Disclaimer: Hetalia appartient à Himaruya, ça va finir par devenir une manie de toujours me le demander :p
Oui, c'est encore moi avec une nouvelle fanfic, cette uniquement basée sur Hetalia (on ne peut pas faire un crossover à chaque fois) Pour ceux qui lisent Saint Hetalia ne vous inquiétez pas, je ne l'oublie pas. (tout comme j'essaye de ne pas oublier ma fic Fruit Basket, mais c'est pas le sujet) Je vais essayer de m'organiser au mieux pour avancer. Au pire, la publication risque d'être assez irrégulière (y a de fortes chances oui) Sur ce, je vous souhaites une bonne lecture :D En espérant que ce premier chapitre vous plaise ^^
Domination
Chapitre 1 : Ennemi invisible
Arthur avait juste voulu lancer un sort. France était resté derrière-lui, n'essayant pas de l'arrêter. Ça n'aurait servi à rien, et de toute façon le sort aurait dû rater. Il aurait DÛ rater. L'Anglais était descendu dans le sous-sol, un sourire diabolique sur ses lèvres. Allez savoir pourquoi, il avait encore envie d'invoquer un démon pour enquiquiner une nation.
- Tu peux te moquer Francis, avait-il sorti mais ça marchera.
- Oh, mais je te crois. Répondit l'ainé pas convaincu pour un sou.
- Je ferais taire tes sarcasmes, stupide frog.
- Si c'est aussi réussi que ta cuisine.
- Ma cuisine est la meilleure. Tellement meilleure que ton gout minable ne te permet pas d'en mesurer l'excellence !
- Et après c'est moi qui ai la grosse tête ?
- SHUT-UP !
Les deux rivaux avaient continués à se chamailler comme deux gamins. Puis Arthur avait sommé le Français de se taire pendant qu'il traçait le cercle magique. Francis avait pour une fois obéit, se cachant tout de même derrière le mur. Pas qu'il craignait grand-chose. Au pire Arthur ferait juste venir Russie ici.
- Je te préviens. Ne compte pas sur moi si Russie s'énerve. Je n'interviendrais pas, et il te faudra te débrouiller seul.
- C'est ça, reste bien caché sale grenouille. Mais tu verras, tu n'oseras pas croire ce que tu verras. Proclama le plus jeune, décidément bien sûr de lui.
France préféra ne pas répondre, et se contenta de lever les yeux au ciel. S'il avait sût à ce moment-là, ce qui allait se produire, aurait-il essayé de l'arrêter ? Probablement. Au moins, il n'aurait pas été aussi tranquille lorsque son rival c'était placé devant le cercle. Les deux bras bien tendus devant lui. Angleterre avait commencé être entouré d'une énergie verte feuille. Puis, sans un regard pour Francis, il avait commencé à réciter sa formule magique. La pièce avait commencé à s'illuminer lentement.
- Nous allons bientôt arriver à la partie où il se plante magistralement. Francis retint un pouffement en imaginant la scène.
Concentré, Arthur ne semblait plus s'occuper de son rival. Ni de ce qui l'entourait d'ailleurs. Il était uniquement centré sur son but. Prouver à Francis une bonne fois pour toute, qu'il n'était pas nul en magie. Il la ferait taire une bonne fois pour toute, cette stupide grenouille.
- Euh… Arthur…
-Chut ! Marmonna l'Anglais en fronçant les sourcils.
France avait un mauvais pressentiment tout à coup. Une ouverture était apparue au centre du cercle, et une masse rouge commençait à apparaître. Russie n'avait pas les cheveux rouges.
- Arthur…
- SHUT-UP !
Des éclairs sortir des tracés du cercle. Pas rassuré, Francis commença à reculer. Il n'aurait peut-être pas dû laisser faire son cadet. Mais Angleterre était trop concentré et, surtout, trop têtu pour l'écouter à présent. Les cheveux rouges commençaient à sortir du cercle, aussitôt suivis par une énergie noire d'encre. France hoqueta, il n'allait quand même pas… Il n'allait quand même pas réussir non ?! La fumée noire commença à envahir la pièce.
