses longs cheveux aubruns trempés de sueur étaient collé à sa peau. Elle était belle mais pale et fatigué, il ne faisait aucun doute qu'elle était prête à s'endormir d'un moment à l'autre. Toutefois elle s'efforça à rester éveiller afin de pouvoir voir l'expression de Stoick quand il verrait son fils, c'est pour cela qu'elle tendit le petit paquet de fourrure à Stoick, qui le pris délicatement dans l'une de ses énormes mains. Pour la première fois il voyait son fils la chair de sa chair, il était si petit, si fragile il avait une petite touffe de cheveux aubruns sur sa tête, son corps était plus petit que celui d'un bébé normal vue sa venue au monde précoce. L'enfant dormait mais un détail troubla Stoick au bout d'une minute où il observa son fils :
« Au Valka il est magnifique... Mais qu'est ce que cette étrange symbole sur son bras gauche ? », demanda soudainement Stoick, en montrant du regard le bras du jeune garçon, où il y avait en effet un petit symbole étrange. Valka regarda l'étrange symbole noir finit par hausser les épaules avant de dire :
« Une tache de naissance certainement... Mais là n'est pas la question ton fils est ainsi un point c'est tout, mais il lui faut encore un nom, j'ai pensée à Harold Horendous Haddock le troisième. », disait-elle oubliant complètement le sujet de la curieuse tache de naissance qui ressemblait étrangement à un symbole mythique. Stoick cependant était un peu rebuté face au nom et le fit savoir à sa compagne :
« Harold ? Ça ne ressemble pas à un vrai nom que penses-tu plutôt de Bork ? Ou même Magnus ? Ça fait plus viking tu ne trouves pas Val ? », Cette fois c'est Valka qui campa sur ses positions faisant une moue en colère et des sourcils en pointes avant de posé ses mains sur ses hanches et de déclarer fermement :
« Non, Bork, ou Magnus ne sont pas des noms convenables pour un enfant, ils sont même horrible ! Harold par contre fut quelqu'un de grand, les deux autre Harold Haddock firent de grandes choses. Mon fils en fera certainement de même c'est pour cela que je veux qu'il soit nommé ainsi un point c'est tout Stoick ! », Stoick savait au ton autoritaire de Valka qu'il ne pourra it pas placé un seul mot contre la décision de sa femme, et donc au lieu de cela il soupira vaincu comme il déclara alors doucement pour apaiser sa femme :
« Bon d'accord calme toi Val... Il sera donc Harold Horendous Haddock troisième du nom, fils de Stoick la brute et de Valka Valharama héritier de Beurk. », termina-t-il amoureusement en regardant son fils avec sa femme, le petit humain s'agitait dans ses fourrure montrant son étrange tache de naissance sur son épaule gauche, avant qu'il n'ouvre en grand ses yeux vert remplie d'intelligence et de curiosité.
« Et voici le début de mon histoire, ou plutôt sa continuation... Mais cela je le saurait que bien plus tard, quand je ferait la connaissance d'un ami des plus particulier, tout en rompant bien des traditions, et après avoir rencontré un mentor des plus puissants... Le monde change, et j'ai changé avec lui... »
Bon voilà le Prologue de Chronicle of Rider, si vous voulez me laisser un avis sur cette histoire je vous en pris je serais ravis de le lire, et d'y répondre. Bon sur ceux je vous dis à Dimanche prochain !
