Disclaimer: tous les perso à J.K.R

Genre: humour toujours !

Avertissement: aucun (chais même pas pourquoi j'ai mis cette ligne !)

L'ENQUÊTE DE SNAPE

CHAPITRE 1) Le préjudice

Un matin, à Poudlard, le premier jour des vacances de Noël.

« L'AAAAAAAAAAAAAAMOUR EST ENNNNNNNNNNNNNNFANT DE BOHEEEEEEME , IL N'A JAAAAAAAAAAMAIS, JAAAAAAAAAMAIS CONNUUUUUUUUUUUU DE LOUAAAAAAAAAAAA ! » chante gaiement (et faux !) tout en se tripo, heu , se savonnant sous la douche, notre plus connu et svelte Professeur de potions.

Il chante, inconscient du danger qui le guette ! (OH MON DIEU ! –flippe flippe flippe-)

CROUIIIIIIIIIIIIIIIIC !

Tiens! Ça ! C'est la porte d'entrée des appartements de notre Severus national qui grince.

Un être passe, s'arrête, retiens sa respiration, écoute avec inquiétude, se rassure (l'autre continue de chanter, faux, mais il continue), reprend sa respiration car devient tout bleu et pense :

« Hin hin hin ! Il ne se doute de rien ! Je vais pouvoir commettre mon méfait ! MOUAHAHAHAH ! Je suis décidemment un être maléfique ! »

OULALA ! ON A PEUR !(Si, si ! Vous avez peur ! Je vous assure !)

CROUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIC !

C'est re la porte Le drame se rapproche ! Tout n'est que suspens ! (trop forte l'autrice ! Oui, je sais ! La modestie ne m'étouffe pas ! Faut bien l'avouer !)

Ca y est ! L'acte terrible, que dis-je, l'acte TRAGIQUE est commis, il ne reste plus qu'à attendre…. patiemment ….un mouton, deux moutons, trois moutons….

Pendant ce temps, l'HOMME, continue de se laver. Et si on allait voir où il en est ? Hein ? J'EN ETAIS SURE! BANDE DE PERVERSES IVRES DE VICIOSITE ET D'EXCITATION !

Comme je vous comprends ! se lamente l'autrice. –bave bave bave-

On n'entend plus l'eau couler dans la salle de bain. Allons voir ce qu'il fait ! Ce silence est pesant et cela devient inquiétant ! (NON ! Ce n'est pas pour aller mater ! C'est pour sa sauvegarde !).

POUAH ! Il se regarde dans le miroir et il a DEJA mis une serviette autour de la taille ! QUE CE MONDE EST CRUEL ! POURKOUAAAAAAAAAAA ! Se trouve devant nous un corps d'une pâleur angélique, filiforme et à la musculature gracile. Il était parsemé de fines gouttelettes, qui, lentement, descendaient le long de ce torse jusqu'à ce ventre plat, pour venir s'échouer à la lisière de cette serviette, entourant la fine taille du Professeur et qui laisser deviner l'arrondi de ses fesses fermes et AAAAAAAAAAAAAAAARGH ! JE VAIS CRAQUER !

« Et ben ! Mon pov' sevy, c'est pas folichon ! Je ne comprends pas ! Quinze shampoings et t'as toujours les cheveux aussi gras ! Ca doit être hormonal ! Je ne vois que ça ! Ou alors, c'est la faute à Potter, il doit avoir un effet allergique graissant ou kekchose comme ça.» dit-il avec une moue de dépit sur le visage tout en soulevant quelques mèches et ignorant totalement la détresse de l'autrice.

Après un sort de séchage (essayez de le dire 10 fois d'affilée !), il pénètre dans sa chambre, fait face à son armoire et ouvre les portes de celle-ci d'un geste rapide, concis et terriblement sexy (le courant d'air provoqué par l'ouverture des portes a légèrement fait virevolter sa serviette ! Mouahahahah ! Que de tensions !)

« Bon alors ! Que vais-je mettre aujourd'hui ? »

Notons, que l'armoire ne contient QUE ses pantalons, ses vestes, ses chaussettes et ses fameuses capes noirs, ainsi que ses chemises blanches ! Et il trouve le moyen de réfléchir ! Mais nous allons lui pardonner. En effet, il est à moitié nu et ça suffit ! POURQUOI ? MAIS POURQUOI DOIT-IL S'HABILLER ! Quelques casseurs d'ambiance diront qu'il ne peut pas faire cours à poil, que des mineurs peuvent lire cette histoire d'où des risques de procès et bla bla bla ! Mais qu'ils ferment leur gueule !

Tiens ! Il n'y a pas de caleçons dans l'armoire ! Hum, étrange. Enfin, passons.

L'HOMME s'apprête à s'habiller. Il choisit précieusement ses habits tout en essayant de marier au mieux les couleurs (Oui, je sais, ce n'est pas trop difficile dans ce cas ), les dispose sur son lit, enlève sa serviette, et ………………..BOUM !

VEUILLEZ NOUS EXCUSER POUR CETTE INTERRUPTION DE PROGRAMME MAIS L'AUTRICE A FAIT UN MALAISE, NOUS VOUS PROPOSONS EN ATTENDANT UN INTERLUDE MUSICAL : « Tiens ! Voilà du boudin ! Voilà du boudin ! Tu le tiens mon gros gourdin ? Tu l'as bien en main mon rondin ? la la la la la la laaaaaaaaaa! »

Un moment après, l'autrice revient à elle. KESKISSEPASSE ! AAAARRRRRGH ! IL EST DEJA HABILLE ! Avez-vous déjà remarquer que le sort s'acharne toujours sur les mêmes ! Et en l'occurrence sur LA MEME !

Il met sa cape (Oui je sais ! Chez les Snape, on met toujours sa cape avant les chaussures ! C'est tiré d'un vieil adage : « Celui qui met ses chaussures avant sa cape, prends le risque de ……et bla bla bla et bla bla bla ! » Vous n'aviez qu'à être un SNAPE après tout ! Il ne lui reste plus que les chaussures à mettre. Il plonge son pied dans la première chaussure. Tout se passe bien. Il met ensuite l'autre pied (pas dans la même chaussure ! Of course !)

SPLAF !

« Comment ça ? SPLAF ! KESKE C KE CE TRUC ! » dit un Severus étonné avec un sourcil relevé et tout et tout !

Il retire sa chaussure dans un bruit de succion carrément dégoûtant et indigne de sa personne. De prime abord, il en reste coi, regardant alternativement sa chaussette puis sa chaussure puis sa chaussette et encore sa chaussure et au bout de quelques instants (un peu long le Severus quand même !) se met à rugir/beugler/hurler, avec postillons et compagnie (pas trop sexy tout ça !) :

« MAIS ! MAIS ! C'EST IGNOBLE ! C'EST INFECT ! C'EST POTTERIEN ! (Il a des expressions bien à lui le Severus !), AAAAAAAAARRRRRRRRRGGGGGGGGGGH ! COMMENT A-T-ON OSE ME FAIRE CA ! A MOI ! LE PLUS VENERE, LE PLUS CRAINT, LE PLUS SEXY DES PROFESSEURS DE CET ETABLISSEMENT ! CA VA PAS SE PASSER COMME CA !» rugit-il d'une façon TOTALEMENT SUBJECTIVE.

Et sur ce, il sort de ses appartements, avec une chaussure à la main, s'éloignant progressivement dans un flot de cape, poursuivit par un bruit peu ragoûtant.

PLATCH PLATCH PLATCH PLATCH PLATCH

A suivre…

NDA : Piiiiiiitié ! des reviews ! je ferai tout ce que vous voulez !