Bonjour Miina-san ! C'est Ayu ! =) Avec un tout nouveau projet ! ! ! ! ! Bon par contre je vous préviens, l'idée ne vient pas de moi mais de l'une de mes cousines, je ne suis que celle qui écris... Donc cela peut être très vulgaire donc âmes sensibles, abstenez vous ! XD Bref, j'espère que ce projet va vous plaire, en attendant la suite de mon autre fic, je suis aussi désolé pour ce titre... mais ma cousine a absolument voulu le mettre donc je n'avais pas le choix ^^' Sinon hum... Je préviens que cette fiction contient énormément de lemons et de gros mots pas très très beaux à voir... Donc j'espère que vous me pardonnerez pour ça, mais ma cousine voulait rester dans le monde des barbares et pas des nounours roses XD Voila ! Merci de lire cette fiction et à bientôt ! :] et désolée pour les fautes d'orthographes, je n'ai pas eu le temps de me relire UU"

Ps: J'ai vu l'alerte sur . Si jamais mes fics devaient disparaitre, je vous préviendrai que je les posterai autre part et les continuerai car ce serait dommage que vous ne puissiez pas voir la fin de mes fics X3


Chapitre 1: Un nouveau client

Je suis confiné dans le noir, dans cet espace ténébreuse. Mes sens sont encore troublés par l'odeur de drogue présente dans pièce, mon cerveau a dû mal à se remettre en route, sûrement à cause du gars d'hier. J'ai été puni en plus par sa faute, je me demande pourquoi je suis dans le noir ainsi ? Je suppose qu'ils m'ont bandé les yeux. J'ai envie de sortir de cet endroit, j'en ai assez de faire le prostitué, j'en ai assez de subir tous ces gens qui ne sont là que pour me «baiser» comme disent si bien mes «supérieurs». J'ai envie d'avoir plus de libertés, j'ai envie de voir le monde qui m'est complètement inconnu, j'ai tellement envie de sortir de ce satané endroit qui m'oppresse depuis ma naissance. Je ne sais même pas écrire et parler m'est vraiment juste, je n'ai même pas eu de réelle éducation, tout ce qu'on m'a appris n'est que pour le sexe. Je laisse échapper un soupir alors que je me retourne, entendant des petits claquements de fer. Ils m'ont enchaîné sur le lit, je suppose. Depuis combien de temps je suis ici ? Je me demande ce que ça fait d'être baigné dans la lumière du jour et de vivre comme tout le monde. La vie est tellement mal faîte, injustice, je haïs ce monde, je haïs ces gens mais je me méprise encore plus. Si je voulais réellement sortir, je me serai débattu depuis longtemps mais alors pourquoi ne parviens-je même pas à me révolter ? Je laisse échapper un autre soupir, tout simplement parce que je n'ai pas d'autre endroit où aller. Peu importe à quel point c'est horrible, si je pars, je n'aurai nul part où aller. C'est tellement stupide... Personne ne veut de moi, pas même mes parents qui m'ont abandonné à la naissance. Je souris tristement, peu importe, cela n'a plus d'importance à présent, je ne suis pas réellement vivant, je couche avec d'autre gens, je me nourris à peine, ce n'est pas la mer à boire non plus. Ma situation n'est pas si critique, s'il l'on peut dire... Une larme s'échappe de mes yeux, j'aurais tellement voulu être dans une famille accueillante où une personne est là pou me dire qu'il est heureux d'être avec moi, j'aimerai tellement mener une vie normale.

_ Oy Ciel, ça va ? Tu dors toujours ?, s'élève soudain une autre voix enfantine.

Je renifle bruyamment, enlevant d'une main la larme qui a glisser le long de mon visage.

_ T'inquiète, ça va Alois. Je suis encore un peu crevé par l'autre gars d'hier soir et toi ?, demandais-je en me retournant bien que je ne le vois pas.

