Bonsoir everybody! Alors, voici le premier chapitre du tome numéro 2/5 des Black Ops. Si vous n'avez pas lu le premier tome, Black Ops: Assassins, je vous conseille vivement d'aller ce faire, parce que sinon vous ne comprendrez pas certains éléments de cette suite.

Sans plus attendre, voici le chapitre: on se retrouve en bas.

Bises!

DIL.

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BLACK OPS TOME II/V:

MISSION CORRUPTION

Chapitre 1.

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L'air était empli de fumée, provenant de cigares de luxe. Le son des rires et d'une musique en sourdine venait ajouter au spectacle d'hommes et de femmes vêtus splendidement, de smokings et de robes grand couturier, de rivières de diamants et de perles aux oreilles.

Ce soir, le casino Esperanza était comblé. Le célébrissime millionnaire Enrico Perlutti fêtait son soixantième anniversaire, et avait loué les locaux à son usage exclusif le temps d'une soirée, alors que le monde des puissants et des grands s'agglutinait dans le casino, n'oubliant pas au passage d'exhiber un sourire satisfait et étincelant aux caméras avides de la presse à scandale qui se disputait les meilleures places devant les grilles du casino, leurs flashs crépitant dans la nuit étoilée. Des domestiques discrets garaient les véhicules de sport rutilants, tandis que d'autres, à l'intérieur, circulaient avec des plateaux de Champagne Dom Pérignon et des plats dorés chargés de petits fours et d'autres délicieux en-cas, saumon, caviar, homard, brochettes de fruits exotiques et d'autres mets dont le fumet délicat s'élevait jusqu'au nez des convives, faisant regretter aux jeunes mannequins leurs régimes draconiens.

La star du jour, Don Perlutti, était confortablement installé dans un fauteuil rebrodé de velours sur velours, une jambe élégamment croisée par-dessus l'autre, sirotant son Whisky On The Rocks, prêtant une oreille attentionnée à quelque chose que lui disait l'un de ses associés, tandis que son esprit voguait loin des bavardages de cet imbécile. Il vit son épouse, Donna Perlutti, discutant avec des convives non loin, et se tourna afin de héler un serveur pour un nouveau verre.

Ce fut alors qu'il vit la plus charmante créature sur laquelle il eut jamais l'honneur de poser les yeux. Elle se tenait légèrement en retrait des autres invités, à l'ombre d'un pilier grec, et tenait un verre de Champagne entre des doigts longs et fins, scannant la salle du regard d'un air profondément ennuyé. Son corps, mince et tonifié, avait néanmoins de fort agréables courbes précisément à l'endroit qu'il fallait qu'elles soient, et étaient parfaitement mises en valeur par une longue robe rouge sang fendue jusqu'aux hanches des deux côtés, laissant deviner une jambe d'une blancheur de porcelaine à la galbe inimitable. Le visage de la jeune beauté, qui ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans, était clair, harmonieux, taillé sur mesure pour les amants de luxe. Ses grands yeux sombres n'avaient pourtant rien d'yeux de biche : ils étaient froids, calculateurs et concentrés, ourlés de noir. Ses lèvres étaient ornées de rouge vif. Sa chevelure, quand à elle, n'était pas remontée en une coiffure complexe comme la plupart des femmes de la soirée : elle se contentait de les laisser libre, chutant en boucles rebelles sur ses épaules, leur couleur un brun charmeur. Elle avait tout de la femme fatale, et Don Perlutti était plus que prêt à s'y frotter. Elle était infiniment plus belle et plus exotique que les jeunes femmes de la soirée : entre les mannequins trop maigres à son goût et les amies de sa fille, autant dire que le choix était limité s'il voulait rester sous la tranche d'âge des trente ans. Inconsciemment, le séducteur se pourlécha les babines d'avance devant cette gamine un peu trop sexy dont il n'allait faire qu'une bouchée, et jeta un rapide coup d'œil en arrière. Sa femme était toujours occupée, tant mieux.

Don Perlutti se retourna ensuite vers son vieil associé qui, comble de la stupidité, continuait à débiter des âneries d'une voix monocorde, et annonça d'une voix rauque :

-Cela suffit, Don Barillo, n'est-ce pas ? Il n'y a que vous qui êtes prêt à parler affaires le jour même de mon anniversaire, mon cher ami ! Laissez donc là votre discours interminable et allez profiter de la fête. La nuit est encore jeune !

