Titre de la Fic: La Plus Grosse Erreur De Sa Vie
Titre du Chapitre: Le présent blesse le passé
Auteur : Keiko.Ayame.A (Bibi quoi )
Couple : Pouwaa, vous trouverez bien xD
Rating : T
Disclaimer : Gazetto ne m'appartient toujours pas et miyavi non plus xD. L'histoire est mienne.
Note: Alors... Dans cette fiction, j'utilise les « Vrais prénoms et noms » des Stars.. Enfin ceux donner par Nautiljon xD
Kare Uta de The Gazette, m'as grave inspiré pour l'histoire, et la Fic. (Chanson de fond sonore pendant la composition : Kare Uta)
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Il venait d'arrêter sa voiture devant une maison, le coeur battant. Il regarda cette maison, qui semblais être un foyer heureux, et épanouit... Mais soudainement, un frisson le parcouru. Il baissa les yeux sur ses mains qui tremblaient accrocher au volant. Était-ce une bonne idée? Devait-il y aller? Ils avaient vécu tellement de temps sans lui... Alors pourquoi revenir? Il finit par poser sa tête contre ses mains sur le volant, laissant quelques larmes couler sur ses joues. Il n'avais pas la force d'aller jusqu'à la porte et de sonner. Il n'avais pas la force de faire son retour. Il sentait que sa place n'était pas ici. Pourtant ce sentiment qui lui déchirais le coeur à chaque secondes, à chaque fois qu'il le voyait sourire, qu'il le voyait s'en aller, rentrer, lui sourire, l'embrasser sur le pas de la porte. Il n'y arriverais pas, c'était tout ce qu'il voulais. Il ne voulais que le revoir, pouvoir voir ses yeux briller en le regardant, pouvoir se voir à travers ses yeux. Même si plus jamais il ne lui adresserais la paroles. Pourquoi c'était si dur...
Après quelques instant de faiblesses, il releva la tête, fixant à nouveau cette maison, avant d'enclencher le moteur, et de démarrer. Cela faisait trois mois. Trois mois qu'il ne trouvais pas la force d'aller sonner. Il avait bien trop peur, que ce privilège fragile de le voir de temps en temps, lui soit interdit. Il ne voulais pas le perdre encore une fois. Cela serais bien trop dur. Alors il partait. Encore une fois. Comme avant, comme toujours... A croire que c'était la seule chose qu'il savais faire. Il roulais, au hasard de la ville, et de ses rues. Il roulais pour oublier tous ces sentiments contradictoires, toutes ses envies frustrées par ses faiblesses. Il devait se vider la tête, mais il savait que tôt ou tard, ils finiraient par se retrouver. Ils finiraient ensemble, c'était leurs destin, et rien ne pourras l'empêcher. C'était peut être un truc de filles, de croire que le destin existe, de croire qu'ils seront à nouveau ensemble, de croire qu'un jours il seras assez fort pour demander, et surtout pour avoir ce qu'il voulais, ce qu'il désirais plus que tout au monde.
Il arriva devant une autre petite maison, à bien 70 km de là. Il s'arrêta devant, et descendit facilement de sa voiture. D'un geste mécanique, il la verrouilla et franchit les quelques mètres qui le séparait de la porte et sonna. N'importe qui dirais, qu'un homme frappe à la porte, et ne sonne pas. Peut être qu'ils ont raison... Peut être qu'il n'était plus un homme... Il se sentais mourir de l'intérieur, comme une étoile qui s'effondrait sur elle-même. C'est ça.. Il était une étoile qui s'effondrait sur elle. Parce que personne ne faisait attention à elle, elle s'éteignait, dans l'espoir que quelqu'un la remarque enfin. C'était soit ça, soit elle explosait pour qu'on s'aperçoive qu'elle était encore là il y à quelques instant.
