Je sais, je suis supposé travailler sur Child of Time, mais il est plus compliqué que prévu vu tout ce que je voulais faire avec Galilée. J'ai donc décidé de me contenter de faire une suite à M'aimes-tu assez pour reconstruire le monde. C'est un léger délire que j'ai eu comme ça. Évidemment, ça ne plaira peut-être pas à tout le monde, ce sera peut-être tiré par les cheveux, mais je vais essayer de faire de mon mieux pour que ça vous plaise. Alors prêts pour un nouveau voyage en compagnie de Rose et du Docteur? Ce prologue n'est pas nécessaire à cette histoire là, mais le deviendra si je poste une troisième suite, alors bon...
Prologue : Début de cours
« L'univers est immense et d'une beauté à coupée de souffle. Les gens qui ont la chance d'en voir qu'une toute petite parcelle ont une chance que bien d'autres n'auront jamais. Les planètes, les étoiles, les galaxies et les civilisations, tout ce monde a toujours intrigué les chercheurs, les scientifiques et même les simples personnes, celles qui montent leur regard vers le ciel toutes les nuits, celles qui se demandent à chaque fois si une autre vie existe ailleurs.
Le temps et l'espace sont deux choses différentes qui pourtant ne peuvent vivre l'une sans l'autre. Le passé, le présent, le futur se mêlent dans une danse effroyable au sein de ce que l'on appelle l'Espace-Temps. Qui sait ce qui peut parcourir des années de lumière de distance entre les trois époques nommées plus haut. Le monde change à tous les jours, mais le monde ne change jamais. Il reste toujours dans notre vie des traces de ce que l'on a vécu, des traces de ce que l'on vit et des traces de ce que l'on vivra. Des centaines, des milliers et plus de personnes se demandent chaque jour ce qui régit ce Tout. Personne ne l'a jamais vraiment su.
La vie est une entité bienheureuse et agréable. Les gens la veulent, les gens désirent la vie et désirent même qu'elle soit éternelle. Elle apporte les saisons, la renaissance des fleurs, elle apporte les enfants et les animaux.
La mort est l'anti-thèse de la vie. Cette chose horrible que l'on ne veut pas dans sa maison, qui n'est jamais invité aux fêtes et qui ne seront jamais que l'ombre de nos pensés et de nos peurs. Elle cause la douleur et la tristesse, la haine et le rejet. Les gens se demandent souvent pourquoi elle existe. Elle fait pourtant partit du cycle naturel et indispensable de la vie.
Ce sont les sujets que nous verrons plus en détails dans mes cours et j'espère sincèrement que vous serez à l'écoute. La philosophie est habituellement penchée sur des sujets plus terre à terre, mais je veux ici vous sensibiliser à une autre manière de voir ce qui nous entoure. Je compte sur votre participation, votre présence et votre intérêt. N'oubliez pas, ce n'est pas tout le monde qui à la chance de vivre ainsi… »