Du feu sous la glace
Bonjour à tous !
Alors me revoici avec une nouvelle histoire qui change de mon domaine de prédilection, puisque je ne connais pas du tout le sujet principal, ni la Russie d'ailleurs, veuillez m'excuser pour mes erreurs.
Je vous souhaite une bonne lecture du chapitre un, il n'y a pas de prologue.
Pour le moment je ne sais pas à quel rythme je posterai.
N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez
PS : bien sur les personnages appartiennent à Stephenie MEYER (rendons à César ce qui lui appartient)
Chapitre 1
J'allais retrouver un entraineur... J'avais hésité un long moment avant de partir, mais j'avais trop de mauvais souvenirs dans ma patinoire actuelle, il fallait que je change d'air. Je ne pouvais pas m'empêcher de voir à chaque fois que je fermais les yeux cette chute sur mon triple Lutz lancé. La nuit je cauchemardais, et là, malgré ma volonté je restais bloquée. Je ne pouvais pas. Mon ex-partenaire venait tous jours me dire à quel point il était désolé pourtant, il n'était pas responsable de ma mauvaise réception j'étais la seule à blâmer. A peine parvenue à lâcher la barrière, je me figeais. Je restais pétrifiée sur la glace qui était pourtant mon élément. Autant j'étais maladroite sur la terre ferme, autant sur mes patins j'étais libre et à l'aise. Mon peu de grâce se montrait lorsque j'étais sur mes patins. Avant cette chute j'enchainais, sauts, pirouettes, petits pas, twizzles et tout ça en coordination avec mon partenaire. Pauvre Mike, il ne pouvait plus m'aider à reprendre confiance dans mes patins. Il était désespéré de me voir tétanisée. Il le savait plus jamais, il ne patinerait avec moi, plus jamais je ne ferais de compétition que j'aimais tant. Plus jamais le public ne m'acclamera. Et tout ça à cause de ma peur panique de la glace et de la chute. Je patinais depuis mes cinq ans, et aujourd'hui je n'étais plus capable de rien. C'était ma mère qui m'avait inscrite à la patinoire de Phoenix, je ne sais pas comment elle avait eu cette idée dans une ville aussi chaude et qui pas réputée pour ce sport.
Petite je n'avais jamais voulu patiner avec des patins à double lames qui m'aurais permis d'avoir plus de stabilité mais aujourd'hui j'aurais souhaité qu'il en existe pour adulte. Alors que plus jeune je ne craignais pas tomber, aujourd'hui que j'avais vraiment été blessé je ne pouvais plus. La seule différence entre la Bella d'il y a dix ans et celle que j'étais aujourd'hui était la peur. A l'instant je me rendais compte des dangers de mon sport qui avait la seule échappatoire à l'adolescente timide et réservée que j'étais. C'était grâce à mes lames que je m'étais fait mes premiers amis. Chaque étape de vie était liée au patinage, mon premier petit-ami, mes premiers amant avaient tous été des patineurs. Par contre jamais avec mes partenaires à la plus grande déception de Mike.
Au bout d'une semaine d'essais infructueux, mon entraineur décida de m'envoyer en Russie, pays reconnu pour ses patineurs et ses entraineurs de talents. Les entraineurs étaient les plus reconnu, ils avaient été patineurs au temps de l'URSS ou le sport tout comme les avancées spatiales avait été un des enjeux de la guerre froide. Les patineurs était surentrainait. Leur vie était réservée à leur sport, un peu comme dans la Russie d'aujourd'hui, d'ailleurs.
Donc me voici aujourd'hui dans cet avion en partance pour St Petersburg. En arrivant à l'aéroport, j'ai d'abord était surprise par la chaleur étouffantes qui régnait dans la ville. Je languissais d'arriver à la patinoire ne serait-ce seulement pour trouver un peu de fraicheur. Je fus accueilli par un jeune homme brun qui tenais une pancarte avec mon nom, il portait une veste en cuir malgré la chaleur ainsi qu'un jeans qui le moulais magnifiquement bien. Il m'offrit comme seul salut un bref mouvement de tête. Si l'air était chaud, l'attitude de cet homme me glaça. Il ne dit rien alors je le suivis vers une moto. Il n'allait quand même pas me faire monter là dessus ? Autant je trouver que c'était sexy de monter la dessus, autant ce n'était pas mon truc, pas assez de stabilité.
