Note de la traductrice: Comme vous l'avez compris ceci est une traduction de la géniale fanfiction de rizandace : "A study in linguistic". Si vous comprenez l'anglais je ne peux que vous conseillez de filer la lire en version originale parce qu'elle vaut vraiment le coup. Si ce n'est pas le cas, cette traduction est pour vous! Je ne considère pas qu'elle soit parfaite (loin - très loin de là) mais j'ai fait de mon mieux pour retrouver l'esprit du texte de base. Je pense que c'est une des meilleures interprétations de la série -et surtout des personnages- que j'ai lu, alors profitez en bien!
En ce qui concerne les reviews n'hésitez pas à vous lâcher, c'est fait pour ça. Si c'est un problème de traduction j'en prendrai bonne note, et si c'est à propos du texte en lui-même je transmettrai à rizandace, bien que je sois sûre que ça lui ferait encore plus plaisir si vous alliez lui laisser un mot sur sa propre fanfic.
Note de l'auteur: J'ai écrit ceci avant la saison deux, et ça ne prend donc pas du tout en compte la deuxième saison. Si je reçois des retours positifs, je réfléchirai à la possibilité d'écrire une suite basée sur la saison 2.
Mon principe avec les reviews est... vous devez définitivement en laisser! Si vous avez écrit quelque chose sur l'un des fandom que j'ai regardé/lu, alors je vous retournerai la faveur. J'adore avoir des conversations sur des séries/livres/films qui m'ont passionné.
Il y a 27 chapitres à cette histoire - un court prologue, et 26 chapitres pour chaque lettre de l'alphabet. Vous devez les lire dans l'ordre. Certains peuvent être pris à part, mais d'autres sont reliés par des thèmes communs. Vous devriez être capable de vous en rendre compte, j'espère!
Prologue
Sherlock Holmes et John Watson ont leur propre langue. Une langue qui ne contient que peu de mots et de très brèves expressions du visage, mais que John a rapidement assimilé comme le seul moyen qu'il avait de tenir une conversation sincère avec son colocataire excentrique.
Sherlock ne montrant pas ses "émotions", John a appris comment les traduire sans aborder le sujet de manière directe. John n'aimant pas parler de l'Afghanistan, Sherlock a appris à contourner le sujet le plus souvent possible.
Cela laisse perplexe le reste du monde, mais, après tout, le reste du monde compte-t-il?
