Danse, danse petite poupée de porcelaine.

Note: Je n'écris pas spécialement pour les reviews ou autre, car je ne sais même pas ce que c'est. Je ne sais pas pourquoi j'ai écrite, ni pourquoi je tenais à la finir. Je ne sais pas non plus si je la posterai un jour. Mais au final si vous la lisez c'est que j'ai fini par le faire =). Tout ce que je sais, c'est que c'est ma première histoire, ma toute première fois. Ahahah Tout ça grâce au cours de neurosciences qui m'a énervé ! J'espère juste qu'au fil du récit je comprendrais pourquoi j'en suis venue à vouloir mettre en avant une personne aussi insignifiante que Pansy Parkinson.

En passant vite fait je voudrais remercier une amie qui m'a lue et encouragée pour cette histoire. Je ne sais pas si elle passera par là un jour soi-dit en passant merci ^^.

Contexte et disclaimer: L'histoire se passe pendant la 7ème année de nos Elle prend en compte l'univers d'Harry Potter, mais ne respecte pas les évènements, ni les relations. En faite, je me suis juste servie du monde magique et quelques-uns des personnages de JK Rolling donc rien n'est à moi mise à part l'histoire.

Dans cette histoire le personnage de Pansy Parkinson risquera sans doute d'être très étrange à vos yeux. En effet, elle peut aussi bien passer d'une émotion à une autre sans explication que passer d'une pensée à une autre de la même façon. C'est cependant ce qu'il fait qu'elle est elle-même. Je ne me porterais donc pas garante des incompréhensions que pourront entraîner ses pensées sur les rares lecteurs qui s'attarderont à lire la fic =).

Lord mister whitch we must don't prononce the name a été tué, and tout le monde il est sauvé et content. Bon, en faite à proprement réfléchit Harry et ses deux compères ainsi que Rogue et d'autres Serpentards s'en sont sortis (Dumblundore bah lui il est mort). Je pense avoir planté le décor mais dites-le moi si j'ai manqué des trucs importants à expliquer =). Et excusez-moi pour l'orthographe, mais surtout pour les fautes d'accords et de conjugaisons. J'essaierais de les corriger au maximum à l'aide de mes pauvres capacités. Au fait, dans cette histoire Drago n'a jamais au grand jamais été méchant avec Pansy :p !

Il y a plusieurs narrateurs, désolé si vous êtes perdus. En faite, il y a moi le narrateur et écrivaine. Je ne parlerai que si besoin pour planter le décor ou expliquer quelques scènes. Sinon Pansy reste la narratrice principale. Quelques fois elle se parle à elle-même et ses pensées se traduisent par des parenthèses, quant à la petite voix dans sa tête, il n'y aura ni parenthèses ni tirets mais les caractères seront en italique. Pour les autres personnages leurs paroles seront précédées d'un tiret voilà =).

Résumé : Pansy semble êtres ce qu'elle à toujours été, une bonne cruche, à oui ? Pansy est heureuse, à oui ? Pansy sourit, Pansy rit, à oui ? Mais voila, la réponse est que Pansy cache quelque chose, quelque chose qui dans cette histoire petit à petit sera révélée. Pansy est une fille comme toutes les autres, juste une fille comme tous les autres, avec des petits secrets et des mensonges.


Chapitre I : Elle ne s'en rend pas compte, elle n'était encore qu'unembryon.

Ce n'était pas encore la rentrée des classes pour nos héros qu'ils avaient déjà tous hâte de prendre le train en direction de Poudlard. Tous pensaient à cette guerre enfin terminée. Terminée certes, mais le nombre de victime qu'elle avait engendrée était grand. Oui, le nombre de mort était si grand, que fut spécialement construit un cimetière pour les défunts de la guerre. Or, ceci voyez-vous, est une autre histoire. Laissons donc nos survivants pleurer l'absence de leurs congénères et allons nous intéresser aux personnages essentiels de cette fanfiction.

OOOO

Pansy parkinson était dans son manoir et plus précisément dans sa chambre, sa chambre à elle. Elle pleurait. Elle pleurait tout simplement car sur son bras, il y' avais une marque. Une bien sombre et hideuse marque. Elle pleurait, elle avait peur pour ses parents, pour ses amis, pour elle. Que leur arriveraient-ils à la cour ? Pansy se calma, il était l'heure, l'heure où tous devaient être jugés pour ce qu'ils ont été forcés d'être.

- TOC TOC TOC, Pansy, on doit y aller, je t'attends en bas avec ta mère.

- J'arrive.

OOOO

Je me levais afin d'épousseter ma robe et partir rejoindre mes parents. Et alors que nous nous trouvions devant le ministère de la magie je fis une pause. Ravalant ma peur, j'entrai finalement. Une fois installée, je balayai la pièce du regard et trouvai plusieurs Serpentards, dont à l'évidence Drago et Blaise. Je suis désolée mais je ne m'attarderai pas à vous raconter ce procès ... Sachez juste que ma famille, celle de Blaise et de Drago à l'exception de Lucius furent acquittés sous conditions. La famille Goyle et Crabb quant à eux était sous surveillance. Les autres? Je ne m'en rappelle plus vraiment.