«- Alors tu le prends ce casque ? commença à s'agacer mon inconnu.
-Euh… Tu veux que je monte là dessus ? demandais-je bêtement
-A ton avis bébé, à moins que tu ne veuilles marcher jusqu'à ton hôtel ? Je n'ai pas de temps à perdre, alors soit tu prends ce foutu casque et tu montes, soit tu te débrouilles », me rabroua-t-il impatient.
Je n'avais pas trop le choix alors je lui arrachais le casque qu'il me tendait en lui lançant un regard mauvais. Il monta sur sa bécane et se tourna vers moi, c'est à ce moment que je vis qu'il avait des yeux d'une couleur indéfinissable entre le marron et le vert à travers son casque. Son regard me pétrifia par sa froideur.
« -Accroche-toi à moi, je ne voudrais pas que tu tombes », déclara-t-il cyniquement.
Je ne l'écoutais pas et m'accrochais sur la poignée derrière moi. Dès qu'il démarra je regrettais ma décision mais ma fierté m'empêchais de revenir en arrière et je me cramponnais comme une désespérée. Pourquoi roulait-il aussi vite ? Il zigzaguait dangereusement entre les voitures, il les frôlait. J'étais tétanisée mais je ne voulais pas qu'il le voit, et lorsqu'il s'arrêta violemment devant un hôtel je soupirais de soulagement. Cependant ce n'étais pas la fin de notre épopée comme je l'avais espérer, c'était juste un feu pour mon plus grand désespoir. Puis il fit de nouveau un arrêt, détacha son casque souleva ma visière pour me regarder dans les yeux
«-Si tu continues à être si raide beauté, on va se planter ! Il faut que tu suives le mouvement, que ton corps soit en harmonie avec la moto… avec mon corps mais pour ça il faudrait que tu t'accroches à moi, ajouta-t-il avec un petit sourire en coin quand il me vit rougir.
-Pas la peine, je pense pouvoir essayer de suivre le mouvement sans ça en regardant la route, réussis-je à articuler, simulant une fausse colère qui ne le trompa pas.
-Tu es si rigide, je suis sur qu'après un petit détour par mon lit ce ne serait plus la même chose…» ajouta-t-il en repartant encore plus vite sans me laissait le temps de répliquer. Je ne voulais pas l'admettre mais j'aurais plus facilement suivit le mouvement si j'avais crocheté mes bras autour de son torse.
Puis tout à coup, dérapage de sa part, puis arrêt violent qui faillit me désarçonné de la moto.
« -Fin du voyage pour toi, une chambre est réservée à ton nom, m'informa-t-il.
-Je ne parle pas russe, déclarai-je pensant qu'ainsi il m'accompagnerait.
-Ma mission de babysitting est terminée. Je viendrais te chercher demain, à six heures pour t'amener à la patinoire, déblatéra-t-il en démarrant sur les chapeaux de roues. Je le regardais partir il avait une allure fière, je suis sur que son coté mystérieux attirait un nombre important de femmes.
Je rentrais alors dans l'hôtel en espérant que je n'aurais aucune difficulté pour demander ma chambre. En règle générale tout le monde parle anglais, non ? Je m'avançais alors confiante vers la réception :
« -Bonjour, madame, j'ai une chambre réservée au nom de Swan, commençais-je.
Ouf, soulagement, elle avait l'air de comprendre l'anglais, enfin je compris qu'elle avait seulement l'air quand elle me dit quelque chose que je ne compris pas. Je décidais alors d'écrire mon nom, idée lumineuse,… seulement, je n'avais pas pensé que les russes utilisaient un système d'écriture cyrillique.
