Voici ma première fanfiction publiée, elle a été modifiée plusieurs fois mais je pense pouvoir être plutôt fière de cette dernière version. J'espère qu'elle vous plaira et j'essaierai de ne pas dénaturer la série et ses personnages. Si vous sentez que quelque chose cloche par rapport à la série, faite le moi savoir et j'essaierai de le corriger du mieux que je peux. La saga The Walking Dead ne m'appartient pas, en revanche, le personnage Shayah Al Hayawan m'appartient.
Une relation "Guardian" sera abordée très tôt dans l'histoire ainsi qu'une histoire d'amour en "Pairing"
Si vous lisez mon histoire et que vous l'appréciez, s'il vous plaît laissez moi une review ou envoyez moi un message privé, je vous assure que je ne mords pas ! Les reviews sont importantes pour les auteurs, pour que nous sachions ce que notre lectorat pense de notre histoire et de quelle manière l'améliorer le plus possible. Étant une débutante, vos avis et critiques sont d'autant plus importants pour moi ! Alors si vous aimez cette histoire, ou non, faites le moi savoir !
Bonne lecture à vous.
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PROLOGUE
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Il s'agissait d'une petite fille, vivant dans un orphelinat plus que pourri, enfermée bien trop longtemps...
Celle-ci devint le pire cauchemar de la police d'Atlanta et de King County : Shayah Al Hayawan. Elle avait passé son enfance au comté de King County dont je suis le shérif. Enfin à l'époque, on étais encore gamin. Elle fut connue du service de police municipal à l'âge de 10 ans, pour avoir planté un couteau de cuisine dans les cuisses d'un homme soupçonné de pédophilie.L'année d'après, elle fut accusée d'avoir coupé la langue d'une de ses camarades parce qu'elle l'avait insultée de bête ne fut cependant pas envoyée dans un centre de redressement puisque la police n'avait trouvé aucune preuve contre elle.
Elle multiplia les mandats de ce genre sans jamais de preuve incriminante, et c'est à l'âge de 13 ans qu'elle rejoint le crime organisé. Je dirais que c'est là qu'elle a filé entre les doigts de la police. C'était le chef de l'Hôtel du Qatar lui même : Labeeb Al Nar un petit de fils-de-pute en costard, qui l'adopta. Ce qui étonna tout le monde puisqu'il n'était pas connu pour son instinct paternel. Il l'éleva et la considéra comme sa fille jusqu'à sa majorité où il lui donna des responsabilité : les États-Unis. Le patron de l'Hôtel du Qatar avait décidé de retirer sa personne du marché américain qui devenait trop risqué pour lui.
On ignore pourquoi, mais malgré les échelons gravi par la dame au fil du temps, elle resta vivre dans la ville qui l'avait vu grandir, avec un loup noir domestiqué, à tenir une quincaillerie et un bar. A ce moment là, Shayah avait sous ses ordres plusieurs milliers d'hommes, au bas mot. Elle trempait dans tout les buisness illégaux, trafics d'armes, extorsions de fonds, incendies criminels, fraudes, combats de boxe clandestins... Mais elle interdit à ses hommes le trafic de femmes, d'enfants et d'animaux. Elle déclara qu'il y avait une différence entre faire de l'argent et perdre son âme et rendit cette infraction à la règle passible de la peine de mort, pour l'individu, sa famille, et la famille de sa famille.
Une brave femme, hein ? Même si elle gérait toute les affaires de l'Hôtel du Qatar américain, elle restait mystérieusement intouchable. Elle multipliait pourtant les délits mineurs, histoire de satisfaire la police du coin, nous, et celle d'Atlanta où elle se rendait souvent pour affaire. Sa maison avait été fouillée, son téléphone mit sur écoute, ses hommes interrogés, ses proches soudoyés, mais rien n'y faisait. Cette nuit là, elle était détenue en garde à vue pour outrage à agent et possession d'arme blanche. Arme blanche qui n'était en réalité qu'un couteau suisse mais était suffisant pour la placer en détention un moment.