Retenez aussi le fait que la condition impliquait l'embauche de mes parents par le ministère. Je garde toutefois le soupçon que ces conditions ne soient qu'une façade afin de permettre aux aurors de garder un œil sur les anciens mangemorts, et la directrice de Poudlard: Mc Gonagall sur leurs enfants. Le procès enfin fini, nous rentrâmes chez nous. Aussitôt arrivés, mes parents partirent se coucher. Sans doute étaient-ils épuisés par les interrogatoires de la cour.

OOOO

Sur ces bonnes nouvelles laissons donc Pansy penser à la fabrication de Big mac et allons voir ce qui était en train de se passer au 12 Square Grimmauld. L'ordre s'y était réuni et fêtait la mort du lord dont on ne devait pas prononcer le nom. Harry, Hermione et Ron ne s'étant pas sortis totalement idem et voulant se retrouver juste tout les trois, se retirèrent dans un coin.

- Hermione arrête de pleurer, commença Ron.

- Je ... Je suis si heureuse que vous n'ayez rien tous les deux, dit-elle entre deux sanglots.

- Rien ? Bah lui répondit-il, on est quand même un peu beaucoup amochés tu ne trouves pas Harry ? Se moqua Ron.

- Ahaha, je suis d'accord avec toi va, merci Mione, moi aussi je suis soulagé que tous ça soit enfin terminé, ajouta Harry tout en la prenant contre lui.

- Et moi je n'ai pas le droit à un câlin ? Bande de crotte ! Pff, bah si c'est comme ça, voilà ! Râla Ron tout en les serrant tout les deux dans ses bras sans tenir compte du fait qu'il était en train de les écrabouiller.

- AHhhhhhh Ronald Weasley ! Arrête ça tout de suite où je vais finir par devenir de la purée ! Hurla Hermione entre un sanglot et un rire étouffé.

Et, dans un silence, sans plus un mot, nos trois jeunes sorciers se sourirent pour par la suite transplaner dans un lieu où ils purent profiter de leur moment à trois, rien qu'a eux. Pour rire, se réconforter, se chamailler et jouer : la cabane hurlante.
Sur les deux plans tout se passait bien, peut être n'était-ce que des apparences qui sait ? Moi je le sais m'enfin je ne vous le dirais pas, car c'est à elle de vous le raconter. N'est-ce pas Pansy ?

(... Oui, bien sûr ...)

Roh c'est bon hein ? Je te laisse-moi vu que je dois raconter la suite.

OOOO

L'histoire commença quand le dernier anneau fut forgé par le maître des ténèbres Voldemort. Il voulait asservir toutes les personnes moldus au culte des saucissons secs, parce que c'est trop bonnn ! ... Oui ! Ohh ouiiiii ! Mais nonnn !

- Hey ! Ça ne va pas toi là bas ?! Non mais oh ! Ceci n'est pas ça notre histoire, cria notre Pansy en riant.

Oui, oui je sais, au moins tu as rit, ça me déprimait de te voir si ridée m'enfin.

L'histoire commença donc pour nos jeunes sorciers, quand le premier et dernier ainsi que seul train pour Poudlard de l'année allait partir. Et pour une fois, Harry, Hermione et Ron n'étaient pas en retard. Ils avaient même trouvé une cabine pour eux tout seul si c'est pour dire ! Ce qui ne fut malheureusement pas le cas de notre très chère et bien aimée Pansy.

- Merde, merde, merde ! Non mais quelle merde ! Grommela-t-elle essoufflée tout en courant après le Poudlard express alors que celui-ci lançais sont sifflement.

- Ma chérie, fais un bon voyage et travaille bien, sois sage avec Drago ! Lui cria sa mère de loin.

OOOO

Il ne manquait plus que ça. C'est vrai, que je suis fiancée à Drago ... qu'elle poisse ! Bon, ce n'est pas le moment de penser à tout ça, j'ai enfin réussi à rentrer dans ce maudit train à la noix de coco. Zut, je suis sûr que tous les compartiments sont pris maintenant ... Ah ! Je sais ! Bah mince, moi qui ne voulais pas y penser… Bon tant pis, je vais quand même aller voir où sont ces deux nigauds. Et alors que je marchais donc ouvrant compartiment par compartiment, je tombai enfin sur Blaise, mais où était Drago ?

- Ah, enfin ! Salut Blaise tu vas bien ?

- Oh ! Salut ma petite pensée, je vais bien merci de t'en soucier ahaha et toi ?

- Tu m'as appelé comment là ? Je n'aime pas ça, arrête c'est énervant.

- Et une raison de plus pour continuer ! Ma pensée chérie.

- Non mais Blaise ! Sérieux ! Ça me donne vraiment la chair de poule.

- Ahahaha.