- Arthur ! Arrête ça !
- Mais tu vas te… Arthur s'arrêta tout net, en voyant l'étrange phénomène.
- Angleterre, arrête-moi ce stupide sort !
Le Français était vraiment paniqué là. Pour la première fois depuis tout à l'heure, Arthur se fit la réflexion qui devait peut-être arrêter ça avant qu'il ne soit trop tard. Soudain, l'énergie magique s'intensifia violemment. Angleterre éteignit sa magie, mais le processus continuait. Pire, l'énergie maléfique envahissait de plus en plus la pièce. Vraiment plus sûr de lui, il commença à reculer. En ordonnant à Francis de sortir, sans faire de commentaires. Soudain, un étau de fumée noir l'enserra. Le faisant tomber à terre.
- C'est trop tard, Angleterre, bien trop tard.
La voix avait sonné comme un coup de tonnerre. Les deux nations restèrent immobiles, comme tétanisées par ce qu'il se passait. Bientôt une forme apparue, mais elle était totalement enveloppée de la magie ténébreuse. Seuls les cheveux rouges sang ressortaient. L'étau autours du corps de l'Anglais se resserra. L'Anglais étouffa un cri de douleur, sentant son souffle s'amenuiser petit à petit.
- Pauvre petit Angleterre. Encore une fois, ton imbécillité t'attire des ennuis. C'est pathétique
- Qui êtes-vous ?
- Qui je suis ? Es-tu sûr de vouloir le savoir, misérable petite nation. Tu pourrais bien avoir une désagréable surprise.
Francis ne bougeait plus. Il était comme cloué sur le sol par une force mystérieuse. Son corps refusait obstinément de lui obéir. Il avait peur, vraiment très peur. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il sentait qu'une terrible catastrophe allait bientôt arriver. Le corps de la nation anglaise fut alors soulevé dans les airs.
-Je ne te tuerais pas tout de suite, n'ai crainte. Avant, nous allons-nous amuser un peu. Angleterre est ton rival, si je ne m'abuse. Ce spectacle devrait être à ton gout.
Le corps d'Angleterre fut balancé à droite, à gauche. Chaque coup le faisait crier de douleur, et lui faisait cracher une gerbe de sang. Son énergie verte l'entourait, tentant de le délivrer de cette emprise. Mais il n'y parvenait pas. Les appels de Francis lui semblaient de plus en plus lointains. Allait-il mourir ?
-Quel dommage, la terrible nation anglaise, l'ancien maitre des Sept Mers n'est pas capable de se libérer de mon emprise. C'est affligeant… Et dire que… Le corps d'Arthur fut violemment projeté au plafond et retomba sur le sol.
-Qui… Es… Tu… Arthur essaya de se relever, et reçu l'aide de son rival.
-Tu perds vraiment la mémoire, mon pauvre Arthy. Si ce n'est pas malheureux.
-Qui que tu sois, je te somme de… Hurgh… Ses genoux flanchèrent et il s'affala sur le sol.
-Arthur ! Viens, sortons d'ici. C'est trop dangereux !
-Sortir d'ici ? Tu crois vraiment que je suis du genre à laisser mes proies s'en aller comme ça. Oh non, non, ça serait bien trop facile. Vous allez rester ici, et subir le sort que je vous infligerais.
La fumée commençait à s'estomper, et un visage commençait à apparaitre. Mais les nations étaient trop secouées pour le reconnaitre. La personne qui les regardait avait un sourire méprisant, et semblait se réjouir de leur situation catastrophique. C'était si jouissif, si bon de les voir ainsi. Quel dommage, de ne pas pouvoir faire durer ce moment éternellement. Il envoya violemment Arthur contre le mur derrière Francis. Un jet d'énergie vert feuille fonça sur lui, et traversa son nuage. Mais ça ne fit que l'estomper un peu plus, sans le blesser.
-Fr… Francis, fuit…
-Quoi ?
-Sors 'ici… Il est trop puissant, tu ne pourras rien contre lui.
