Hey les gens, voici une fic dont je prendrais mon temps à écrire car pour celui-là, je ne veux pas le faire à la rache puisque c'est un histoire inventé d (pas vraiment un Fanfiction du coup) Je promets d'en faire à cotée du manière régulière sur différent sujet tel SLG ou autre...
Bonne lecture !
-Chapitre 1 -
Alors que le vent bourdonnait dans les gouttières de la ville sale et impure de Savko, je marchais d'un pas légers, aussi légers que j'aurais pu m'envoler si cela n'avait été qu'un rêve. Depuis les récentes attaques des Coors, la population était devenu méfiante envers les différents groupes, créant la super fission au sein du pays. Nous étions bien prospère avant, nous nous vivions simplement et convenablement.
-L.R.R.H.C. Épelai-je discrètement devant une grande enseigne.
Ma main se porta à ma poitrine, ce lieu me donnait envie, c'était mon rêve. La L.R.R.H.C voulait en fait dire : « Laboratoire de Recherche de Robotique ou Humanoïde dotée de Conscience » Qu'es que cela pouvait être fascinant, rendez-vous compte, transmettre une âme à être fait de matériaux autre que la chair et le sang. Je regardais le bâtiment somptueux se dresser devant, il m'appelle et je l'entends, alors, comme tout les samedi après midi, je rentre et me cache dans l'une des salles pour les épier. L'on ne me coince jamais parce que j'ai passé mon enfant à chasser dans la forêt et fallait bien être légers ! Je sentie alors mon pouls augmenter ayant été à deux doigts repéré.
-Où en sont les recherches ? Demanda un vieil homme certainement dans la soixantaine.
Ces yeux étaient tombant et ne semblait pas parler souvent parce que sa voix était sèche et étouffé. Il mangeait ses propres mots, comme ci celui-ci était pressé de ne plus avoir à exécuté ça tâche. Son dos semblait légèrement voûté, sa taille n'était pas bien grande et ses petites lunettes fines lui donnait l'impression d'être en lui même la caricature des savants fous dans les dessins animés d'antan. Ma grand-mère, lorsque son cœur permettait encore de battre, m'en avait montré et, petite, j'avais adoré bien que cela n'était pas tellement autorisé. Ils ont voulu supprimé le passé pour repartir de zeros mais je n'ai jamais compris pourquoi les recherches n'ont pas étés, alors, éradiqué.
-Eh bien, nous cherchons encore comment programmer ou tranpherer une conscience propre, ce n'est pas évident... Avoua un jeune homme certainement peu expérimenté.
Le vieil homme soupira, il faisait certainement ces recherches depuis de longues années et n'en pouvait plus de tourner en rond. Pourtant cela à l'air tellement simple, si seulement je pouvais les rejoindre...Je suis sûr que je trouverais cet réponse.
Et les heures passèrent jusqu'à la pause des ouvriers ou je pus m'éclipser en douce. Je marchais doucement sur le carrelage, à pas de loups, régulant mon souffle et évitant les nombreuses caméras. Tout ce passe toujours à merveilles ici, je suis certainement bien meilleurs qu'eux dans tout les domaines ! Alors, je sortie de bâtiment, enjamba mon vélos et descendis la raide pente que j'avais pris tant de temps à monter il n'y a que quelque heure. Respirant la liberté, je posais mes deux pieds sur une même pédale, tendis mes jambes au maximum, penchant mon corps du côté opposé pour ne pas tomber. Je n'avais pas peur, je fermais les yeux et sentie l'air m'envahir, je volais. Le temps de rouvrir mes iris, le mur n'était plus qu'à quelque mettre que je dus sauter pour ne pas me le prendre de pleine face. Par contre, mon vélo, lui, ne se fit pas prier et tapa violemment l'obstacle.
-Mince...marmonnai-je désespéré entre mes dents.
