Ceci est un Draco/Ginny, au début je ne voyais pas du tout l'histoire comme
ça, et puis mon opinion a changé, du coup c'est classé R. Soyez indulgents!
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Chapitre 1
Ginny était recroquevillée sur elle-même, dans un coin sombre de la bibliothèque. Elle pleurait doucement, sans faire de bruit. Au début, elle ne pouvait s'empêcher de hurler, de sangloter. Mais à présent, elle se contentait de verser des larmes en silence.
Comment tout cela avait-il commencé?
.................
flash back
.................
Fin de sa cinquième année.
Ce jour-là, les amies de Ginny l'avaient convaincues de les laisser la préparer. Elle voulait tellement plaire à Harry! Mais il sortait avec Cho Chang. En plus, Ginny n'était pas à l'aise dans des vêtements trop féminins.
Enfin bon, c'était la fin de l'année, et puis ce n'était que pour une journée. On verrait bien ce que ça donnerait!
Parvati lui avait prêté une jupe qui lui arrivait juste au-dessus des genoux, un chemisier blanc serré et une paire de chaussures noires à talon. Jessica, une fille de sa classe, l'avait maquillée avec art et Lavande s'était occupée de sa coiffure.
Lorsqu'elles eurent terminé, Ginny eut du mal à se reconnaître. C'était elle, mais tellement différente! Le miroir lui renvoyait l'image d'une belle jeune femme divinement sculptée.
La jupe laissait voir ses longues jambes fines et blanches. Alors que personne n'avait jamais soupçonné que Ginny avait des formes sous ses larges robes élimées, le chemisier mettait en valeur sa poitrine, parfaitement formée, et son ventre plat. La coiffure, un chignon dont s'échappaient quelques mèches rousses, lui donnait un air de princesse, et le maquillage, mascara noir et fard à paupière vert, agrandissait encore plus ses yeux couleur noisette.
- Alors là, je dois dire qu'on a fait du bon boulot! déclara Lavande. Si avec ça ton Potter ne te remarque pas, c'est qu'il est vraiment un cas désespéré!
- Et puis au pire, ajouta Lavande, s'il préfère toujours Cho, de toute façon tu n'auras que l'embarra du choix, avec tous les garçons qui vont te courir après!
Ginny se sentit un peu gênée, mais tellement fière!
Lorsqu'elles descendirent en salle commune, tous les regards se pointèrent sur Ginny. Ce fut Ron qui vint lui parler le premier.
- Mais qu'est ce que tu fais dans cette tenue!
- Quoi? Ca ne te plait pas?
- Non! Ma petite sœur ne peut pas s'habiller comme... comme...
- Comme une fille? C'est ça? explosa Ginny. Mais je SUIS une fille, Ron! Et puis tu ne diriges pas ma vie, que je sache! Je m'habille comme je veux! Si c'est pour me dire des trucs pareils, et bien ne m'adresse plus la parole, ce n'est pas la peine!
Là-dessus, elle alla s'asseoir dans un fauteuil près du feu, suivie de ses amies. Un garçon de sixième année, David Relra, l'un des tombeurs du collège, s'assit à côté d'elle.
- Il a tort, ton frère. Tu es magnifique.
Ginny rougit furieusement sous le coup du compliment. Elle bafouilla un vague "merci", mais le garçon fit semblant de ne pas remarquer sa gêne. Il continua:
- Je m'appelle David, je ne sais pas si tu vois qui je suis.
- Oh si! Enfin je veux dire...
Et ils parlèrent comme ça pendant un bon moment, sous le regard envieux des autres garçons.
David était gentil, et au bout de quelques jours, alors qu'ils se promenaient, seuls, dehors, il lui dit qu'il l'aimait, et l'embrassa. Ginny fut transportée par son premier baiser. Mais cette félicité la quitta bien vite.
Au moment de se séparer, David lui demanda de ne plus s'habiller comme ça, parce qu'il ne voulait pas que les autres garçons la regardent. Elle reprit donc ses vieux vêtements. David voulait aussi que leur relation reste secrète, pour "sa propre sécurité". En effet, elle devait comprendre qu'il avait beaucoup d'admiratrices, et qu'elles risquaient de s'en prendre à elle.
