Hello ! Me revoilà avec ma deuxième fiction et j'espère qu'elle vous plaira !

Quelques petites précisions quand même : C'est un UA qui se déroule dans l'univers psychiatrique. Je m'inspire fortement des mes études dans cette fiction, et il se peut que je me laisse emporter pour certains termes ou autres, je mettrais sur mon profil des précisions supplémentaires sur certains termes ou maladies, mais normalement tout est compréhensible, si ce n'est pas le cas n'hésitez pas à me rappeler à l'ordre... J'aime beaucoup mes études donc je peux facilement partir dans mon délire en pensant que tout le monde sait de quoi je parle ^^

Cependant je ne colle pas non plus cent pour cent à la réalité donc si certains s'y connaissent ne soyez pas choqué par quelques incohérences, après tout ceci reste une fiction :)

Voilà après ce long blabla je vous souhaite une bonne lecture en espérant que ce premier chapitre vous plaise.

Disclamer : Les personnages de Bleach appartiennent évidemment à Tite Kubo
Pairing : Shirosaki x Ichigo
Rating : M (lemon et langage)

Un grand merci à So Mizu pour la bêta lecture et les conseils ;)


Chapitre 1 : Bienvenue chez toi

Ichigo rouvrit les yeux, rien n'avait changé. La scène devant lui était toujours la même. Son père était en train de discuter avec un de ses anciens camarades d'Université. Les deux hommes s'étaient rencontrés sur le banc de la faculté de médecine, une vingtaine d'années plus tôt. Ils n'étaient pas amis, de simple connaissance tout au plus, mais étant tous deux praticiens dans la même ville, ils avaient été amenés à se rencontrer à de nombreuses occasions et entretenaient donc de solides relations professionnelles. Ishida Ryuken était maintenant directeur du centre hospitalier de Karakura tandis qu' Isshin Kurosaki était un médecin de quartier, ce qui n'empêchait pas Ishida de respecter les grandes capacités de son collègue.

Ichigo était donc assis sur un banc en face de l'entrée de l'hôpital, il profitait de l'air doux et sucré d'une fin d'après-midi d'été. De ce qu'il en savait c'était probablement ces derniers instants de liberté. Il inspira longuement, remplissant ses poumons le plus possible et laissa sa tête tomber en arrière. Sa tête était vide à l'image du ciel qu'il était en train d'observer. On aurait pu se dire qu'à quelques minutes de son hospitalisation son esprit serait saturé par un grand nombre de pensées, triviales ou complexes. Et bien non, il ne pensait ni à ses amies ni à ses sœurs ni à toutes les choses matérielles qui, d'ici quelques minutes, ne lui seraient plus accessibles. Un grand vide, voilà ce qu'était Ichigo.

Le jeune homme fut ramené à la réalité par la voix de son père lui demandant de le rejoindre. Ichigo quitta donc son petit point d'observation pour rejoindre la scène, après tout c'était lui l'acteur principal aujourd'hui.

« Ichigo je te présente Ishida Ryuken, un ancien camarade de fac, c'est lui le directeur de l'hôpital, c'est également lui le chef du département de psychiatrie. »

Ryuken lui tendit la main « Enchanté ». Ichigo ne prit pas la peine de lui répondre, il n'était pas du tout enchanté, mais serra la main qui lui était présentée.

« Bien, je pense qu'il serait préférable de poursuivre notre conversation dans mon bureau, suivez-moi »

Isshin passa sa main dans le dos de son fils pour l'encourager à avancer, ce qui provoqua une vive tension dans le corps d' Ichigo, suivie d'un mouvement de recul. Même si Isshin était habitué au comportement distant de son fils, chaque rappel en était douloureux. Ainsi, Isshin se demandait souvent ce qui était arrivé à son adorable petit garçon. Il lui arrivait souvent de fermer les yeux et de revoir Ichigo à sept ans, les yeux pétillants, ses joues rondes faisant quotidiennement place à un grand sourire auquel il manquait quelques dents. Alors qu'aujourd'hui il refusait catégoriquement d'être touché et avait les yeux éteints. Certes, il savait que tout avait commencé à la mort de sa femme et il ne pouvait qu'imaginer le traumatisme pour Ichigo d'avoir assisté à la mort de sa mère, mais ses deux fillettes avaient elles aussi perdu leur mère et n'étaient pourtant pas devenu comme lui.

