« Ansuz Wolfsangel »

La Lame du Vent

Lordess Ananda Teenorag


Titre : « Ansuz Wolfsangel – la Lame du Vent »

Auteur : Lordess Ananda Teenorag

Série : Inazuma Eleven Go

Genre : Alternate Universe – Fantasy, Suspense, Adventure, Supernatural, Romance.

Résumé : Lorsque le dernier Descendant des Lames rencontre l'Elu du Vent, sa nature de Seishin se réveille – héritée du Sang de la Reine des Louves aux Yeux d'Ambre, sa mère. Cible des dirigeants, il n'a d'autre choix que de maîtriser ses pouvoirs avec son nouveau compagnon.

Personnages principaux : Victor Blade (Kyousuke Tsurugi), Arion Sherwind (Tenma Matsukaze)

Personnages secondaires : Vladimir Blade (Yuuichi Tsurugi), Bailong (Hakuryuu), Lalaya Obies (Raraya Obiesu)

Pairing principal : Victor Blade (Kyousuke Tsurugi) x Arion Sherwind (Tenma Matsukaze)

Pairings secondaires : Victor Blade (Kyousuke Tsurugi) x Bailong (Hakuryuu), Victor Blade (Kyousuke Tsurugi) x Goldie Lemmon (Kinako Nanobana), Vladimir Blade (Yuuchi Tsurugi) x Julia Blaze (Yuuka Gouenji), Lalaya Obies (Raraya Obiesu) x Bitway Ozrock (Bittowei Ozurokku)


Note : Que celui qui n'a jamais trouvé les yeux de Victor fascinants lève la main. Pour tous les autres, adressez-vous à Bailong, qui prend toutes les abonnements au Club des Yeux Triangulaires en vertu d'une cacahuète par an.

Dédicace : Dédiée à un membre VIP du Club des Yeux Triangulaires, maboroshi no sekai.


~…~

Futhark Fehu : Le Sang du Loup

~…~


« Je m'appelle Arion Sherwind. »

L'innocent, tout petit Pégase, souriait au ciel et jouait avec la brise.

Celui que le Vent bénissait avait pour destinée de voler – jusqu'à toucher le ciel.

« Encore plus haut… toujours plus haut. Je peux… toucher le ciel ! »


« Je m'appelle Victor Blade. »

Le sombre, magnifique Loup, perçait les ténèbres et dévoilait le mal.

Celui que l'Ombre enveloppait avait pour destinée de combattre – jusqu'à traverser le monde.

« Tes sentiments sont-ils assez forts pour vaincre tes obstacles ? Seras-tu leur prédateur, ou leur proie ? »


Royaume de Gaïa.

Soir crépusculaire.


føðesk ulfr í skóge

'Le Loup vit dans la forêt'

Le poème du Loup argentait le blason Wolfsangel – l'emblème de la famille Blade. Depuis moult dynasties, cette dernière avait servi les plus grands dirigeants de l'Univers. Mais nul ne savait, à chaque décennie, qui s'estimait apte à gouverner ce monde.

Le plus jeune Descendant des Lames ne faisait pas exception. Aussi sombre que la nuit, mais aussi éclatant que l'Etoile d'Ambre qui s'en détachait (du Nom de la mystérieuse Courtisane Suprême), Celui qui abritait l'Âme du Loup parcourait les ruines de l'élégant manoir familial.

'Le Jour est arrivé. Il est déjà là… que je n'aurais eu le temps de grandir, pour m'occuper des miens.'

« Victor ! »

Au son de la voix familière, les iris d'ambre du jeune Chevalier s'adoucirent. L'être qui la portait était celui qu'il aimait le plus sur cette terre.

« Grand frère. »

Alors que – gêné par sa longue canne – l'Aîné Blade s'installait lentement sur le parapet, le plus jeune s'était glissé près de lui, étonnamment souple par rapport à lui.