De toute façon, il est lui aussi enfermé dans une petite chambre, comme moi, seulement les murs sont tellement fins, qu'on peut tout entendre malheureusement... En plus, la chambre ne se ferme pas par des portes mais par des rideaux, rendant ainsi l'isolation presque inexistante.

_ Ouais, ça s'entendait d'après tes cris... En plus, il t'a pas ménagé et il a osé te critiquer, du coup t'as été puni, réponds Alois avec tristesse.

Alois est un simple ami depuis que je suis enfermé ici, je ne sais pas vraiment à quoi il ressemble mais je sais que c'est un bon garçon bien qu'il soit vraiment étrange. Il ne semble pas vraiment être pudique... Personnellement, je n'aime pas tellement être touché comme ça alors que lui, semble aimé. C'est pour ça que je dis que lui, c'est vraiment un prostitué...

_ Ouais, mais je m'en fou pas mal, j'ai surtout envie que la douleur cesse, il m'a mordu comme un malade.

_ Ah... Ça va passer ne t'inquiète pas. Dors un peu, ce soir, tu auras droit à un nouveau client d'après ce que dise les autres.

_ Whaouh... Super, j'ai trop hâte, j'espère que ce sera pas un vieux pervers celui-là, dis avec ironie bien qu'en réalité je suis effrayé.

J'entends un petit rire avant un froissement de tissu. Il est sûrement parti se coucher. Je vais en faire de même, je suis épuisé et je dois encore me préparer à ce nouveau client qui va sûrement me tripoter de partout...

J'entends du bruit devant ma chambre, je tente d'ouvrir mes yeux mais bien évidement, je suis toujours dans le noir, je suppose que mes yeux sont toujours bandés. Je me lève pour me relever sur un coude, ils m'ont détachés, donc je suppose qu'on est dans la soirée. J'entends des voix qui sont sûrement derrière les rideaux mais étrangement, je trouve que la voix de cet homme est particulièrement envoûtante, j'en aurai presque envie de sauter sur lui... Mais à quoi je pense ? Ce n'est franchement pas le moment d'avoir des idée aussi perverses. Je me rallonge, ne sentant pas la force de prendre une position plus «accueillante». J'entends un froissement de tissu avant que des pas se rapprochent de mon lit.

_ Voilà de la compagnie pour toi Ciel et prends bien soin de lui cette fois sinon..., commence alors mon «patron» avec une voix menaçante avant de partir rapidement.

Qui est capable de dire une telle chose à un enfant ?

Je suis surpris par la tonalité de sa voix alors que je l'entends s'accroupir. Je me relève, en me mettant à quatre pattes, je parviens à sentir sa douce odeur qui m'attire. Je frémis au contact de sa main qui touche ma joue, il monte sur le lit pour s'asseoir alors que je me rapproche de lui, osant même le prendre dans mes bras afin de sentir sa nuque.

_ Je vais te retirer le bandeau, alors n'ai pas peur, me murmure-t-il à l'oreille.

Ma voix se bloque dans ma gorge alors que mon cœur s'emballe, je sens l'excitation monter en moi, comment ça se fait ? Il tire sur le ruban, je sens le nœud se détacher derrière ma tête avant de tomber sur le lit. J'ouvre les yeux et découvre avec surprise le visage du jeune homme qui me regarde avec tendresse. Ces yeux sont si rouge, contrastant avec sa peau alors que ces cheveux sont d'un noir ténébreux. Sa main vient à nouveau caresser ma joue avant de descendre au niveau du cou, j'ai envie de sauter sur lui maintenant mais je me retiens, admirant les traits si parfaits de son visage.

_ Comment t'appelles-tu ?, me demande soudainement le jeune homme.

_ Ciel... Ciel Phantomhive, répondis-je avec hésitation.

Il me sourit tandis que mon cœur s'affole devant cette image. Il me rapproche un peu plus de lui, je sens sa main caresser lentement mon torse, je me sens de nouveau frémir.

_ Ravi de te rencontrer Ciel.

_ D-De même... Pour moi...

