Titre : Inhumain
Rating : T/M
Disclaimer : Le merveilleux jeu vidéo Fable n'appartient qu'à Lionhead Studios, et je n'ai pas la prétention d'avoir des droits sur leur univers, les personnages et tout ce qui se rapporte à leur oeuvre.
Note d'auteur : Cette fiction aurait put s'appeler « Pour le fun et parce que je m'ennuie », mais c'était plus classe « Inhumain ». C'est un début un peu hasardeux j'avoue, mais je le trouvais plus satisfaisant que le reste, alors, le temps que j'améliore la suite, une petite introduction.
La note d'auteur va devenir plus longue que la fic XD
Bonne lecture !
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Il lui rappelait sans cesse la nuit où son foyer avait brûlé, emportant ainsi son innocence et son enfance. Sous sa capuche rouge, il lui parlait de son père, qui selon lui, avait pleuré, l'avait littéralement imploré lorsqu'il lui avait volé sa vie. Jack of Blades avait détruit l'univers dans lequel il aurait du grandir. Ce démon méritait de mourir de ses mains vengeresses, de périr dans la même souffrance que celle dans laquelle il l'avait plongé.
Pourtant, lorsque le héros parvenait à glisser un coup dans la défense perfectionnée par des années de combats, c'était bien l'exclamation de douleur d'un homme qu'il entendait s'élever derrière le masque. Et, malgré la soif de pouvoir et la couleur orangée de ses yeux malveillants, le héros sentait qu'il restait une infime part d'humain dans ce corps enveloppé de rouge. Cependant la voix de velours, cachait quelque chose qu'il voulait absolument découvrir, et en cette situation, en ce lieu, non, en ce monde, il ne pouvait se permettre une obsession, surtout sur un homme. Bien que ses professeurs soient restés très vagues sur le sujet des choses de l'amour, ils disaient plutôt clairement que les hommes étaient bons à un champ de bataille, et les femmes dans leurs lits.
Jack venait d'ouvrir une brèche émotionnelle en lui, une faille qui l'affectait bien plus que le rappel de la destruction de son enfance. Il voulait voir derrière le masque, et pas seulement celui qu'il portait physiquement, autant au sens propre que figuré. S'il était aussi cruel, il y avait forcément une raison. La soif de pouvoir en était une, mais elle n'était sûrement pas suffisante.
Le héros lui envoya un ultime coup de pied dans le ventre, l'Epée des Âges vola dans les airs et il la rattrapa, en la pointant juste sous le masque blanc. Il put voir les yeux oranges aggrandis d'effroi, mais attendre la mort.
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A suivre
Et là, il le tue, il meurt et c'est fini. Non, ce serait trop simple.