Sans attendre de réponse, Don Enrico Perlutti se leva, posant son verre vide sur un buffet à proximité, et fit le tour de la salle de casino, afin de pouvoir approcher dans le dos de sa belle. Celle-ci semblait aussi belle de derrière que de devant, son dos nu laissant deviner le renflement somptueux de son postérieur, et alors qu'il allait ouvrir la bouche, la jeune femme lança, sans bouger et d'une voix quelque peu ennuyée :

-Vous savez, je ne suis pas certaine que la meilleure manière d'approcher une demoiselle soit de tenter de l'effrayer en l'approchant par derrière. Il est vrai que d'autres jeunes sottes se laisseraient impressionner.

Elle le regarda alors par-dessus son épaule, encore plus belle de près que de loin si possible, avec son agressive élégance si britannique et exotique à la fois. Il haussa un sourcil surpris. Les yeux de la jeune femme brillaient de convoitise. Il connaissait bien ce regard : toutes les croqueuses de diamants portaient le même. Cette demoiselle était donc de ces femmes-là. Cela ne saurait l'étonner, au final : avec les années et une fortune qui s'amassait rapidement et sûrement, Perlutti avait fini par s'habituer à ces putains de haut vol, et même à en tirer son parti.

-Effectivement, s'amusa-t-il. Vous avez, me semble-t-il, un sixième sens pour ce genre de choses ?

-J'ai un sixième sens pour énormément de choses, répliqua-t-elle en se tournant complètement vers lui.

Elle haussa un sourcil aguicheur.

-J'ai hâte de mieux vous connaître, Mademoiselle, afin de juger de l'étendue de votre pouvoir.

-Vous n'en avez pas idée, répliqua-t-elle avec un rictus moqueur. Puis-je savoir votre identité, Monsieur... ?

-Vous ne le savez donc pas ? Voilà qui est...étonnant. Je suis Don Enrico Perlutti, et votre hôte pour cette soirée. Comment se fait-il que vous vous rendiez à une soirée dont vous ne connaissez pas les hôtes ?

-Oh, je suis venue avec un charmant jeune homme, grimaça-t-elle. Un garçon qui me semblait adorable, jusqu'à ce qu'il me fausse compagnie il y a vingt minutes. Je ne le vois pas revenir...j'imagine qu'il s'est lassé de ma compagnie.

-Très impropre de sa part, Mademoiselle...puis-je dans ce cas avoir l'honneur de vous accompagner pour une danse ?

Elle le toisa, neutre, puis posa sa coupe et accepta la main tendue. Ils valsèrent un moment, puis Perlutti murmura à son oreille,

-Mademoiselle, votre nom ?

-Appelez-moi...Louve Blanche.

-Louve Blanche ? Que c'est particulier.

-C'est mon nom dans le milieu. Si vous voyez ce que je veux dire.

Elle lui offrit un rictus moqueur, les yeux s'illuminant, et il hocha la tête avec un sourire plaisant.

-Quel dommage qu'une jeune femme aussi charmante se prostitue. Je n'ai jamais entendu parler d'une Louve Blanche dans les agences que je contacte pourtant.

-Je n'ai pas de meute, murmura-t-elle avec une pointe d'ironie. Je fais cavalier seul. En tout cas, me voilà débusquée par le chasseur.

-Dans ce cas, ne serait-ce pas la suite logique des choses que le chasseur profite de sa proie ?

-C'est vous qui décidez de votre sort, le prévint-elle doucement.

Il hocha la tête, lança un regard à sa femme qui discutait avec un sénateur américain, et tira Louve Blanche vers les étages supérieurs. Ils commencèrent par s'embrasser dans l'ascenseur, puis dans le couloir, puis dans la chambre alors qu'il tentait de la dévêtir.

-Attends, souffla-t-elle en lui envoyant un regard enflammé entre ses cils. Allonge-toi sur le lit.

Il lui décocha un sourire, puis obéit, la laissant prendre les devants. Avant qu'il ait pu réagir de quelque façon que ce soit, cependant, il était menotté contre le montant du lit.