Isshin finit par sortir de ses pensées et rattrapa son retard sur les deux autres. Quelques minutes plus tard les trois hommes étaient assis autour du bureau d' Ishida.

« Bien Ichigo, laisse-moi te parler du département psychiatrie de cet établissement. Il est quelque peu exclusif dans le sens où nous n'acceptons que très peu de patients, préférant la qualité à la quantité. Toi compris, vous serez donc dix dans l'unité. Tu auras bien sûr ta chambre personnelle qui se compose d'un lit simple, un bureau, une penderie pour tes vêtements et une salle de bain. En plus des chambres, tu pourras trouver un salon où se déroulent les groupes de parole, une pièce commune où tous les patients prennent leur repas. Elle est équipée d'une télévision et tu peux aussi y trouver une bibliothèque bien fournie qui est régulièrement renouvelée. Cette pièce s'ouvre sur un jardin qui est réservé à l'unité, tu pourras donc t'y rendre quand tu le voudras. En ce qui concerne le personnel, il se compose de deux psychologues : Kisuke Urahara et Hirako Shinji d'un psychiatre Ukitake Jūshirō et d'un médecin généraliste Unohana Retsu. Il y a également deux vigiles : Zaraki Kenpachi et Ikkaku Madarame qui s'occupent de la sécurité. Enfin la personne en charge quand je ne suis pas là s'appelle Mayuri Kurotsuchi. Des questions ? »

Ichigo ne répondit pas, loin de prendre cela pour de l'insolence, Ryuken continua son récit devant le regard lointain du jeune homme devant lui. L'effet des médicaments pensa-t-il.

« En ce qui concerne le règlement, tu es dans l'obligation de suivre le traitement prescrit par le psychiatre et ton psychologue. Tu n'es pas autorisé à sortir seul de l'établissement sans le consentement de ton père. Il est fortement déconseillé d'avoir un téléphone portable. Évidemment il est interdit de se battre avec les autres patients ou bien avec le personnel. Si ton comportement est estimé dangereux ou si tu es à l'origine de bagarre, tu te verras attribué un avertissement. Au bout de trois, des sanctions peuvent être prises, leur sévérité varie en fonction de la gravité de ton comportement. Cela peut aller de l'interdiction de regarder la télévision ou emprunter un livre jusqu'à la camisole, forcée ou chimique ou encore l'isolation. Si ces mesures, somme toute extrêmes devaient être prises, ton père serait immédiatement averti puisque au-delà de trois jours il nous faudra son autorisation pour poursuivre les mesures. Toujours pas de questions ? »

Ishida n'était pas surpris du manque de réaction de l'adolescent en face de lui, il savait que les médicaments pour calmer ou réguler les émotions, parfois violentes et excessives des personnes souffrant de trouble psychologique, pouvaient aliéner la vraie personnalité d'un individu. Cependant avec Ichigo il y avait quelque chose de différent : l'adolescent avait le regard vide et n'exprimait aucune expression, il ressemblait à une coquille vide ce qui était quelque peu inquiétant.