-Comme c'est touchant… Ta possessivité est vraiment pathétique mon cher Angleterre. Vouloir garder ton cher rival pour toi tout seul. Si ce n'est pas malheureux. Mais ne t'inquiète pas, grâce à moi tu ne le verras pas tomber. Tu serais mort avant !
-La… Arthur se releva, il respirait difficilement à cause de l'épaisse fumée qui continuait à l'étreindre.
-Oh oui, bat-toi.
-Francis, sors… L'énergie d'Arthur augmenta, parvenant petit à petit à se défaire de ses liens magiques.
Francis hésita encore, mais le regard que lui lança son rival le convainquit. Le cœur serré, il se dirigea vers la porte. Lorsqu'il l'eu franchit, un rideau de flamme recouvrit l'entrée. Quoiqu'il arrive, Angleterre ne pourrait pas fuir. Il serait obligé de faire face à son adversaire inconnu. Le visage celui-ci commençait à se découvrir. Laissant maintenant apparaitre des yeux bleus qui lui rappelaient vaguement quelque chose. Son énergie magique continuait d'augmenter.
-Tu n'es qu'un idiot si tu penses pouvoir me vaincre.
-Je ne sais pas qui tu es, mais je te ferais sortir d'ici.
L'autre étendit ses bras qui dépassaient du rideau de fumée. Deux orbes électriques de couleur noire apparurent, et commencèrent à grossir. Pendant ce temps. Une boule de lumière verte était apparue dans les mains d'Angleterre.
-Tu sais, pour te récompenser je vais consentir à un petit présent.
-Garde tes sarcasmes, et retourne d'où tu viens !
-Oh, mais j'y retournerais ne t'inquiète pas.
-Retourne vers ton maitre, créature des Enfers !
Il s'apprêta à lancer sa boule, il y avait mis toutes ses forces. Toute son énergie. S'il échouait, il ne pourrait plus rien faire, et serait à sa merci. Il fallait qu'il réussisse à le renvoyer d'où il venait, il le fallait. Un rire sadique résonna. Arthur respira un bon coup, et lança en guise de provocation.
-L'Angleterre n'a jamais été vaincue sur son propre territoire, et ce jour ne fera pas exception.
Alors qu'il allait lancer sa magie contre son assaillant, celui-ci lui découvrit totalement son visage. Sa surprise fut telle, que sa boule s'évapora instantanément. Il n'eut pas le temps de les voir arriver, que les deux orbes électriques le touchèrent. Tout son corps fut paralysé et une incroyable douleur l'envahit. Lorsqu'il retomba sur le sol, il ne parvint pas à se relever. Vaincu, il avait été vaincu.
-Ce jour est une exception Iggy, l'Angleterre vient d'être battue. Et je vais me faire un plaisir, de te mettre à mort.
-Comment peux-tu…
Une lame de ténèbres apparue alors au-dessus de lui. Non il ne pouvait pas le croire. C'était un cauchemar, un véritable cauchemar. Il essaya de bouger un bras, mais en vain. Il était tel un pantin de bois à qui on avait coupé les ficelles. Son adversaire allait l'achever, sans qu'il ne puisse tenter de se défendre. Alors que la lame magique allait s'abattre sur lui, une énergie bleue l'entoura. Elle ne ressemblait pas à celle d'Irlande, la sienne était bleu marine. Celle-ci était turquoise.
-C… Comment ? S'étonna son adversaire.
Lorsqu'il était monté au rez-de-chaussée, Francis n'était pas allé plus loin. Il était resté près de la porte, écoutant ce qu'il se passait. Il avait peur, très peur. Si seulement les frères ainés d'Arthur pouvaient être là ! Mais il était seul avec Arthur et… Cette chose. Le cri d'Angleterre résonna alors. Puis, plus rien.
-Arthur ! Arthur ! Il commença à frapper contre la porte, mais elle refusait de s'ouvrir.
Son cœur était oppressé, les choses allaient mal pour son rival. Il avait déjà été bien malmené par son adversaire tout à l'heure. Il n'aurait pas dû le laisser tout seul. Il continua à tambouriner contre la porte, appelant désespérément son rival de toujours. Sans qu'il s'en aperçoive, une énergie magique commençait à apparaitre autours de lui. Soudain, le Français se laissa tomber à genoux sur le sol.