-Quoi...

-C'est moi qui vais poser les questions, d'accord ?

Envolée, la fille chaude et amusante de la soirée. À sa place était une femme froide, collectée, belle certes, mais cette lueur calculatrice était à nouveau dans son regard.

-Perlutti, Perlutti, Perlutti, gronda-t-elle gentiment en prenant place à ses côtés avant de dégainer tranquillement un 9mm d'un holster attaché à sa jarretière.

Elle lui colla le flingue contre la tempe.

-Je te conseille de te taire. Cette petite merveille a fait sauter des cervelles plus grosses que la tienne. Maintenant, si tu veux rester en vie, tu vas gentiment me répondre, sinon...tu comprends ?

Il hocha la tête, une grosse goutte de sueur dévalant sa tempe.

-Bien ! Alors, Perlutti. Est-ce toi qui as vendu à Alfredo Volupti une cargaison d'une centaine de fusils mitrailleurs iraniens le mois dernier ?

Perlutti hésita. Tranquillement, elle décrocha le chien. Il gémit, et s'empressa de répondre :

-Ou...oui...

-Est-ce que tu fournis également le réseau mafieux italien connu sous le nom de Rosa Nera depuis deux ans ?

-Oui...

-Je vois. Est-ce également toi qui as abattu l'individu connu sous le nom de Bulldog à Los Angeles, au nom de Volupti, en décembre dernier ?

-Oui ! Mais je...

-J'ai terminé mes questions, chéri, annonça-t-elle avec un sourire angélique. Une dernière prière ?

-Qu...quoi ? N...non !

-Non ? Oh, et bien...au revoir, Don Perlutti.

Le coup de feu détona comme la foudre dans l'immense et luxueuse suite de Perlutti, et le corps de la victime retomba mollement contre le matelas.

Hermione Granger le regarda, puis regarda sa robe neuve et faillit piquer une crise de nerfs en voyant les gouttes de sang, de la même couleur que la robe, qui l'avaient éclaboussée. Dommage, elle aurait bien aimé garder cette tenue. Poussant un soupir dramatique, elle se leva, et ôta la robe d'un geste fluide avant de s'avancer jusqu'à la cheminée éteinte. Elle produisit sa baguette, estimant que l'allumer à la moldue lui prendrait trop de temps, malgré la caméra de vidéosurveillance qui filmait ses moindres gestes dans un coin de la pièce. Elle jeta la robe aux flammes, regardant le tissu brûler, puis se tourna vers le lit.

Elle fouilla sous le lit un moment, cherchant l'objet qu'elle y avait placé à l'avance : son sac à dos d'agent. Elle en retira une combinaison au raz du corps, des bottes légères imperméables parfaites pour courir, et une corde de dix mètres munie d'un crochet. Elle entendit des bruits de pas résonner dans le couloir alors que des cris furent échangés. Hermione leva la tête vers la caméra et leur offrit un petit rictus et un salut de la main. Un peu tard pour se mettre en mouvement afin de sauver leur patron, n'est-ce pas ? Elle ricana, désabusée, alors qu'un grand coup résonna contre la porte. Roulant des yeux, Hermione ouvrit la porte-fenêtre donnant sur le grand balcon, alors que derrière elle, la porte principale montrait des signes de faiblesse face aux coups répétés des gardes du corps de Perlutti.

Hermione accrocha le crochet à un pilier de la rambarde du balcon, et jeta la corde par-dessus. Au moment précis où elle s'asseyait sur ladite rambarde et saisissait la corde, la porte céda, et une vague de gardes furieux déferla dans la suite. Un des hommes alla jusqu'à leur patron, contemplant le spectacle de son cadavre, un trou béant pile au milieu du front, alors que les autres se précipitaient vers elle. Elle éclata de rire, leur envoya un baiser railleur du bout des doigts, et sauta dans le vide, ses gants de cuir brûlant la corde alors qu'elle descendait à toute vitesse.