_ Si tu veux bien... J'aimerai avoir une discu-

J'en peux plus, je le coupe en l'embrassant. Il se laisse faire bien qu'on se perd tout les deux dans le baiser. Je me sépare de ces douces lèvres avant de plonger ma tête dans son cou. Je l'entends soupirer mais je m'en fiche complètement, j'ai envie de lui tout de suite, maintenant, je le pousse pour qu'il s'allonge sur le lit. Je me retrouve au dessus de lui, en train de déboutonner sa chemise, je ne sais pas pourquoi je le désire tellement. Mais je n'en peux plus, je sais que je ne pourrai plus tenir, atteignant la limite, je lui arrache la chemise pour attaquer sa peau si douce. Tout son corps est attractif et m'excite à un point...

Je suppose que je ferai mieux d'abandonner...,

annonce-t-il subitement.

Je ne comprends pas tout de suite mais je me retrouve contre le lit avec lui au dessus de moi, en train de s'occuper de mon cou. Un gémissement s'échappe de ma bouche alors que mon corps bouillonne. Étrangement, je me sens bien dans ses bras, sa chaleur me réconforte. Il se relève en se léchant la lèvre. C'est tellement sexy... Je durcis encore plus à cette vision.

_ Mais qui est capable de laisser de telles marques sur un si bel enfant ?

Je sursaute, repensant subitement aux marques que j'ai au corps à cause de l'autre mec d'hier. Je le repousse légèrement ce qui semble le surprendre un peu, je ne suis même pas habillé... Je tente de cacher mon corps en vain.

_ Je... Je ne suis pas vierge... Et... Je... J'ai encore les marques de... Je ne veux...

Je bégaye, j'ai peur qu'il ne veuille plus de moi après tout, je suis souillé... Je me sens mal pour lui, je ne me pensais pas dans un tel état.

Il lève mes bras avant de prendre possession de mes lèvres, laissant sa langue pénétrer dans ma bouche. Je gémis dans le baiser, sa main vient titiller mon téton. Je courbe mon dos alors que mes main serrent les draps, je sens déjà le liquide pré-jaculatoire coule lentement de mon sexe. Je le veux maintenant, il se retire de bouche avec un sourire qui me fait fondre.

_ Je le sais parfaitement que tu n'es pas vierge, puisqu'après tout tu es un prostitué. Et ne t'inquiète pas, je vais imposer ma propre marque...

Son sourire énigmatique m'a fait rougir subitement, mais mon cœur cogne furieusement dans ma poitrine. Sa main vint caresser mon torse alors que ces lèvres vient se poser sur ma nuque, suçotant ma peau, m'embrassant tendre la nuque avant de descendre. Ce jeune homme laisse alors sa langue caresser ma clavicule avant de s'attarder sur un de mes tétons. Il m'arrache un soupir de plaisir lorsque je sens ses lèvres migrer vers mon autre téton. Mon dos s'arque dès que sa main migre vers le bas, vers cet endroit si sensible. Mon regard rencontre le sien qui est empli de tendresse.

_ Dis moi Ciel... Tu aimes comme je me montre brutal ainsi avec toi...

Il m'arrache un cri de plaisir lorsqu'il serre fermement mon pénis, avant de me faire un friction si délicieux.

_ Ou alors, beaucoup plus doux ?

Il desserre son étreinte et me caresse tendre les bourses, faisant le tour dans mon organe avec un doigt. Ma respiration est hachée alors que ma tête bascule en arrière... Il est d'un genre à me taquiner à ce que je vois. Je tente de trouver ma respiration, puis je lui attrape le bras pour l'inciter à me regarder, chose qu'il fait rapidement.

_ F... fais ce que tu veux... Tant que toi... ça te plaît... Alors ça me va..., murmurais-je difficilement en le regardant dans les yeux.