Je levais les yeux au ciel, ce barrage de pierre semblait toucher le ciel, il me séparait avec le reste du monde pour mon plus grand malheur. Je n'avais aucune idée sur la raison de son existence et peu le savent...La folie du gouvernement sans doute. Ma paume le frôla et mon autre poings le percuta d'une certaine force comme si cela aurait pu servir à le briser. Et le temps se stoppa, me laissant en suspension, le monde n'est plus et seul ces inconnues continuent à marcher alors que mon esprit s'évade derrière la barrière que je ne peux atteindre, je ne sens que mon cœur, battre si fort qu'il pourrait s'arrêter à chaque seconde et cela devient sourd, l'on me siffle dans les oreilles, pas fort mais c'est agréable, j'entends une berceuse puis les voitures, des discutions et de nouveau les gens qui jacasse sans aucune empathie. C'était un beau rêve... Mais je ne crois pas qu'il soit finit pour autant. Je tentai de relever ma bicyclette légèrement enfoncé à l'avant mais pouvant toujours rouler. Aujourd'hui, je n'ai envie que de fermer les yeux et me reposer. Je n'ai beau n'avoir que 16 ans, je possède mon appartement dont j'ai reçu l'autorisation lorsque j'ai du supporter le deuil de mes parents : Un grippe s'étant aggravé. « C'est vraiment nul comme mort » avais-je toujours pensé . Ils nous avaient abandonner car ils refusaient de payer les soins médicaux ! Jamais, au grand jamais, je ne leurs pardonnerais. Je roulais alors jusqu'à ma case d'où je pourrais enfin, fermer les yeux. L'intérieur n'était pas terrible et pas assez personnalisé à mon goût mais je ne pouvais me le permettre, l'argent me manquait. J'ai toujours rêvé d'une excuse pour faire le mur, je pourrais même m'engager dans l'armée s'il y en avait possibilité. L'on mus raconter, qu'avant, les soldats recherchaient beaucoup de nouvelles recrues mais depuis le reboot, nous n'en avons plus jamais entendu parler. Je n'ai pas vécu cet période personnellement, il s'agit simplement de constat. Les pauvres constats d'une étudiante sans le sous. Les piètes morales on disparue dernièrement, ils semblent vivre le jour au jour et personne ne pense à l'avenir nous apprenant qu'il n'y en a pas...Ils doivent avoir raison, nous ne savons même pas le véritable sens de ce mot.
Je n'ai aucun héritage des mes parents, eux aussi, étaient bien pauvre, je dois maintenant me débrouiller, étudiant la journée, travaillant le soir en évitant les vieux pervers voulant toujours vous emmener dans des endroits non bien, fréquentable. Et les jours passent sans vraiment sans rendre compte et un jour, l'on se dit « Mince ! Je suis bien vieux » et on regarde ce grand mur nous empêchant de voir le monde autrement jusqu'à ce que les gens de la E.P.A.P.M arrive et vous tue.
-Exécutions des Personnes Âgés Pour le Monde, il aurait du enlever les trois derniers mots. Marmonnai-je dans mon col roulé de couleur blanc.
Je ne suis pas pour cet méthode mais il vrais qu'un être humain peu maintenant vivre jusqu'à 150 ans les scientifiques se sont rendu compte trop tard que cela était une erreur et veulent amener le bien alors, par le mal. Nous sommes tous comme cela, et nous allons tous y passer, s'en est ainsi. Si l'on veut en discuter, c'est avec un thé autour de sa prochaine tombe. Je ne connais pas l'histoire de notre création, de notre évolution jusqu'à l'an 2500, tout à été supprimé et les personnes ayant gardé de vieux ouvrages s'en vont prendre des vacances en prisons. Pour ne jamais y ressortir. C'est évident quand on y pense car en partant, ils pourraient léguer des connaissances interdites.
Mon téléphone sonne et j'entends une nouvelle notre hymne national obligatoire à toute sonnerie, je la connais par cœur à présent. Je ne pense pas que cela soit forcement une bonne chose... Nous devons vivre avec ce silence qui nous bourdonne les oreilles.
-Allo ? Dis-je d'une voix fatigué
-Coucou Capucine, tu devrais venir voir demain à la L.R.R.H.C !
-A...Attend, c'est toi Chrisalys ? Ajoutai-je d'une voix perplexe
-Oui, c'est ça
-Qu'es qui se passe demain ?
-Y'a une démonstration privé là-bas. Me dit-elle excitée
-Ouai mais c'est interdit...