Dès que ses pieds touchèrent le sol, elle s'élança à toute vitesse à travers les luxuriants jardins du casino, alors que plusieurs coups de feu crépitèrent derrière elle, pas une balle ne l'approchant. Prenant un élan formidable, elle fonça sur le mur de la propriété, utilisa un pied comme levier contre les briques et se hissa en un saut puissant, ses doigts agrippant de justesse le rebord du mur. Déjà, des gardes couraient vers elle dans le parc, arme au poing. Hermione se glissa en haut du mur et sauta de l'autre côté sans perdre une seconde, ravie par l'excitation de la chasse à l'homme : ou en l'occurrence, de la chasse à la femme, dont elle était l'instigatrice.

Elle se retrouva dans une petite ruelle entre le casino et le manoir d'un richissime propriétaire londonien dans le quartier chic près de la National Gallery où elle se trouvait. Souriant, Hermione marcha à grands pas vers une Bentley Continental GTC, un superbe cabriolet de luxe, noir et discret. Elle ouvrit la portière à la volée, le véhicule étant déjà déverrouillé, et s'installa au volant. Elle inséra les clés au contact, et démarra dans un ronronnement de félin. En quelques secondes à peine, elle se glissait dans la nuit, laissant le casino en effervescence derrière elle.

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Hermione, vêtue d'une tenue d'avocat ministériel, sortit de l'ascenseur seule. Peu de personnes venaient à cet étage après tout, et elle redoutait d'y croiser à présent un certain blond devenu son cauchemar lors d'une mission qui avait failli mal tourner, plusieurs mois plus tôt...cependant, Saphira de Lista, la patronne des agents Black Ops du Ministère de la Magie, et Harry Potter, son meilleur ami et chef des Aurors, avaient bien compris l'intérêt qu'il y avait à ne plus envoyer Louve Blanche et Chevalier Noir, leurs deux meilleurs agents, en mission côte à côte. Les résultats avaient failli être désastreux.

Faute d'habitude, Hermione semblait fraîche et reposée, comme si elle n'avait pas passé la nuit dans un casino à abattre un marchand d'armes mafioso. Tenant un faux dossier sous son bras pour la montre, elle approcha du bureau de la ravissante, et stupide, secrétaire de Saphira. Enfin, stupide, c'était seulement l'avis de Hermione : en réalité la jeune femme devait avoir de l'intellect si elle était appelée à gérer les affaires internes des Black Ops. Posant une main sur le comptoir, elle attendit que Mandy Brocklehurst se retourne et la voie, ce que la charmante jeune rousse fit un moment plus tard, ses yeux se plissant de dégoût devant Hermione. Hermione se contenta de lui décocher une œillade agacée et dit :

-Je viens voir Peter.

-Je vais voir si Peter est disponible, cracha Mandy en disparaissant par la porte derrière son bureau.

Elle revint un moment plus tard et fit signe à Hermione d'entrer. La fausse avocate parcourut un étroit couloir avant de se retrouver dans le grand bureau de sa patronne.

Saphira était une femme magnifique malgré ses quarante ans passés. Pas une ride n'enlaidissait son beau visage. Hermione la soupçonnait de posséder des gènes Vélane.

-Agent Louve Blanche, roucoula Saphira en se levant, de bonne humeur.

Hermione prit place et refusa poliment l'offre de thé, puis déclara :

-Perlutti est mort, après m'avoir avoué qu'il avait bien fourni son cousin en armes.

-Parfait, ma chère ! Mission accomplie dans ce cas...

Saphira souleva un épais dossier et l'orna d'un ruban rouge qu'elle produisit d'un coup de baguette, avant de déclarer en couvant sa protégée d'un regard bienveillant.

-Voilà un excellent travail, comme d'ordinaire, Louve Blanche. À présent, une autre mission t'attend, si tu l'acceptes. De toute manière elle est reliée de près à l'affaire que tu viens de suivre. Nous avons pour but de faire tomber ce fameux Volupti et son réseau. Mais avant, nous avons besoin d'informations...et de preuves contre lui. Volupti est extrêmement intelligent et prudent de surcroît. L'idéal serait que tu puisses, en somme, rentrer dans le secret des dieux. Tu vas rentrer chez lui sous couverture d'être une traductrice. Il en a besoin pour son trafic international...le contrat est déjà signé, il ne te reste plus qu'à te présenter chez lui, à Venise. Rends-toi indispensable à son service...en outre, Volupti aime que ses sbires soient multitâches, pour ainsi dire. Tu ne serviras pas seulement de traductrice mais aussi de garde du corps. Il y a beaucoup de monde qui souhaite la mort de ce baron de l'armement, mais il ne faut pas qu'il meure avant de nous avoir livré ses petits secrets, n'est-ce pas ?

