Imaginez( j'adore imaginer !!!!) Que c 17 ait été le dernier ennemi de Dragon ball. Ils l'ont battu, mais laissé en vie et il vit retiré dans un coin sombre(une grotte dans une montagne). Il trépignait de rage, mais il savait que même s'il réessayait, il échouerait encore. Seule C 18 venait le voir. Il ne ressentait rien, à part une grande rage et une honte à s'être laisser manipuler de la sorte. Un jour, alors qu'il passait dans la forêt, il entendit un cri. Il se précipita, curieux de savoir qui pouvait se balader ici à une telle heure, et il découvrit une fille magnifique entourée d'une bande d'ours qui semblaient la trouver à leur goût. C 17 les fit fuir simplement en craquant des doigts et remit la fille sur pieds. Après quoi, il repartit sans demander son reste. Elle l'arrêta et lui demanda :
-Excusez ma bêtise, mais où suis-je ?
Il la regarda d'un air méprisant qui lui était propre et reprit sa route.
-Merci ! Je me débrouillerai avec vos conseils ! Lança t'elle en se dépoussiérant. Quel macho ! Se dit-elle.
Brusquement, il revint sur ses pas et lui indiqua la route à suivre.
-Est-ce que vous pourriez m'accompagner ? J'ai peur, toute seule.
-Non. Tenez.
Il tourna les talons à nouveau et jeta une capsule en l'air qu'elle rattrapa.
-comment vous appelez-vous ? Cria t'elle, vu la distance qui les séparait.
Elle n'entendit que le nombre 17, mais se résolut à laisser tomber, en montant dans la voiture que la capsule renfermait.
' Direction Satan city !'Hurla t'elle.
Une fois arrivée, elle se trouva un appartement, un job de serveuse dans un restaurant très réputé et un autre dans un magasin de mode et d'esthétique la semaine. Maddy était très belle, brune volcanique, un peu plus grosse que mince (1 m 82, 78 kilos à 24 ans), mais qui s'aimait et s'acceptait comme telle. Et ce n'étaient pas les hommes qui lui manquaient. Seulement, de là où elle arrivait, les possibilités de vie étaient réduites. Alors elle avait fui son village et l'homme que ses parents avaient choisi pour elle et était venue ici, à Satan city avec une coquette somme, s'installer pour toujours.
Elle emménagea rapidement et commença son boulot d'esthéticienne. Elle avait des clientes fidèles, et parmi elles, Bulma Brief, directrice de capsule corps. Celle ci venait très souvent de délasser dans le salon, et sa seule présence suffisait à ce que le salon soit rempli de femmes voulant la rencontrer.
Environ 1 mois après ses débuts, Bulma l'invita à devenir sa masseuse personnelle. Comment refuser ? Elle se rendit donc chez les Brief-végéta. 'Drôle de nom', pensa t'elle en lisant sur la plaque. Elle sonna et une voix masculine répondit.
-Oui ?
-Excusez-moi, c'est pour le massage quotidien de madame brief.
-Ah ! Oui ! Maddy, je suppose. Entrez.
La porte s'ouvrit et un jeune homme apparut, l'air amusé. La jeune fille portait un jean qui lui allait à merveille, et ses fesses rondes étaient adorables. Par dessus, un grand tee shirt annonçant ''YO MEN ! WHAT'S UP ?''Il sourit en refermant la porte.
-Ma mère est dans son laboratoire, je vais la chercher. Installez-vous.
Bulma entra dans la pièce et lui sourit.
-Bonjour, Maddy. Comment allez-vous ?
-Très bien, madame.
-Ce serait mieux de m'appeler Bulma. On y va ?
Elle la massa pendant une heure et demie, puis, bulma la prit pour discuter sérieusement de ce qu'elle envisageait de faire.
-Je te propose un marché honnête : tu quittes ce centre, tu masses à domicile. Bien évidemment, il est naturel que tu sois payée à l'heure. Décide de tes tarifs.
-Euhâmoi, 50 zénis de l'heure me suffiront largement.
-Moi, je te paye le double. Tu es si courageuse !
-Merci, beaucoup, madame briefâenfin, je voulais dire Bulma.
-Si tu as des problèmes, n'hésites pas une minute.
-Oui. Merci.
-Ah, au faitâ pourrais-tu masser toute la famille, aujourd'hui ?
-Combien sont-ils ?
-Trois. Mon fils, ma fille et mon mari.
-D'accord !
Elle commença par Bra. Elles sympathisèrent vite. Ensuite vint végéta. Il ne broncha pas, antipathique qu'il était, mais quand elle eut terminé, il la remercia d'un ton bougon. Enfin, vint Trunks. Il prit un énorme plaisir à se déshabiller devant elle, rougissante, et se coucha sur la table. Elle le massa, puis prit son argent avant de partir à son restaurant.
Elle ne rentra chez elle que tard dans la nuit et se réveilla le lendemain à midi et demie. Elle avait encore rêvé de ce grand brun qui l'avait sauvée dans la forêt, comme chaque nuit. Mais cette fois, elle le sentait se rapprocher d'elle. Elle se dit que Bulma saurait peut être l'aider. Elle décrocha son téléphone et l'appela.
-J'ai un problème grave, bulma.
-Lequel, ma pauvre chérie ?
-Je suis amoureuse.
-Encore Trunks !
-Non, non, pas votre fils. Il ne m'intéresse pas vraiment.
-De qui alors ?
-D'un homme que je ne connais pas. Pour des raisons compliquées et longues, j'ai fui mon village et je me suis retrouvée seule dans la forêt. Il m'a sauvé la vie, et m'a donné la petite voiture avec laquelle je me déplace.
-Tu ne le connais pas du tout ?
-Non. Je sais qu'il est grand, beau, musclé et brun. Des magnifiques yeux bleus.
-tu dis bien des yeux bleus ? Très clairs ?
-Oui, c'est ça. Vous le connaissez ?
-J'en connais, des bruns aux yeux bleus, mais lui, je le reconnaîtrais parmi des milliers ! Tu parles de C 17, ma fille !
-Oui !!! C'est ça ! C 17 ! Il me l'avait dit !
-ça m'étonne qu'il ne t'ai pas tuée, cruel comme il est.
-Oh ! Je suis sûre qu'il n'est pas ainsi.
-C'est le frère de la femme de mon ami d'enfance. Il vit reclus dans cette forêt parce qu'il est associable et méchant. Oublies-le.
Elle haussa les épaules et partit, jetant un dernier coup d'œil à l'étage ou trunks travaillait. Il était assis dans son siège, un crayon entre les dents, torse nu. Il se retourna et lui fit un clin d'œil avant de retourner à son boulot. Maddy en rosit de plaisir et traversa la rue. Finalement, après réflexion, Trunks n'était pas mal