J'allais alors m'installer dans un fauteuil présent à la réception. J'étais fatiguée, je ne voulais pas venir ici, j'y avais été obligée.
Je ne savais pas comment j'allais m'en sortir quand une voix qui me semblait connue intervint :
« -Je vois que tu n'as fait aucun effort Irina. On sait tout les deux que tu parles couramment l'anglais.
-Pourquoi, elle n'en fait pas elle d'effort ? C'est elle qui est dans notre pays. Ce n'est pas à moi à faire attention, contra-t-elle
-Irina, c'est l'invitée de la Patinoire, alors tu vas faire ce qu'on te dit… Montre-lui sa chambre », lui ordonna-t-il. Il avait une prestance et un charisme fou. Son visage était sévère mais beau. Il avait un nez droit, des cheveux noirs de geai bouclés, des pommettes légèrement roses. Il était grand et avait l'air assez musclé mais sans trop.
Et il partit sans même m'adresser un regard, pourquoi lui avait-il demandé de faire un effort alors que lui il n'en faisait pas un pour être agréable. Je ne le comprenais pas. D'ailleurs, il était tellement mal aimable avec moi, qu'il ne s'était même pas présenté. Je ne connaissais pas son prénom.
-Suivez-moi, me réveilla désagréablement Irina. Je ne dis rien, intimidée et la suivi en silence jusqu'à ce que serait ma chambre.
La pièce était petite mais chaleureuse contrairement au deux russes que j'avais rencontré au paravent. Je ne vidais même pas ma valise et m'affalée sur mon lit. Je n'avais même pas le courage de prendre une douche alors que j'avais passé plus d'une journée, dans l'avion.
Le lendemain matin je fus réveillais par quelqu'un qui tambourinait à ma porte. Je me rendis compte que j'avais oublié l'heure du rendez-vous, il était 6H10. Je levais rapidement me prenant les pieds dans la couette et m'affalant de tout mon long quand la porte s'ouvrit sur l'homme qui m'avait accompagné ici hier. Il paraissait furieux et je l'étais aussi. De quel droit se permettait-il de rentrer dans ma chambre sans y avoir été invité ?
Alors que j'essayais de me dépêtrait de ma couette, je lui criais de sortir.
« -Dépêche-toi, on est en retard ! Tu n'es même pas prête ! Je ne t'avais pas dit hier d'être prête à 6H00 ? Asséna-t-il
-Sort d'ici ! lui hurlais-je e me relevant lui révélant mes jambes qu'il n'hésita pas un instant à regarder avec insistance. Je remontais la couverture sur moi en lui demandant :
- Ça va? Pas trop gêné ?
-Pas le moins du monde, je ne pensais pas que tu cachais des choses aussi intéressante. Ma proposition de te faire gouter le sexe à la Russe tient toujours, m'indiqua-t-il un sourire aux lèvres.
- Non mais ça ne va pas ! Obsédé ! Vas t-en !
-Je te laisse dix minutes, si passé ce délais tu n'es pas en bas, je viens te chercher, que tu sois habillée ou non et je t'amène à la patinoire !
-Va-t-en, j'arrive !
-Dix minutes Isabella, me menaça-t-il avant de partir claquant la porte derrière lui.
Pour qui se prenait-il ? De toute manière je ne vois en quoi ça le concernait que je sois en retard, c'était plutôt à l'entraineur que je devais des excuses. Quoique j'étais un peu de mauvaise fois, c'était lui qui m'attendais pour m'amener. Mais je n'aimais pas être en tord. Je n'admettais que rarement que je n'avais pas raison.
Après une douche express j'étais prête. Je le rejoignis à la réception et croisais ses yeux ambres. Il me fixait, enfin je le croyais et je ne pus empêcher mes joues de rosir. Seulement cet effet fut de courte durée quand il passa à coté de moi sans un regard pour aller à une blonde pulpeuse derrière moi. Elle avait ce qu'il fallait ou il le fallait. Je crevais de jalousie, je voulais que lui l'homme de glace ait un regard aussi brulant en me contemplant. Je devenais complément folle comment est ce que je pouvais vouloir qu'il me vénère du regard, alors qu'il était si désagréable. Je décidais de casser son plan drague.