« Comment te sens-tu, aujourd'hui ? »

Mais il n'en tirait aucune fierté. Au contraire, une douleur sourde lui tordait les tripes…

« Je vais bien. Mais toi, Victor ? »

… lui étreignait toujours le cœur – lui que l'on disait plus froid que la nuit. Et Celui qui portait l'Âme du Loup si féroce avec ses ennemis, n'avait jamais le courage de mentir à son frère.

« … »

Il détourna donc les yeux.

« Victor… je… je ne sens plus mes jambes ! »

« Vlad ! Non… non… NOOONNN ! VLAAAAD ! »

Vladimir Blade, fine Lame en devenir, avait sacrifié sa santé pour sauver celle de son petit frère – il y avait de cela longtemps. Meurtri par la vie dans son corps, l'Aîné Blade restait pourtant si serein.

« … »

« Petit frère. »

C'était le Cadet qui restait meurtri, dans son âme, de la blessure de son frère aimé.


« Et qui s'occupera de toi, Victor ? »

Ce dernier eut un étrange rictus – comme s'il trouvait la question déplacée. Qui s'occuperait de lui ? Mais, lui-même, bien sûr. Comme s'il avait besoin que quelqu'un s'occupe de lui. La dernière fois que cela était arrivé… son ami le plus cher en avait payé l'ultime prix.

Non, il n'allait pas le laisser le protéger comme jadis. C'était lui qui allait s'occuper de son frère, lui qui allait lui rendre sa santé, lui qui allait protéger son existence.

Lui qui lui avait volé sa vie, allait la lui rendre par sa seule force.

« Es-tu toujours aussi dur avec toi-même, Œil d'Ambre ? »

Un éclat – un sursaut. L'instant d'après, Victor avait dégainé sa lame – prêt à inciser une chair qui ne serait ni la sienne, ni celle de son frère.

« Qui va là ?! Qui es-tu ?! »

'Je… je ne l'ai même pas senti venir ?!'

Ses iris aigus perçaient l'ombre de leur éclat doré – mais en vain. Lui qui avait les sens les plus aiguisés de Gaia, ne parvenait pourtant à saisir les ancestrales ténèbres qui gardaient le secret de leur intrusion.

'Est-ce donc là… mon niveau ?'

La voix résonna – comme répondant à sa pensée plutôt qu'à ses paroles.

« Ne t'inquiète pas, Œil d'Ambre. Je viens en ami. »

« Celui que je ne connais guère n'est pas mon ami. Montre-toi. »

La voix provenait… du petit bois aux songes. S'il portait un coup dans cette direction…

…il l'atteindrait en plein cœur.

« Ne me tue pas. Je ne viens que te délivrer un message. Les Ténèbres ont parlé. »

Sans pour autant rengainer son arme, le Cadet des Lames baissa légèrement sa garde. Pourtant, ses yeux orangés soudainement étrécis trahissaient son irritation.

'Un Devin ? Pff. Une engeance que je ne supporte pas. Enfin, voyons ce qu'il va me dire.'

Il ne croyait pas à ces sornettes lues dans les étoiles, ou les fleurs. Les prédictions de Ceux qui Voyaient ne représentaient aucun intérêt pour lui – fussent-elles celles de la gloire, de l'amour ou de la richesse. Seul importait… sa famille.

« L'Âme du Loup est en toi. »

'Quoi ?! Mais comment…'

Ses pupilles se dilatèrent, et une sorte de rage le posséda soudainement. Comme à celle qu'il avait éprouvée…

…lorsqu'il avait, pour la première fois, senti le Vent lui toucher le visage.


Quartiers des Paladins.

Soirée avancée.


« L'Âme du Loup est en toi. »

Oubliant toute retenue, il avait avancé – l'épée étincelante et les iris plus flamboyants encore.

« Qu'est-ce que cela peut te faire ?! »

Mais l'Ombre Ancestrale s'était dissipée, dans son ultime message.

« Laisse le Vent t'emporter dans sa course. Le Zéphyr est ton compagnon, toi qui cherches à te dépasser. Ainsi… »

tu dépasseras tes propres ténèbres, toi dont la puissance est faite d'ombre.

Un rictus se dessina sur les traits aussi fins que ceux des étoiles.

