PETITE FICTION SUR LE DUO JOHN SULLYVAN ET TY DAVIS, JE PRECISE QUE LES PERSONNAGE NE M'APPARTIENNENT PAS ET REMERCIE EDWARD ALLEN BERNERO ET JOHN WELLS DE ME LES PRETER AINSI QUE NBC !
Résumé : première rencontre des deux coéquipiers mais les débuts sont dure car Sully avais bossé avec le père de TY qui étais sont amis et mort en service !
Officier : hey Sully ! Le capitaine veut te voir, il dit que c'est important !
SULLY : OK ! Merci Bernie!
Toc toc toc…. !
CAPITAINE : OUII !
SULLY : Tu voulais me voir stick ?
CAPITAINE : oui, tu as un coéquipier !
SULLY : je n'en veux pas !
( …..)
SULLY : MERDE ! C'est son portrais cacher !
CAPITAINE : OUI ! … je compte sur toi pour bien t'occuper de lui !
DAVIS : Bonjour !
CAPITAINE : voici ton coéquipier !
DAVIS : Très bien, merci capitaine !
SULLY : Allez en route le nouveau !
DAVIS : vous n'avez pas l'air content de me voir..
SULLY : fait toi enregistrer une radio !
Plus tard dans 55 Charlie
DAVIS : vous ne vouliez pas de coéquipier ?
SULLY : Quoi ?
DAVIS : Je vousai entendu tout à l'heure, vous disiez que vous n'en vouliezpas …
SULLY : j'ai mes raisons !
DAVIS : lesquels ? Si vous êtes d'accord d'en parler…
SULLY : NON !
DAVIS : d'accord, je n'insiste pas… Mais vous allez être chiantcomme satoute la journée ?!
SULLY : CHIANT ?! ….. Je te rappel que je suis ton supérieur ok ! Si tes pas content tu na qu'as demandé à changer de partenaireje n'attends que ça !
DAVIS : ok ! Très bien on y arrive alors, vous êtes un homme solitaire …
J'ai compris !
SULLY : OK ! Tu veux savoir pourquoi je ne veux pas de coéquipier ! Parce que mon dernier coéquipier est décéder devant mes yeux ! Sans que je ne puisse faire quoi que ce soit ! ….. C'était ton père…
DAVIS : (….)
SULLY : c'est bon tu as ta réponse ! Maintenant laisse-moi tranquille ! Je ne veux parler de rien d'autre que du boulot !
CASERNE 55 : 20h30 DANS LES VESTAIRES
SULLY : HEY DAVIS ! Viens avec moi…
DAVIS : on va ou ?
SULLY : suis moi et ne parle pas !
DAVIS : (….)
PLUS TARD SUR UN PARKING…
DAVIS : qu'est-ce qu'on fait ici ?
SULLY : c'était ici…
DAVIS : quoi ?
SULLY : on courrait après trois jeune, quand on est arrivé ici, J'ai entendu un bruit et je me suis retourné, c'est là que je l'ai vu, il était ici entrain de ce vidé de son sang ! … je le regarder mourir sans rien pouvoir faire, la minute d'après il était mort …
DAVIS : (…)
Une semaine après toutes ces confession, une amitié ses former ….
