J'espère que cette histoire vous plaira, j'accepte toutes les critiques car elles sont constructives.

Bonne lecture

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Chapitre 1

Le départ

20 mai 2009, 20 heures 30, Dijon France.

Et voilà il ne me reste plus qu'à fermer le coffre de ma voiture et à partir pour une semaine de vacances au soleil ; depuis le temps que j'attends je compte bien en profiter au maximum. Je claque un grand coup le coffre de ma 308 noir (cadeau que je me suis fait pour mes 25 ans), et je retourne à la maison dire au revoir à ma famille.

En entrant dans la maison, une forte odeur de café me prend à la gorge et je sais que ma mère ma fait un thermos de café bien fort et sans sucre comme je l'aime. En entrant dans le salon, je vois que tout le monde m'attend mes parents, mes deux sœurs et mon beau-frère (enfin futur beau-frère, il non pas encor choisit la date). Ma mère me regarde et commence à ouvrir la bouche, mais je sais d'avance ce qu'elle compte me dire :

Ne t'inquiète pas maman, tout va bien ce passer et je ne pars qu'une semaine.

Je sais bien mais tu aurais pu attendre demain matin pour partir, tu viens de rentrer du travail, et à vrai dire j'aurai préféré que tu partes en avion.

Je soupirai, nous étions revenu des centaines de fois sur le sujet depuis le 25 mars, date de mon anniversaire et jour où mes parents m'avaient annoncé qu'ils m'offraient un voyage en Toscane, car cela je n'arrêtais pas de les souler avec depuis bientôt deux ans. Ma mère ne comprenait pas pourquoi j'avais une telle peur de l'avion, elle m'avait même dit que si j'avais si peur de l'avion il était inutile que je me choisisse une robe pour le mariage de mon cousin qui devait avoir lui à Sao Paulo, parce que je n'allais pas rejoindre le Brésil à la nage. Pour moi rien que de rester dans un aéroport c'est l'enfer alors monter dans un avion, JAMAIS .

Maman je te rappel qu'il n'y a que 900 km et que ce n'est pas la première fois que je pars toute seule, depuis cinq ans je pars et je reviens toute seule du Portugal et cela ne te perturbe pas plus que ça. En plus tu sais très bien que j'adore conduire.

A oui, au fait je suis d'origine portugaise et tous les étés sans exception je vais retrouver ma famille et mes amis pour trois semaines de fête non stop, pour moi c'est absolument nécessaire.

Isabelle Annabelle Martines, change de ton avec moi, tu sais très bien que je m'inquiète tout le temps et puis quand tu pars je sais quand arrivant tu ne seras pas toute seule, tu connais la langue, la famille t'attend et que tu ne risque pas de te perdre la voiture connais le chemin toute seule.

Je levais me yeux vers le ciel, et mes sœurs rigolais doucement en espérant ne pas se faire repérer parce que sinon elle risquait de se prendre une sacré soufflante si ma mère remarquait qu'elles se foutaient d'elle aussi ouvertement.

Alors premièrement je ne vais pas à l'autre bout du monde, je vais en Italie, deuxièmement c'est vous qui m'avez offert se voyage, troisièmement je ne risque pas de me perdre parce que tata ma offert un GPS pour mes 25 ans et quatrièmement je te signal qu'avec la 308 je ne suis jamais allé au Portugal donc elle ne risque pas de connaître le chemin toute seule, dis-je avec effronterie.

Ce fût la phrase de trop mon beau-frère et mes sœur ne pouvaient plus se retenir et un fou rire général les pris, même mon père si réserver d'habitude ne pouvait plus se retenir. Ma mère hurlait qu'elle était la seule à se faire du souci et que nous n'avions pas de cœur parce que pendant une semaine elle n'allait pas pouvoir dormir en pensant à tout ce qui pouvait n'arriver. Mon père ce leva et tout naturellement le silence revint dans la pièce, ce n'est pas que mon père nous faisait peur, ou ça non, mais il avait une autorité naturelle qui nous indiquait quand la partie de rigolade était terminer et qu'il était tant de revenir aux choses sérieuses. Il se dirigea vers moi et me pris dans ces bras en me murmurant à l'oreille :

Aller dit vite au revoir à tout le monde, je vais calmer ta mère.