Il eut à peine le temps de baisser la tête, que la porte s'ouvrit laissant apparaître un homme plus grand que lui, et sur lequel il se jeta dans ses bras sans dire un mot. Le grand brun le serra fort dans ses bras, comme à son habitude ces trois derniers mois. Et le voilà qui se remettait à pleurer silencieusement dans les bras du grand chanteur. Ils ne bougèrent pas pendant un long moment, quand un petit garçon s'avança vers les deux hommes et dit d'une voix toute mignonne.
« Papa, pourquoi il pleure le monsieur? »
A ces mots le plus petit des deux hommes lâcha le « Papa », et lui dit en essuyant ses larmes la voix encore tremblante
« Pardon, j'aurais pas dût. Je .. Je savais pas que ... Désolé »
Il partit en courant, oubliant sa voiture. Pendant que le grand brun se baissa accroupie devant son fils. Il posa une mains sur le ventre de son fils et lui dit gentiment.
« Ce n'est pas une question à poser devant les gens Zenko, maintenant, je te confit une missions. Tu reste ici, jusqu'à ce que Papa revienne. Et tu n'ouvre a personne, c'est bien compris? »
« Oui papa. »
Il eut un sourire pour son fils, et se releva, ferma la porte, et alla à la recherche de son amis, qui n'avais sûrement pas du aller loin, dans l'état où il était. D'ailleurs, il ne fit pas 20 mètres qu'il le trouva assis sur le trottoir, à regarder par terre les larmes coulant toujours sur ses joues. Il s'assit à côté de son amis, et soupira doucement avant de lui dire.
« Désolée pour tout à l'heure. »
Le plus petit des deux, et le plus blond le regarda un instant, avant de lui dire en baissant la tête.
« Il n'a pas dix ans n'est-ce pas? »
« Non... En effet. Je suis désolé que tu l'apprenne comme ça... »
Il reposa son regard sur le grand brun qui à son tours fixait le sol d'un air désolée. Il soupira et lui dit.
« Tu m'avais dit que tu ne voudrais jamais d'enfant Miyav... »
« Naan, maintenant c'est Takamasa. Miyavi est mort le jour où tu est partit. »
Takamasa se leva sans regarder son amis toujours assis, et reprit le chemin de sa maison, sans rien dire de plus. Mais le petit se leva, et lui dit pour le retenir.
« Je n'ai jamais oublié Miyavi. Et je ne l'oublierais jamais. »
Takamasa s'arrêta net, et se retourna pour le regarder, encore une fois.
« Zenko est un garçon adorable. Je ne peut pas le laisser tout seul trop longtemps. »
Et il reprit sa route, avec le plus petit sur ses talons. Il avait envie de glisser sa mains dans la sienne, histoire de sentir que quelqu'un au monde s'intéressait a lui. Une chose lui réchauffais le coeur, depuis trois mois, Miya.. Non Takamasa n'avais jamais refuser de le prendre dans ses bras pour le consoler de sa faiblesse. Mais là tout semblais avoir changer. Peut être parce qu'il avais un fils? Il se souvenait de toutes les fois où Takamasa lui disait « Han non je veut pas d'enfants. Ceux des autres sont adorables, mais quand se sont les tiens... Vaut mieux fuir! » et à chaque fois il rigolais. Combien de fois il avais voulue avoir un enfant avec l'homme qu'il aimais? Combien de fois il avait hésiter à lui dire... Combien de fois...?
Arrivé devant la maison du petit Tyran fils de Miyavi, il hésita à entrer... Alors que son amis attendait de lui une réponse, il hésitait. C'était peut être la vue de Zenko serrant fort son Papa en le regardant qui le traumatisait... Il finit par s'effondrer sur le sol sans raison apparente. Le petit garçon lâcha son père, et alla voir le monsieur. Il s'approcha de lui et lui dit.