La jeune fille accepta ces conditions sans broncher. Elle ne voyait même plus Harry. Il n'y avait plus que David, beau, populaire, et amoureux d'elle.
Mais une semaine après ce premier baiser, tout bascula.
David tenait Ginny contre lui, dans une pièce secrète du château. Elle somnolait, heureuse, quand elle sentit les mains du garçon commencer à déboutonner son chemisier. Elle le rappela doucement à l'ordre, mais il ne semblait pas l'entendre. La jeune fille essaya de se dégager, mais David la tenait fermement.
- David! Arrête!
- Allez, tiens-toi tranquille!
- S'il te plait, je ne suis pas prête pour ça!
- Mais qu'est ce que tu racontes! Bien sûr que t'es prête!
A présent, son chemisier était complètement ouvert, et il s'attaqua à son soutient-gorge. Ginny commençait à paniquer.
- Arrête! David arrête!
Elle criait. Le garçon la lâcha, se planta en face d'elle et lui décolla une grande gifle qui l'assomma à moitié.
Horrifiée, elle sentit qu'il lui arrachait sa jupe et le reste de ses vêtements. Elle recommença à hurler et à supplier, mais il la gifla de nouveau. Le temps qu'elle reprenne ses esprits, il était sur elle. Lorsqu'il entra en elle, elle poussa un cri de douleur. Mal. Ca faisait vraiment mal. Elle avait l'impression que son ventre allait exploser. Elle se mit à sangloter. Il partit en va et viens de plus en plus rapides, et la douleur augmentait à chaque fois. Puis il poussa un grognement et avec un spasme de dégoût elle le sentit se vider en elle. Puis il se releva, remit son pantalon et, en lui prenant le menton, la força à le regarder.
- Parle de ça à qui que ce soit, et ton père est viré. Mes parents ont énormément d'influence sur le ministère, et qui se soucie du licenciement d'un employé de bas étage? Et ce n'est pas la peine d'essayer de me fuire, tu es à moi, entièrement, et à mon entière disposition. Maintenant tu m'excuses, mon amour, il faut que j'aille travailler.
Et il l'avait laissée là, seule avec sa douleur et ses larmes, écartelée sur la pierre froide.
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fin du flash back
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La jeune fille avait cru que tout serait fini après la fin des cours, mais l'année suivante, il avait recommencé à l'entraîner dans les placards ou dehors, et il continuait à la violer. Elle était couverte d'ecchymoses, car cela semblait attiser son désir.
Ce matin, il l'avait particulièrement frappée, avant de prendre son pied et de la laisser étendue sur le sol d'une salle de classe désaffectée.
Comme d'habitude, elle s'était traînée jusqu'à la bibliothèque, le seul endroit où elle arrivait à trouver un semblant de sérénité.
Elle ne vit pas entrer une autre personne, plusieurs parchemins sous le bras. Elle était si fatiguée! Doucement, elle sombra dans le sommeil.
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David était devant elle, nu, et se couchait sur son ventre. Et de nouveau, le viol, la douleur, le désespoir. Tout en allant et venant sur elle, il lui tailladait le corps avec un couteau, lui causant des blessures de plus en plus profondes. Autours d'eux défilaient tous ceux qu'elle connaissait. Ses parents, ses frères, ses amies, et tous la regardaient avec indifférence. Elle entendit son père déclarer:
- Il est très bien ce garçon! Grâce à lui je garderai mon emploi! Allons, Virginia, mets-y un peu de cœur!
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- Eh! Weasley! Réveille-toi! C'est qu'un rêve!
Ginny ouvrit les yeux. Draco Malfoy se tenait devant elle, et lui secouait les épaules. Elle avait crié.
- Un peu de silence!
Madame Pince, la bibliothécaire, leur lançait des éclairs derrière ses grosses lunettes.
Le serpentard entraîna la jeune fille hors de la bibliothèque.
