Titre: Unitia Gemini
Disclamer: Les personnages de l'univers "Harry Potter", ne m'appartiennent pas. Ils sont la totale propriété de J.K Rowling.
Slash: HPDM (Secondaire)
Rating: M. Scènes d'actes sexuels, et paroles pouvant être violentes ou vulgaires.
Résumé: Lors de l'été précédant sa cinquième année, Harry est sujet à de violentes colères. Au début il les pensaient naturelles. Mais que se passera-t-il, quand il en découvrira la véritable origine?
Comment réagira t'il, en voyant tout ses repéres s'effondrés uns à uns. Comment parviendra-t-il à supporté la trahison de ceux qu'il considérait comme les siens?
Bashing: AD/RW/GW
HPDM-LVOC-HGTN
Unitia Gemini
Prologue:
Harry Potter n'était pas connu comme étant un garçons calme et réfléchi. Il était aussi connu pour son comportement quelques fois lunatique. Rien de bien grave, en connaissant la pression qu'il subissait chaques jours depuis l'âge de onze ans.
Mais celà faisait maintenant, deux mois qu'il en était fatigué. Pendant l'été, des colères sûrement dignes de Lord Voldemort lui-même l'avaient envahit. Il avait même fini par envoyé son oncle Vernon valsé à l'autre bout de son salon, alors que ce dernier lui hurlait dessus, beuglant qu'il ne faisait pas assez de tâches ménagères dans leurs maison. Cette maudite maison!
Harry n'y comprenait rien. Il n'avait jamais eu le sang aussi chaud. Au début, il pensait avoir passé trop de temps en compagnie de son ami Ron. Connaisant son caractère exagérément emporté, il ne serait pas étonnant qu'il ai déteint sur le sien. Mais là, ça allait beaucoup plus loin que de simples colères passagères. Il sentait quelque chose s'agiter en lui. En permanence!
Il sentait que quelques chose allait changer cette année. Seulement, il ne saurait dire quoi. Si ce n'était que ça avait, indéniablement, un rapport avec lui et avec sa magie.
Mais pour l'instant, il n'avait qu'une seule envie. Retrouver son petit ami, Draco Malfoy, au sommet de la tour d'astronomie, leur lieu de prédilection. Ce soir.
Harry fut interrompue dans son monologue intérieur par sa meilleure amie, Hermione Granger, qui venait de rentrer dans leurs compartiment du Poudlard Express.
Elle avait beaucoup changée en deux mois. Ses cheveux, habituellement décoiffés et lâchés, étaient plus ordonnés et se terminaient en une tresse, qui tombait sur ses hanches. Ses yeux étaient maquillés d'un rose doux, donnant à son regard, un air profond et angélique. Sa bouche était, elle aussi, recouverte d'un rouge à lèvres rose pâle, lui allant à ravir. Elle portait une robe d'été blanches, lui arrivant sur le haut des genoux, et qui lui prodiguait un jolie décolleté, une veste en jean bleue, et des sandales blanches aux ruban rose pâle.
Il n'y avait pas à dire, Hermione était devenue une fille magnifique, elle prenait soin d'elle et ça se voyait. Enfin, surtout depuis qu'elle sortait avec Théodore Nott, le meilleur ami de Draco. Elle était d'ailleurs, la seule au courant pour Harry et Draco, le brun n'ayant pas voulut en informer Ron, étant donné son habitude à être très stricte en ce qui concerne les traditions. C'était d'ailleurs pour cette raison que le brun c'était légèrement éloigné du roux depuis un an. Harry ne voulait pas avoir à souffrir si il devait perdre son ami.
«Comment vas-tu, Harry?! Je suis heureuse de pouvoir enfin te revoir!» S'exclama la jeune fille, avec enthousiasme.
«Disons que ça pourrait allé mieux. Mais je suis heureux de pouvoir enfin te revoir aussi! Tu m'as vraiment manqué.» Fit le brun, avec un sourire.
«C'est en rapport avec tes problèmes d'humeurs, ceux dont tu m'as parler dans ta lettre?» Demandait-elle, avec inquiétude cette fois-ci.
«Oui. Hermione, j'ai peur! Ça s'aggrave de jour en jour. Je crains de ne plus pouvoir me contrôler si ça recommence. J'ai peur d'être en train de perdre pied...»
«Ne t'inquiète pas, je suis avec toi. Tu le sais bien. Mais dis, tu en a parlé à Dumbledore? Il pourrait peut-être trouver un moyen de t'aider.»
«Je lui ai envoyé une lettre par hibou, hier matin. Il m'a demandé de passer à son bureau ce soir, après le banquet.» Fit-il, ailleurs. «J'irais avant d'aller voir Dray. Lui aussi, m'a un peu trop manqué...»
«Oh! D'ailleurs, en parlant de ça! Ça te gêne, si je viens?» Demanda la jeune fille avec espoir.
«Euh oui. Mais...»
«En fait, j'aimerais bien qu'on puisses tous passé la soirée ensemble. Et j'avoue, que je préfère les endroits calmes, tout comme Théo» Expliqua-t-elle, les joues légèrement roses.
Le brun sourit, et lâcha un petit rire franc.
«Tu veux surtout passé la soirée a subir les derniers outrages de Théo. Avoue!»
«Mais pas du tout! Arrête de te moqué de moi!» S'exclama-elle, le rouge aux joues. « Bon, je reconnais avoir fait des efforts physiques, pour lui.»
«J'ai cru comprendre en te voyant arriver, oui. Mais tu sais quand j'ai appris à connaître Théo, j'ai compris une chose. Ce mec ne s'intéresse qu'au mental d'une personne et pas à son physique, donc s'il en ai venu à t'aimer, c'est seulement pour ton attitude. Donc ne cherche pas à te changé, tu est parfaite comme tu est.» Fit-il avec un sourire doux.
«Je le sais bien, c'est vraiment un garçon en or.»
Le survivant acquiesça.
«Bon, par contre je pense qu'il ne sera pas le seul à te remarqué.»
La jeune fille, ne comprenant pas, lui fit mine de continuer.
«Tu est vraiment ravissante, Hermione! Et aujourd'hui en particulier. Tu ne crois tout de même pas que les garçons vont passés leurs chemins, en te voyant?»
La fille ouvrit de grand yeux et rougit violemment.
«Mais... Mais, non! Je...» Begayait-elle, avant de se faire interrompre.
Ron venait d'ouvrir la porte du compartiment. Le jeune homme ne les avaient pas tout de suite salués, trop interressé par le décolleté de son amie.
L'amie en question rougit encore plus et lança au roux un regard noir, remplie de malédiction sur sa descendance.
«Hum, salut Harry. Hermione...»
Il était clairement troublé. Harry sourit, il n'oublierait pas cette vision de sitôt. Comme en quatrième année, quand le roux avait dansé la valse. Avec cette chère McGonagall!
Puis il replongea dans ses pensées, le Poudlard Express partant en direction de ce château qu'il appelait sa maison.
À suivre...