Je t'ai entendu, souffla ma mère, ce qui fit rire de nouveau tout le monde .

Je me dirigeai vers mes sœurs, la première Julie a des grands yeux noir un visage en ovale et des cheveux noir en pique, en tant que coiffeuse je suis sûr que lorsque je reviendrai elle aura une nouvelle couleur, mais j'aimais bien celle-ci ça lui ressemblai tout à fait, farfelue et extravertie. La deuxième Sophie, la plus petite, à un visage un peu plus pointu et les cheveux toujours en chignon et elle à toujours les mains couverte de tâche d'encre et de peinture, normal pour un étudiante aux beaux-arts. Je les pris dans mes bras toutes les deux, puis me tourna vers mon père qui me sera contre lui et enfin vers ma mère, qui m'étouffa littéralement entre ses bras, avant de rajouter :

Bon alors je veux que tu t'arrête dés que tu te sens un peu fatiguer surtout…

Oui maman…

N'oublie de m'appeler dés que tu arrives à l'hôtel…

Oui maman…

Ah aussi, est-ce que tu as pensé à tout ? ta pièce d'identité, de l'argent liquide, si jamais tu à besoin d'aller chez le médecin est-ce q…

Arrête de t'en faire elle ne part que pour une semaine, la gronda mon père en la prenant par les épaules.

Oui je sais mais c'est plus fort que moi, tu sais tu aurais pu partir avec Laurent, me lança ma mère avec un regard en coin,… ou Carmen, nous leur aurions offert le voyage.

Ma mère était vraiment impossible depuis un mois elle essayait de convaincre mes meilleurs amis de partir avec moi. Elle aurait surtout souhaiter que mon meilleur ami parte avec moi, pour elle Laurent était le parfait gendre, mignon, bien élever, instruit, stable et une bonne situation. Mais elle n'arrivait pas à se mettre dans la tête que les liens qui nous unissent n'étaient que ceux de l'amitié construite ces dix dernières années. Nous nous étions rencontrer tous les trois en première au lycée, je m'étais vite rapprocher de Carmen, nous étions ensemble en espagnol renforcé et nous nous sommes très vite entendu ayant les mêmes centres d'intérêts : la musique, la littérature, le sport et surtout nos pays d'origine, pour elle l'Espagne et moi le Portugal. Pour Laurent nous l'avions rencontré au tutorat de math, lui était en ES, car en bonne élève de première L, les maths et nous avions quelques problème pour nous entendre. Et depuis cette époque nous avons tous fait ensemble, nos premières vacances sans les parents, nos premières cuites,…

Oh belle-sœur tes toujours avec nous ? je me rendis soudain compte que je m'étais laissé embarquer dans mes souvenirs et que j'avais un sourire niais sur le visage. Mon « adorable » beau-frère était devant moi en train de passer ces deux grosses mains devant mon visage pour essayer de réveiller.

Hein, quoi ?

Tu étais partis encor dans ton monde…..il éclata d'un rire sonore. Il n'arrêtait pas de ce moqué de moi parce que des fois j'étais perdu dans mes pensées.

Mais non qu'est-ce que tu racontes.

Je me demande à quoi tu pensais… ou à qui, dit-il sur un ton qu'il voulait le plus innocent possible.

Oh tais toi donc un peu avant que je te balance ton plat de pâtes sur la tête.,dis-je en me saisissant de l'assiette sur la table, en essayant de lui lancer un regard féroce, puis nous avons éclater de rire sans pouvoir nous arrêter.

Depuis que Philippe avait emménagé chez nous, il avait décidé que je serai son souffre douleur, il ne comprenait absolument pas pourquoi j'aimais tant être seule, sans petit copain je veux dire. Donc dés qu'il avait un moment, où que l'occasion se présentait il me faisait une des ces blagues scabreuses. Il avait même essayé de me présenter à ses collègues de travail. Il est un peu lourd sur les bords des fois mais au moindre problème il est toujours là pour nous, il est un peu le grand frère que j'aurai voulu avoir si je n'avais pas été l'ainée.

Bon les enfants je pense qu'Isabelle devrait y aller maintenant, lança mon père.