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Fin du premier chapitre. Si tout va bien, j'en publierai un toutes les semaines.
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Chapitre 1
Ginny était recroquevillée sur elle-même, dans un coin sombre de la bibliothèque. Elle pleurait doucement, sans faire de bruit. Au début, elle ne pouvait s'empêcher de hurler, de sangloter. Mais à présent, elle se contentait de verser des larmes en silence.
Comment tout cela avait-il commencé?
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flash back
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Fin de sa cinquième année.
Ce jour-là, les amies de Ginny l'avaient convaincues de les laisser la préparer. Elle voulait tellement plaire à Harry! Mais il sortait avec Cho Chang. En plus, Ginny n'était pas à l'aise dans des vêtements trop féminins.
Enfin bon, c'était la fin de l'année, et puis ce n'était que pour une journée. On verrait bien ce que ça donnerait!
Parvati lui avait prêté une jupe qui lui arrivait juste au-dessus des genoux, un chemisier blanc serré et une paire de chaussures noires à talon. Jessica, une fille de sa classe, l'avait maquillée avec art et Lavande s'était occupée de sa coiffure.
Lorsqu'elles eurent terminé, Ginny eut du mal à se reconnaître. C'était elle, mais tellement différente! Le miroir lui renvoyait l'image d'une belle jeune femme divinement sculptée.
La jupe laissait voir ses longues jambes fines et blanches. Alors que personne n'avait jamais soupçonné que Ginny avait des formes sous ses larges robes élimées, le chemisier mettait en valeur sa poitrine, parfaitement formée, et son ventre plat. La coiffure, un chignon dont s'échappaient quelques mèches rousses, lui donnait un air de princesse, et le maquillage, mascara noir et fard à paupière vert, agrandissait encore plus ses yeux couleur noisette.
- Alors là, je dois dire qu'on a fait du bon boulot! déclara Lavande. Si avec ça ton Potter ne te remarque pas, c'est qu'il est vraiment un cas désespéré!
- Et puis au pire, ajouta Lavande, s'il préfère toujours Cho, de toute façon tu n'auras que l'embarra du choix, avec tous les garçons qui vont te courir après!
Ginny se sentit un peu gênée, mais tellement fière!
Lorsqu'elles descendirent en salle commune, tous les regards se pointèrent sur Ginny. Ce fut Ron qui vint lui parler le premier.
- Mais qu'est ce que tu fais dans cette tenue!
- Quoi? Ca ne te plait pas?
- Non! Ma petite sœur ne peut pas s'habiller comme... comme...
- Comme une fille? C'est ça? explosa Ginny. Mais je SUIS une fille, Ron! Et puis tu ne diriges pas ma vie, que je sache! Je m'habille comme je veux! Si c'est pour me dire des trucs pareils, et bien ne m'adresse plus la parole, ce n'est pas la peine!
Là-dessus, elle alla s'asseoir dans un fauteuil près du feu, suivie de ses amies. Un garçon de sixième année, David Relra, l'un des tombeurs du collège, s'assit à côté d'elle.
- Il a tort, ton frère. Tu es magnifique.
Ginny rougit furieusement sous le coup du compliment. Elle bafouilla un vague "merci", mais le garçon fit semblant de ne pas remarquer sa gêne. Il continua:
- Je m'appelle David, je ne sais pas si tu vois qui je suis.
- Oh si! Enfin je veux dire...
Et ils parlèrent comme ça pendant un bon moment, sous le regard envieux des autres garçons.
David était gentil, et au bout de quelques jours, alors qu'ils se promenaient, seuls, dehors, il lui dit qu'il l'aimait, et l'embrassa. Ginny fut transportée par son premier baiser. Mais cette félicité la quitta bien vite.
Au moment de se séparer, David lui demanda de ne plus s'habiller comme ça, parce qu'il ne voulait pas que les autres garçons la regardent. Elle reprit donc ses vieux vêtements. David voulait aussi que leur relation reste secrète, pour "sa propre sécurité". En effet, elle devait comprendre qu'il avait beaucoup d'admiratrices, et qu'elles risquaient de s'en prendre à elle.
