Salut tout le monde et bienvenue pour cette première fanfiction Harry Potter - Fifi la folle à l'école des obsédés !

Le but n'est pas très original - réecrire les septs tomes d'Harry Potter avec un crossover de Fifi Brindacier !

Oui, oui vous avez bien lu :p

Sur ce, je vous laisse lire ce premier chapitre et on se retrouve en bas pour les anecdotes d'écriture ! ;)

Bonne lecture !


Chapitre 1 - La Création

C'était une belle journée d'été au Chemin des Pervers. En effet, le soleil brillait, les boutiques marchaient comme jamais à cause des SOLDES. Florian Fortarôme, le célèbre glacier de la rue, avait sortis un nouveau parfum pour ses glaces ; elles étaient aux crottes de nez de Gobelins, ce qui avait multiplié ses ventes par huit, Madame Guipure avait sortis une nouvelle collection intégralement en cuir en plus de ces 50% de réduction sur ses articles soldés, mais surtout Dumbledore faisait une séance de dédicace chez Fleury & Bott, la célèbre librairie des sorciers.

Une jeune femme venait d'arriver dans l'allée sortant de chez Gringotts, la banque des sorciers où elle était venue retirer une bonne somme de gallions de son compte en banque. Cette femme était habillée d'une façon relativement peu pudique. Elle portait un sac à main en peau de Boursouflet qu'un de ses précieux amis nommé Karl Lagerfeld lui avait offert, de cuissardes en peau de dragons qu'elle venait d'acheter chez Madame Guipure et d'une robe assez courte, dont on pouvait presque apercevoir son string à motif léopard, recouverte de plusieurs ailes de Doxy. Notons également qu'elle portait, comme à son habitude, ses lunettes carrées qui lui donnait un air sévère et dominatrice sur la moitié des habitants de la rue.

Cette jeune femme se nommait Minerva McGonagall. Comme tout les week-end, McGonagall se rendait au Chemin des Pervers à la recherche de nouveaux clients. Il fallait le préciser, McGonagall exerçait l'admirable et le plus ancien métier sur Terre ; celui de péripatéticienne ou plus communément appelé prostituée. Elle était très connu auprès de toute la population sorcière de Grande-Bretagne. En effet, nombreux avaient été ceux qui s'étaient payés les services de cette jeune femme. C'était l'une des prostituées les plus réputées de toute la contré et même de l'autre côté de l'Atlantique, en Amérique, on avait déjà entendu parler de McGonagall la fille de joie. Pour beaucoup, se payer les services de cette femme était la plus belle chose qu'ils n'avaient jamais fait. Ils avaient vécu leur plus belle partie de jambe en l'air avec cette drôle de dame. C'était ça de s'appeler McGonagall et d'être une pétasse expérimentée et très respectée ; elle faisait de l'ombres à toutes ses collègues.

Dans la rue, tout le monde se retourna vers elle. Un vieux couple, assis sur les marches du magasin d'Apothicaire se disputaient.

- Je t'ai vu matter ses fesses espèce de vieux cochon !

- Ta gueule vieille mamie, elle au moins elle est pas frigide comme toi.

CLAC ! La vieille femme avait frappée son mari d'une telle force qu'il allait garder la cicatrice toute sa vie. Les autres passants admiraient le magnifique fessier de McGonagall au point de tous bander. Même les femmes en mouillaient presque. D'autres fixaient ses magnifiques seins qu'elle avait fait augmenter dans sa jeunesse à l'aide d'un sortilège de Gavage mais ça, personne n'était au courant sauf elle et son meilleur ami, sa foufounah, Dumbledore. McGonagall passait et tout le monde s'écartait, McGonagall dominait et tout le monde s'inclinaient. C'était l'une des règles essentielles du Chemin des Pervers.

Pourtant, McGonagall ne semblait pas d'humeur à avoir un client aujourd'hui. Non, elle était pressée, très pressée même. Elle devait impérativement parler à son patron ; le célèbre acteur pornographique Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore.

Lorsqu'elle entra dans la boutique Fleury & Bott, McGonagall dût constater la célébrité mondiale de Dumbledore. Il y avait des sorciers de presque toutes les nationalités du monde ; des Américains, des Français, des Sénégalais et même des Malgaches.