Félinement, je décidais de m'approcher de lui. Je le regardais si sur de lui, de pouvoir tout obtenir de cette fille mais il ne m'avait pas pris en compte dans les évènements pouvant tout foutre en l'air. Et je n'allais pas me gêner pour lui rappeler sa présence. J'étais désormais à quelques centimètres de son dos. Il n'eut pas le temps de se retourner que je me lovais dans son dos, entourant sa taille de manière possessive et posant ma tête sur son épaule en lui murmurant :
« -Les dix minutes sont passées, je t'attends, tu es en retard. » J'avais du culot et j'aimais ça.
« -Isabella va t'occuper de tes affaires va à la moto je te rejoins, tu as laissé passé ta chance mais peut-être pourras-tu gouter une prochaine fois à mes talents, argua-t-il en me repoussant violemment. Ses yeux me déconseiller de riposter.
Je l'attendis donc devant sa moto durant quelques minutes avant de le voir sortir avec la blondasse accrochée au bras. Il s'approcha me tendant un morceau de papier que je pris sans hésiter. Puis il m'expliqua :
« -Tiens Isabella le plan pour rejoindre la patinoire, ce sera ton échauffement. Tous les matins tu me rejoindras en footing, pendant les premiers pour te permettre de te repérer tu pourras effectuer le parcours à pieds. Attention si tu ne le fais pas je le saurais. »
Je restais là à le regarder partir sans intervenir, sans rien dire, la bouche ouverte comme un poisson hors de l'eau. Pour qui il se prenait, il pensait peut-être que j'allais l'écouter ? Le seul qui aurait le droit de me donner des directives serait mon entraineur.
Il le prenait comme ça très bien, je commençais à regarder le plan totalement désespérée, je ne savais même pas ou j'étais. Je rentrais à l'hôtel pour essayer de téléphoner à un taxi mais la réceptionniste qui connaissait mon chauffeur refusa de le faire. Il voulait ma peau mais ne l'aurait pas. Je gagnerai ! je l'avais décidé.
Dans la rue, je décidais de demander l'aide des passants, je n'eu pas de succès tout de suite car les personnes que j'interrogeais ne me comprenais pas. J'allais perdre espoir quand soudain un homme s'approcha. Il était anglais et m'aida à trouver enfin ma route. Il se décida même à m'amener en voiture à la patinoire.
Arrivée dans l'établissement je me rendis compte que je ne savais pas qui demander. Je sentais que j'allais encore me heurter à la barrière de la langue quand j'aperçu le lâche qui m'avait abandonné sur le bord de la route. J'aillais me précipiter vers lui lorsque le vigile à la porte m'en empêcha. Et voilà qu'il commençait à baragouiner comme les autres et je ne comprenais pas un traitre mot de ce qu'il me disait. Encore je me retrouvais bloquée sous le regard moqueur de mon guide et sous celui insistant du vigile. Comme à son habitude le brun qui me narguait vint à mon secours… En deux de sa part, je pus passer et comme une gamine tirais la langue à celui qui avait refusé de me laisser passer, enfin quand je fus dans son dos. Courageuse mais pas folle la guêpe. Pour la première fois, je vis un sourire sur le visage de Je-suis-sans-prénom. Peut-être fallait-il que je me renseigne.
«-Euh, je viens de me rendre compte que je ne connais même pas ton nom…
-Tu le connaîtras bien assez tôt crois et je pense qu'après que ne verras plus de la même manière, va dans la salle d'échauffement » Et il partit comme ça me laissant comme un poisson hors de l'eau devant les vestiaires comme il le faisait si souvent depuis la veille. Rhhhaaaa ce qu'il pouvait m'énerver !
