Remarque: Je ne possède pas Teen Wolf, Jeff Davis si, l'interprétation de Stiles et Derek appartiennent à Dylan O'Brien et Tyler Hoechlin. Je ne possède pas cette histoire, je l'adapte juste en français. Pour voir l'original - Five Times Detective Stilinski and Fire Captain Hale had Sex in Public, and One Time they did it in a Bed par bleepobleep (AO3).
Cinq fois où le Détective Stilinski et le Capitaine Hale des Pompiers ont eu des Rapports Sexuels en Public, et Une fois où ils l'ont fait dans un Lit.
Chapitre 1 : Cinq.
« Détective Stilinski ! »
Il y eu un fort claquement de talon haut derrière lui et Stiles se retourna sur sa chaise, Il avait différents post-it collés sur son visage avec des pénis dessinés dessus, mais il donna au Capitaine Reyes son meilleur visage de « flic grave ».
« Oui, Capitaine ? » Demanda Stiles innocemment. Scott ricanait tranquillement derrière lui, camouflant un bloc de post-it dans son tiroir.
Le Capitaine Erica Reyes plissa les yeux. « Est-ce que je veux savoir pourquoi il y des organes génitaux masculins dessinés sur votre visage ? »
« … Parce que je suis en manque de vrai sexe ? » Ironisa Stiles.
« Conduite professionnelle. » siffla-t-elle en secouant la tête. Stiles pouvait voir le profil du Maire à travers la fenêtre et il redressa la tête, arrachant les post-it de son visage tandis que le Maire Lydia Martin entrai dans la pièce, un visage soucieux familier derrière elle.
« Oh, merde. » marmonna Stiles à lui-même. Le Capitaine des Pompiers Derek Hale de la Caserne 14, le fléau même de l'existence de Stiles. Quoi qu'il se passe, ce n'était certainement pas bon.
Erica le fusilla du regard et se précipita pour saluer le Maire, pleine de sourire et de professionnalisme.
« Maire Martin, » dit-elle, « sentez-vous libre d'utiliser mon bureau. »
« Merci, Capitaine Reyes. » dit brusquement Lydia. « Détective Stilinski ? »
Stiles jeta un dernier regard triste à Scott, qui, au lieu de lui faire un visage sympathique en retour, fit un mouvement étrange de menton vers son visage.
Stiles entra dans le bureau et la porte se referma derrière eux pendant que le Maire Lydia Martin prenait place derrière le bureau. Elle leur lança un regard furieux, et à contrecœur Stiles prit une des chaises d'Erica réservées aux visiteurs.
Il essayai de ne pas penser à la façon dont Derek Hale prit l'autre chaise à ses côtés, exultant son aura habituelle de mauvaise humeur et injustement attrayant. Bien sûr, Stiles fut contrarié quand Derek se tourna vers lui, le fusilla du regard et arracha un post-it de son visage avant de le lui fourrer dans les mains.
Stiles remarqua que Lydia (il ne pouvait jamais vraiment tout à fait l'appeler « Maire » dans sa tête) posa ses yeux sur la note dans ses mains, celle qui, bien sûr, disposait d'un pénis spectaculaire, trahissant l'aimable œuvre de Scott et l'ennui de Stiles.
« Détective Stilinski. » dit sévèrement le Maire Martin.
« Oui ? » demanda Stiles avec un sourire forcé, froissant la note avant de la glisser dans sa poche.
« Savez-vous pourquoi vous êtes ici aujourd'hui ? » demanda-t-elle.
Stiles darda un regard rapide sur Derek, mais l'homme resta silencieux.
« Parce que je suis le meilleur flic de la ville et que vous allez me remettre un prix ? » lança Stiles avec un sourire.
