La plasmavore devait se cacher. Elle savait que la Famille Royale Padrivolienne avait envoyé les Judoon et peut être d'autres à sa poursuite. Elle était sur Terre maintenant, mais les Judoon était obstinés. Ils la suivraient même ici. Elle avait besoin d'un endroit pour se cacher et se fondre dans la masse. Mais où ?

Et bien, quelque part où l'on pouvait trouver du sang, bien sur.

Dans la rue, un grand nombre d'humains passaient devant elle. Cette espèce n'était qu'un troupeau sans cervelle. Toujours en train de bouger en ces énormes et bruyantes foules. Bétails idiots et sans espoir. La planète entière était envahie par eux, ce qui en faisait l'endroit parfait pour ce cacher.

Elle marcha en direction de l'un d'entre eux et lui fit un sourire plaisant et perdu. « Excusez-moi, je suis nouvelle en ville, et je ne me sent pas très bien. Pourriez-vous me dire où trouver l'hôpital le plus proche ? »

L'homme eut un air pensif pendant une seconde. « l'Hôpital Royal Hope est à a peu près dix minutes de marche à partir d'ici, mais si vous vous dépêchez, vous pouvez prendre le bus qui va à Saint Bart. »

Deux options. Un choix minuscule qui allait tout changer.

La plasmavore souri agréablement. « Merci, jeune homme. » Les humains se faisait berner si facilement.

« Pas de problème M'dame. » Sur ces paroles, l'homme se dépêcha de rejoindre peut importe ce que sa misérable petite vie lui réservait, laissant la plasmavore à son choix. Un choix tellement simple. Si simple que s'en était décevant.

Donc, pensa-elle alors qu'elle se remettait à marcher, il a mentionné un bus allant à St. Bart ?

SCENEBREAK

Molly Hooper était déjà en retard lorsqu'elle reçu un SMS de Sherlock. Retenant un soupir, elle fit balancer tout les papiers qu'elle tenait sur un seul bras, et pris son portable. La coroner était en dehors de St. Bart, se baladant dehors parce qu'il n'y avait pas de réseau à l'intérieur, douloureusement consciente de son retard qui s'agrandissait chaque minute passant.

Le message ne contenait aucune formule de politesse, collant à la rudesse habituelle du détective. « J'ai besoin de voir le cadavre de Henry Keer ce soir. -SH »

La coroner hésita. Ce corps allait être dur à récupérer, surtout en tenant compte du fait qu'elle s'était déjà mise dans une situation délicate pour avoir aidée Sherlock la semaine d'avant seulement. Se débattant avec ses papiers, elle répondit avec hâte, «Je ne suis pas sure de pouvoir me procurer ça. »

La réponse fût presque instantanée, comme si Sherlock s'était préparé a ses protestations. Même si, songea Molly, cela ne la surprendrait pas si il tapait juste très vite. «Kerr n'aurait pas pu se suicider. La corde avec laquelle il était pendu n'est pas ce qui l'a tué. Il n'y avait pas suffisamment de marques sur le cou quand je l'ai vu, ce qui veut dire qu'il n'était pas vivant et se débattant quand il à été pendu, ce qui veut dire que quelqu'un a placé la scène pour que cela ressemble a un suicide, donc ce n'en était pas un. J'ai besoin de vérifier si j'ai raison sur ce qui l'a vraiment tué. -SH »

Même par l'intermédiaire d'un message, l'explication de Sherlock l'a fit se sentir légèrement dépassée. Reconnaissant sa défaite, elle lui envoya « D'accord. » Elle allait devoir demander quelque faveurs pour avoir accès au cadavre, mais elle avait toujours été prête a faire bien trop d'efforts pour le détective.

Elle commença a envoyer un message à son petit ami Jim le laissant savoir qu'elle allait être occupée cette nuit, mais quelqu'un tapant son épaule envoya le portable et tout ses papiers s'échouer sur le sol. Molly retint un grognement quand elle se pencha pour récupérer ses possessions éparpillés.

Elle regarda brièvement vers le haut pour voir se qui venait de la cogner, mais tout ce qu'elle vit fût un homme habillé en cuir noir et portant un casque de motard se dirigeant vers l'hôpital, ne regardant même pas vers elle. Avec un soupir, elle réunit le reste de ses objets et se releva, ce dépêchant pour arriver à l'hôpital elle-même. Les portes en métal lui donnèrent un petit choc électrique lorsqu'elle les ouvrit, mais elle n'y repensa pas a deux fois.