'Quelle prédiction stupide. Il faudra que je patrouille davantage dans le jardin du manoir, afin de chasser les intrus de ce genre.'

Victor n'aimait pas les Quartiers des Paladins. L'atmosphère qui y régnait, après une certaine heure, lui rappelait celle des assoiffés de la Taverne – âmes perdues d'un lieu qui l'était plus encore. Lui, épris de solitude et sobre comme un ermite, ne s'y rendait jamais, hormis pour le travail – contrairement à ses confrères.

Malheureusement, c'était là que le Formateur l'avait convoqué.

« Maître. Vous m'avez mandé ? »

« Oh, Victor. Te voilà. »

Saber Sabel, Formateur de l'Escadron des Chevaliers Noirs, était son Supérieur direct. L'ayant nommé à la tête de cette Unité d'Elite, il lui avait fait savoir que les hauts placés attendraient tout autant de lui.

« Il y a quelqu'un qui serait intéressé par tes talents. Laisse-moi te présenter… »

« Ha ha ha ha ! »

Interloqué par cette réaction, le Cadet des Lames haussa poliment un sourcil. Mais, pour une courte durée, car le corpulent inconnu posa brusquement son verre sur la table : puis darda un regard sur le garçon, intéressé.

« Oh… ces yeux. Tu es un Descendant de la Grande Courtisane Etoile d'Ambre, n'est-ce pas ? »

Si la forme aigue des prunelles du jeune Paladin – ainsi que sa force de caractère – montrait sans ambigüité son héritage guerrier, l'éclat ambré de ces dernières rappelait à tous que Victor Blade portait le Sang des Seishin.

Le silence se fit soudainement autour d'eux.

« (Il parle de… Etoile d'Ambre ? La Courtisane Suprême ?!) »

« (Regarde… regarde ses yeux ! Il a les yeux… les mêmes yeux qu'elle !) »

D'ambre dorée.

Les prunelles magiques du Cadet des Lames intriguaient autant les gens qu'ils les fascinaient. Lui, qui n'avait que faire de l'attention d'autrui, en avait rabroué plus d'un avec ce regard perçant dont lui seul avait le secret. Et si les autres n'avaient pas autant craint la force du jeune homme, ils l'auraient sans doute courtisé.

« Je pense que vous faites erreur, Monsieur. Je suis le Descendant d'Adalric Blade, Grand Général de la Nation Suprême de jadis. »

Devant l'insolence, le Formateur lui lança un regard d'avertissement – qu'il se garda bien de soutenir.

« Ha ha ha ha ! Quel caractère. Adalric le Grand est bien ton père, sans nul doute. Mais, petit, bien que j'apprécie ton audace, tu vas devoir adopter un autre ton avec moi. »

« Victor ! Que sont ces manières ? Cherches-tu à provoquer un incident diplomatique ?! Tu parles au Commandant de la Nation de Faram Obius ! »

Sous la réprimande de son Supérieur, le jeune Paladin s'inclina respectueusement.

« Veuillez accepter mes excuses, Monsieur. Et vous aussi, Maître. Cela ne se reproduira plus. »

« Oh-ho ho, tu es intéressant, jeune homme… alors, comme ça, tu es le Capitaine des Chevaliers Noirs ? »

D'un infime mouvement de tête, ce dernier acquiesça. Car il avait compris où son interlocuteur voulait en venir. La nation de Faram Obius, en pleine expansion militaire, recrutait activement des individus doués en armes ou en stratégie. Et lui qui excellait dans les deux, ainsi que dans le leadership, avait dû intéresser un haut placé.

'Me vendre au Royaume le plus offrant. Vlad serait vraiment déçu. C'est pour ça… que je ne le lui dirai jamais.'

« Oui, Monsieur. »

« Bien, bien, bien. Et si tu me parlais un peu de toi, à présent ? »

Le Royaume de Gaia – anciennement nommé 'Terre' – avait connu un déclin après la défaite de ses champions au Tournoi de la Grande Galaxie. Pour qui habitait ce vieux territoire, jadis connu comme la Belle Planète Bleue, ne restait plus que la voie de l'explanetriation. Et Victor, qui avait besoin d'argent pour aider son frère blessé, avait fait ce choix sans la moindre hésitation.