« Isshin, tu te souviens de ce que l'on a donné comme médicaments à ton fils lors de son arrestation ? »

« Oui bien sûr c'était un puissant neuroleptique… le dopa. IV. Pourquoi ? »

« Et qui le lui a administré ? »

« Le psychiatre qui le suit depuis quelques mois Szayel Aporro Grantz, pourquoi ? Tu commences à m'inquiéter. »

« Je pense que monsieur Grantz s'est laissé emporter sur la médication de ton fils, le neuroleptique dont tu me parles n'est vraiment pas recommandé dans le cas d' Ichigo, de plus vu son état je pense qu'il a eu la main un peu lourde sur le dosage… Les effets devraient bientôt se dissiper mais je pense qu'il faudra revoir tout le traitement d' Ichigo. »

« Oui bien sûr si tu penses que c'est ce qu'il y a de mieux pour Ichigo, je te fais confiance. L'erreur de Grantz… c'est une erreur grave ? »

« Oui. Surtout si comme tu le dis il suit ton fils depuis plusieurs mois, il devrait savoir que lorsque quelqu'un souffre d'un trouble de la personnalité non spécifié on ne lui prescrit pas de neuroleptique, surtout dans le cas d' Ichigo qui est particulièrement sévère. Pourquoi ? »

« Non je pense juste qu'une fois sorti de ton bureau j'irai lui rendre une visite, histoire de lui remémorer ses cours de psychiatrie… »

« Ne fais rien de stupide, je te rappelle que tes mains sont ton principal outil de travail… »

« … »

« Ichigo j'ai fini de t'expliquer le plus important, si tu as la moindre question n'hésite pas à la poser au personnel. Tu n'es pas en prison, tu peux donc recevoir autant de visite que tu le veux, d'autant de personnes que tu le souhaites… Ah oui j'ai failli oublier le plus important, il a été décidé que tu serais suivis par Urahara Kisuke, cependant si les choses se passent mal entre vous tu pourras toujours changer. Bien si tu es d'accord je vais t'accompagner à ta chambre et le laisser t'installer. »

Les trois hommes quittèrent le bureau du directeur et se dirigèrent vers l'aile ouest du bâtiment où se trouvait le département psychiatrique. Ce dernier se situait au rez-de-chaussée et n'était pas séparé du reste de l'hôpital, cependant la porte qui reliait les deux enceinte était sécurisée par un digicode et une carte d'accès. Après quelques minutes de marche, ils arrivèrent devant une pièce portant le numéro quinze. En ouvrant la porte Isshin pu constater qu'elle correspondait à la description faite un peu plus tôt par son collègue.

« Je vous laisse en famille, le repas commence dans deux heures donc tâche de quitter l'établissement avant. Je reste joignable si tu as des questions mais n'abuse pas de mon numéro non plus. » Ryuken salua Isshin puis s'en alla.

Ichigo déposa son sac à dos près du lit. Il n'aimait pas cet endroit, la chambre était froide, aseptisée, tout ce qu'il n'était pas. Cependant il s'allongea quand même sur le lit, la journée avait été éprouvante, de plus il détestait être sous l'emprise des médicaments qui le faisaient se sentir absent, comme spectateur dans son propre corps. Il était vide ou plutôt une sorte de pantin entre les mains des neuroleptiques. Sans vraiment le réaliser, il s'endormit sur ce qui était à présent son nouveau lit.

Isshin esquissa un sourire, endormi sur son lit, Ichigo ressemblait à tous les jeunes hommes de son âge. Personne n'aurait pu imaginer qu'il avait passé la nuit précédente et une grande partie de la journée en prison. Isshin soupira en y repensant, il avait tout fait pour éviter son entrée dans une unité fermée comme celle-ci pensant qu'un jeune homme de 22 ans n'avait pas sa place en ''hôpital psychiatrique'' mais cette fois il n'avait pas vraiment eu le choix. Il récupéra le sac de son fils et entreprit de ranger ses affaires dans le placard et la salle de bain. Une fois ceci fini, il laissa une note à son fils et s'avança vers la porte. Avant de la refermer, il jeta un dernier regard sur son fils, il semblait si paisible qu' Isshin se demanda si tout ce qui c'était passé n'était pas un simple cauchemar. Il quitta l'hôpital en pensant que peut être cela permettrait à Ichigo de guérir, et qu'enfin il retrouverait son fils.