-Arthur… Arthur, je t'en prie… Ne meurt pas, tu n'as pas le droit de mourir…
En larmes, il plaqua ses mains contre la porte en hurlant « Ne t'avise surtout pas de mourir Angleterre ! » A ce moment-là, son énergie bleue traversa la porte et alla entourer le rival de son maitre. France n'était conscient de rien, et continua à pleurer. Il se sentait tellement inutile en ce moment même. Il aimerait tellement pouvoir venir en aide à Arthur. Mais il n'arrivait pas à ouvrir cette saleté de porte ! Alors tout ce qu'il pouvait faire, c'était espérer au plus profond de lui-même qu'Arthur ne meure pas.
« Cette magie… »
Cette magie rappelait quelque chose à Angleterre. Une impression de forêt où des pas bruissaient sur les feuilles mortes. Une odeur de passé révolu, qui semblait renaitre en ce moment-là. Il se sentait bien, comme protéger par un voile doux et chaud. Son corps s'endormait peu à peu, tandis que l'autre portait ses mains à son visage. En proie à une terrible souffrance.
-Argh ! Arrête… Tu n'as pas le droit !
A qui parlait-il, il ne savait pas. Et il était trop faible pour ouvrir la bouche. Ses yeux se fermèrent petit à petit, tandis que la douce lueur continuait de l'envelopper. Son adversaire baissa alors les yeux vers lui, et cracha par terre. Avant de proférer d'une voix doucereuse et dénuée de pitié.
-Tu as de la chance, misérable Angleterre. Mais ne croit pas t'en être tiré. Un jour viendra où tu verras tous ceux qui te sont chers mourir devant tes yeux. Et à ce moment-là, je viendrais et te tuerais comme j'aurais dû le faire il y a longtemps !
Sur ce, une espèce fumée noire enveloppa l'assaillant et il disparue comme il était apparu. La barrière de flammes qui bloquait la porte disparue à son tour, et France fit irruption dans la pièce. Il poussa un cri de peur lorsqu'il vit son rival de toujours allongé sur le sol, les yeux mi-clos.
-Arthur !
Il courut vers son rival, et prit son corps entre ses bras. Angleterre respirait encore, mais très faiblement. Il sentait à peine son corps se soulever. L'Anglais avait aussi l'air choqué, mais il était incapable de dire quoique ce soit. Il était trop faible. Il avait tout donné pour vaincre son ennemi, et il ne s'en était sorti que grâce à un coup de chance.
-Angleterre, dit quelque chose !
- … Frog…
La nation blonde fut incapable de prononcer un mot de plus, et s'évanouit pour de bon. Francis tenta en vain de le réveiller. Lorsqu'il s'aperçut que ce qu'il faisait ne servait à rien, il souleva le corps de son rival et alla l'allonger dans sa chambre. Le contrecoup des évènements lui tomba dessus sans prévenir, et il commença à pleurer. Il se reprit très vite, et la première idée qui lui vint à l'esprit fut d'appeler Ecosse. Le rouquin allait sûrement être infernal à l'égard de son frère, mais il était trop dépassé par les évènements et la situation lui paraissait trop grave pour prendre ce fait en compte. Il attrapa le téléphone d'Angleterre et composa le numéro de Gwenaël.
-Gwen ? Tu es là ?
-Ben dit-donc, tu as une toute petite voix France. Qu'est-ce qui t'arrive ? La voix de l'Écossais soulagea le Français.
-Il faut que tu viennes chez Arthur.
-Qu'est-ce qu'il a fichu encore cet abruti de raton-laveur à poil jaune. Maugréa Ecosse.
-Gwen, je t'en prie. C'est très important.
-Qu'il se débrouille. Pas envie de réparer ses erreurs moi, le soupir plein de larmes qu'il entendit le désarçonna, pourquoi tu pleures ?