« Il faut pas être triste Monsieur, Papa il est gentil. Je me ferais tout petit. Je sais que Papa à besoin de parler sérieusement à des Messieurs. Il fait ça tout la journée. »
Le petit garçon lui tendit la mains, sous l'oeil fier de son Papa. Il hésita un instant et lâcha dans un soupire en baissant la tête.
« Je ... Je... Je ne peut pas... »
« Papa, il dit toujours qu'il faut toujours essayer, jamais dire qu'on peut pas. Il dit aussi que les gens vous laissent pas souvent deux chances dans la vie. Maman, elle m'as dit que c'est parce que Papa, il a perdu un amis il y a longtemps, que c'est pour ça qu'il est triste souvent mon Papa. Moi j'aime pas le voir triste. Vous aussi vous êtes triste. C'est pas bien. »
Le petit garçon le regardait dans les yeux, avec un petit sourire triste, en lui tendant toujours la mains. Il fixa le sourire du petit garçon, avant de le regarder dans les yeux. Il fut dégoûté de ce qu'il y vit. Il se voyait dans le reflet, il voyait un homme faible, un homme triste, un homme seul... Seul et pitoyable. Les larmes lui revinrent aux yeux, brouillant sa vision, l'obligeant à fermer les paupières pour éviter de voir leurs réactions, pour éviter de se revoir dans ses yeux. Le petit garçon dit à son papa.
« Papa, je l'ai fait pleurer... » Puis il s'adressa au Monsieur « Je suis désolée... Je voulais pas que vous pleurez, pardon. »
Takamasa arriva près de son fils et s'accroupit encore pour lui dire doucement.
« Tu n'as rien fait de mal. Le Monsieur est juste très triste, ce n'est pas de ta faute. Tu peux aller chez la voisine, je t'en pris... Papa a affaire avec le Monsieur. » Il lui fit un tendre sourire, l'embrassa sur le front et lui dit « Aller file, demain je te ferais une surprise. »
Le petit garçon eut un grand sourire, et s'en alla chez la voisine, à même pas dix mètres sous l'oeil attentif de son père, qui fit un sourire à la jeune femme qui venait d'ouvrir sa porte, avant de tourner la tête vers son amis une fois son fils à l'intérieur. Il se releva et lui tendit la mains.
« Je ne suis pas mon fils. »
L'homme compris de suite ce qu'il voulais dire par là. Il lui saisit la mains, et se releva grâce a son aide, la tête toujours baisser, il lui dit.
« Désolé Taka-Kun. Je voulais pas te déranger. Je m'en vais. »
« Arrête de te conduire comme un gamin. Même mon fils à plus de courage que toi. Cela fait trois mois que tu est revenu, et tu est toujours pas capable d'aller le voir. Je sais que cela fait une éternité, que tu à peur que tout ne redevienne pas comme avant. Mais met-toi en tête, que rien ne seras comme avant. L'eau à couler sous les ponts. Et tu ne pourras jamais effacer ce que tu as fait. Jamais. Tu nous a tous déçus, trahis et abandonnés. Sache qu'on oublie jamais rien, on vit avec, et tu ne déroge pas à cette règles. Vraiment pas. »
Il lui jeta un petit coup d'oeil, l'homme semblais fondre en larmes littéralement. Il voulais dire quelques chose, mais Takamasa ne le laissa pas en placer une.
« Évite de me dire que tu est désolé, que tu regrette. Si tu trouve que je suis dur, c'est même pas la peine que t'aille le voir. J'étais ton meilleur amis, et tu m'as lâcher. Du jours au lendemain plus de nouvelles, alors crois-moi qu'il risque de t'en vouloir un maximum. Tu reviens d'accord, tant mieux pour toi. Tu es plein de Remord? tant mieux... Mais ne fait pas l'homme touché par ce que tu as fait. Tu a peut être mal, mais tu ne sait pas ce qu'on a pu endurer. Tu sais ce qui est le pire? Croire jours après jours que tu allais revenir, qu'à chaque porte qui s'ouvrait c'était toi qui la poussait.