« Des paroles ne sauraient montrer qui je suis. Mettez-moi à l'épreuve de la façon qu'il vous plaira. »

« Très bien, petit. »


« Yaaaaaaaahh ! »

La Lame incisa la rampe de fer d'un seul coup. Tranché net, l'objet se scinda en deux, sous le regard de tous.

« C'est pas vrai… ! Il a… ! »

« Mais… comment a-t-il réussi à… ! »

Indifférent aux cris stupéfaits des spectateurs, le jeune homme darda ses yeux d'ambre au fond de ceux du Commandant.

'Je ne m'appelle pas Blade pour rien. Ma Lame est plus tranchante que la vie et plus rapide que la lumière.'

« (Bien, Victor.) »

Saber Sabel était pleinement satisfait de son poulain. Talent, détermination, intelligence, obéissance, leadership : Victor Blade, Cadet des Lames de Gaia, était le Chevalier parfait. Un futur grand Général en devenir. Un seul autre, à sa connaissance, avait jamais réussi à l'égaler, en talent comme en charisme… mais avait été envoyé dans une lointaine Unité, pour suivre une formation poussée.

« Je vois que l'on ne t'a pas recommandé à moi en vain, petit. »

« … »

Un ordre d'affectation lui fut lancé : et il le rattrapa en plein vol, tout en rengainant sa lame.

« Tu seras rattaché à l'Escadron des Chevaliers de notre Nation. Sache que les faibles ou les traîtres n'ont pas leur place à Faram Obius, alors réfléchis bien avant de te décider. »

« Ma décision est déjà prise… Commandant. »

D'un air appréciateur, ce dernier sonda son nouveau soldat, avant de se tourner vers lui. Alors que le soleil se couchait sous le pavillon du Quartier guerrier, un éclat fit étinceler le regard perçant du jeune Paladin – envoyant un étrange reflet d'or au fond du lac.

« (Ces yeux… se pourrait-il vraiment… qu'il soit…) »

Saisi d'une inspiration subite, le Commandant reprit – alors qu'il ajustait son propre fourreau de combat.

« Que sais-tu à propos des Courtisanes ? »

« Rien. »

C'était la stricte vérité – du moins, dans son acceptation la plus globale… car tous savaient le plus élémentaire : que les Courtisanes portaient le Sang Maudit des Seishin, des Créatures aux pouvoirs magiques phénoménaux, aussi craints qu'enviés. Qu'elles se distinguaient par une beauté somptueuse, qui étincelait dans leurs yeux extraordinaires. Toute couleur existait, mais, de toutes les nuances, celles d'argent ou d'or étaient les plus précieuses.

Signe de royauté.

Et, lui, avec ses superbes orbes ambrés, taillés en amandes aigues, s'attirait une attention dont il se serait bien passé…

« Faram Obius a besoin de talents. C'est la future Grande Nation en devenir, et tu es assez intelligent pour le savoir, Blade. »

« … »

Un coup aussi rapide que l'éclair : et, de nouveau, une rampe de fer fut tranchée nette – avec autant de précision que celle du Cadet Blade.

« Il nous faut la force de l'épée, le tranchant de l'intelligence, la toute-puissance de la magie… pour régner. S'il nous fallait attraper les Esprits de l'Au-Delà, nous le ferions quand bien même. »

Un léger rictus agita le visage du Chevalier. Il détestait entendre parler de tout ce qui avait trait aux Esprits, et pour cause : leur réputation de tous ceux liés au surnaturel – au Monde de l'Au-Delà – n'était pas bonne. Et lui haïssait d'emblée tout ce qui pourrait ternir le nom des Blade.

'Vlad… Père… je ne laisserai rien ni personne souiller notre héritage. Rien, ni PERSONNE !'