Lydia jeta un épais dossier sur le bureau. « Ce sont les plaintes déposées par la ville que j'ai reçue sur votre comportement, Détective Stilinski. »
« Pas moyen », marmonna Stiles, « je suis un atout précieux pour le département de la police ! »
Derek renifla bruyamment et Stiles lui jeta un regard, tandis que Lydia continuait, « Ainsi que sur votre comportement, Capitaine Hale. J'ai aussi des rapports d'incidents où vous êtes tous deux étiquetés comme étant la cause de la perturbation. » Elle les fixa avec un regard sombre. « J'ai déjà parlée à vos supérieurs. Vous êtes suspendus de vos fonctions, immédiatement. »
Derek sembla juste saisir étroitement les accoudoirs de son fauteuil et Stiles fit des gestes sauvages vers Lydia. « Quoi ? »
Le Maire leva un sourcil, feuilletant la pile de papier dans le dossier. « Voyons, j'ai : dommages à la propriété, nuisances sonores, rapports de combats entre les agents du commissariat 87 et les pompiers de la caserne 14, indécence publique, exhibitionnisme et d'autre encore. Ce comportement est inacceptable pour deux hommes exerçant dans la fonction publique. » Lydia Martin se pencha en arrière dans son fauteuil, tapotant ses ongles impeccables contre le bureau. « J'ai déjà recommandée au commissaire de police et au chef des pompiers que vous entriez dans une thérapie de couple avec un thérapeute agrée avant que vous ne soyez approuvés à reprendre du service. »
« Avez-vous dit- » commença Stiles.
« Quoi ? » grogna Derek.
« On est pas un couple ! » rétorquèrent tous deux à l'unissons. Stiles attrapa le regard de Derek un moment, puis détourna les yeux au loin, fixant son regard sur le Maire avant que son corps ne se mette à rougir, ou quelque chose de pire.
Lydia tordit sa lèvre bizarrement. « Écoutez, je sais que vous étiez censés garder votre relation secrète, » la mâchoire de Styles tomba d'horreur, « en raison de la rivalité entre les policiers et les pompiers, mais vous faites un travail terrible. Tout le monde le sait, sans mentionner que les retombées très public de vos désaccords ont eu un effet négatif sur la ville. » Elle puisa un feuille du dossier.
« Nous ne sommes pas ensemble. » insista Stiles.
Lydia toussa ostensiblement. « Rapport d'incident déposée par le Capitaine du commissariat 87 Erica Reyes. Vingt-cinq mars, vingt deux heurs, retourne au commissariat pour prendre mon manteau, entend Stilinski bousculer par son nouveau petit ami dans la cellule de détention. Veillerai à ce qu'il fasse du nettoyage supplémentaire dans la matinée. »
Stiles bredouilla. « Ce n'était pas- ce n'était pas vraiment ça ! »
Cinq
« Les civils ne sont pas autorisés à venir ici. »
Stiles sourit largement, tirant le badge suspendu à son cou. « C'est une bonne chose que nous ne soyons pas des civils. » dit-il vivement, en tirant le ruban jaune pour Scott, qui hésita avant de suivre Stiles dans le bâtiment calciné.
Le pompier frisé roula des yeux en murmurant, « Le Capitaine ne va pas aimer ça. » avant de s'éloigner.
Il y avait des reste de fumée qui dérive dans l'air, et Stiles donna un coup de pied dans quelque chose de carbonisé sur la route avant de jeter un regard victorieux à Scott.
« T'es sûr qu'on devrait être là ? » demanda Scott tandis que Stiles commença à fouiner dans la pièce.
« Bien sûr, Scott ! » Stiles lui donna une tape dans le dos. « Notre victime assassinée, Brian Snows à été retrouvé dans notre secteur, c'est donc notre corps, de notre enquête. Ce qui nous amène ici, puisque nous savons que la victime n'a pas été tuée là où nous l'avons trouvée, et que le dernier sms reçu indiquait cette adresse, là où nous somme. Scène de crime potentiel. Pleine d'indices. Scène potentielle de meurtre. »
« Et ce n'est pas dans votre juridiction. » gronda une voix bourrue derrière eux.
Stiles l'ignora, quel qu'il soit, ramassa un ordinateur portable carbonisé avec quelques noms familiers griffonnés à l'intérieur, y compris un James Myers, l'ancien partenaire de la victime, et suspect. Il fit signe à Scott, qui ouvrit un sac de preuves, et laissa tomber l'ordinateur à l'intérieur. Avant que Scott ne puisse sceller le sac, le nouveau venu s'en saisit.
« Hey ! C'est une preuve du NYPD*. » dit Stiles, atteignant le sac, pour être accueilli par une paire d'yeux verts brillants de colère, contre lui.