-Peuh ! Tu vas pas me dire que c'est ça qui va t'arrêter alors que tu les épis déjà !
-Tu as raison, je verrais, merci pour l'info.
Je raccrochai et me mis à réfléchir, cela pourrait être risquer mais si l'on ne m'a jamais vu, pourquoi m'en ferai-je. Ce n'est pas cela qui va me stopper, comme le dit si bien ma bonne amie. Je souris, je vais le faire.
C'est alors que le lendemain, je me dirigeai à la L.R.R.H.C d'un pas décidé, le sourire aux lèvres !
Arrivé à destination, je laissai mon vélo de côté, attaché dans une ruelle au niveau d'un lampadaire. Je rentrai alors par les conduis d'aération « Un grand classique » pensai-je d'un petit sourire narquois. J'étais bien en avance, je sautai dans la salle en me réceptionnant sur mes deux pieds, mon placard personnelle m'y attendait sagement. Je m'y cachais et attendais avec impatience cet démonstration Mon pouls s'emballaient, je ne pouvais plus tenir ! Peut-être avait-il trouvé le moyen de faire un véritable homme-robot ! Quel avancement pour la science ! Pour mes rêves ! Il faut que je vois ça de mes propres yeux, il faut que je sois la première à être dans la salle ou à apparu la première machine doté de conscience. Au bout de quelque temps, des hommes et femmes rentrèrent calment, accompagné de quelque scientifiques. Ils eut quelque papotages inutiles puis le dénouement !
-...Mesdames et Messieurs, je vous présente le premier homme-machine ! Dit le même vieil homme que j'avais vu ce matin.
-Comment fonctionne-t-il ? Demanda un journaliste
-Hum, je ne compte pas le révéler de suite mais faisons le marcher ! Ajouta-t-il surexcité.
Il le brancha à un énorme ordinateur que je n'avais jamais vu auparavant. Puis, une énorme prise avant de verser une goutte dans le crane de la machine dont il venait de retirer le draps.
Elle ressemblait à un robot caricaturé et très peu esthétisé. Sa tête avait une forme cubique ainsi que son corps très géométrique, il me rendait mal-alaise. Maléfique... Je détournai alors le regard essayent de penser à autre chose. L'homme âgé s'agitait dans tout le sens, un sourire triomphant aux lèvres. Son expression était communicante et l'on voyait les autres s'agiter, de plus en plus comme moi qui n'était pas censé être vraiment là. Mon cœur battait tellement fort, l'adrénaline était en moi.
-A présent, Messieurs-Dames, voici le premier homme machine.
Il adossa un levier et le robot s'excita de tout part, au dépars, il n'eut aucune véritable réaction mais un savant s'inquiéta à l'énergie anormal de la demande. Il interpella le senior à l'écran pour lui alerter quelque chose que je ne compris guère. Je ne fus pas la seul à m'inquiéter parce que les inviters eux aussi furent pris d'une immense surprise. Je vis alors un des jeune homme en blouse blanche tenter de stopper, certainement, le courant d'une mine pressé. Il y avait presque touché, il y était presque lorsque que l'explosion détruisit tout sur son passage. Je la vis arriver, la fumé et le feu. Un moment d'inconscience certainement, enfermé dans mon placard, de nouveau les oreilles sifflants et une vision flouté. Puis, des cries et des bruits de pas. Je revins à moi d'un mal de tête affreux. Plus personne, ils étaient tous partis mais les flammes, elles, avaient envahie la pièce Toujours dans mon placard, celui-ci c'était renversé sur le côté et je dus rampé pour y sortir. Mes yeux posèrent partout, comment sortir ? Je ne voyais aucune issue ! Je couru dans les flammes, brûlant ma peau. Où aller ? Je voulais vivre !
-A L AIDE ! IL RESTE QUELQU'UN DANS LE BATIMENT ! Criai-je hors d'a laine
A force de crier, ma gorge me brûlant et le souffle me manquait, tout partaient en morceau et la chaleur était étouffante. J'entendis un bruit au plafond, cet poutre en flamme... Me tombait dessus sans que je ne puisse l'éviter !
-Non...