- Bon j'abandonne tu ne changeras jamais de toute façon. Je ne sais vraiment pas comment tu fais pour draguer avec des phrases aussi snobes.

- Muis c'est la vie... bon, tu viens t'asseoir me raconter tes vacances ?

- Ok, eu au faite, où est Drago ?

- Ah, je ne sais pas il m'a dit qu'il revenait il y a même pas deux minutes.

- Je suis là.

- Bah tiens, le voilà notre beau prince blondinet.

- Quoi ? Tu me veux quoi la marmotte ?

- Oh Salut Drago !

- Oh ! Coucou ma pensée tu m'as manqué pendant tout ce temps tu sais ?

- Ah non ! Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi, un seul dragueur me suffit !

- Ahahaha va falloir t'y faire Pans', on n'y peut rien si t'es si mignonne, Déclara Blaise et Drago d'une même traite.

Je vous jure au grand manitou du ciel de les tuer tout les deux dès que l'occasion s'en présentera. M'enfin bref, ça faisait du bien de les revoir sain et sauf, ils m'avaient énormément manqués ces deux abrutis finis. Je les aimais du plus profond de mon cœur, mais je ne pense pas que le leur dire un jour soit nécessaire. Ils étaient déjà au courant. Et puis, je suis sûre que leurs égos démesurés éclateraient si je le leur avouée. Conclusion faite, pour leur survis, je ne dis rien.

OOOOO

Pouldard enfin, tout ce chemin pour quoi ? Entendre Mc Gonagall faire son discours du début d'année et le choixpeau faire son travail. À la table des Serpentards, je reconnus du regard plusieurs personnes qui étaient présentes aux interrogatoires de la cour. Soulagée qu'ils aient pu eux aussi s'en sortir sans trop de complication je souris. Et alors que j'allais une fois de plus en train de me perdre dans mes pensées, une lettre atterrît sur mes mains. Alala que j'aimais lorsque les hiboux étaient bien dressés. Curieuse, je n'attendis pas plus longtemps et ouvris la missive. La lettre était en faite une convocation de Mc Gonagall me demandant de me rendre à son bureau pas plus tard qu'à dix-neuf heures. Je ne sais pas si elle l'avait fait exprès, mais ses dix-neuves heures allaient arriver dans même pas cinq minutes... Rah, la fourbe !

- On se voit ce soir dans la salle commune Pans', reviens nous vivante, me taquina Drago.

- Pff t'es vraiment qu'une banane pourrie toi.

- Merci du compliment, c'est trop aimable de ta part.

Pansy Heyyyy Pansyyy ?! Drago et Blaise on l'air de bien se porter, mais je m'inquiète un peu pour toi ... Je me demande ce que Mc Gonagall te veux.

(Je ne sais pas, on sera vite fixé de toute façon je suis arrivée).

- Tarte au citron, dis-je devant le tableau qui à ces mots pivota pour me laisser entrer.

- Ah bonsoir Miss Parkinson, veuillez prendre place je vous pris, me dit la directrice en désignant l'une des deux chaises se trouvant devant son bureau.

Je m'assis de ce pas en pestant contre mes jambes fatiguées, et je me tournais alors pour voir qui avait posé ses fesses sur l'autre ... Quoi !? Potter !? Hein, c'est quoi ce bip bip !? Pourquoi il est là lui !? Et je fais quoi ici !? On fait quoi ici !? Bon, ma bonne vieille Pansy calme toi, piuff, respire ... à voila j'y suis donc, Potter ... Allez parle directrice de mes deux canards laqués et sois explicite !

- Bonsoir, comme vous devez sans doute le savoir, deux préfets un chef sont nommés par ans pour garantir la sécurité, ainsi que le respect des règles du château. Je vous ai convoqué ici pour vous annoncer que vous seraient désormais en charge de ses postes. Tout d'abord, je suis navrée de ne pas vous avoir prévenu de mon choix avant la rentrée des classes et surtout de ne pas pouvoir vous informer des règles ni de vos obligations concernant votre poste. Cependant la guerre comme j'espère que vous le comprendrez à laisser place au deuil puis à la reconstruction et mes nouvelles fonctions de directrices me prend hélas énormément de temps.

- Tenez, voici les papiers qui vous donneront toutes les informations nécessaires. Maintenant suivez-moi, je vais vous conduire à vos appartements, annonça –t- elle d'une seule et même traite tout en nous tendant les dits papiers.

Hein ? Quoiiiii ?! Moi et Potter !? ... Bon stop narratrice débile! C'est quoi cette histoire ? Non ! Non ! Stop ! Stop la vielle tu vas où là ? Et pourquoi je les suis moi ? Hey Potter, dit quelque chose merde! À mais, ohhhhhhhhhh en faite non j'ai rien dit. C'est vraiment le luxe ici !
Les lieux qu'avait commencés à nous présenter Mc Gonagall se composait d'en tout et pour tout de trois pièces. Un salon qui s'éparait dans le fond deux chambres, ainsi qu'une salle de bain ayant élu domicile dans le coin inférieur de la pièce commune côté Ouest.