Dumbledore était considéré par tout le monde comme une célébrité mondiale. Il avait commencé sa carrière d'acteur dans des petits films comme La Baguette XXL. Puis, enchaînant rôle sur rôle, il avait réussis à obtenir un poste de professeur de Métamorphose à l'école de sorcellerie Poudlard. À côté de son mêtier de professeur, il avait continué sa carrière d'acteur, obtenant même le premier rôle dans Uagadou et le sceptre sexuel. Aujourd'hui, il était devenu directeur de Poudlard et avait engagé McGonagall en tant que professeur de Métamorphose également. Il était venu chez Fleury & Bott pour faire la promotion de son film qu'il avait lui même produit ; Double rations de petits pois. Ce film avait été acclamé par les critiques. Closer Witch, le célèbre magazine people du monde des sorciers, disait que "c'était l'un des meilleurs films de toute l'année", Rita Skeeter de la Gazette du Sorcier, quant à elle, s'était exprimée et avait écrit que "jamais elle n'avait autant mouillée devant un film". Toute la communauté des sorciers étaient fanatiques de Dumbledore que ce soit les adultes, les adolescents, les enfants et même les bébés. Dumbledore n'avait à présent que deux rivaux ; Voldemort et Celestina Moldubec qui faisait tout pour sortir de l'ombre allant même jusqu'à se prostituer elle aussi ainsi que de participer à la télé-réalité suivante ; Les Sorciers à Cancùn. Elle avait néanmoins réussis à faire le buzz avec sa célébre phrase ;

- Non mais allô, t'es une sorcière et t'as pas de baguette magique ? Non mais allô quoi.

Néanmoins, elle n'arrivait toujours pas à atteindre la popularité de Dumbledore et il fallait l'admettre ; il avait de meilleurs talents qu'elle dans beaucoup plus de domaines.

McGonagall essaya de se faufiler entre la foule. Certains l'insultèrent, d'autres lui crachèrent dessus. Un bébé lui pinça même le téton pour l'avoir doublé.

- Les gosses de nos jours, se dit-elle.

Après plusieurs minutes, McGonagall abandonna et décida de crier rage. Elle n'allait pas se laisser faire, non, certainement pas. C'était une queen et il fallait le rappeler.

- Poussez vous, cria-t-elle, laissez moi passer !

En vain, personne ne l'avait écouté et tout le monde criait à répétition :

- On t'aime Dumbledore !

Quelle horreur. Minerva McGonagall n'eut d'autre choix que de faire la queue derrière des centaines de fans juste venus faire dédicacer leur film. Les minutes, les heures défilèrent et elle fut enfin arrivée à la table de Dumbledore après un bébé et sa maman.

- Vous savez, mon fils et moi sommes très fier de vous. N'est-ce pas Albus ?

- Areuh.

- Oh regardez, il vous dit je t'aime ! Je l'ai appelé comme vous.

- Trop mignon... avait dit Dumbledore, un large sourire jusqu'aux oreilles. Suivant !

Minerva arriva face à la table de Dumbledore dont le visage s'illumina à la vue de sa collègue.

- Oh, Minerva quel plaisir de vous voir ! fit Dumbledore lorsqu'il la vit s'approcher de la table.

- Il faut qu'on parle Albus, répondit-elle, les sourcils froncés, un air sérieux qui lui ressemblait guère.

- Oui bien sûr ma chère, asseyez-vous, allez-y.

Il ne fallut pas lui demander deux fois pour que McGonagall dépose son magnifique et célèbre postérieur sur l'une des chaises. Elle était exactement face à Dumbledore. À droite de Dumbledore, deboùt, se tenait une créature imposante, de couleur verdâtre, qui puait la crasse et la transpiration. McGonagall n'eut aucun mal à reconnaître la créature ; il s'agissait d'un troll. Sans doute un nouveau fétiche de Dumbledore connus pour ses nombreuses relations.

En effet, toutes les créatures étaient passés sur ou sous Dumbledore sauf le Poudlard Express. Tout y était passé ; humain, êtres de l'eau, gobelins, elfes de maison, spectres, tout, absolument tout.

McGonagall qui avait toujours les sourcils froncés, ignora la créature et posa son sac par terre. Quand McGonagall posait son sac par terre, ce n'était pas bon signe mais alors là pas du tout !

- Vous voulez un autographe Minerva ? demanda Dumbledore.

- J'en ai déjà des centaines de vous Albus, je n'en ai pas besoin. On dirait que votre nouveau film fait fureur.

- C'est vrai mais ils ne sont pas venus que pour cela, regardez l'affiche !

Placardées contre les vitres, plusieurs dizaines d'affiches montraient Dumbledore en petite tenue avec en dessous en grosse lettre ; Venez pour la dédicace de Dumbledore ainsi que pour des informations concernant sa nouvelle rubrique dans la Gazette du Sorcier !

- Une nouvelle rubrique ?demanda McGonagall, étonnée que Dumbledore ne l'ait pas prévenu.

- Oui, une nouvelle rubrique hebdomadaire nommée La vie sexuelle de Dumbledore, il avait dit ça d'un ton enthousiaste comme si il présentait une marque de Shampooing. Au fait, je te présente Gérard, mon nouveau compagnon, fit Dumbledore.

Voilà comment se nommait l'immonde créature qui servait, en plus d'être garde du corps, de petit copain à Dumbledore ; Gérard. Une question vint à l'esprit de McGonagall, était-ce Dumbledore qui l'avait nommé ainsi ou Gérard, le troll dégoutant qui puait, savait parlait. Visiblement non vue que les seuls mots, que dis-je, les seuls sons qui sortaient de sa bouche étaient des Groaaar ! ou des Grrrr ! ce qui irrita McGonagall.