Mais Francis ne répondit pas et raccrocha. Mais pourquoi il c'était tourné vers celui des frères britanniques avec lequel il était le plus proche ? Il aurait mieux fait de parler à Tristan d'abord. Pays-de-Galles était le plus compréhensif, même s'il était peut-être celui des trois qui avait le plus de raison de détester son frère. Il appela donc le Gallois, qui lui promit d'arriver le plus rapidement possible. Il lui conseilla aussi de ne plus s'approcher d'Arthur, tant qu'il n'était pas là. On ne savait jamais.
Galles arriva quelques heures plus tard, suivit par Ecosse qui s'était décidé à venir dès que son ami lui avait raccroché au nez. Il aurait bien piqué une petite crise, si France n'avait pas eu l'air aussi perdu. Pendant qu'il essayait de le réconforter, Tristan monta à l'étage examiner Angleterre. Mais il ne trouva rien, à part qu'il avait été frappé par un sortilège très puissant. Après lui avoir lancé quelques sorts de soin, il redescendit.
-Il était dans sa cave quand ça a dégénéré ?
-Oui… Je n'ai pas réussi à voir celui qui nous a attaqués, il était recouvert d'une épaisse fumée. Je n'ai rien pût faire pour l'aider…
-Hum…
-Il va bien ?
-Il risque de mettre un certain temps avant de s'en remettre. Gwen, vient avec-moi. On va inspecter sa cave. Il doit y avoir des indices.
-Quelle idée aussi de vouloir invoquer des démons. Il fallait bien que ça lui retombe sur le nez un jour. Marmonna le rouquin.
Les trois nations descendirent dans la cave. Les magiciens notèrent la présence de brûlures autours de la porte. Vestige d'un sortilège lancé par l'un des deux combattants sans doute. Pendant qu'Écosse inspectait la pièce, Galles examinait le cercle magique qu'avait utilisé l'Anglais. France les regardait faire.
-Rien de bien changé à première vue. On pourrait croire qu'il c'est tout simplement planté dans son sort.
-Gwen, tu ne sens pas ? Lâcha le cadet, qui c'était tout soudainement raidi.
-Si ça sent le brûlé.
-Non pas ça, je parle des énergies qu'il y a dans cette pièce.
Les deux autres regardèrent le blond avec un air interrogateur. Puis, Gwen se concentra et étendit son énergie rouge autours de lui. Contrairement à Galles, qui était très sensibles aux énergies des gens, il avait besoin de plus de concentration pour les détecter. Mais oui, cette énergie ! Comment avait-il fait pour ne pas la voir ?
-Mais qu'est-ce qu'elle nous a invoqué la tête de paillasson ? Lâcha-t-il en rouvrant les yeux.
-Je ne sais pas. Mais cette chose était très puissante. C'est la première fois que je vois une énergie pareille. Souffla Galles en croisant les bras.
-Mais… Elle est partie à présent ? Elle ne pourra pas revenir ? S'inquiéta Francis.
Les deux Britanniques échangèrent un regard incertain. Puis, Tristan se retourna vers le cercle magique. Les sourcils froncés. Son frère s'approcha de lui, et fixa aussi le cercle. Enfin le Gallois lâcha.
-Si tu veux mon avis Gwen. Quelque chose me dit, que nous ne sommes pas sortis de l'auberge avec cette histoire.
Pendant ce temps, sur un autre continent. Kiku gisait sur le sol, une mare de sang autours de lui. Il avait à peine eu le temps de s'apercevoir de quelque chose, que quelqu'un lui avait donné un solide coup de katana, créant une longue estafilade sanglante sur son dos. Ce fut Chine qui le trouva, à demi-mort. Yao avait crié de surprise, puis s'était précipité vers son ancien protégé pour le soigner.
Eh beh, ça commence fort hein :/ La fic à peine commencée et déjà deux nations à terre (et croyez moi si je vous dit que les dégâts ne font que commencer, là c'est un aperçu) Qui est donc ce mystérieux ennemi qui a réussi à mettre à mal deux nations en l'espace d'une journée? Arthur le connait, et ça l'a choqué. Et pour cause... (NB: vous connaissez aussi le méchant pour indice) Allez, la suite au prochain épisode ^^