En dépit de ses indéniables aptitudes guerrières, tant de choses en le Cadet des Lames parlaient de son ascendance maternelle. Ce teint étrangement pâle, cette finesse de traits quasi surnaturelle, sa longue silhouette fine et arienne, et, surtout – surtout ! – ces magnifiques prunelles taillées en diamants, à la couleur d'or…

« L'Or est l'apanage du roi. L'Argent est le symbole du puissant. Ne l'oublie jamais, Kyou-chan. »

Que ses iris se teintent d'ambre, qui ne pouvaient provenir d'Adalric le Grand… était la preuve ultime que le Sang du plus royal des Seishin vivait en lui.

« Qu'attendez-vous de moi ? »

Un rire agita le corps immense du Commandant.

« Tu es direct. Mais ça me plaît. Très bien, je vais aller droit au but. »

Le jeune Capitaine des Chevaliers Noirs se tint immobile – gardant cette fois silencieuse son exaspération du surnaturel. Laquelle, hélas, fut de nouveau mise à l'épreuve…

« Connais-tu la Légende des Seishin ? »

'Seishin ? Ben voyons. Encore de ces inepties…'

On racontait que la plus faible de ces Créatures pouvait se transformer à volonté en son animal emblème. Que la Courtisane Suprême, Etoile d'Ambre, était la Reine des Esprits du Royaume de l'Au-Delà. Un jour qu'elle rencontra Adalric Blade, elle prit le nom d'Aglaé Bleiz pour le séduire – sous la forme d'une Louve au pelage aussi sombre, que d'or étaient ses yeux.

« Je la connais sans y croire. »

« Il m'importe peu que tu y croies ou non. Car voici ta première mission. »

Le Commandant de Faram Obius lança un ordre de mission, dont il détacha – d'un seul coup de sabre – le cachet royal.

« Je veux que tu captures celui que l'on dit être la réincarnation du Seishin du Vent… le Paladin Zéphyr. »


Ananda : Et voilà. Après Bailong, il fallait bien que Victor intervienne auss-... AAAHHH ! /manque de se prendre un coup de sabre/

Victor : Tss. Manqué. Dommage. Je ne suis pas encore habitué à manier l'épée... quelqu'un a un ballon de foot ?

Ananda : Je les ai fait enlever, quand je t'ai demandé de jouer pour cette histoire. (Je suis quelqu'un de prudent)

Victor : Et en échange, tu m'as donné une lame. /regard de Loup/ Je crois que je vais gagner au change...

Ananda, pas rassurée : V-victor, r-recule s'il te plaît. /nerveuse/

Victor : ...ta tête. /pointe sa lame/ En tant que Capitaine des Chevaliers Noirs, j'ai besoin de mon quota de victimes...

Vladimir : Allons, Victor. Ce n'est pas une façon de se comporter... tu ne peux pas tuer ton auteure à chaque chapitre.

Victor : ... ... ...tu as raison, ça ferait désordre. /rengaine sa lame, l'air déçu/ Je vais attendre la fin de l'histoire pour ça.

Ananda : Ah, j'ai compris ! Tu es impatient de rencontrer Arion, c'est ça ?

Victor, regard de Loup : ...

Bailong, squattant : Ben voyons. Comme par hasard. ENCORE son petit Sherwind. Quand je pense, Ananda... que tu as OSE ne faire qu'une allusion à moi ! /air furieux/

Ananda : C-c'est la fic de Totor !

Bailong : Je cite : 'Un seul autre, à sa connaissance, avait jamais réussi à l'égaler, en talent comme en charisme… mais avait été envoyé dans une lointaine Unité, pour suivre une formation poussée.' /air furax/ DEUX lignes. (et SANS mon nom.) Et tu prétends tenir à la vie ?!

Ananda : Pour l'amour du ciel, est-ce vous - les personnages - pourriez ARRÊTER de me menacer et de me critiquer à chaque extra de chapitre ?! Je commence à en avoir assez ! /cherche de l'aide/ Sol, dis quelque chose !

Sol : Nan nan. /sourire espiègle/ Comme c'est pas du Arion x moi, ça ne m'intéresse pas...

Ananda : Je suis abandonnée !