Juste un autre jour dans sa vie.

SCENEBREAK

Après avoir été brièvement disputé par son patron parce qu'elle était en retard, Molly descendit à la morgue pour commencer a travailler. Elle rentra facilement dans la monotonie de son travail. Elle était la seule a son poste pour l'instant, donc la pièce était plongée dans le silence. Non pas qu'un collègue aurait engagé une conversation avec elle si il se trouvait là. Le supporte-papier en métal lui envoya une décharge, ce qui lui rappela l'incident à la porte. Ce n'était sans doute pas son jour, supposa t-elle.

Quelques heures plus tard, le silence fût brisé par de discrets bruits de pas venant du couloir. Molly se retourna pour regarder la porte, s'attendant à l'un de ses collègues, mais quand la porte s'ouvrit ce n'était pas quelqu'un qu'elle reconnaissait. Il était grand et mince, avec des cheveux bruns en pagaille et un long manteau brun ressemblant a celui de Sherlock. Il cligna les yeux de surprise quand il vit Molly dans la pièce, puis se fendit d'un large sourire. « Oh, bonjour ! Je ne savais pas que quelqu'un se trouvait ici. »

Molly était surprise pas la joie de l'homme. « Um, salut, » dit t-elle finalement.

L'homme tira un portefeuille en cuir de son manteau et le tendit pour qu'elle puisse le voir. Des crédits pour un inspecteur en bâtiments se trouvait à l'intérieur. « John Smith, » se présenta brièvement l'homme. « Je vérifie juste quelques petites choses tout autour, ne faite pas attention à moi. »

« Oh. » Molly se sentait un peu gênée alors que l'homme lui souriait de toute ses dents. « Er, très bien. » Elle retourna rapidement à son travail, essayant d'ignorer l'homme alors qu'il sortait un petit instrument de métal et commençait à scanner la pièce.

Cela dura pendant quelque minutes. L'homme semblait se marmonner à lui même a propos de bobines de plasma et électricité. Molly ne pouvait s'empêcher d'être intéressée par l'homme, même si elle ne le montrait pas. Il y avait juste quelque chose de différent à son propos. Peut être que s'était son costume légèrement excentrique, ou sa joie inhabituelle, mais peut importe ce que c'était, cela l'a fit prendre attention à ses marmonnement. Elle n'avait jamais entendu parler des choses dont il faisait égard, mais vu la façon dont il se comportait, il était soit un fou, soit un génie. D'une certaine façon, elle sentit qu'il pouvait être les deux. Et Molly Hooper avait beaucoup d'expérience avec un homme qui l'était.

Sans crier gare, le sol sous les pieds de Molly commença à secouer violemment. La coroner laissa un glapissement de surprise franchir ses lèvres alors qu'elle était jeté au sol. Elle ne pouvait pas voir Smith de là ou elle était, mais elle pouvait voir quelques instrument s'éparpiller sur le sol derrière elle et pouvait sentir la façon dont le sol bougeait sous elle.

Finalement, le tremblement cessa. Molly attendit avant d'essayer de bouger a nouveau, craignant des secousses résiduelles, mais le sol semblait plutôt stable maintenant.

« Vous allez bien ? »

Molly se retourna pour voir Smith encore debout, encore accroché au comptoir qui lui avait probablement servit à rester droit. L'homme la regardait avec une expression qui réussissait a mêler inquiétude et excitement.

La coroner se remis sur ses pieds, tanguant légèrement. « Oui, je vais bien, » répondit t-elle, se sentant un peu idiote. « Qu'est ce que c'était, un tremblement de terre ? »

« 'Sait rien. » L'inquiétude était parti maintenant, remplacé par un énorme sourire tout aussi joyeux qu'avant, sauf que maintenant, il était teinté d'excitement et d'anticipation. Il envoya un sourire conspirateur a Molly alors qu'il suggéra, « Allons le découvrir ! » Avec ça, il se retourna et se dirigea vers l'extérieur par les portes.

Sans vraiment savoir pourquoi, Molly le suivit.

