Disclaimer : Tout appartient à J.k. Rowling
Malgré tout
Chapitre 1
La ville est grouillante de gens. Des gens partout, dans les magasin, dans la rue. Des gens de toute grandeur, de tout les style. Des beaux, des laids. De toute manière ils ont tous le même visage. Peu importe leur statut social, leurs passé ou qui ils fréquente, ils ne forment qu'une seule et dense masse de gens.
Je n'ai jamais vraiment aimé me promener quand il pleut à l'extérieur et maman le sait mais je ne pouvais tout bonnement pas refuser d'aller lui chercher quelques petites choses dont elle avait besoin à l'épicerie.
Depuis la mort de papa, on dirait que le sort c'est acharné sur elle. Elle a de la difficulté à voir le bout du chemin et je la comprends. Moi-même je me cache parfois pour pleurer dans le noir le départ de l'homme que j'ai aimé et adoré plus que tout et tous.
Papa nous a quitté depuis un mois et sa mort est pour moi incompréhensible. Il n'avait aucun motif, aucune raison. Il n'a pas été tué dans un accident, ni de vieillesse, ce qui serait absurde puisse qu'il venait tout juste d'avoir quarante-six ans. Papa c'est suicidé.
Il n'a avertit personne, na laisser aucune lette. C'est moi qui la retrouver dans son bureau, une corde à l'entour du cou et une chaise tombée par terre non loin. J'ai été terrorisé. Mon model, la raison de mon existence, mon père, venait de disparaître à jamais.
Si vous avez déjà perdu un membre de votre famille alors vous pouvez me comprendre. Si ce n'est pas le cas alors je crois que vous pouvez très bien imaginer la douleur que cette perte crée. C'est affreux, tout simplement affreux. Une partie de votre cœur explose. Il ne vous reste plus que des souvenirs, heureux, triste, mais d'inoubliables souvenirs. Vous donneriez n'importe quoi pour qu'il puisse revenir même si vous savez que c'est impossible. Alors le goût de mourir vous prend à votre tour et vous vous laisser dépérir. C'est le cas de maman. Elle ne va pas bien du tout, elle se laisse mourir à petit feu mais je la guette. J'ai déjà perdu mon père, je ne veut perde ma mère. Je ne pourrais pas y survivre.
Malgré tout je la comprends. Cela faisait près de vingt-six ans qu'ils étaient mariés et l'amour qui les unissait était magique. Ils s'aimaient d'un amour fou. Maman ma même avoué dernièrement qu'elle avait sentit que ce drame allait ce passé, qu'elle ressentait que papa n'allait pas bien. Mais elle n'avait rien fait, elle avait seulement fait taire se murmure dans sa tête puis avait fait comme si de rien n'était. Puis le drame est arrivé. Elle se sent si coupable a présent. Elle aurait voulu agir.
À peine dix minutes de marche et je serais de retour à la maison. Alors je pourrais me changer, enlever ces vêtements humides et lire un bon livre pour me changer les idées. Londres est vraiment une ville sans cesse assiégée par la pluie. J'ai bien fait d'emporter un parapluie.
Puis, alors que pour la millième fois, une personne parmis cette foule me dépasse, une mélodie parvient à mes oreilles. Une douce mélodie, gratter à la guitare par une quelconque personne. C'est plus fort que moi, je dois la voir. Alors je pousse tout c'est gens qui me bloque de la source de mon émerveillement. Les gens ne se fâche pas vraiment, il y sont habitué mais quelque uns grommelles et me pousse a leur tour. Je ne me laisse pas abattre, je dois voir !
Soudain, alors que je mit attendait pas du tout, on me pousse et je me retrouve accroupis sur le trottoir. Je lève les yeux. Il est la. Le guitariste est la devant moi. Assis sur un banc de la vie remplis de graffitis et de dessin quelconque, Cet adolescent fais tâche et en même temps, est totalement a sa place.
Puis sans me regarder il commence à chanter et je sens sa voix vibrer à l'intérieur de moi.
Wondering
the streets, in a world underneath it all
nothing seems to be,
nothing tastes as sweet
as what I can't have
Sa voix est suave, je voudrais l'écouter à jamais. Et il joue merveilleusement bien de la guitare. Et puis je dois avouer qu'il est lui-même sensationnel. Des cheveux brun foncé tirant sur le noir, un aire éloignée dans les yeux, comme si il n'étais plus parmit nous mais dans un monde imaginaire et je ne doute pas qui puisse y être un seul instant. Et c'est yeux, merlin ! Je n'ai jamais vu des yeux aussi beau. Vert émeraude. Une tempête d'émotion semble lui parcourir le regard.
Je me lève puis m'approche pour mieux l'entendre mais la foule me happe à nouveaux et je sent projeté a nouveaux mais cette fois ci, loin de cette beauté et de sa musique. La dernière chose que je vois avant d'être de nouveau mêlé dans la foule est le regard de cet inconnu intensément posé sur moi.
Je me sens fondre. Si sa musique est magique alors son regard est tout simplement hypnotique.
Je me rends compte du gris qui m'entoure et qui me pousse toujours plus loin. Je dois suivre la vague. Mais je n'en ai pas du tout envie alors je lutte pour revenir vers cette fugace illusion du paradis. Car si cette personne n'était pas un ange alors je ne c'est pas ce que c'est.
Finalement je réussis à me frayer un chemin.
Malgré tous les efforts que j'ai pu dépensé, il est trop tard. Le brun n'est plus là et sa musique a disparu. Le ciel redevient gris. Je n'ai plus qu'à revenir à la maison. J'aurais du m'en douter, la malchance s'acharne toujours sur moi.
Mais foi de Draco Malfoy, pour une fois dans ma vie, je ne laisserais pas tomber. Maintenant j'en suis sur, je le reverrais. J'ai décidé de faire ce que ma mère n'a pas fais, je vais écouter ma conscience.
Jespère que vous avez apprécier. S'il vous plait laissé moi une rewiew pour me dire votre opinion ! Ah et aussi je préfère vous dire, cette fic sera longue, très longue alors aussi bien savoir si vous aimer des le début lol. J'essayerai de publier la suite bientôt (si vous la voulez bien sur …)
Audlydou.