- Albus, je voulais vous parler...

- Groaaarrr!

- Oh, Gérard, non, ne t'énerves pas ! calma Dumbledore avant de déposer une dizaine de baisers sur les lèvres baveuses de Gérard.

McGonagall sentit une boule au ventre car en réalité, elle était jalouse. Elle avait toujours aimé Dumbledore, toujours. Elle avait toujours désiré être l'une de ses conquêtes mais il fallait se rendre à l'évidence, Dumbledore préférait tout ce qui avait un phallus. Tout le personnel masculin de Poudlard était passé sous le bureau de Dumbledore ; Flitwick, Hagrid, Rusard et même Binns ! Binns, le fantôme! Il n'y avait que les femmes qui n'avait pas goutté à la douceur qui fascine et au plaisir qui tue qu'était Albus Dumbledore.

- Bon, je vois que vous êtes occupés. Bonne journée, fit McGonagall en se levant de sa chaise les larmes qui lui montaient aux yeux.

- Groaaaar ! rugit Gérard.

- Non, Minerva ! Ne partez pas ! cria Dumbledore en attrapant la main de McGonagall.

McGonagall dégagea violemment sa main, prenant au passage son sac à main, et partit en direction du Chaudron Éjaculateur. Elle avait loué une chambre dernièrement. Ses larmes coulaient le long de ses joues. Dumbledore était un connard, jamais il n'avait voulu de McGonagall, jamais. C'était pourquoi elle s'était vengée. Elle avait trouvé quelqu'un d'autre, quelqu'un capable de détruire Dumbledore. Il s'agissait du plus grand mage noir de Grande Bretagne ; l'ennemi de Voldemort. Pourtant, aujourd'hui en cette belle journée d'été, elle aurait aimé lui dire à Dumbledore la vérité, la vérité sur le mal qu'elle avait fait.

À l'intérieur de la chambre, il était là, son amant. Ses cheveux roux ébouriffés, ses habits en velours violet, ses beaux yeux bleus, McGonagall se mordit la lèvre inférieure.

- Que fais-tu là ? demanda-t-elle après avoir soigneusement refermée la porte.

L'homme ne répondit pas. Il enleva sa cravate, la jeta sur le lit, ainsi que sa veste et sa chemise. Il était torse nu à présent. On pouvait voir ses belles tablettes dessinées sur son corps musclé. Il s'approcha d'elle et lui déposa un langoureux baiser dans le cou. Puis il posa sa main droite sur son dos pour faire glisser la fermeture de sa robe. Elle se laissa faire, elle avait terriblement envie de lui. Elle était à présent nu. L'homme lécha son téton droit avant de la prendre par les deux jambes et de la poser sur le lit. Avant d'enlever son pantalon, il sortit un petit emballage métallique ; une capote en peau de Quintaped. Il enleva son pantalon et déposa le préservatif sur son long sexe. Puis, il commença à entrer dans l'antre de McGonagall.

Elle était aux anges, certes elle voyait chaque jour des dizaines de clients passer sur elle mais lui, c'était différent. Lui, elle l'aimait. Elle était sur le point de jouir, lui aussi d'ailleurs. Après plusieurs vas-et-viens, un problème survint. La capote en peau de Quintaped avait craqué et il avait jouit.


Alors, ça vous a plu ? :p

Quelques anecdotes d'écriture :

- L'idée d'une fanfiction avec Fifi Brindacier me revient de loin, très loin. J'ai toujours trouvé le personnage trop drôle et l'idée de l'inclure dans le monde magique de Harry Potter était marrant.

- Comme vous avez pu le lire, il y a pleins de dérives sexuelles dans le monde des sorciers... Si vous n'aimez pas, désolé, il va falloir vous y habituer.

- McGonagall, la pétasse la plus célèbre, pas très crédible certes mais personnellement, je la vois bien comme ça.

- Le moment où elle arrive au Chemin des Pervers est inspiré de Pretty Woman. J'ai d'ailleurs écris le chapitre avec la musique du film dans les écouteur :ssss

- Critiquez pas mes goûts cinématrographiques.

- Svp

- Dumbledore star du X... Peut-être que j'en fais trop.

- Gérard le troll, trop mignon, par contre ça doit faire mal.

- Je parle évidement de s'accoupler avec Gérard.

- Si vous êtes gentils peut-être que je ferais un chapitre spécial Dumbledore x Gérard.

- Que si vous êtes gentils hein ?

- Qui est l'ennemi de Voldemort ? Hmm... Mystère et... boule de gomme ?

- La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Baudelaire je t'aime.

- Je suis amoureux de Baudelaire et je suis fier de le dire.

- J'emmerde les anti-baudelairiens, vous n'avez pas honte ?

Voilà, c'est tout pour les anecdotes. Et maintenant pourquoi pas des Reviews ?!