SCENEBREAK

Elle suivit Smith qui retournait à l'étage supérieur, seulement pour trouver l'hôpital en panique. Les patients étaient regroupés près des fenêtres, soit regardant vers l'extérieur avec stupeur, soit sanglotant dans les bras l'un de l'autre. Quelques membres du personnel essayaient de calmer la foule, mais ils avaient l'air tout aussi confus et effrayés que tout les autres. Molly était déconcertée. Que c'est il passé ?

Smith n'avait pas l'air trop surpris. Il se faufila pour atteindre une fenêtre moins bondée, pausant devant ce qu'il vit. Une membre du staff était déjà là ; elle se tourna vers Smith et lui dit dit, la voix tremblante, « I-il pleuvait, la pluie allait vers le haut, et après il y a eu cette lumière blanche. Oh mon Dieu, que c'est t'il passé ?! » Molly écoutait avec hésitation, mais quand elle put voir ce qu'il y avait derrière la fenêtre, elle se figea sous la surprise, laissant s'échapper un petit, « Oh. »

À travers la fenêtre, il pouvait voir une pierre grise poussiéreuse à perte de vue, avec un ciel étoilé à l'horizon. Mais ce qui complétait vraiment le tableau était, à la place de la lune brillant dans le ciel devant eux, la Terre, suspendue dans le ciel dans toute sa splendeur, et tellement, tellement lointaine.

La membre du staff, une infirmière que Molly ne connaissait pas très bien, c'était tournée pour regarder la fenêtre. Elle laissa échapper un souffle à la vue. « Non. Pas moyen. C'est impossible. »

Molly se rendit compte qu'elle ne pouvait pas détourner les yeux de la petite planète bleue et verte, entourée par les étoiles. Elle n'avait jamais réalisée a quel point la Terre était belle avant. D'une certaine façon, elle n'était pas effrayée quand elle soupira, « Nous sommes sur la lune. »

Elle avait complètement oubliée Smith jusqu'à se qu'il se remette à parler. « Et bien, » fut tout ce qu'il dit, « pas vraiment ce a quoi je m'attendait. »

L'homme ne semblait pas effrayé ou hébété, ou même surpris. Il avait encore cette lueur d'excitement dans ces yeux, mais il était bien plus calme que n'importe qui. Molly se rappela son comportement étrange d'un peu plus tôt, et demanda légèrement accusatrice, « Saviez-vous que ça allait arriver ? »

À la place d'avoir l'air insulté, Smith se tourna vers elle avec un air amusé. « Pourquoi pensez-vous que je le savais ? » Demanda t'il avec curiosité.

Le fait qu'il n'avait pas répondu à sa question ne lui échappa pas, donc elle fut plutôt prudente en expliquant, « Vous ne semblez pas plus surpris que ça, et je ne me souvient pas d'avoir entendu parler d'inspecteurs en bâtiment. »

Curieusement, il avait l'air d'approuver, souriant avec malice. « Oh, c'est malin, très malin. » Molly était complètement hébété a ce point, mais ne pouvait pas faire grand chose a part le fixer d'un air confus silencieusement. Son regard devint pensif. « Quel est votre nom ? »

Molly dût se forcer a sortir de sa confusion avant qu'elle ne puisse répondre quelque chose d'intelligent. « Doc...Docteur Molly Hooper, » dit elle finalement.

« Et bien Molly Hooper, » dit t'il avec un sourire conspirateur, « Et si on sortait ? »

L'infirmière eu l'air choquée. « Mais il n'y a pas d'air à l'extérieur ! » S'exclama t'elle.

Smith secoua sa tête brièvement. « Ce bâtiment n'est pas hermétique, mais nous sommes encore vivant et propre sur nous. Donc, il y a clairement de l'air qui vient de quelque part. » Il l'ignora et se tourna vers Molly. « Vous venez ? »

La coroner hésita un moment, contemplant la proposition. Smith n'avait toujours pas expliqué qui il était ou qu'elle était son rôle dans tout cela, mais il avait l'air assez amical. De plus, il lui rappelait Sherlock. Il avait tout les deux cette sorte de personnalité tourbillonnante, une brillance qui faisait tourner la tête des personnes y assistant. Si il état vraiment ne serais-ce qu'un peu comme Sherlock, dans ce cas il était probablement leur meilleure chance de sortir de là. Elle opina. « D'accord. »

Smith lui lança un regard scrutateur. « Nous pourrions mourir, » la prévint t'il.