Ichigo ouvrit les yeux une heure plus tard et fut pris d'un vent de panique quand il ne reconnut pas les murs de sa chambre. Il s'assit sur le bord du lit et essaya de reprendre une respiration normale. Il constata rapidement que l'effet des médicaments s'était dissipé, enfin pensa-t-il. Après quelques secondes, qui ressemblaient plus à des minutes, il se rappela de tout. Ce qui l'avait amené à être arrêté, sa nuit en prison et enfin son placement en unité psychiatrique. Il se dirigea vers la salle de bain et arrivé devant le miroir qui surplombait le lavabo il eut du mal à se reconnaître, il avait de profondes cernes sous les yeux, les cheveux sales… Seule l'étincelle qui était réapparue au fond de ses yeux était un signe encourageant. Il ouvrit le robinet d'eau froide et se passa plusieurs fois le liquide salvateur sur le visage. Après avoir répété l'opération une bonne dizaine de fois sans obtenir l'effet escompté il commença à descendre la fermeture de son sweat-shirt noir pour prendre une douche. Il venait d'enlever son t-shirt quand quelqu'un toqua à sa porte.

En ouvrant cette dernière Ichigo tomba nez à nez avec un homme assez grand, 1m80 peut-être, avec de courts cheveux blonds, partants un peu dans tous les sens, et de grands yeux marron qui se présenta à lui.

« Urahara Kisuke » dit l'homme en lui présentant sa main gauche. Ichigo le dévisagea un instant, il avait vraiment une drôle de dégaine avec son yukata vert… Le jeune homme serra néanmoins la main qui lui était présentée.

« Tu dois être Ichigo Kurosaki, notre nouvel arrivant. Ishida t'a probablement déjà parlé de moi mais je voulais me présenter moi-même. »

« Vous êtes qui au juste ? » La phrase prononcée par Ichigo déclencha un petit rire chez Urahara voilà qui remet l'ego d'un homme à sa juste place ! Pensa Kisuke.

« Je suis Urahara Kisuke ton psychologue… »

« Oh.. »

« Que dirais tu d'un petit tour du propriétaire Ichigo ? » Ichigo retourna dans la salle de bain pour remettre son t-shirt, et suivit son psychologue dans le couloir après avoir fermé la porte de sa chambre à clef. Il avait été soulagé quand il avait vu la serrure sur la porte, cela lui donnait un minimum d'intimité pas comme dans une chambre d'hôpital. D'ailleurs, plus il regardait autour de lui et plus il pensait que l'endroit n'avait rien à voir avec une section d'hôpital, les murs étaient peints en pourpre et l'on pouvait voir, accrochées dessus, de nombreuses photos en noir et blanc ou des dessins au crayon particulièrement bien réalisés.

Urahara observait son nouveau patient, lui-même en train de détailler les photos et dessins qui ornaient les murs.

« Voici mon bureau, la pièce porte le numéro douze. En face tu trouveras le bureau de mon collègue Shinji Hirako. De l'autre côté il y a les bureaux du médecin et du psychiatre. » L'étage avait la forme d'un U à l'envers, les deux couloirs où se trouvaient les chambres et les bureaux se rejoignaient sur la salle commune.

Les deux hommes se dirigeaient maintenant vers le jardin, en passant par la salle commune Ichigo avait cru apercevoir un jeune homme un peu plus jeune avec des cheveux aussi noir que l'encre de chine. Une fois à l'extérieur Ichigo frissonna, le temps s'était rafraîchi et la fatigue n'aidait pas.

« J'ai parlé un peu avec Ishida et on a décidé de revoir ton traitement, donc à partir de demain tu ne prendras plus que la moitié de tes cachets, la semaine prochaine on devrait pouvoir passer aux quarts pour qu'au final, dans deux semaines, on puisse mettre en place un nouveau traitement sans craindre une réaction de manque de ta part. De plus ces deux semaines me laisseront le temps de voir de quoi tu as besoin. J'en parlerai alors au psychiatre qui te délivrera une nouvelle ordonnance. Qu'en penses –tu ? »

« Je pense… je pense que c'est la meilleure nouvelle de ma journée. J'avais vraiment l'impression d'être stone avec ce que me filait l'autre toubib. »

« Et bien tant mieux ! Il est vrai que ta journée n'a pas dû être de tout repos, surtout après une nuit en cellule… »

« Vous êtes pas très subtile comme mec ! » Lui avait répondu Ichigo avec le sourire, ce qui provoqua un rire franc chez Urahara.