« Ceci est mon enquête d'incendie criminel, alors je dirais que c'est ma preuve. Qui êtes-vous et que faites-vous ici ? »
« Détectives Stilinski et McCall, de la 87. » dit sèchement Stiles. « Qui diable êtes-vous ? »
« Capitaine Derek Hale. » dit l'homme, croisant les bras. Il ne portait pas la veste de l'uniforme, juste un t-shirt blanc tâché de sueur et qui avait du mal à contenir les muscles sous son tissu ainsi que le pantalon d'uniforme retenu par des bretelles.
Stiles eu un souvenir fugace d'une masturbation sur le fantasme de nombreux adolescent à propos de pompiers moites et chauds, mais vraiment, ce n'était pas le bon moment d'être prit par un rêve humide pendant que tu essaies de faire ton travail.
« Et bien, c'est aussi ma scène de crime, donc vous allez devoir restituer cette preuve. » Renchéri Stiles.
Le pompier du début se joignit à eux, ainsi qu'un autre gars noir, les deux en uniforme , debout derrière Derek, croisant les bras.
« Pas de chance, » dit Derek. « Vous devriez partir. »
« Ouais, pourquoi n'allez-vous pas où vont tous les flics, normalement ? » demanda le bouclé avec désinvolture.
« Il y a un magasin de beignets au prochain pâté de maison. » suggéra le black.
Stiles les fusilla du regard de colère. Il détestait cet affaire. Il détestait le service des pompiers. Il détestait ce chaud Capitaine des Pompiers Derek Hale. Il détestait le stéréotype des flics-et-des-beignets plus que tout.
« Et allez vous faire foutre ! » Rugit-il. Scott commença à le tirer en arrière, mais pas avant que Stiles ne hurle, « Attendez-vous à entendre parler de la police de New York pour cette preuve, salopes ! Tu peux me sucer la bite, Derek Hale ! » Stiles fit une poussée obscène avec ses hanches en montrant sauvagement son entrejambe avant que Scott ne le sorte entièrement de l'immeuble.
« Putain de merde, Stiles. » s'exclama Scott pendant qu'ils revenaient au commissariat. « Juste parce que tu es le chouchou d'Erica et que tout le monde est cool avec ce genre de conneries ne signifie pas que tu peux parler comme ça à d'autres personnes. »
« Mec, je suis le détective le mieux classé de New York. Je ne vais pas perdre mon record de résolution de crime parce qu'un connard retient des preuves. » dit Stiles. Il rédige un mémo très expressif à Erica et commence à se noyer dans la paperasse d'autres cas tout en attendant une réponse.
Quelques heures plus tard, le réceptionniste apparaît à l'avant du bureau principal et annonce : « Il y a un M. Lahey qui veut vous voir, détective Stilinski. » C'est le pompier aux cheveux bouclés qui arpente le bureau, un dossier à la main. En voyant Stiles, il se fend d'un sourire et le lui tend.
Stiles prend le dossier avec précaution sous les yeux de Scott. Il le retourne et l'ouvre. Il y a un beignet écrasé à l'intérieur. Lahey sourit de plus belle, et sort, « Votre demande de preuve. » entre deux éclats de rires.
« Oh, vraiment drôle. » Cri Stiles avant de s'apercevoir que Lahey est déjà parti. « Tu sais ce que ça veut dire, Scott. » marmonna-t-il.
Scott le regarda. « Qu'ils n'ont pas apportés assez de beignets pour tout le monde ? »
Stiles secoua la tête. « Non, ça signifie que l'on va devoir récupérer les preuves nous même. Je suis sûr que l'ordinateur portable dispose d'information que voulait le tueur et nous ne pouvons pas résoudre l'affaire sans lui. »
Ils se dirigèrent de nouveau vers la caserne de pompier au déjeuner, et alors que Scott distrayait le pompier Lahey (enfin, flirtait quoi), Stiles parvint à se faufiler dans leurs local de preuves, ce qui ressemblait plus à un placard à rangement. Il trouva facilement le sac hermétique et se dirigea vers la voiture, attendant Scott.
Celui-ci le rejoignit dix minutes plus tard, un sourire niais sur le visage. « Isaac est vraiment cool en fait. » dit-il à Stiles. « On va à la pêche samedi. »
« Je t'ai dis de le distraire, pas d'obtenir un rendez-vous. » dit Stiles.