Une fois les descriptions faites, la directrice partit. Il restait néanmoins un problème… Une seule salle de bain, quelle radine cette école ! M'enfin, j'en conclus du coup que l'on devrait sans doute s'arranger pour l'ordre et les horaires de passation ...

Mc Gonagall n'étant plus là, je me mis à observait plus en détail l'endroit où je me trouvais. Une cheminée habillait le milieu du mur Est de la salle et plusieurs petites fenêtres celui du mur du fond. Devant la cheminée se tenait un canapé de velours rouge aux bordures vertes et derrière encore une table et accompagnée de chaise en bois, ce bois était d'une couleur tellement sombre que je me demandai s'il ne venait pas d'un arbre de la forêt interdite. L'ensemble de la pièce quant à lui était éclairée par le plafond magique de Poudlard qui à l'occasion, représentait un ciel paisible et bleu.

De plus en plus impatiente de découvrir notre intimité, je m'avançai vers les portes se situant dans le fond du salon. Ahaha, pourquoi cela ne me surprend-t-il pas ? L'une des deux chambres portait les couleurs des Serpentards et l'autre celle des Gryffondors. Chacune des deux pièces avaient en elle, un lit, un placard, un bureau et sa chaise, un petit meuble de rangement ainsi qu'une table de nuit. Satisfaite des chambres, je partis inspecter l'unique salle de bain des lieux. Hélas, il y'avait quelqu'un qui regardait déjà son état. Ne résistant pas plus longtemps au sarcasme, je me tournai vers ce quelqu'un et lui lança.

- Alors bon de une pour la salle de bain j'y vais le matin à 6 heure et le soir à 7 heure, la salle commune est interdites aux visiteurs et les chambres de même.

- Ça me va Parkinson, me dit il d'un air dégoûté, et sache que ça me répugne autant que toi de passer mon année en ta compagnie, tu es aussi moche et laide qu'un calamar.

- Elle est cool ta vie Potter! Bref ciao, lui dis-je en m'enfuyant dans la chambre.

Le salop, qui a une tête de calamar ? Oui je suis moche et alors ? Ça te pose un problème ?... Je sortis une feuille afin d'y déposer mes pensées, mes pensées à moi. Mon esprit écrivit. Je n'aime pas Potter et ses insultes me passent par-dessus la tête, mais pour ma propre santé mentale j'avais besoin d'écrire. Une fois fini, je chiffonnai la feuille et la jeta à la poubelle. Je me posai ensuite sur mon lit et les yeux rivés au plafond, je me mis à penser. À quoi ? Tout est rien à la fois. Songeuse, je me pris le bras pour ensuite à chaque seconde passé le serrer de plus en plus fort dans ma main. Soupirant finalement, je me laissai enfin tomber dans les bras de Morphée.

Cinq heure et demi, le réveille sonna. Punaise, il faut que je me lève. Vêtements et serviette en main, je partis en direction de la salle de bain. Ouf, Potter n'était pas encore là. En même temps vu l'heure qu'il était, pas étonnant! Sérieusement je crois qu'il n'y a que moi d'assez folle pour me lever à des heures pareilles. Et tout ça juste parce que je détestais arriver en retard... Ma douche et ma toilette étant faites, je mis mon uniforme et je me regardai dans le miroir.

Ce que je vis me dégoûtais, Potter avait raison, je n'étais pas très jolie. Mais J'avais Drago et Blaise ainsi que ma famille, alors être moche ne devait pas me déranger non ? Je soupirai et sortis. Mais alors que j'ouvrais la porte, je vis un Gryffondor quelque peut dans les vapes. Et ce n'est rien de le dire. Ne voulant pas me disputer avec lui si tôt dans la matinée je le saluai poliment.

- Salut Potter, bien dormis ? J'espère que je suis venue hanter tes rêves.

Sarcasme je sais.

- Ouais ouais Dans mes cauchemars peut être. Quoi que je suis sûr que tu aurais aimé que ça soit le cas hein Parkinson ? lança-t-il.

- Pff et puis quoi encore, t'es pas mon type, tu ne te souviens pas de m'avoir traité de mocheté, Potter oh grand sauveur de l'univers.

Il baissa la tête.

- Pardon, j'étais énervé, bon tu peux te pousser j'aimerais me laver.

Potter s'excuse ? Pff laissez-moi rire, bon ok je mets ça dans le compte de son réveil matinal, alala dur dur le matin pour lui ahahahha.

- Muais, ça m'étonne de te voir abdiquer si vite, mais je te préviens si tu compte te venger tu le regretteras !

- Si tu veux Parkinson, me répondit-il avant de s'enfermer dans la salle de bain.