« Tu trouves ?! Tu préfères peut être me parler directement de ce qui s'est passé ? »

« Non. »

« Et bien j'aurais tenté ma chance… Cependant je pense que tu sais qu'il faudra que tu m'en parles à un moment ou à un autre Ichigo… »

« Je sais, juste pas maintenant. Ils sont comment les autres patients ici ? »

« Um… en voilà un bonne question ! Et bien comme tu t'en apercevras assez vite, ils sont assez uniques. Tu pourras te faire ta propre opinion pendant le dîner. Cependant l'un d'entre eux est absent donc vous ne serez que neuf. »

« Ils sont au courant de mon arrivée ? » Aussi bien dissimulée qu'elle soit, on pouvait quand même sentir l'inquiétude derrière ces paroles. Ichigo était assez anxieux à l'idée de se retrouver à une table d'inconnus, surtout que ces inconnus étaient tous assez barrés. Lui qui avait toujours était plutôt solitaire, n'ayant que peu d'amis mais sur lesquels il pouvait compter, n'était pas très enjoué de faire face à huit fous ! Urahara remarqua la légère angoisse du jeune homme et tenta de le rassurer.

« Oui ils sont au courant, je crois même qu'ils t'attendent tous avec impatience, ce n'est pas tous les jours que nous avons un nouvel arrivant, alors ils doivent être contents de pouvoir se faire un nouvel ami.. »

« Ami hein.. » Kisuke préféra ne pas répondre, de ce qu'il avait pu voir du jeune homme pendant leur petite marche, c'était quelqu'un d'intelligent et vif d'esprit quand il n'était pas sous une mauvaise médication. Il ne lui ferait donc pas l'affront de lui dire que ce serait facile avec les autres hommes pendant les premiers jours. Tous les patients de l'unité n'étaient pas là sans raison et même si chacun avait un problème unique, ils partageaient tous cette méfiance pour la nouveauté, or ce soir la nouveauté avait pris la forme d'un jeune homme aux cheveux orange.

Urahara raccompagna Ichigo jusqu'à sa chambre avant de l'informer que leur premier rendez-vous officiel aurait lieu le lendemain en fin de matinée. Lorsqu'il referma la porte de sa chambre derrière lui Ichigo remarqua qu'il lui restait une vingtaine de minutes avant l'heure redoutée du repas. Il décida de prendre la douche qu'il avait eu l'intention de prendre un peu plus tôt. Il se déshabilla et se laissa aller sous le jet d'eau bouillante. Il ferma les yeux un instant, laissant la chaleur dénouer ses muscles. Il regarda ses mains et découvrit qu'elles étaient recouvertes de sang, en regardant sur sa droite il pouvait voir les jambes d'une jeune fille, seize ans peut-être plus, baigner dans une mare de sang. Ichigo ouvrit les yeux violemment, son souffle était court et il avait du mal à respirer. Il s'agenouilla dans la baignoire, il avait les yeux rivés sur ses mains qu'il pouvait voir trembler. Il inspira et expira longuement et finit par se calmer quelques minutes plus tard. Ichigo se releva, sortit de la baignoire et se sécha le corps et les cheveux. Une fois sec, il retourna dans sa chambre pour enfiler un vieux jogging blanc et un t-shirt rouge trop grand pour lui qui lui servait de tenue de maison. Il prit un cachet contre l'anxiété et partit vers la salle commune, il était vingt heure, l'heure du repas.


Voilà! Je ne pousse pas à commenter, mais c'est toujours agréable de savoir ce que vous en pensez :)
Si ça vous a plu je vous dis à jeudi prochain, sinon bah tant pis hein !

Bonne soirée