°Death of an Angel°
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Un homme embrasse une femme, il la serre dans ses bras comme si c'était la dernière fois. Il a un mauvais pressentiment.
S'il te plait, n'y va pas. Dans la voix de l'homme, on pouvait sentir une peur sans nom.
Non, désolé, je ne veux pas rester en arrière comme une gentille femme d'intérieur. Je vous accompagnerai, et je reviendrai avec vous. Je me battrai avec vous, avec toi. Lui répondit-elle avec détermination.
Il n'insista pas, il savait que c'était inutile, qu'elle ne changerait pas d'avis. Pourtant, il était sur que quelque chose cloché. Qu'un d'eux ne reviendrait pas.
Il attrapa sa cape, la mit et sorti a ses cotés sans plus attendre.
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Cela faisait plusieurs heures qu'ils se battaient contre ces hommes et femmes drapés de noir.
Un éclair de lumière, un de plus, mais il savait que celui là était différent.
Une lumière verte aveuglante. Des yeux d'argent qui s'écarquillent, un corps qui tombe a la renverse, des cheveux qui s'étalent sur le sol pour former une auréole autour d'une tête, une bouche entrouverte dans un cri mué.
Puis, plus rien. Son monde venait de s'effondrait avec elle. Plus rien ne compté, il se jeta de nouveau dans la bataille, a corps perdu, comme si mourir ne lui faisait plus peur.
Mourir ne lui faisait plus peur, il était mort avec elle.
Un autre corps qui tombe, la bataille prend fin.
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Un tombe.
Une chanson.
Je suis le fruit d'une blessure
Le souffle d'un trop long
combat
Dans le silence et sans injure
J'ai grandi dans des
draps de soie.
Une larme qui coulent.
Je suis née sans éclaboussure
Regardez-moi, rien
ne se voit
Je n'en serai jamais trop sure
De vous a moi je ne
sais pas.
Puis une autre.
Mais si je m'en sors
Sans bleu au corps
Etre normale pour être
bien
Effacer quelques lignes de ma main
Et si je m'en sors
Je
veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble,
alliés
Contre un drôle de destin.
Il ne pourra pas s'en sortir, pas sans elle.
Plus de beau matin, pourtant elle avait promis qu'elle reviendrait avec lui.
Je ne connais pas le plus dur
Je n'ai pas vraiment de
blessures
Sans vous je n'existerais pas
Sans vous je ne me
connais pas.
Lui, connaissait le plus dur.
La perte d'un être qu'on aime, n'est-elle pas la pire chose au monde.
Sans elle, il n'est plus, il ne se connaît pas comme dit si bien cette chanson.
De cette histoire ce qui me touche
C'est qu'il n'y a rien à
regretter
Quelques silences au fond de moi
Y a des silences et
c'est comme ça.
Rien à retenir, a par un amour trop grand pour être exprimé.
Des vides au fond de lui, des silences elle en a laissait trop en partant.
Une plaie a vif, qui saigne et semble ne jamais vouloir cicatriser.
Une fêlure dans son cœur.
Mais si je m'en sors
Sans bleu au corps
Etre normale pour
être bien
Effacer quelques lignes de ma main
Et si je
m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin,
ensemble, alliés
Contre un drôle de destin.
Trop de coups, de douleurs, de larmes, il ne pourra pas sans sortir sans elle.
Tout est froid et vide sans elle, tellement vide.
Plus rien n'a de sens.
Juste ce Vide, immense.
Et si je m'en sors
Un peu plus forte
Etre normale pour être
bien
Effacer quelques lignes de ma main
Être normal, impossible, elle était un Ange, son Ange, et lui un Malfoy, un Démon pourrit dans sa chair.
Oui, elle les avait effacées ces quelques lignes, pour qu'il puissent s'en sortir, mais a présent, n'étaient-elles pas, marquer plus que jamais ; n'étaient-elles pas réapparut quand elle avait disparu ?
Ca pour avoir eut un drôle de destin, ils avaient eut un drôle de destin.
Elle, fille des mangemorts les plus connus de France, lui le fils de Lucius Malfoy, bras droit de Voldemort. Ils s'étaient, ensemble, alliés, contre le destin que leurs parents avaient tracé pour eux. Ils avaient rejoint la Lumière, l'Ordre de Phénix.
Mais si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce
beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de
destin
Drôle de destin
Et si je m'en sors, sans bleu au corps.
La fin de la chanson le sortit de ses pensées.
Elle avait voulut cette chanson comme marche funèbre, parce qu'elle voulait dire beaucoup pour elle, en tout cas c'est comme ça qu'elle l'avait écrit dans son testament. Il la connaissait par cœur, elle lui avait tellement chantait, elle la chantait encore en partant se battre.
Elle aussi savait qu'un d'eux ne reviendrait pas, elle avait tout fait pour que lui vive, elle était partie a sa place.
Et lui pourrait-il s'en sortir s'en bleu au corps.
Oui, il le ferait, ne lui avait-il pas promis après la bataille de vivre pour elle. Alors il le ferait. Ce serait difficile, mais un jour il arriverait a sourire de nouveau.
Un tombe.
Une phrase : '' Ici, repose un Ange… à présent éternelle.''
Dessous cette inscription se détaché juste ces quelques autres mots : ''A toi à jamais. Je t'aime…Rubia''
Fin…