Ouuuu je suis partie loin ! Se venger ? Mais de quoi ? Il faut que ma tête arrête de tant travailler. Je ne sais même plus de quoi je parle, tout ça parce qu'il m'a énervé. Sa simple présence me saoule. Sa simple existence m'enquiquinait. J'avais dit que je ne voulais plus me prendre la tête mais et pourtant c'était ce que j'étais en train de faire. En plus de ça, c'était moi qui avais commencé ... Je crois que j'ai vraiment un grain… m'enfin ! Soudainement, consciente de la stupidité de mes pensée du moment, je repartis en direction de ma chambre afin de récupérer mes affaires de cours.

Ce n'est qu'une fois mes émotions remises et mes affaires prêtes, je me rendis dans la salle de classe. Personne... Il faut vraiment que je cesse d'arriver en avance, surtout pour un cours d'histoire de la magie bon sang!

OOOOO

Vingt minutes plus tard.

- Salut Pans' ça va ? Me questionna Drago et Blaise.

- Salut à vous deux, leur répondit je vais bien et vous ?

- Super, dirent-ils en chœur.

- Au faite Pans' c'est vrai que t'es devenue préfet en chef avec l'autre benêt ? Me demanda Drago.

- Ahahaha Bonne chance Pans'.

- Arrête Blaise ce n'est pas drôle du tout, répliquais-je.

Il me serra dans ses bras et dit :

- S'il te fait du mal, dit le moi et je lui défoncerais le crâne.

- Tu n'as pas intérêt à faire ça ! Je peux me débrouiller toute seule.

- Ohoh c'est vrai ça, notre Pansy est forte on le sait, mais tu me le diras hein ?

- Oui oui Blaise, si tu y tiens.

Il m'énerve…

- Un vrai couple ces deux alala.

- T'es con Drago, lui dit je en rougissant, et d'ailleurs repris-je plus sérieusement, il va falloir qu'on trouve un plan pour annuler nos fiançailles ... non pas que je ne veuille pas de toi eu ... juste que ...

- Ça va, ça va Pans', dit il en souriant, je sais nous ne nous aimons pas comme ça, je sais.

- Merci Drago.

- Au faite Drago pour le match de quidditch de cette après-midi tu as prévu une stratégie ? Lança Blaise.

Et c'est repartis quand ces deux la parle quidditch je me déconnecte et je pars, loin... très très loin... La vie ne m'a pas gâtée ni par le physique ni par ma vie tout simplement. Cependant elle m'a dotée de personnes qui tiennent à moi et je lui en suis reconnaissante. Bon, à part ma situation avec Potter, je ne pense pas pouvoir dire que je suis triste ... d'ailleurs que fait-il celui là ?

- Miss parkinson ? Lord Zabinni ? Mister Malfoy si mon cours ne vous intéresse pas vous pouvez sortir vous savez ?

Nous nous sommes regardés tous les trois et lui dirent en souriant :

- Pardon monsieur, nous sortons de ce pas.

- Bien, je vous enlève dix points chacun pour votre insolence.

Je me raidis, depuis que Potter et sa clique étaient à Poudlard, en même tant que moi je dois dire… nous n'avons pas gagné la coupe. Je décide donc de me rasseoir.

- Désolé les garçons je vous rejoins tout à l'heure pour le dîner. Leur dis-je en souriant.

- Euhh ok Pans' répondirent-ils un peu étonnés.

Je sais ce qu'ils pensent, je ne suis pas dupe loin de là, mais je ne peux pas encore tout révéler. Pas encore, il faudra attendre ce soir ... je suivis le cours sans m'occuper de ces sales regards que posaient les autres sur moi jusqu'au prochain. La sonnerie mettant fin à ma séance d'histoire de la magie, je me rendis en cours de potion auquel ni Drago ni Blaise ne prirent la peine de venir. Sans doute à cause de leur entraînement de quidditch, j'en suis sûr. Et oui, je me retrouvais encore une fois seule, alala. Le cours débuta lorsque Rogue suivis de sa cape flottante et de son célèbre « claquage de porte » entra dans la pièce. Toujours aussi majestueuses ses apparaissons à celui-là.

- Bon et bien attaquons le cours. Nous étudierons le sérum de vérité pendant un moment et c'est pourquoi je vous donne un délai trois semaines à partir d'aujourd'hui pour me faire un compte rendu de l'histoire de cette potion, comment elle a été conçue, pourquoi, et comment elle a été utilisée. En gros vous serez notés sur un exposé oral et sur une fiole que vous me rendrez. Vous effectuerez ce travail par binôme et vous aiderez de ce que nous aurions vu en cours pour me rendrez ce travail dans les délais...

(Blablablablabla qu'est ce que rogue était chiant à blablater ... à force j'ai fini par déconnecter moi ... bon sinon à part ça, ça va toi ?)

Moi ? Mais bien sûr pourquoi ? Je suis en train de raconter ton histoire comment ne pourrais-je pas bien aller ? C'est plutôt à toi de te poser cette question tu es en train de parler à une personne que tu as toi-même inventé ... ça va dit moi ?