La jeune fille accepta ces conditions sans broncher. Elle ne voyait même plus Harry. Il n'y avait plus que David, beau, populaire, et amoureux d'elle.
Mais une semaine après ce premier baiser, tout bascula.
David tenait Ginny contre lui, dans une pièce secrète du château. Elle somnolait, heureuse, quand elle sentit les mains du garçon commencer à déboutonner son chemisier. Elle le rappela doucement à l'ordre, mais il ne semblait pas l'entendre. La jeune fille essaya de se dégager, mais David la tenait fermement.
- David! Arrête!
- Allez, tiens-toi tranquille!
- S'il te plait, je ne suis pas prête pour ça!
- Mais qu'est ce que tu racontes! Bien sûr que t'es prête!
A présent, son chemisier était complètement ouvert, et il s'attaqua à son soutient-gorge. Ginny commençait à paniquer.
- Arrête! David arrête!
Elle criait. Le garçon la lâcha, se planta en face d'elle et lui décolla une grande gifle qui l'assomma à moitié.
Horrifiée, elle sentit qu'il lui arrachait sa jupe et le reste de ses vêtements. Elle recommença à hurler et à supplier, mais il la gifla de nouveau. Le temps qu'elle reprenne ses esprits, il était sur elle. Lorsqu'il entra en elle, elle poussa un cri de douleur. Mal. Ca faisait vraiment mal. Elle avait l'impression que son ventre allait exploser. Elle se mit à sangloter. Il partit en va et viens de plus en plus rapides, et la douleur augmentait à chaque fois. Puis il poussa un grognement et avec un spasme de dégoût elle le sentit se vider en elle. Puis il se releva, remit son pantalon et, en lui prenant le menton, la força à le regarder.
- Parle de ça à qui que ce soit, et ton père est viré. Mes parents ont énormément d'influence sur le ministère, et qui se soucie du licenciement d'un employé de bas étage? Et ce n'est pas la peine d'essayer de me fuire, tu es à moi, entièrement, et à mon entière disposition. Maintenant tu m'excuses, mon amour, il faut que j'aille travailler.
Et il l'avait laissée là, seule avec sa douleur et ses larmes, écartelée sur la pierre froide.
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fin du flash back
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La jeune fille avait cru que tout serait fini après la fin des cours, mais l'année suivante, il avait recommencé à l'entraîner dans les placards ou dehors, et il continuait à la violer. Elle était couverte d'ecchymoses, car cela semblait attiser son désir.
Ce matin, il l'avait particulièrement frappée, avant de prendre son pied et de la laisser étendue sur le sol d'une salle de classe désaffectée.
Comme d'habitude, elle s'était traînée jusqu'à la bibliothèque, le seul endroit où elle arrivait à trouver un semblant de sérénité.
Elle ne vit pas entrer une autre personne, plusieurs parchemins sous le bras. Elle était si fatiguée! Doucement, elle sombra dans le sommeil.
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David était devant elle, nu, et se couchait sur son ventre. Et de nouveau, le viol, la douleur, le désespoir. Tout en allant et venant sur elle, il lui tailladait le corps avec un couteau, lui causant des blessures de plus en plus profondes. Autours d'eux défilaient tous ceux qu'elle connaissait. Ses parents, ses frères, ses amies, et tous la regardaient avec indifférence. Elle entendit son père déclarer:
- Il est très bien ce garçon! Grâce à lui je garderai mon emploi! Allons, Virginia, mets-y un peu de cœur!
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- Eh! Weasley! Réveille-toi! C'est qu'un rêve!
Ginny ouvrit les yeux. Draco Malfoy se tenait devant elle, et lui secouait les épaules. Elle avait crié.
- Un peu de silence!
Madame Pince, la bibliothécaire, leur lançait des éclairs derrière ses grosses lunettes.
Le serpentard entraîna la jeune fille hors de la bibliothèque.
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Fin du premier chapitre. Si tout va bien, j'en publierai un toutes les semaines.