Rapidement je déposais mon manteau mon sac et prenais mes patins à la main. Je me demandais comment j'allais faire pour trouver la salle d'échauffement, j'émis un soupir de soulagement quand je vis que le panneau l'indiquant était retranscrit en anglais. Je suivis les pancartes. Arrivée sur place, mon regard se déposa sur mon accompagnateur toujours sans nom en train de faire des pompes. Un homme un peu bedonnant que je reconnaissais comme l'entraineur que je devais avoir pendant mon en Russie entra dans la salle. Dans un anglais de moins bonne qualité que Sans-Nom me souhaita la bienvenue dans l'enceinte de sa patinoire :
« -Bonjour Isabella, je suis Marcus, je suis content de te rencontrer, j'ai plusieurs fois eu l'occasion de te voir patiner, et je suis heureux de recevoir quelqu'un d'aussi doué que toi, me dit-il avec un accent à couper au couteau. J'entendis un soupir exaspéré venant de Sans-Nom
-Merci Marcus de m'accueillir dans votre patinoire, je suis heureuse de pouvoir patiner dans la nation du patinage depuis si longtemps. Cependant j'espère pouvoir un jour mériter l'honneur que vous me faites en remontant sur la glace et apprendre à faire de nouvelle chose grâce à vous.
-Il n'y a pas de raison que tu n'y arrives pas si tu y crois vraiment. Mais je t'en pris tutoie-moi. La patinoire est comme un grande famille, il n'y a pas de monsieur ou de madame, m'apprit mon nouvel entraineur.
-Comment vont se passer les séances ? demandais-je
-En fait ce n'est pas moi qui vais te donner tes séances, parce que malheureusement j'ai de gros problème de santé qui m'oblige à me retirer des bords de la patinoire. Mais j'ai un remplaçant plus que qualifié pour te permettre de retrouver la confiance en toi, il l'a déjà fait.
-Qui est-ce ?
-Alec appela-t-il comme si la personne était dans la salle mais personne n'y était à part Sans-Nom… Noooooooon, ce n'est pas possible ? Sans-Nom et Alec ne pouvait pas être la même personne si ?
Mais si, c'était lui, il avait arrêté ses pompes et venait vers nous. Pourquoi ne me l'avait-il pas dis plus tôt ? Non, non, non. Mon entrainement allait devenir un enfer…
-Est-ce que j'ai droit à un joker ? demandais-je d'une petite voix.
-Pardon demanda l'entraineur étonné ?
-Est-ce que c'est possible d'avoir quelqu'un d'autre ? Au moment même où je posais la question, je vis dans les yeux d'Alec qu'il était blessé. Cela ne dura pas longtemps, je m'en voulais d'avoir été aussi sèche. En même temps, il n'avait rien fait pour être sympathique alors je ne vois pas pourquoi je le serais !
-Non Alec est le meilleur, avant que sa partenaire ne tombe, ils ont été sacré champion de Russie et comme tu le sais c'est un des championnats les plus durs au monde. Aujourd'hui malgré ses 25 ans, il ne patine plus, il n'a pas retrouvé de nouvelle partenaire avec qui il est en Osmose comme il l'était avec Tanya.
-Ecoute l'Américaine, c'est soit ça soit tu retournes chez toi par le premier avion, me refroidit Alec.
-C'est la manière crue de dire les choses Isabella, je suis désolé mais Alec a raison, me raisonna Marcus.
-Alors j'attends ta réponse Isabella, me pressa Alec autoritaire.
Je ne pouvais pas refuser, mais en même temps est-ce que le courant passerait avec Alec ? J'allais quand même passer six mois avec lui. Et vu le début de notre relation ça n'allait pas être simple.
-Non, non, je ne peux pas, depuis que je suis là et pourtant c'est que depuis hier, tu es trop changeant et tu ne me supportes pas je le sens, je ne pourrais pas ! dis-je en retournant pour courir vers le vestiaire.
Isabella cria l'entraineur, reviens on va voir ça ensemble !
Voilà pour ce premier chapitre, dîtes-moi tout :)
A bientôt,
Fee'Lil