-Vous voulez que je devienne sa maîtresse, pour me rapprocher de lui, devina Hermione.

-Ce n'est pas obligatoire, mais c'est effectivement préférable, confirma Saphira. Une maîtresse a accès à des endroits où de simples amies n'ont pas droit d'aller. Chambre, maison...de toute manière c'est un homme très beau et cultivé. Il te plaira. La tâche ne sera pas trop difficile. Oh...un dernier détail. Il est moldu, ainsi que son réseau.

Hermione frissonna, à la fois effrayée et excitée.

-Pas de magie ?

-Pas de magie. Sauf en cas d'urgence, mais tu connais la procédure. Alors, agent Louve Blanche ? Accepte-tu de te plonger dans la vie de vice ?

-J'accepte, sourit Hermione.

-Parfait, s'exclama Saphira ravie. Voilà qui est réglé. Tu partiras pour Venise ce soir.

Hermione hocha la tête et quitta le bureau, son cerveau tournant à mille à l'heure.

Une heure plus tard, un jeune homme rentrait dans le bureau de sa patronne après avoir fait jouer son sourire célèbre sur la secrétaire enamouré. Saphira de Lista leva les yeux sur le très beau, très sexy, et très compétent, Drago Malefoy, qui s'assit face à elle, ses yeux gris orage la caressant.

-Bonjour, Saphira.

-Agent Chevalier Noir, susurra-t-elle. Alors ?

-Mission accomplie. J'ai effectivement abattu Harris et Hellen Farmestone.

Saphira sourit, enjouée, alors qu'elle marquait d'un ruban rouge le dossier des deux braqueurs de banque irlandais.

-Parfait, s'enthousiasma-t-elle. Mon cher, j'ai ta prochaine mission toute prête. Il s'agit de peu de choses, une formalité en somme. Le seul problème est qu'elle doit se faire sans magie, puisque la victime est moldue...

-Ce n'est pas un problème, et vous le savez très bien, dit d'une voix moqueuse Drago.

-Je le sais, chou, je le sais. Sans magie, donc...il s'agit d'un chef de réseau mafieux. Le patron de la Rosa Nera. Te sens-tu à la hauteur ?

-Bien sûr que oui, Saphira.

-Bien ! Alors, agent Chevalier Noir, tu devras abattre, dès que possible, Alfredo Volupti. Pas de bavures, une mort claire, nette et précise. Vu ?

-Vu.

-Parfait ! Tu partiras pour Venise dès demain matin.

Drago hocha la tête et quitta le bureau, alors que Saphira ouvrit le dossier de Volupti sous ses yeux. La photo de Louve Blanche, marquée d'un « Mission : Protection », et celle de Chevalier Noir, marquée d'un « Mission : Abattage », ornaient désormais le dossier. Saphira sourit froidement.

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Fuck yeah! Alors? On démarre en beauté, hein! Que pensez-vous de ma Hermione séductrice? Bon, Drago on en parlera évidemment plus dans le prochain chapitre. Bref, et Saphira? Louche, n'est-ce pas? Que croyez-vous qu'il va se passer maintenant que Hermione doit à tout prix protéger Volupti et que Drago doit à tout prix tuer ce même Volupti? Hé, hé. Moi je sais. MOUAHAHAHAHAHAHA!

J'essaierai naturellement de publier la suite aussi rapidement que possible mais ne vous attendez pas à des miracles mes enfants: j'ai pleeeeiiiin d'autres fics en cours qu'il faut honorer aussi, et comment je fais si je passe mon temps à rédiger pour Black Ops, hm? Vous pouvez me dire? VOUS POUVEZ, HEIN?

Bon, DIL, je crois que tu es fatiguée. Tu ferais donc mieux d'aller te coucher, n'est-ce pas? Voilà. Gentille fille. Toi pas mordre et toi prendre tes jolis petits cachets.

Bref...

Review, et à bientôt!