Oui il est temps, renchéris-je, papa je dois te dire que le contrat pour le nouveau chantier est prêt et qu'il est sur mon bureau. Ah et tata trouvera les plannings de la semaine sur son bureau pour ses chantiers, et j….

Isabelle arrête tout de suite tu dois te détendre et ne plus penser au travail, l'agence ne va pas s'effondrer parce que tu pars une semaine, je te rappel qu'elle tournait parfaitement avant que tu arrives.

Je soupirai je savais bien que tout n'allait pas s'effondrer en une semaine, mais mon père devrait le savoir maintenant, j'avais du mal à décrocher du travail. Cela fait maintenant deux ans que je travail dans l'entreprise familiale en tant que assistante de direction, que je fais toutes les démarches administratives ; et on peut dire que je suis une droguée du travail, Carmen me dit souvent que c'est parce que je consacre trop de temps au travail que je n'ai pas de copain, et qu'il me faudrait un accro du boulot pour que l'on puisse s'entendre.

Oui je sais, mais….

Il n'y a pas de mais, ta tante, ton oncle et moi on va parfaitement sans sortir et si jamais, je dis bien « si jamais », on a un problème je t'appel, mais ne compte pas trop dessus quand même.

Ok , mais de toute façon je garderai mon portable avec moi et je prend mon ordi aussi, pour essayer d'avancer sur l' appel d'offre.

Mon père lâcha un gros soupir, en me regardant d'un air désespérer .

Et je suppose que ton ordi est au fond du coffre et que tu ne veux pas le défaire.

Tu as tout compris, mon ptit papa, dis-je en lui donnant un baisser sonore sur la joue.

Tu ne changeras jamais.

Non maintenant c'est trop je suis trop vieille.

Bon il est vraiment temps que j'y aille je vous appel des que je n'arrête et dés que j'arrive.

Fait attention surtout, et surtout ne roule pas trop vite, dis ma mère. Ma sœur Sophie qui c'était fait plutôt discrète pendant nos au revoir, ce mis a pouffer suivi de Julie et de Philippe.

-Ben quoi, demanda ma mère qu'est-ce que j'ai dit.

- Tu demandes à …isabelle de ne pas rouler trop vite,…. tu te rends compte maman que c'est comme dire à un enfant de ne …pas manger de sucrerie alors que le pot… de bonbon et en face de lui, réussi à dire ma sœur entre deux fou rire.

-Maman soit réaliste, qu'a fait isabelle dés qu'elle à eu sa première voiture ?...lui demanda Julie.

Ma mère réfléchis mais ne voyait pas de quoi ma sœur parlait.

-Elle est allé sur un circuit pour voir se qu'elle avait dans le ventre, repris Julie, et qu'elle le dernier cadeau que Carmen et Laurent lui ont fait…

Mais ma mère était toujours aussi perplexe.

Ils lui ont offert un tour sur circuit dans un Porsche, alors ne demande à la sœur de Lewis Hamilton d'aller doucement dans une voiture neuve qu'elle n'a pas encor testé sur autoroute.

Ce fut à ce moment que le visage de ma mère perdit toutes ses couleurs, et je crus un moment qu'elle allait s'effondrer. Mon père lança un regard meurtrier à ma sœur, qui souleva les épaules l'air de dire « eh ben quoi c'est vrai de toute façon ». Mon père se tourna vers moi, pour me souhaiter une fois encor bon voyage et me fit signe de partir au plus vite.

Je sortis de la maison et ouvrit ma voiture, je m'installai et fit les derniers contrôle nécessaires :

-ipod connecté à l'autoradio : Ok

-GPS : Ok

- carte bleue : Ok

-réservation de l'hôtel : Ok

Très bien tout est prés dans 10 heures je serais sous le soleil de Toscane quel pied, je regardais encor une fois le nom de la ville où se situait mon hôtel pour régler le GPS : Chianciano Terme, prés de Montepulciano.

C'est parti pour une semaine de folie, dis-je tout haut en tournant la clé pour mettre le contact (et en disant ça je ne savais pas encor se qui m'attendait).

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Voilà j'espère que ça vous plaît alors le petit carré vert en dessous c'est celui pour laisser les reviews, à vous de jouer.