Elle haussa les épaules. Un hôpital entier venait de se faire transporter sur la lune ; sa propre mort était le dernier de ses soucis. « Comme vous l'avez dit, il y a forcement de l'air venant de quelque part. »

Il lui lança son sourire appréciateur une fois de plus. « Brillant ! Allons-y dans ce cas. »

SCENEBREAK

Molly le guida a un balcon proche, et bientôt les deux s'y trouvèrent. Ils hésitèrent légèrement, partageant un regard rapide, avant de pousser les portes et de s'avancer dehors.

La première chose que Molly nota fût le fait qu'ils respiraient encore. Après ça, elle fut frappé par la beauté de ce qu'elle voyait. Le ciel nocturne était si clair, plus clair que nulle part ailleurs sur la Terre, qui semblait presque irréel juste en face d'eux. Elle s'appuya prudemment sur le rebord du balcon, regardant curieusement le spectacle devant eux.

Smith la scruta de nouveau. « Ça va? »

Molly acquiesça. « Oui. C'est...c'est magnifique, n'est ce pas? »

Smith eut l'air amusé. « Ah oui ? Vous pensez ? » Il se retourna pour regarder la surface de la lune. « Et bien, nous respirons encore de tout point de vue. Voyons. Il dois s'agir d'une sorte de champ de force. » L'homme se pencha pour prendre une pierre. Il se redressa, puis la lança depuis le balcon. Au milieu de sa trajectoire, elle s'écrasa sur ce qui semblait être une étrange source d'énergie bleu, puis tomba sur le sol. Smith eu l'air content. « Ah, j'avais raison. Champ de force. »

La coroner tourna son regard vers l'homme, se rappelant leurs conversation de plut tôt. « Vous n'avez jamais dit. Saviez vous ce qui allait se passer, Mr. Smith ? »

Smith secoua la tête. « Nah, je ne savais pas exactement ce qui allait se passer, mais je me suit dit que quelque chose pourrait. Pourquoi il y a toujours des problèmes là où j'arrive ?» Il avait l'air un peu penaud lorsqu'il ajouta, « Oh, et je ne m'appelle pas Smith, j'ai un peu menti. »

Molly n'était pas si surprise que ça. John Smith était le nom d'emprunt stéréotypé, et il s'était montré mystérieux dès le début. « Comment vous appelez vous alors ? »

« Le Docteur, » répondit t'il immédiatement alors qu'il fixait la surface de la lune, s'appuyant sur la rambarde.

« ...juste 'Le Docteur' ? » Molly demanda dubitativement.

« Ouaip. »

Molly commençait a douter son impression initiale qui prônait la brillance plutôt que de folie. « Très bien. » Après quelque instant de silence gênant, elle demanda, « Une idée de pourquoi nous avons été transportés sur la lune ? »

Au lieu de répondre, le Docteur la regarda pensivement. « Qu'en pensez-vous ? »

« Quoi, vous me demandez à moi ? » Molly demanda surprise. Alors que le Docteur attendait qu'elle réponde, elle devint troublé. « Er, Je suis sûre que vous en savez plus que moi a ce sujet. » rigola t'elle nerveusement.

Le Docteur haussa les épaules « Et bieeeen, oui, peut être, mais je veux savoir ce que vous pensez. »

Molly rougit d'embarras, mais l'air sérieux du Docteur lui dit qu'il n'accepterais pas non comme réponse. À contre-cœur, elle marmonna finalement, « Er...les extraterrestres ?

Le Docteur sourit encouragement. « Bien, bien ! Pourquoi des extraterrestres ?

Se sentant plus embarrassée que jamais, Molly expliqua, « Et bien, je veux dire, personne sur Terre n'a cette sorte de technologie. On ne peut pas transporter des personnes d'un point à un autre, alors de la Terre à la lune. »

« Il pourrait y en avoir, et juste que vous ne soyez pas au courant, » Le Docteur répondit.