(Muis, mais j'en avais marre de Rogue, il parle trop et j'avais besoin de ... bref laisse tomber).

- Parkinson et Potter.

(Hein ? il a dit quoi là ?)

- La poisse, salut parkinson je suis avec toi pour le sérum.

Je le regardais du haut de ses lunettes rondes et de ses cheveux en bataille. Vu comme ça il était pas mal ... Hein ?

- Heoo parkinson, je sais que je suis beau mais faudrait te réveiller je n'ai pas l'intention de bosser tout seul dans cette composition à la noix.

- Euh oui oui, dis-je en rougissant. Bon, il a dit quoi ? Tu parlais de quoi ? Composition ?

- C'est pas vrai, dit il en se tapant la main contre le front. Je sais que t'es réputée pour être une cruche groupie de Malfoy, mais à ce point.

- Pardon ? Moi, cruche groupie de Malfoy ? Depuis quand ?

- Toujours.

... Alors c'est comme ça que les autres nous voyaient ? Préjugés, préjugés et préjugés. Le préjugé sert à se faire une idée de la personne mais selon moi, il ne doit pas être définitif. J'estime qu'il faut ensuite essayer de connaître un tant soit peut la personne pour se faire un réel avis ... Je n'aimais pas cette situation, mais ne lui répondis cependant pas. Rentrer dans son jeu et puis quoi encore ? ... Pourtant, malgré moi une gifle partie de ma main.

- Aiee PUTIN PARKINSON !

- Ok Potter et Parkinson retenue ce soir à dix heure dans les cachots vous nettoierez la salle sans moi, je serai occupé. Et ne quittez pas lieux avant que tout ne brille sous peine d'avoir pire encore à faire. Ah j'oubliais, puisque c'est de part la faute de votre insulte monsieur Potter que la miss ici présente sera en retenue, j'enlève cinq points à Gryffondor.

- Quoi monsieur, mais je ... Dit-il pour sa défense avant qu'il ne soit interrompu par le maître des cachots.

- Je vous ai entendue monsieur Potter, je ne suis pas sourd. La guerre est finie mais je suis toujours votre professeur et veuillez ne pas élever la voix contre moi ou je saurai prendre toutes les mesures qu'il faudra. Sachez que si je suis obligé de punir Miss Parkinson malgré le fait qu'elle ne soit pas fautive, c'est pour respecter le règlement de notre chère directrice concernant « le favoritisme » ...

Blablablabla... roooo, il parle vraiment mais alors vraiment trop celui là. Puis zut, c'est parti tout seul. Méchante main, méchante ... J'en ai marre, je suis collée avec Potter cool. Drago, Blaise sauvez-moiiiii ! Le cours de potion étant terminé, je m'enfuie en direction de la grande salle afin de retrouver mes deux meilleurs amis et ce sans laisser le temps ni à Potter de m'interpeler pour la potion, ni à Rogue de finir son monologue.

- Hey Pans' ça à été les cours ?

- Cool Raoul Blaise.

- Tu es sérieuse Pans' ?

- Non.

- Bah pourquoi tu es restée ? Tu es même allée en cours de potion, dit Drago.

- Je n'avais pas envie de perdre des points et surtout de rattraper les cours vu que vous deux ne prenez pas de notes.

- Euhhh Pans' tu te sens bien? M'interrogea Blaise

- Yep mister Zabinni, j'ai décidé de prendre mon avenir en main, première étape organiser mon projet professionnel.

Estomaqués par ce que je venais de dire, ces deux benêts en restèrent coins. Oui je suis vue comme une groupie de Malfoy ... Certes, ces deux hommes m'aimaient en tant qu'amie ... J'aime les études, j'aime les cours, pas tous, mais certains. Et malgré que je ne le montrais pas, je travaillais en cachette. Bien sûr je faisais attention de n'avoir que de mauvaise note pour ne pas éveiller les soupçons. Les gens n'ont pas besoin de me connaître et ne s'intéresse pas à ma personne. Et moi, je ne veux pas qu'ils voient et qu'il sache. « Elle » est à moi et à moi seule. Cependant à l'heure même, j'ai laissé échapper un de mes secrets. Pourquoi? Et bien pour voir leurs réactions par Merlin! Hélas, je fus déçu qu'ils m'aient vraiment cru stupide. Voulant dissimuler mon mécontentement, je repris la discussion en blaguant.

- Hey je rigolais bande de serpentouflard ! C'est juste que ...

Mince, il fallait que je trouve une excuse et vite !

- Juste que quoi Pans' ? Me questionna Blaise de plus belle.

- Juste que ... que j'ai vu par la fenêtre un combat d'oiseaux et je ne voulais pas le rater !

Mais je dis quoi moi... Mais n'importe quoi, s'ils gobent ça c'est qu'ils sont vraiment benêts !

- Pans' ? Tu es sérieuse?

- Oui tout à fait Drago.

- Pansy, tu nous dois des explications, mais on attendra quand tu voudras en parler. Hum comment dire, on à nos propres hypothèses concernant ton caractère, dit le brun.