Je le vois avaler difficilement sa salive, je souris voyant sa surprise dans les yeux. Mais mon sourire s'efface rapidement lorsqu'il me tire violemment vers lui, m'embrassant la gorge avant de me pénétrer avec ses doigts, sans aucune douceur, m'arrachant par la même occasion un gémissement.

_ … Je crois... Que je ne vais pas pouvoir... Me retenir. Je vais te ravir tout de suite Ciel.

Il enfonce un peu plus ses doigts en moi, je m'accroche un peu plus à lui, sentant ses doigt bouger en moi, cherchant un endroit sensible. Je laisse échapper un gémissement, alors qu'il continue à enfoncer ses doigts, c'est gênant bien que je sois habitué à ce genre de chose, avec lui, c'est vraiment différent. Je hurle lorsque je sens une vague de plaisir me traverser le corps. Il sourit de nouveau et frappe de nouveau cet endroit, je ne retiens pas voix. Il retire ses doigts, et déboutonne son pantalon, je ne regarde pas, je suis bien trop gêné lorsque je vois ce genre de chose...

_ Je... Je vais être brusque à présent, je te préviens, je vais m'enfoncer en toi d'un coup et... J'essaierai... De me contrôler après ça d'accord ?...

J'acquiesce de la tête, sentant mes membres jubiler. Je tente de me détendre, me préparant à la douleur qui va sûrement arriver. Je suffoque en sentant son membre me pénétrer, c'est douloureux, est-ce parce que c'est moi qui est trop serré ou lui qui est énorme ? Dans les deux cas, cela me fait vachement mal, mais en même temps je me sens bien... Je suis peut-être un peu maso mais je me sens bien, de le sentir en moi. Sans vraiment m'en rendre compte, j'ai déjà joui entre nos deux corps en feux. Il n'y prête pas vraiment attention non plus, je le sens tendu et haleter énormément, comme moi. Je lui prends son visage en coupe avant de l'embrasser avec une passion que je ne me connaissais pas. Cet homme éveille en moi des choses que je n'ai jamais ressenti auparavant. Il se laisse, penchant sa tête pour que je puisse mieux l'embrasser. Je me surprends à aimer tout ce qu'il me fait, je me surprends à tenter d'enfoncer encore plus son pénis en moi.

Je blottis ma tête dans sa nuque. Il bouge légèrement ses hanches, me faisant gémir de nouveau, je le sens lui-même excité. Il me rallonge rapidement alors que je ne cesse de haleter, sentant mon malaise s'accentuer. Il bouge à nouveau tandis qu'il me lèche l'intérieur de l'oreille. Je ne cesse de gémir avant de hurler de plaisir, touchant ma prostate. Il ne se retient plus et accélère la cadence, me faisant hurler constamment. Je n'ai jamais été autant heureux et satisfait de coucher avec quelqu'un, je me demande si c'est la même chose pour lui. Ma tête bascule alors qu'un autre coup puissant vient percuter ma prostate, je n'ai jamais eu autant de plaisir, cela doit être la première fois que je ressens autant de plaisir dans un rapport. Je ne pensais pas que... Cela pouvait être aussi bon. C'est étrange, il n'y a que moi qui hurle, personne n'est en train de coucher avec quelqu'un d'autre ? Où suis-je dans une autre chambre semblable à la mienne. Mais cette pensée s'efface vite lorsque je sens un autre coup en moi. Je vais mourir de plaisir s'il continue, il se penche rapidement et m'embrasse, étouffant mes gémissements qui se font de plus en plus fort. Ces coups sont trop rapides et trop bons.

_ ... Ah ! Ah... Hn... ! AH ! ! Je ! Ah ! Vais... Hm... Jouir ! !

_ … Moi... Aussi...

Il percute à nouveau ma prostate et je ne parviens plus à me retenir. Je jouis une nouvelle fois tandis que lui jouis en moi, me faisant haleter. Il sort rapidement de moi et me caresse la joue tout en lançant un regard attentionné. Je me laisse bercer par les bras de Morphée alors que je sens ses lèvres se poser mon front. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans les bras de quelqu'un...