La coroner haussa les épaules, gênée. « Peut être, mais pourquoi transporter un hôpital sur la lune ? Je veux dire, quel en serait le but ? Nous ne sommes pas spéciaux ou important. Et il nous on pris du centre de Londres, donc celui qui a fait ça n'est pas pointilleux sur le fait de garder ça secret.

Le sourire du Docteur s'élargit encore plus. « Oh, c'est brillant ! Je vous aime bien, Molly Hooper. » La coroner rougit, mais le Docteur n'eut pas l'air de le remarquer, parce qu'il était de nouveau en train de jacasser. « Ce sont bien des extraterrestres, pas tout a fait sur de qui pour le moment par contre. Ils ont utilisés un scoop H20 pour déplacer l'hôpital – cette pluie dont l'infirmière parlait, c'était un scoop H20. Je n'ai réalisé ce qui se passait seulement quand j'ai détecté les bobines de plasma autour de l'hôpital. »

« Vous avez déjà mentionné ça avant, » se rappela Molly. « Vous avez dit quelque chose à propos d'une surcharge d'électricité ? »

L'homme lui lança un regard appréciateur. « Oh, bien, vous écoutiez. Oui, il y avait beaucoup d'énergie se regroupant toute la journée, se préparant pour le transport, et le métal dans le bâtiment essayait de déverser la surcharge de puissance. »

« J'ai reçu des chocs électriques une ou deux fois plus tôt, » se souvint la coroner.

C'était la bobine de plasma, » lui dit le Docteur.

« Mais pourquoi ? Pourquoi téléporter un hôpital sur la lune ? » Elle essaya de ne pas avoir l'air désespérée, mais en vérité elle était morte de peur. Maintenant qu'elle était éloignée des autres personnes de l'hôpital a qui elle devait montrer un visage calme et sure d'elle, elle commençait a sentir une vraie peur s'emparer d'elle. Il y avait tellement de personnes dans cet hôpital, tellement de jeunes et de malades. Qu'allait t'il leur arriver ?

« Pas sur, » avoua le Docteur. « Mais il vaudrait mieux l'apprendre rapidement. »

« Pourquoi ? » demanda nerveusement Molly.

« Et bien, » dit le Docteur en se frottant la nuque d'un air gêné, « si nous somme coincé dans un champ de force, dans ce cas c'est le seul air dont nous disposons. »

Une peur sourde compressa le cœur de Molly. « Nous allons bientôt manquer d'air, » réalisa t'elle. « Toute les personnes présentes ici...elles vont suffoquer. » Elle se tourna vers le Docteur, désespérée. « Pouvez-vous arrêtez ça ? »

Avant que l'homme ne puisse répondre, le whirr grave de moteurs retenti au dessus d'eux. Trois gros vaisseaux spatiaux volèrent au dessus d'eux, venant se poser a quelques mètres de l'hôpital. « Levez la tête, » dit le Docteur avec intérêt, « nous avons un comité d'accueil. »

Des plates-formes descendirent des vaisseaux, et des créatures habillés tout en noir avec des énormes casques sortirent en lignes. Molly pris une profonde inspiration. « Extraterrestres, » exhala t'elle. « de vrais extraterrestres. » Elle n'avait vus les cybermen que de loin la dernière fois, et elle n'avait pas été a Londres quand le plastique avait pris vie, donc c'était la première fois qu'elle voyait vraiment des aliens. Elle ne pouvait s'empêcher d'être un peu excitée. Les aliens était donc réels !

Pour une fois, le Docteur ne semblait pas partager son excitement. Il fit la moue à la vue des extraterrestres, son front se plissant avec soucis. « Judoon, » dit il avec une voix basse.

Molly lui envoya un regard confus. « Quoi ? »

Le Docteur s'avança légèrement, se renfrognant pensivement. « Ces créatures, elle s'appellent les Judoon. Il ne sont pas si mal comparés à d'autres, mais je ne voit pas beaucoup de raisons plaisantes de leur présence ici. » Quelques instants passèrent, puis il secoua la tête, brisant son humeur sérieuse. Il lui envoya un grand sourire lorsqu'il proposa, «Et bien, mademoiselle Molly Hooper, pourquoi ne pas aller voir ça de plus près? »

SCENEBREAK

À l'intérieur de hôpital, Molly et le Docteur regardent de loin les Judoon -ressemblant a des rhinocéros- scanner et marquer chaque humain. Le Docteur, cependant, semblait légèrement distrait. « Ooh, vous avez un petit magasin, j'adore les petits magasins. » remarqua t'il ravi.