- Je vais parler si tu veux Blaise.

- Ok Drago, je te laisse faire.

- Vous me faites quoi là ? Dis-je.

- Pans' ?

- Oui ?

- Peux-tu m'écouter sans t'enfuir et te boucher les oreilles et surtout sans m'arrêter ?

- Euuh ... je crois que je vais prendre le risque.

- Depuis que l'on se connaît tout les trois, Blaise et moi on à pu avoir un certain avis sur toi. Tu sais quand tu parles, tu changes constamment de sujet. Par les autres tu es considérée comme une de mes groupies et tu es sensée être à proprement parler conne. Or, nous sommes tes amis et nous avons vu ton petit manège. Notre surprise sur ta déclaration de vouloir faire quelque chose de ta vie n'est pas dû à celle de voir que tu avais un cerveau ! Ça on le savait déjà.

- C'est juste qu'à force d'espérer des confidences de ta part sans que jamais rien ne viennent nous a menés à bout. On t'a laissé du temps pour ça, beaucoup de temps et sache qu'on t'en laissera encore si tu le souhaite.

- Ok Drago, je t'ai écouté là non ?

- Oui, pourquoi ?

- Donc ça veut dire que je peux fuir, sur ce ciaoooo.

Je me levai d'un coup sec et je partis le réfugier dans mes appartements de préfet en chef de la mort qui tue. Ahaha vive mon humour ! Et merde ... Ils ont vu juste. Et merde !

Je n'avais pas vraiment envie de parler de ça ça et ça avec mes deux meilleurs amis. Je suis sûr qu'ils ont déjà leur lot de soucis alors à quoi bon les embêter avec les miens. Et puis est-ce que je me mêle de leurs affaires moi? Non. Je suis heureuse non ? Je n'ai pas de problème non ? Du moins je ne le montre pas alors tout va bien. Je suis heureuse ... Ce n'est qu'une façade qu'une partie de mon histoire, juste une partie. Ma vie vous semble banale n'est-ce pas ? Et bien si c'est ce que vous pensez cette histoire fait de moi une bonne actrice.

Quatorze heures, Je devais retourner en cours, mais voilà je n'en avais plus envie. J'étais encore trop gênée par ce qui venait de se passer.

Attendez ... Encore cinq minutes de réflexion ... Zut, c'est vrai il y avait match de quidditch Serpentard contre Serdaigles. Avec toutes ces pensées parasites, j'avais complètement oublié que l'on n'avait pas cours cette après midi!

- Toc toc Parkinson ! Cria une voix.

Potter il ne manquait plus que lui.

- Quoi pourquoi tu m'appelles toi ?

- On à une expo à faire t'es au courant ?

- Et alors ?

- Plus vite on le fera plus vite je serais débarrassé de toi par la même occasion. Je t'attendrai à la bibliothèque et ne traîne pas.

Oula j'avais complètement oublié. Je pris derechef mes affaires et descendit jusqu'à la bibliothèque où Potter m'attendais la mine renfrognée.

- Salut.

- Tiens, c'est nouveau tu me dis salut maintenant ?

- Ouais, certes ça ne m'enchante pas de bosser avec toi, mais j'ai réfléchi pendant que tu prenais ton temps et je me suis dit qu'au moins pour le travail, on pourrait faire une trêve.

... Alors là je rêve d'un coup il me traite de mocheté, de l'autre il me dit qu'il ne veut pas de moi pour compatriote à la guerre d'un examen et après il me demande une trêve ? Ça ne va pas bien dans sa tête. J'ai l'impression qu'il ne sait pas ce qu'il veut celui-là.

- Oui pourquoi pas, à la condition que tu ne me traite plus de mocheté ou je ne sais quoi d'autre, même si je sais que ce mot me désigne assez bien...

- Désolé pour ça, à vrai dire ...

- Quoi ?

- Vous me sortez par les oreilles toi Malfoy et compagnie. Tu sais, toi comme moi avons l'habitude de nous détester, sans vraiment savoir pourquoi maintenant que j'y pense. La guerre est finie, et je dois t'avouer que c'est assez fatiguant de lancer des piques à longueur de journée.

- Waooo Potter, tu m'étonnes là m'enfin, j'essayerai de ne plus t'insulter pour le laps de temps que durera notre travail.

- Mouais, grimaça –t-il, Bon on commence par quoi ?

- Oh oh le grand Potter me demanderait-il conseil ?

- Parkinson !

- Oups désolé, plus fort que moi, oh et puis désolé encore pour la gifle de ce matin en passant. Ça t'a fait mal ?

- Non à peine, tu veux essayer ?

Je le regardai puis sans expliquer le pourquoi du comment, je me mis à rire. Il me regarda d'un air surpris pendant un petit moment, puis esclaffa lui aussi. Je me sentais un peu mieux, Potter me faisait rire, après tout peut être qu'il n'est pas aussi égocentrique et vantard que ça. Hélas, ce moment était aussi cela que choisit Madame Pince pour gâcher cet instant de « presque complicité » entre nous avec son regard « éclaire, foudre et tonnerre ».