« Quoi ? C'est pas un rendez-vous ! On va juste traîner. » Répondit Scott avec indignation.
« Peu importe. » dit Stiles, soulignant une ligne dans l'ordinateur carbonisé. « Apparemment, notre suspect à une maison d'été ici. Il y est probablement encore. »
Scott conduisit jusqu'à la maison, de l'autre côté de la ville, mais l'anticipation qui s'était accrue lors du trajet retomba quand ils affrontèrent Myers, qui ne résistât même pas.
De retour au commissariat, Myers donna une confession complète sur le meurtre de Brian Snows. Après coup, Stiles lui demanda si c'était lui qui avait mit le feu sur la 3ème. Myers avait juste semblé confus.
Stiles était quasiment sûr qu'il y avait plus que ça, mais Myers ne savait probablement rien non plus sur l'ordinateur portable, ou sur qui gardait une trace de ses allées et venues, ou qui Snows devait rencontrer.
L'enceinte se vida lentement à mesure que les gens partaient et Scott lui tapa dans le dos pour le féliciter d'avoir mis Myers derrière les barreaux.
« On a fait du bon boulot aujourd'hui, » dit Scott. « pas sur le fait d'avoir voler les pompiers, mais on a eu attraper le gars, ça c'est bien. »
Stiles lui sourit en retour. « Tu devrais rentrer à la maison, je peux finir le reste du rapport moi-même. D'ailleurs, je vais juste écrire Stiles lui a botté le culdedans. »
« Je suis sûr qu'Erica va aimer ça. » grogna Scott, saisissant son manteau et se dirigeant vers la porte. «à demain ! »
Stiles sifflait tandis qu'il finissait le rapport sur le cas Snows, limitant les détails. Il héla un « Bonne nuit, Capitaine Reyes ! » avec un salut désinvolte quand elle sortie de son bureau, ses cheveux blonds rebondissants sur ses épaules.
« Bonne nuit, Stilinski, » dit-elle « bon travail aujourd'hui, je suis contente que ça ce soit bien passé avec la caserne. C'est toujours bon de voir des pompiers et des policiers qui travail bien ensemble. »
Stiles laissa échapper un rire, essayant de retenir son sarcasme, ce qui ne fonctionna pas vraiment « Oui, et je me suis certainement fait un nouvel ami... » Il fit un clin d'œil exagéré.
Erica sourit et agita sa main en quittant les locaux.
Stiles profita de la paix et du calme pendant un moment, travaillant avec diligence sur le rapport et le fini en fanfare, quand il entendit des pas lourds dans le couloir.
La porte s'ouvrit avec fracas, laissant entrer un Derek Hale portant une expression de colère sur le visage.
« Et bien, si ce n'est pas le Capitaine Sourpants* des Pompiers... » remarqua Stiles.
« Toi » gronda Derek, et wow, Stiles n'avait aucune idée que des sourcils pouvaient autant avoir l'air en colère. « Tu es entré par effraction dans notre caserne et tu as volé des preuves. »
« Tu n'as aucune preuve de ça. » dit innocemment Stiles.
Derek l'attrapa par la chemise et le secoua. « J'ai suivi ce pyromane pendant des mois. »
« Et bien, je devais attraper un meurtrier. » lui répondit Stiles, vaguement conscient de la façon dont ils étaient proches. Il pouvait sentir la fumée sur l'uniforme de Derek. Stiles le repoussa, secouant ses pensées. « Heureusement que je l'ai trouvé par ailleurs, qui c'est ce qu'il se serait passé s'il s'était échappé. »
Derek marqua une pause. « Il est là ? Je vais devoir lui poser des questions. » dit-il, partant en direction des cellules de détention vides. Stiles le suivit et lui rentra presque dedans quand Derek lui fit brusquement face, furieux et exigeant. « Où est-il ? »
« Ils l'ont emmenés hors du comté plus tôt » dit Stiles béatement, « c'est un cas clos, il n'a rien à voir avec l'incendie et il ne savait rien sur l'ordinateur portable. » Et parce que Stiles ne pouvait pas s'en empêcher, il continua : « Alors, tu peux aller te faire voir*, car j'ai résolu mon cas et pas toi. » ricana-t-il.