Molly ne pouvait détacher son regard des Judoon. « Ils n'ont blessés personnes, » remarqua t'elle doucement. « Que font t'ils ? On dirait presque qu'il nous compte. »

« Presque, » dit le Docteur. « Ils vous cataloguent. Vérifient que vous êtes tous humains. »

« Nous cataloguent ? » demanda Molly alarmée. « Comme un stock vivant ? »

« Plutôt comme suspects. », corrigea t'il. « Les Judoon sont basiquement une police que l'on peut embaucher. A vrai dire, plus comme des voyous. On dirait qu'il recherche un suspect spécifiquement non-humain, ce qui se révèle être de très mauvaises nouvelles pour moi. »

La coroner le regarda, perplexe. « Que voulez vous dire ? »

Il ne fit que lui donner un regards lourd de sens. Molly laissa échapper un soupir surpris. « Quoi, vous voulez dire que vous.. ? »

« Ouaip. » Fut tout ce qu'il dit.

Molly observa l'homme attentivement, réfléchissant. Il avait l'air humain, mais il y avais eu quelque chose d'étrange à propos de lui dès le début. Il avait déjà prouvé qu'il en savait plus sur ce qui se passait que n'importe qui d'autre, et il avait l'air de l'avoir vu venir. Molly venait juste de le rencontrer, mais d'une certaine façon elle lui faisait déjà confiance. Peut être parce qu'il lui rappelait Sherlock, ou peut être que c'était juste son air amical et sincère. Mais elle était décidée a le croire. « Très bien. » dit elle.

Il lui fit un sourire plaisant « Bien. » Sans prévenir, il se leva et se dirigea vers un autre point de la rambarde en verre, essayant d'obtenir une meilleure vue sur les Judoon. Molly se dépêcha de le suivre discrètement. « Ils sont à la recherche d'un suspect non humain qui a réussi a se cacher au milieu des patients. Voila, maintenant je comprends. Ils devaient amener l'hôpital ici, ils n'ont aucune juridiction sur la terre, mais la lune est un territoire neutre. »

Molly se souvint de se qu'il avait dit plus tôt a propos de lui étant en danger. « Attendez. Ce n'est pas parce qu'il sont a la recherche d'un non humain que vous êtes en danger, n'est ce pas ? Ne sont ils pas supposés savoir de quoi a l'air leur suspect ?

Le Docteur secoua la tête. « Nah, il pourrait s'agir d' un changeur de forme. »

« Très bien. Donc, est ce qu'il faut que vous vous cachiez jusqu'à ce qu'il appréhende leur suspect, ou.. ? »

« Non, je ne peut pas faire ça. Si il décident que cet hôpital accueille un fugitif, ils vont tués tout le monde a l'intérieur. »

Il se leva. « Nous devons le trouver en premier. Vous venez ? »

Molly opina immédiatement. « Je vous aiderait comme je peux, » promit t'elle. D'une certaine façon, elle savait que cette homme, cet alien, était assez intelligent pour les faire tous sortir de là vivant, et elle ne resterait pas assise alors qu'elle pouvait faire quelque chose pour l'aider.

L'alien lui sourit, plein d'excitement encore une fois. « Très bien dans ce cas. Allons-y ! »

Note du traducteur : Bonjour tout le monde ! Ici Ai Emna ! Comme vous l'avez remarqué, j'ai décidée de traduire la magnifique fanfiction (toujours en cours d'écriture) de Jayie-the-hufflepuff ( http deux points slash slash www point fanfiction point net slash u slash 2718662 slash Jayie-The-Hufflepuff ), j'ai nommé 'The woman who counted' ! Je suis réellement tombé amoureuse de ce crossover, et l'auteur m'a donné l'autorisation de la traduire, donc pourquoi pas ? J'essaierais de poster une chapitre toute les semaines, dans la mesure du possible. Je tient aussi a dire que si cet épisode reste assez proche du canon, attendez vous a du changement ! Sur ce, n'oubliez pas de commenter (je transférerais bien entendu vos reviews à l'auteur), et passez une bonne semaine !