- Hum Potter ?

- Oui ?

- Je crois qu'on devrait commencer à travailler.

- Oki d'ac Miss Parkinson. Bon alors vu que tu n'as toujours pas répondu à ma question je ...

- Je propose de commencer par le véritasérum le temps qu'il « fermente » on fera des recherches sur sa création et le contexte dans lequel il a été crée, ceux qui ont participé à sa conception, et les ingrédients. Puis on expliquera ce pourquoi et par qui il à été utilisé à travers les âges, ça te va ?

- Hé ben Parkinson, je ne savais pas que tu avais un tel sens de l'organisation.

- Ne me sous estimes pas Potter, tu ne me connais pas. Lui dis-je sur un ton de défis

- Oh, voyez vous ça, et la miss ici présente pourrait-elle se « dévoiler » à moi ?

Je ris.

- Dans tes rêves Potter.

Il pouffa.

- Bon, repris-je, travaillons !

Sur ces mots, il m'obéit. Je ne sais pas pourquoi, mais miraculeusement nous avons réussi à ne pas nous entretuer dans la bibliothèque. Potter me lança toutefois quelques vannes par ci par là auquel je répondais par des petits ricanements discrets. Je ne sais pas si mon esprit me jouait des tours, mais je crois qu'il me souriait à chaque fois qu'il réussissait à me faire rire. AH ! Quel sournois !s'il savait ... Puis vint l'heure de nous quitter. Que dis-je ? ... il vivait dans les mêmes appartements que moi, ohhh misère. Je reprends… nous sommes donc rentrés en même temps dans la salle commune des préfets en chef.

- Parkinson !

- Quoi ?!

- Ah Euh ... Je crois qu'on a oublié quelqu'un ou plutôt quelque chose.

- Quoi ?!

- La retenue ...

- Putain, tu m'as fait bosser jusqu'à en être morte et maintenant on doit se taper la colle!

Et voilà, c'est en râlant sur Potter qu'on partit tout les deux en direction des cachots.

- Hééé Hooooo ! Hé hoooo ! Hé hooo ! Hé ho hé ho, on nettoie les cachots ! lala lala lala lala lala lala lala lala ... (à chanter sur un air de hého on rentre du boulot!)

- Potter, arrête de chanter ce truc débile et aide moi à attraper les machins pour nettoyer dans le placard, je crois que j'ai de trop petits bras.
- Tu crois ? ahahah. Minipouss !

- Mais arrête ça bordèle, je ne sais même pas de quoi tu parle en plus !

- Rohh c'est bon j'arrive, ne t'enflammes pas spice di serpent.

- Potter ! ... Ah merci j'ai failli attendre.

- De rien, de rien.

La suite de ce dialogue ? Et bien ... je nettoyais, et tu liras que il nettoya avec moi, nous avons ensuite lavé, frotté, épongé, rangé pour que vous vous ennuyé à lire nos moindres faits et gestes décrit par elles ! C'est-à-dire la narratrice et moi. Puis ... Ce fut le drame !

- Potter tu m'énerves.

- Hein ? J'ai rien fait !

- Oui je sais, mais tu m'énerves quand même.

- WAooo Parkinson pétage de plomb en direct !

- Bah je m'ennuie faut bien que je me fasse les griffes sur quelqu'un !

- ... T'aurais pu attendre d'être avec Malfoy et Blaise quand même.

- Non maintenant que j'ai besoin, alors Potter tu pus.

- Je ne sais pas si t'es au courant mais t'as passé l'âge non ?

- Potter mon corps et peut être celui d'une femme et je suis sans aucun doute plus mâture que toi mais je reste à mes heures perdues envers et contre tout une enfant.

- J'aurais tout entendu. Tu me désespères.

- Bah quoi ?

- Tu m'as reniflé pour affirmer que je pu au moins ?

- Euh ... attend.

Je m'approchais alors de lui pour le sentir. Oui j'avoue je suis un chien, snif. Humm il sent bon, je ne sais pas c'est quoi comme odeur, mais c'est agréable ... Potter sent bon ? Zut. Je m'écartais donc de lui à regret pour enfin lui confirmer haut et fort que ...

- Tu ne pus pas Potter. Mais on vient de fini notre ménage, alors je pense que tu ne vois pas d'inconvénient à ce que j'aille rejoindre la douche puis le lit. Sur ce, au revoir, lui-dis-je précipitamment avant de commencer à m'enfuir vers nos appartements.

- Bonne nuit Parkinson ! me cria-t-il de loin.

Il m'a dit quoi? De plus en plus bizarre celui là, mais bon. Sur ces mots je partis me laver puis me rendis dans la chambre, et sans avoir eu besoin d'écrire ni quoi que ce soit d'autre pour me vider la tête je m'endormis.

Fin du chapitre 1