Stiles ne s'attendait certainement pas à être plaqué contre les barreaux de la cellule avec le solide corps chaud de Derek contre le sien. Il grinça de surprise et Derek le fusilla du regard. À ce moment là, Stiles était douloureusement conscient de son cœur battant follement dans sa poitrine, l'un des bras de Derek poussant ses épaules contre les barres de métal froid et l'autre reposant sur sa hanche.
« Tu es tellement arrogant, » persifla Derek. « peut être que je devrai te donner ce que tu veux. »
Les fonctions cérébrales de Stiles s'arrêtèrent lorsque la main de Derek entra soudainement dans son jean, palpant son érection grandissante. Il ne fallut que quelques secondes pour que Stiles soit complètement dur, et que son jean soit ouvert et tirer vers le bas. Derek s'agenouilla et avala sa queue. Stiles se mordit la lèvre pour retenir un gémissement, regardant la bouche de Derek enroulée autour de lui. Ses yeux verts brillants le fixaient en retour. Son érection dur et rouge fit haleté Stiles de colère quand Derek lécha le liquide séminal s'écoulant doucement de son gland.
« Qu'est-ce que... bordel. » marmonna enfin Stiles.
« Tu voulais ça. » répliqua Derek. Ce n'était pas une question. Stiles ne contesta pas. Mais il se senti humilié et ridicule quand Derek leva ses jambes sans efforts pour les faire reposer sur ses larges épaules, poussant encore plus Stiles dans les barreaux.
Stiles n'avait aucune idée de comment sa journée a pu finir comme ça : rouge et transpirant, la chemise froissée, le jean et le boxer aux chevilles, le dos appuyé contre le métal, et maintenant son cul nu également, le corps entièrement soulevé sur les épaules de Derek, recevant la fellation la plus étonnante de sa vie.
Il gémit, impuissant, la langue de Derek tourbillonnant autour de son gland avant de laisser sa bite sortir dans un pop incroyablement obscène. Bordel de merde, le gars souriait narquoisement, se léchant les doigts et Stiles pouvait sentir la colère monter en lui, contre ses putains de pompiers, quand Derek le reprit en bouche. C'était chaud, humide et bâclé, et Stiles pouvait à peine penser quand un doigt habile longea le fente de son cul et pressa contre son trou.
Le corps de Stiles sursauta mais Derek le maintint fermement de son autre main contre les barreaux et Stiles fit tout ce qu'il put pour se retenir de hurler de plaisir (même s'il était sûr que sa bouche laissai échapper divers sons et bruits.) lorsque Derek frappa sa prostate.
Stiles vint spectaculairement, et il pu sentir la vague de bonheur chaude courir à travers son corps quand son orgasme lui fut arraché. Il était vaguement conscient d'être posé sur le sol froid et de regarder Derek se relevé et marché en direction du bureau.
Il revint quelque instant plus tard, Stiles toujours assis, hébété sur le sol, toujours exposé et couvert de son propre sperme. Mis à part les quelques gouttes sur sa chemise et sur ses lèvres, Derek était l'impeccable image du fonctionnaire responsable. Il brandit l'ordinateur portable.
« Reste hors de ma juridiction. » grogna Derek avant de sortir du bâtiment, claquant la porte derrière lui.
*NYPD : New York Police Department.
*Sourpants : je préfère laisser les surnoms en anglais car le sens peut rarement être traduit en français. Le mot se découpe en deux, sour et pants. Sour qui veut dire aigre est directement tiré de Teen Wolf, quand Stiles dit à Derek « Don't be such a sourwolf ! » littéralement « ne sois pas un loup aigri ! » et pants qui signifie pantalon se réfère ici à l'uniforme de pompier. C'est donc un jeu de mot qui relie l'univers d'origine, Teen Wolf, et le cadre de l'histoire, les pompiers.
*You can suck it en anglais, qui se traduit par « tu peux aller te faire foutre » en français mais qui littéralement signifie « tu peux le sucer », encore une fois, c'est un jeu de mot avec le fait que plus haut Stiles dit « Tu peux me sucer la bite, Derek Hale ! » et qui explique la réaction de Derek « Je devrai te donner ce que tu veux ».