Tu veux que je te soutienne, il n'y a pas de problème.. Tu veux que je soit là après ton retour, pas de problème. Mais là j'en ai marre. Prend tes responsabilités, prend tes tripes et vas-y... Mais ne viens plus me voir si c'est parce que tu n'as pas le courage. C'est facile de partir comme tu l'as fait. Mais rend-toi compte de ce que tu a fait. A cause de toi, Miyavi, et The Gazette n'existent plus que dans les mémoires. Tu n'as pas seulement brisé nos rêves, tu a brisé nos vies. Et j'en ai assez que tu me prenne pour une bonne poire. Montre que tu est un homme. Montre que tu est responsable. Mais arrête de dire que tu a changé, si ce n'est pas vrais car ma porte ne te serras plus ouverte si tu continues. Tu comprend? J'ai déjà perdu un amis... J'ai pas envie de me faire avoir une seconde fois par toi. »
L'homme en question le regarda un moment, après avoir séchés ses larmes. Il baissa la tête encore plus bas, et lui prit la mains doucement.
« Tu est le seul en qui j'ai confiance. Tu est le seul qui aurais pu me comprendre. Si il le faut, je ressortirais de ta vie une seconde fois, si c'est ce que tu veux. »
Takamasa reprit sa mains, en repoussant celle de l'homme d'un geste un peu brusque.
« Je sais pas ce que tu cherche a faire... Mais arrête de mentir. Il était tout ce que tu aimais, tout ce dont tu rêvais, c'est ce que tu arrêtais pas de me dire... Tu voulais avoir un enfant, fonder une famille avec cet homme... Et là c'est limite si tu me fait pas des avances... Je peut concevoir que tu soit un peu chambouler... Mais putain, pense plus loin que ton cul! J'avais confiance en toi, je t'aimais comme un frère, et tu est partit. N'oublie pas que celui qui est en tord ici, c'est toi, pas moi! J'en ai marre de tes mensonges, de tes promesses... Part. dégage d'ici. Je veux plus te voir, tu comprend?! »
L'homme lutta avec Takamasa pour essayer de le prendre dans ses bras, pour essayer d'être réconforter, mais Takamasa ne se laissait pas faire, il ne voulais pas qu'il le touche. D'ailleurs dans cette petite bagarre, Takamasa colla une gifle monumentale à l'homme, qui le regarda choquer de son acte.
« Très bien. Tu n'as qu'à oublier ces trois derniers mois! Tu n'est qu'un menteur, tu disait qu'on serais toujours amis. 'Ami pour la vie'... MON CUL! »
Takamasa le regarda monter dans sa voiture plein de rage, et partir en trombe. Il venait de perdre son amis pour la seconde fois. Le pire dans tout ça c'est qu'il se sentait si seul a nouveau. C'était peut être débile... Mais quand il était avec lui, il se sentais entier, et prêt à dire et faire n'importe quoi comme bêtises comme Miyavi avant, et en même temps en proie à une profonde douleurs qui lui éclatait les tripes à chaque fois, comme si quelqu'un s'amusait à planter et replanter un couteau avant de le faire tourner et tourner dans la plaie. Comme si on voulais qu'il meures à petit feu de tout ça, de toute cette histoire. C'était son meilleur amis... Et malgré tout... Sa le resteras... Même si c'était qu'un pauvre débile incapable de prendre des responsabilités, incapables de comprendre qu'il avait fait une énorme erreur et que tout ses amis la payaient pour lui.
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J'adore Miyavi (Takamasa) avec son gosse il est trop Adorable... Et avec le mec il est limite Agressif .. Aaah comme je kiff a mort xDDDD
Et c'est normal que le fils parle pas très bien xDDDD
Alors? Il vous a plus ce chapitre? Vous savez qui c'est le mec? Que pensez vous qu'il va se passer par la suite heiin?
