Disclaimer : Tout est à Rowling
Notes : Cela fait un moment qu'une fic sur ce pairing me trotte dans la tête. Et j'ai enfin trouvé l'idée conductrice pour en faire une histoire. J'espère que vous apprécierait la lecture autant que j'apprécie écrire. Tous commentaire est bien entendu bienvenu :)
Cette fic et relue et corrigée par Amand1
Prologue :
La lettre A... Amour? Pff je dirais abruti oui...
Je le déteste. Je le hais. Il me tape sur les nerfs. Je pourrais continuer longtemps comme cela. On pourrait croire qu'avec le temps j'aurais abandonné ces idées puériles de querelles de maisons. Mais c'est plus fort que moi. Potter est un abruti. Et ne parlons même pas de son épouse qui depuis qu'elle porte le nom Potter ne se sent plus. Comment il a pu s'enticher d'une fille pareille?
Pourquoi je le déteste autant? Parce que depuis la fin de la guerre se sont écroulées toutes mes illusions. J'étais destinée à être une dame de la haute société et à devenir l'épouse d'un sang pur. Et maintenant l'Angleterre est devenue le berceau de la guimauve et de la joie de vivre. Ils n'ont plus qu'à repeindre les murs en rose et cela sera parfait.
"Pansy!"
Je me retourne pour voir ma meilleure amie qui se précipite vers moi des sacs débordant de ses petits bras. Arrivée vers moi elle s'écroule sur la chaise en face de mienne éparpillant ses nombreux sacs autour d'elle.
"Tu es désespérante Daphnée, il y a même pas deux semaines tu avais le même nombre de sacs. Tu n'as même pas eu le temps de porter toutes tes nouvelles robes.
- J'ai l'impression d'entendre Astoria! Il faut bien que je trouve un intérêt à être riche voyons! Et puis comme ça on pourra se faire une soirée photos!
- Je suis pas photographe de mode chérie..."
Me voilà moi Pansy Parkinson dans une de mes journées typiques. Je suis photographe pour les aurors. J'immortalise les scènes de crimes. Vous pouvez trouver ça glauque mais j'aime mon métier. Certaines mauvaises langues prétendent que le milieu dont je suis issue m'aide à ne pas flancher pour moi c'est juste un moyen d'occuper mes journées. Même si pour cela je dois souvent me coltiner Potter l'abruti.